À la croisée des Mondes
Je n’étais pas revenu à San Fransokyo depuis que j’avais recruté Bisley. Et pour être tout à fait honnête, j’avais un peu peur de me retrouver de nouveau dans ce lieu. Je n’avais absolument pas envie de me retrouver nez à nez avec un des employés de la société Krey Si on me reconnaissait, je ne donnerai pas cher de ma peau.
Mais cette fois-ci, c’était légèrement différent. Un concours d’inscription avait été lancé sur le campus universitaire. Death voulait recruter encore quelqu’un. Mais, là je ne devais pas embaucher directement la personne, je devais juste tâter le terrain et voir un peu les candidats qui allaient être présents et par conséquent accessoirement en trouver un qui sorte du lot pour que Death lui propose un travail pour plus tard.
Je parcourais les allées du campus, un soleil de plomb était là. Mais, le décor était on ne peut plus sublime. Rien a voir avec Agrabah où tout n’est que poussière. Là, c’était ravissant. De l’herbe à perte de vue autour d’un terrain de sport, des bâtiments tous plus grands les uns que les autres. Une pointe de technologie un peu partout dans ce monde. Entre les panneaux géants lumineux qui indiquaient diverses choses. Des petits robots un peu partout servant à aider les gens un peu perdu -comme moi-.
Ce message lancé par l’Éclaireur avait fait mouche, je n’étais pas le seul à venir en ce jour… Bon, j’étais peut-être le seul à venir pour faire ce que je devais faire. Mais, je sens que cette mission n’allait pas être de tout repos, surtout si on me voit poser des questions à plusieurs étudiants.
En parlant d’étudiants, je devais trouver aussi une aile de l’université en particulier. Celle des petits chimistes. Je m’avançais donc vers un de ces petits robots et je regardais la carte qui s’affichait sur son écran.
Le petit robot s’arrêta un instant, et se ralluma quelques secondes aussitôt avec une sorte d’itinéraire affiché sur la carte que je regardais plus tôt sur l’écran. J’alternais mon regard entre la petite machine et le chemin que je devais emprunter. Le robot s’arrêta de nouveau et se ralluma encore, mais cette fois en affichant la carte vierge de toute indication.
Je pris une profonde inspiration et je pris le chemin que j’avais essayé de retenir tant bien que mal. Et puis dans le pire des cas, je trouverais sûrement une autre petite machine capable de m’aider si jamais je venais à me perdre.
Je prenais mon temps, regardant chaque indication, espérant ainsi trouver la faculté des sciences. Beaucoup de mondes se précipitaient vers différents bâtiments pour voir le potentiel de ces jeunes gens qui avaient travaillé durement pour obtenir une place dans cette célèbre institution qu’était l’université de San Fransokyo.
Je n’avais jamais eu la possibilité d’étudier dans un endroit comme celui-ci, en même temps à mon époque, ils n’existait pas autant de mondes qu’aujourd’hui. J’en déduisis donc très rapidement que pour un jeu, suivre un cursus tel que celui-ci pouvait apporter beaucoup de choses pour plus tard, comme Bisley, il avait un poste prestigieux dans une société.
Je retrouvais un autre petit robot pour pouvoir reprendre mon chemin, car j’avais réussi à me perdre, mais il était déjà occupé, et la personne avant moi cherchait le même endroit. Je préférais le suivre, ainsi je me sentirai moins seul si cette personne venait à se perdre également.
Nous arrivâmes assez rapidement à la faculté des sciences, je n’étais pas si loin que ça finalement. Devant moi de nombreux stand avec des jeunes derrière à présenter leur projet et découverte. Je restais en retrait et regardais de loin ce qu’ils proposaient. Certains voulaient mettre à jour des petits robots, ils pouvaient effectuer le même travail qu’un homme mais avec beaucoup de fatigue.
D’autres, proposaient encore des technologies similaires. Mais pour l’instant je ne trouvais aucuns jeunes pour qui j’étais venu. Je partais un peu défaitiste, à croire qu’ils ne voulaient créer que des choses pour faciliter la vie des gens. Mais fabriquer des potions et autres substances pouvant guérir ou tuer des personnes… Ça il y avait moins de mondes.
Plutôt que de continuer à chercher dans le vide, je préférais directement me renseigner. Je risquais gros en faisant cela, mais je préférais être sûr de ne pas rentrer les mains vides vers Death, ça risquerait de me retomber dessus. J’accostais un jeune homme derrière son exposé.
Je n’aime pas être agressif comme ça envers les gens, mais lui, à part deux paires de baffes, il ne méritait pas grand chose… Ou peut-être éventuellement mon pied dans ses fesses. À voir. Je m’égarais à m’imaginer le genre de sévices que je pouvais lui faire que j’atteignis enfin les « stands » où se trouvaient ces jeunes que j’étais venu voir.
Ils étaient pour beaucoup légèrement plus âgé que Milla, il devaient avoir une vingtaine d’année. Ils avaient l’air aussi légèrement fatigué, en même temps, j pouvais les comprendre, travailler sur des potions, ça ne devait pas être de tout repos.
Je restais de loin, je me cachais de ces jeunes gens en me dissimulant derrière les autres personnes qui étaient venu les voir, les laissant ainsi poser leurs questions à propos de leurs expériences et leurs savoirs, j’étais là, mais j’écoutais tout ce qu’ils avaient à dire et à démontrer.
Je venais d’en apprendre pas mal sur ces éléments qui sont crées et ceux qui pourraient voir le jours peut-être très prochainement. Il ne me restait plus qu’à partir, retourner au quatrier général de la Coalition Noire et dire à Death que nous avions potentiellement trouvé quelqu’un qui pouvait correspondre à nos attentes.
Mais cette fois-ci, c’était légèrement différent. Un concours d’inscription avait été lancé sur le campus universitaire. Death voulait recruter encore quelqu’un. Mais, là je ne devais pas embaucher directement la personne, je devais juste tâter le terrain et voir un peu les candidats qui allaient être présents et par conséquent accessoirement en trouver un qui sorte du lot pour que Death lui propose un travail pour plus tard.
Je parcourais les allées du campus, un soleil de plomb était là. Mais, le décor était on ne peut plus sublime. Rien a voir avec Agrabah où tout n’est que poussière. Là, c’était ravissant. De l’herbe à perte de vue autour d’un terrain de sport, des bâtiments tous plus grands les uns que les autres. Une pointe de technologie un peu partout dans ce monde. Entre les panneaux géants lumineux qui indiquaient diverses choses. Des petits robots un peu partout servant à aider les gens un peu perdu -comme moi-.
Ce message lancé par l’Éclaireur avait fait mouche, je n’étais pas le seul à venir en ce jour… Bon, j’étais peut-être le seul à venir pour faire ce que je devais faire. Mais, je sens que cette mission n’allait pas être de tout repos, surtout si on me voit poser des questions à plusieurs étudiants.
En parlant d’étudiants, je devais trouver aussi une aile de l’université en particulier. Celle des petits chimistes. Je m’avançais donc vers un de ces petits robots et je regardais la carte qui s’affichait sur son écran.
- Comment je suis censé me rendre dans ce lieu ? C’est un charabia pas possible votre machin là…
- Veuillez répétez votre question, je n’ai pas compris votre demande. Répondit une petite voix informatisée.
- Heu… La faculté des sciences… S’il vous plait ?
- Veuillez suivre le chemin indiqué e rouge sur la carte. Merci
- Veuillez répétez votre question, je n’ai pas compris votre demande. Répondit une petite voix informatisée.
- Heu… La faculté des sciences… S’il vous plait ?
- Veuillez suivre le chemin indiqué e rouge sur la carte. Merci
Le petit robot s’arrêta un instant, et se ralluma quelques secondes aussitôt avec une sorte d’itinéraire affiché sur la carte que je regardais plus tôt sur l’écran. J’alternais mon regard entre la petite machine et le chemin que je devais emprunter. Le robot s’arrêta de nouveau et se ralluma encore, mais cette fois en affichant la carte vierge de toute indication.
Bon... Quand faut y aller… Faut y aller !
Je pris une profonde inspiration et je pris le chemin que j’avais essayé de retenir tant bien que mal. Et puis dans le pire des cas, je trouverais sûrement une autre petite machine capable de m’aider si jamais je venais à me perdre.
Je prenais mon temps, regardant chaque indication, espérant ainsi trouver la faculté des sciences. Beaucoup de mondes se précipitaient vers différents bâtiments pour voir le potentiel de ces jeunes gens qui avaient travaillé durement pour obtenir une place dans cette célèbre institution qu’était l’université de San Fransokyo.
Je n’avais jamais eu la possibilité d’étudier dans un endroit comme celui-ci, en même temps à mon époque, ils n’existait pas autant de mondes qu’aujourd’hui. J’en déduisis donc très rapidement que pour un jeu, suivre un cursus tel que celui-ci pouvait apporter beaucoup de choses pour plus tard, comme Bisley, il avait un poste prestigieux dans une société.
Je retrouvais un autre petit robot pour pouvoir reprendre mon chemin, car j’avais réussi à me perdre, mais il était déjà occupé, et la personne avant moi cherchait le même endroit. Je préférais le suivre, ainsi je me sentirai moins seul si cette personne venait à se perdre également.
Nous arrivâmes assez rapidement à la faculté des sciences, je n’étais pas si loin que ça finalement. Devant moi de nombreux stand avec des jeunes derrière à présenter leur projet et découverte. Je restais en retrait et regardais de loin ce qu’ils proposaient. Certains voulaient mettre à jour des petits robots, ils pouvaient effectuer le même travail qu’un homme mais avec beaucoup de fatigue.
D’autres, proposaient encore des technologies similaires. Mais pour l’instant je ne trouvais aucuns jeunes pour qui j’étais venu. Je partais un peu défaitiste, à croire qu’ils ne voulaient créer que des choses pour faciliter la vie des gens. Mais fabriquer des potions et autres substances pouvant guérir ou tuer des personnes… Ça il y avait moins de mondes.
Plutôt que de continuer à chercher dans le vide, je préférais directement me renseigner. Je risquais gros en faisant cela, mais je préférais être sûr de ne pas rentrer les mains vides vers Death, ça risquerait de me retomber dessus. J’accostais un jeune homme derrière son exposé.
- Bonjour, excusez-moi de vous déranger, mais…
- Non, ils ne sont pas encore opérationnels…
- C’est bon à savoir mais, ce n’est pas pour ça que je viens vous voir.
- Et vous venez me faire chier pour quoi alors ?
- Déjà, d’une tu me parles autrement, je ne suis pas ta copine. Et de deux, si tu comptes gagner un prix un jour, ne comptes pas sur ton amabilité, ça te porterait préjudice…
- Pardon ! Ça vous va ?
- C’est déjà mieux. Avec plus de convictions, ce serait parfait.
- …
- Tu peux me renseigner ?
- Allez-y, je vous écoute.
- Est-ce qu’il y a des jeunes parmi vous qui concoctent des potions et autre remèdes de ce genre ?
- Pourquoi vous voulez savoir ça ? Ce qu’on fait c’est beaucoup plus intéressant !
- Tu as sûrement raison. Mais pas à mes yeux… Et encore moins avec un comportement comme le tiens.
- Vous savez que vous êtes une petite conne !?
- Pourquoi « petite » ?
- Au fond. Vous verrez les benêts qui se prennent pour des enchanteurs.
- Merci.
- Non, ils ne sont pas encore opérationnels…
- C’est bon à savoir mais, ce n’est pas pour ça que je viens vous voir.
- Et vous venez me faire chier pour quoi alors ?
- Déjà, d’une tu me parles autrement, je ne suis pas ta copine. Et de deux, si tu comptes gagner un prix un jour, ne comptes pas sur ton amabilité, ça te porterait préjudice…
- Pardon ! Ça vous va ?
- C’est déjà mieux. Avec plus de convictions, ce serait parfait.
- …
- Tu peux me renseigner ?
- Allez-y, je vous écoute.
- Est-ce qu’il y a des jeunes parmi vous qui concoctent des potions et autre remèdes de ce genre ?
- Pourquoi vous voulez savoir ça ? Ce qu’on fait c’est beaucoup plus intéressant !
- Tu as sûrement raison. Mais pas à mes yeux… Et encore moins avec un comportement comme le tiens.
- Vous savez que vous êtes une petite conne !?
- Pourquoi « petite » ?
- Au fond. Vous verrez les benêts qui se prennent pour des enchanteurs.
- Merci.
Je n’aime pas être agressif comme ça envers les gens, mais lui, à part deux paires de baffes, il ne méritait pas grand chose… Ou peut-être éventuellement mon pied dans ses fesses. À voir. Je m’égarais à m’imaginer le genre de sévices que je pouvais lui faire que j’atteignis enfin les « stands » où se trouvaient ces jeunes que j’étais venu voir.
Ils étaient pour beaucoup légèrement plus âgé que Milla, il devaient avoir une vingtaine d’année. Ils avaient l’air aussi légèrement fatigué, en même temps, j pouvais les comprendre, travailler sur des potions, ça ne devait pas être de tout repos.
Je restais de loin, je me cachais de ces jeunes gens en me dissimulant derrière les autres personnes qui étaient venu les voir, les laissant ainsi poser leurs questions à propos de leurs expériences et leurs savoirs, j’étais là, mais j’écoutais tout ce qu’ils avaient à dire et à démontrer.
- Bonjour messieurs, mesdames.
- Bonjour. Qu’est ce que vous avez à nous présenter ?
- Et bien nous avons réussi à concocter des potions de soin.
- Sans vouloir être offensant, c’est quelque chose que l’on peut trouver dans différentes boutiques. Vous n’avez rien de bien plus intéressant ?
- Ce ne sont pas de vulgaires potions. Elles permettent de regagner un peu de santé, « normal » me direz-vous. Mais également un peu de défense et de dextérité aussi.
- Comment vous avez réussi à faire ça ?
- Si je vous le disais, je serais obligé de vous tuer après.
- …
- C’est une blague !
- Vous me rassurez. Alors ?
- C’est un secret. Nous préférons ne pas dévoiler la préparation de touts nos résultats. Cela pourrait tomber entre de mauvaises mains et nous pourrions voir tout notre travail volé et divulgué partout et nous nous retrouverions avec… Plus rien.
- Je comprends ce que vous voulez dire.
- Et vous faites que ça ? Demandai-je tout en restant dissimulé.
- Non, nous avons réussi à réaliser d’autres potions. Mais qui ne sont pas curatives cette fois.
- Quel genre alors ?
- Et bien nous voulions voir, si le fait d’utiliser des éléments qui ne sont pas « bons » à la base pour le corps humain, pouvait être ajouté à d’autres éléments de potions de soin. Et nous avons donc réussi à créer des potions de poisons, mais également d’autres du même genre. Mais qui elles ne sont encore qui n’ont pas encore eu des résultats très concluants pour l’instant. Elles sont encore en phase d’observation.
- Ce qui veut dire que nous aurons la possibilité de les voir un jour ?
- Ça devrait pouvoir se faire. Nous travaillons avec énormément dessus.
- Bonjour. Qu’est ce que vous avez à nous présenter ?
- Et bien nous avons réussi à concocter des potions de soin.
- Sans vouloir être offensant, c’est quelque chose que l’on peut trouver dans différentes boutiques. Vous n’avez rien de bien plus intéressant ?
- Ce ne sont pas de vulgaires potions. Elles permettent de regagner un peu de santé, « normal » me direz-vous. Mais également un peu de défense et de dextérité aussi.
- Comment vous avez réussi à faire ça ?
- Si je vous le disais, je serais obligé de vous tuer après.
- …
- C’est une blague !
- Vous me rassurez. Alors ?
- C’est un secret. Nous préférons ne pas dévoiler la préparation de touts nos résultats. Cela pourrait tomber entre de mauvaises mains et nous pourrions voir tout notre travail volé et divulgué partout et nous nous retrouverions avec… Plus rien.
- Je comprends ce que vous voulez dire.
- Et vous faites que ça ? Demandai-je tout en restant dissimulé.
- Non, nous avons réussi à réaliser d’autres potions. Mais qui ne sont pas curatives cette fois.
- Quel genre alors ?
- Et bien nous voulions voir, si le fait d’utiliser des éléments qui ne sont pas « bons » à la base pour le corps humain, pouvait être ajouté à d’autres éléments de potions de soin. Et nous avons donc réussi à créer des potions de poisons, mais également d’autres du même genre. Mais qui elles ne sont encore qui n’ont pas encore eu des résultats très concluants pour l’instant. Elles sont encore en phase d’observation.
- Ce qui veut dire que nous aurons la possibilité de les voir un jour ?
- Ça devrait pouvoir se faire. Nous travaillons avec énormément dessus.
Je venais d’en apprendre pas mal sur ces éléments qui sont crées et ceux qui pourraient voir le jours peut-être très prochainement. Il ne me restait plus qu’à partir, retourner au quatrier général de la Coalition Noire et dire à Death que nous avions potentiellement trouvé quelqu’un qui pouvait correspondre à nos attentes.