Oerba, un nouveau monde, découvert depuis peu. Qui aurait crût il y a quelques années qu’il restait encore des mondes habitables inexplorés. Un monde encore vierge et sauvage, la première station de la Shin-ra avait été construite sur une grande plaine et avec elle la première tentative de colonisation des lieux. Ils regrettèrent bien vite lorsque les premiers monstres géants ont croisé le chemin de la station, écrasant toute résistance et détruisant toutes les installations d’un simple revers de patte. Les survivants affirment que ces monstres étaient aussi grands qu’un immeuble de 4 étages et deux fois plus long. Ils dirent aussi que cela ressemblait à un croisement entre un mammouth et un dinosaure au long cou.
-Des défenses leurs sortaient de la gueule. S’exclama l’un d’eux.
- Ils ne nous on pas attaqué, ils ont simplement marchaient vers nous sans nous remarqué ! Hurla un autre, encore terrorisé par ce qui lui était arrivé.
La première expédition avait été un échec total. Mais fort de sa technologie et de ces ressources, la Shin-ra ne se laissa pas abattre et tenta une deuxième fois, mais cette fois-ci, sur une falaise à surface plate assez large pour construire une station capable d’accueillir les vaisseaux et suffisamment élevée pour évité de subir un nouveau piétinement. En prévention d’éventuel nouvelle attaque de monstres, la compagnie installa de puissante tourelle de protection chargé d’abattre toutes créatures hostiles. Maintenant la descente sur la planète ce fait en deux étapes. La première consiste à se poser sur la station falaise et la deuxième de prendre une navette rapide qui quitte la station pour vous déposez un peu plus loin en contrebas de la falaise dans des avant-postes fortifié. La possibilité de prendre un véhicule motoriser pour explorer la planète est possible, mais la seule activité humaine se situe dans la Station qui fait aussi office de ville pionnière. La carte, faite par les hommes, n’allait pas plus loin qu’une centaine de kilomètre de rayon autour de la base, le reste était encore inconnu des hommes.
Même si cette zone était encore relativement calme grâce aux patrouilles de la Shin-ra, les lieux restaient encore dangereux aux abords de la Station. L’installation était dominée par de vastes plaines parsemées de petite colline et de sous-bois, la falaise étant ,sur des dizaines de kilomètres, la seule véritable « motte de terre » assez haute pour empêcher d’être piétiner, dans les plaines et les sous-bois rodent des créatures moins grandes que celle qui ont détruite la première expédition, mais encore plus dangereuse. Plus loin vers le Nord la plaine laissait sa place à une longue série de montagne escarpée au pic vertigineux qui donne l’impression de vouloir transpercer le ciel. Au Sud les terres sont remplaçaient par un vaste océan au courant agité et aux vagues indomptable. A l’Ouest une grande étendu de sable brulant et de dunes, balayaient par de puissante rafale de vent, modifiant sans cesse les lieux. Et enfin à l’Est s’étend une verdoyante forêt tropicale aux arbres aussi grands d’une montagne, l’air y est saturé d’humidité, l’endroit est si dense qu’il est difficile de se déplacer en véhicule ou même à pied.
C’est dans se monde qu’Indrick et ces hommes devaient être envoyé pour « exploration » quel drôle d’idée ! Comme si les informations que le Lieutenant avait amassées ne suffisaient pas…Bon ok ces informations étaient à la porté de n’importe qui, mais quand même ! D’abords on l’envoi dans un jeu pour enfant et maintenant on le prend pour un explorateur à la Indiana Bones (la faute est faite exprès, c’est une référence au héro et au fait qu’ils risquent de finir en tas d’os). L’ordre de mission datait seulement de se matin et ils devaient partir le lendemain. Ils sont vraiment pressés de découvrir ce monde et les richesses qu’il peut cacher…ou d’envoyer Indrick et ces hommes à la morgue. Mais il y avait beaucoup plus important pour le Lieutenant, quelque chose qui a bouleversé son quotidien, une chose au quel il ne s’attendait pas…Cela c’est produit à son retour de mission dans le jeu Hero’s Duty, alors qu’il venait de donner l’œuf à ces supérieurs. Le Soldat avait décidé de prendre un peu de bon temps en sortant en ville pour boire un coup, mais il fut interrompu à l’entré principal du Q.G par Elizabeth et Tio, la première affichant un petit sourire taquin et la seconde était plutôt dans une état de colère et d’embarras (chose assez incroyable contenu de la personne !). Les deux lui firent un salut militaire et s’exclamèrent d’une même voix.
-Bon retour parmi nous Chef !
Puis elles quittèrent le Hall d’entré rapidement. Indrick mit bien une minute à comprendre la gravité de la situation, Tio…Tio venait de lui montrer du respect ?!! Elle venait non seulement de le Saluer mais aussi de l’appeler Chef ! Tout un monde était en train de s’effondrer dans l’esprit du Lieutenant qui abandonna son idée de bar pour courir après son Sergent. Il la retrouva quelques instant plus tard, seule et se retenant de rire. Lorsqu’il lui demanda ce qui s’était passé durant son absence, Elizabeth lâcha un petit rire avant de lui expliquer la situation.
-Lorsque vous êtes intervenu sur le terrain de tire, vous avez « battu » Tio dans un combat.
-Mais ce n’était pas vraiment un combat, elle ma frappait, j’ai répliqué c’est tout.
-Peut-être, mais pour une personne comme Tio, un combat reste un combat, peu importe la situation. Elle la perdu et comme convenu elle doit maintenant vous montrez du respect et suivre vos ordres.
-Mais…Mais…
Indrick avait les yeux écarquillés, son esprit confus, elle lui avait dit de la battre au bras de fer, mais avait reconnu leur petit affrontement comme combat ? Tout était mélanger dans sa tête, il était content d’avoir enfin gagné son respect, mais il était aussi étonner de l’avoir obtenu de cette manière. Il fini par émettre un petit rire nerveux avant de laisser son subordonner et de retourné dans sa chambre pour encaisser cette information.
Plus tard dans la journée (une fois le choc digérée), le Lieutenant rassembla l’escouade dans une salle de briefing et expliqua leur mission, comme pour confirmer les dire d’Elizabeth, Tio ne fit aucun commentaire et resta silencieuse durant toute la réunion. D’ailleurs, Indrick n’avait pas trop aimé le coup que lui avait fait ces supérieurs, Ewilan et Juarez avaient été transférer dans une autre escouade pour un motif ridicule et ce fut le soldat Baird qui les remplaçait. Ils étaient 4 au lieu de 5, un soldat pour le prix de deux, le Lieutenant n’avait pas trop contesté ces ordres lorsqu’on lui indiqua gentiment (de manière sèche !) que s’il continuait ainsi, il risquait de perdre bien plus qu’un soldat.
C’est donc dans une escouade réduite qu’Indrick prit le premier vol en direction d’Oerba. Le groupe se fit passer pour un attroupement de chasseur en quête de gros gibier à afficher à leur tableau de chasse. Bien sûr les cartes d’identités étaient fausses, la seule chose véritable fût l’argent que dépensa la Coalition (sous la forme d’argent liquide confier à l’escouade) pour louer un véhicule et des provisions pour la partie de chasse. Une fois arrivée, le lieutenant fut surprit de voir autant de gens dans une station Shin-ra, bien sûr celle-ci était la premier base avancée, mais quand même. Il n’y avait pas que des Soldats et du personnel de la Shin-ra, il y avait des chasseurs de prime, des mercenaires, des hommes d’affaires entourait de garde du corps, des marchants en tout genre. Une vraie petite ville débordante d’activité, un village de pionnier qui rêvaient de pouvoir poser leur pierre à l’édifice, que ce sois pour l’argent, la gloire ou autres, ils ont tous répondu à l’appel de ce nouveau monde sauvage.
L’activité grouillante de la Station fit monté l’adrénaline d’Indrick qui pendant un court instant, se prit au jeu du chasseur à la recherche de gloire. D’ailleurs l’escouade était méconnaissable, aucuns d’eux ne portait l’uniforme de la Coalition Noirs, ressemblant à n’importe quel chasseur de prime, difficile de voir en eux les terrible soldats d’Ariez. A peine débarqué, le groupe prit une petite navette pour descendre de la falaise. Le trajet fut rapide et sans encombre, ils se posèrent dans une petite base militaire fortifiée de quelques hommes et tourelles automatique, quelques baraquements pour accueillir les soldats et des hangars contenant les véhicules de patrouille. C’était des voitures tout-terrain équipées de lumière sur le toit en plus des phares et des grosses roues solides, des plaques en acier et des grilles protéger la carcasse et les vitres de toutes agressions. Le véhicule était assez grand pour transporté 6 hommes armés, alors un groupe de 4 chasseurs, autant dire qu’ils avaient de l’espace. Une fois le véhicule payait et le matériel chargeait, le groupe ce mit en route.
Après un long et fastidieux débat pour savoir dans quel direction aller (déterminer par un vote, qui n’a servit à rien puisque ce fut une égalité parfaite pour les quatre points cardinaux). L’escouade prit la direction de l’Est, vers la forêt tropicale, la route à vol d’oiseau était d’une journée, mais en voiture, la tache était….plus compliqué. La plaine avait beau être « moins » dangereuse que le reste, ils durant affronté de nombreux chemin tortueux et de détour sans fin pour évité crevasse et troupeau de monstres. La nuit était tombée depuis plus d’une heure lorsqu’ils quittèrent la zone dite « sécuriser », la plaine devait continuer encore un moment avant de laisser place à la luxuriante forêt dont ils avaient entendu parler. Deux heures plus tard ils installèrent leurs campement à l’orée d’un sous-bois, cachant le feu derrière un mur de pierre, la troupe ce contenta des provisions apportés, et lorsque le repas fut terminer, Indrick fit le point avec ces hommes.
-A partir d’ici nous somme en territoire inconnu, aucune carte ne va aussi loin, il nous faudra donc partir à l’aveuglette, nous avons de quoi tenir une semaine en ration, essence et munitions alors évitant de gaspiller, a partir de demain nous allons chasser pour économiser. D’après ce que j’ai vu tout à l’heure sur la colline, nous somme encore loin de la zone, si tout se passe bien j’estime notre arrivé à demain en fin d’après-midi.
Une fois la réunion terminer et les tours de gardes donnée, le campement s’endormit peu à peu, bercer par le bruit du vent dans les arbres et les animaux nocturnes.
La nuit était bien entamer lorsqu’Indrick (qui était de garde), remarqua quelque chose d’anormale, adosser à un arbre face à la plaine, il remarqua des mouvements dans la pénombre, le ciel s’était couvert et la clarté de la lune avait disparut. Sans attendre Indrick arma son fusil et alimenta le feu, une bourrasque de vent se mit à soufflet et le Lieutenant dût ce protéger les yeux. Lorsque le vent se calma et qu’Indrick put de nouveau lever les yeux, celui-ci resta pétrifier par ce qui…l’observait ! Deux grands yeux argenté le fixé depuis les ténèbres de la nuit et le pire c’était qu’ils se trouvaient à hauteur d’homme ! Qu’est ce que cela voulait bien dire ! Le soldat n’eut pas le temps de réfléchir à ça plus longtemps qu’un coup à l’arrière de son crane lui fit perdre connaissance.
Le lieutenant était dans un état second, il avait l’impression qu’on le déplacer, il ouvrir les yeux et fut éblouit par la lumière de torche qui l’entourait, il ne voyait pas bien qui l’avait attrapé, ils n’étaient que des ombres pour lui, puis un nouveau mal de crâne le prit et il replongea dans l’inconscience. Le deuxième réveil fut plus douloureux que le premier, l’état second étant partit, Indrick se retrouva avec un terrible mal de tête, massant sa tête pour essayer en vain d’atténuer la douleur. Le soldat remarqua qu’il avait les mains attaché (adieu le massage), il entendit des grognements animaux et lorsqu’il leva la tête pour voir ce qui les poussait, il en resta sans voix. D’abords le lieu une espèce de grande salle en pierre, l’endroit était délabré et plusieurs lianes et branches remplissait la salle, ensuite ce fut les propriétaires des lieux qui lui tirèrent une grimace de surprise. Grand, presque 2 mètres, debout sur deux jambes, le corps musclé pour la plupart, portant des armures de peaux et des armes en bois ou pierre, leurs corps étaient recouvert de poils brun, noir, orange ! Pire ! Ce n’était pas humain ! Ils ressemblaient plus à des gorilles ! Des humanoïdes gorilles !
Le gorille qui faisait face à Indrick était encore plus grand que les autres, mais c’était le seul au pelage d’un blanc presque argenté, il ne portait pas d’armure, mais une série de ceinture étaient attaché au tour de son torse d’où pendaient différentes décoration et autres grigris. Son arme était un impressionnant marteau de guerre à deux main en bois massif avec une énorme pierre polit à son extrémité, le tout sculpté de dessin tribal et autres symboles. Lorsque la petite assemblé prit conscience du réveil de leur prisonnier, ceux-cirent ce turent et observèrent le gorille argenté, celui-ci d’ailleurs s’assit sur un trône en pierre avant de frotté ce qui semblait être une barbichette.
-Qui être animal maintenant ?
La phrase, bien qu’exprimait calmement, relevait plus de la moquerie que de l’interrogation. Le lieutenant fut surprit que cette créature s’exprime dans sa langue même si la construction des phrases étaient encore à revoir. Comme si le gorille avait lu son esprit, il afficha un sourire avant de continuer, sous les rires des autres monstres.
-Toi pensé nous être créature stupide ? Que nous pas assez intelligent pour apprendre langue à toi ? Mais toi te trompe, nous vous avoir vu arriver sur grande pierre qui vole, nous avoir observe vous, nous apprendre, nous comprendre vous, mais nous pas montrer, nous savoir que si nous montrer, vous tuer nous, comme vous faire avec Hum’chak et bien d’autres.
L’homme avait comprit la plus grande partit de ce que venait de dire le gorille blanc, mais il ne voyait pas ou il voulait en venir. La créature parler surement des monstres que les soldats de la Shin-ra repoussait lorsque ceux-ci s’approchaient trop près de la station.
-Pourquoi m’avoir capturé ?
-Nous vouloir bâton de feu et tonnerre et cheval de fer pour faire la guerre, nous vouloirs vos armes pour combattre Homme-cheval.
-Homme-Cheval ?
-Oui, nous les appeler Krit’Cragn, mais dans langue à vous, ça être Homme-cheval.
-Et pourquoi je devrai vous aidez ?
-Si toi aider nous, nous aider toi, nous donner guerrier fort, nous vous apprendre comment survivre dans planète.
Quel drôle de situation dans laquelle se retrouver le Lieutenant, mais il pouvait peut-être en tiré quelque chose.
-Très bien, mais vous devez savoir que dans le camp des Humains, il y a d’autres clan, je fait partit du plus fort celui de la Coalition Noirs, je ne peut pas vous offrir ce que vous demandez, mais si vous me libérer, et que vous jurez de servir la Coalition Noirs, nous vous enverrons autant d’armes et de chevaux de fer que vous voulez.
-Nous te libérer, mais nous attendre armes avant de sceller pacte. Toi dire à ton chef d’envoyer armes à endroit où toi va être. Rappel toi Humain, les Brutes pas aimer être trahis.
Sans laisser le temps au Soldat de répondre, un Gorille le refrappa violemment à l’arrière de la tête. Lorsqu’il reprit connaissance, la journée était encore jeune, un nouveau mal de crâne le prit et lorsqu’il se leva il vit qu’il était juste à côté de son campement qui d’ailleurs grouillait d’activité. Quand Indrick sortit du sous-bois, il fut accueillit par un flot de questions de la part d’Elizabeth qui avait réveillé tout le monde pour partir à sa rechercher.
-Je vais tout vous raconté, mais ça risque de vous surprendre, ce monde à encore beaucoup de chose à nous faire découvrir.
Mer 18 Juin 2014 - 7:02-Des défenses leurs sortaient de la gueule. S’exclama l’un d’eux.
- Ils ne nous on pas attaqué, ils ont simplement marchaient vers nous sans nous remarqué ! Hurla un autre, encore terrorisé par ce qui lui était arrivé.
La première expédition avait été un échec total. Mais fort de sa technologie et de ces ressources, la Shin-ra ne se laissa pas abattre et tenta une deuxième fois, mais cette fois-ci, sur une falaise à surface plate assez large pour construire une station capable d’accueillir les vaisseaux et suffisamment élevée pour évité de subir un nouveau piétinement. En prévention d’éventuel nouvelle attaque de monstres, la compagnie installa de puissante tourelle de protection chargé d’abattre toutes créatures hostiles. Maintenant la descente sur la planète ce fait en deux étapes. La première consiste à se poser sur la station falaise et la deuxième de prendre une navette rapide qui quitte la station pour vous déposez un peu plus loin en contrebas de la falaise dans des avant-postes fortifié. La possibilité de prendre un véhicule motoriser pour explorer la planète est possible, mais la seule activité humaine se situe dans la Station qui fait aussi office de ville pionnière. La carte, faite par les hommes, n’allait pas plus loin qu’une centaine de kilomètre de rayon autour de la base, le reste était encore inconnu des hommes.
Même si cette zone était encore relativement calme grâce aux patrouilles de la Shin-ra, les lieux restaient encore dangereux aux abords de la Station. L’installation était dominée par de vastes plaines parsemées de petite colline et de sous-bois, la falaise étant ,sur des dizaines de kilomètres, la seule véritable « motte de terre » assez haute pour empêcher d’être piétiner, dans les plaines et les sous-bois rodent des créatures moins grandes que celle qui ont détruite la première expédition, mais encore plus dangereuse. Plus loin vers le Nord la plaine laissait sa place à une longue série de montagne escarpée au pic vertigineux qui donne l’impression de vouloir transpercer le ciel. Au Sud les terres sont remplaçaient par un vaste océan au courant agité et aux vagues indomptable. A l’Ouest une grande étendu de sable brulant et de dunes, balayaient par de puissante rafale de vent, modifiant sans cesse les lieux. Et enfin à l’Est s’étend une verdoyante forêt tropicale aux arbres aussi grands d’une montagne, l’air y est saturé d’humidité, l’endroit est si dense qu’il est difficile de se déplacer en véhicule ou même à pied.
C’est dans se monde qu’Indrick et ces hommes devaient être envoyé pour « exploration » quel drôle d’idée ! Comme si les informations que le Lieutenant avait amassées ne suffisaient pas…Bon ok ces informations étaient à la porté de n’importe qui, mais quand même ! D’abords on l’envoi dans un jeu pour enfant et maintenant on le prend pour un explorateur à la Indiana Bones (la faute est faite exprès, c’est une référence au héro et au fait qu’ils risquent de finir en tas d’os). L’ordre de mission datait seulement de se matin et ils devaient partir le lendemain. Ils sont vraiment pressés de découvrir ce monde et les richesses qu’il peut cacher…ou d’envoyer Indrick et ces hommes à la morgue. Mais il y avait beaucoup plus important pour le Lieutenant, quelque chose qui a bouleversé son quotidien, une chose au quel il ne s’attendait pas…Cela c’est produit à son retour de mission dans le jeu Hero’s Duty, alors qu’il venait de donner l’œuf à ces supérieurs. Le Soldat avait décidé de prendre un peu de bon temps en sortant en ville pour boire un coup, mais il fut interrompu à l’entré principal du Q.G par Elizabeth et Tio, la première affichant un petit sourire taquin et la seconde était plutôt dans une état de colère et d’embarras (chose assez incroyable contenu de la personne !). Les deux lui firent un salut militaire et s’exclamèrent d’une même voix.
-Bon retour parmi nous Chef !
Puis elles quittèrent le Hall d’entré rapidement. Indrick mit bien une minute à comprendre la gravité de la situation, Tio…Tio venait de lui montrer du respect ?!! Elle venait non seulement de le Saluer mais aussi de l’appeler Chef ! Tout un monde était en train de s’effondrer dans l’esprit du Lieutenant qui abandonna son idée de bar pour courir après son Sergent. Il la retrouva quelques instant plus tard, seule et se retenant de rire. Lorsqu’il lui demanda ce qui s’était passé durant son absence, Elizabeth lâcha un petit rire avant de lui expliquer la situation.
-Lorsque vous êtes intervenu sur le terrain de tire, vous avez « battu » Tio dans un combat.
-Mais ce n’était pas vraiment un combat, elle ma frappait, j’ai répliqué c’est tout.
-Peut-être, mais pour une personne comme Tio, un combat reste un combat, peu importe la situation. Elle la perdu et comme convenu elle doit maintenant vous montrez du respect et suivre vos ordres.
-Mais…Mais…
Indrick avait les yeux écarquillés, son esprit confus, elle lui avait dit de la battre au bras de fer, mais avait reconnu leur petit affrontement comme combat ? Tout était mélanger dans sa tête, il était content d’avoir enfin gagné son respect, mais il était aussi étonner de l’avoir obtenu de cette manière. Il fini par émettre un petit rire nerveux avant de laisser son subordonner et de retourné dans sa chambre pour encaisser cette information.
Plus tard dans la journée (une fois le choc digérée), le Lieutenant rassembla l’escouade dans une salle de briefing et expliqua leur mission, comme pour confirmer les dire d’Elizabeth, Tio ne fit aucun commentaire et resta silencieuse durant toute la réunion. D’ailleurs, Indrick n’avait pas trop aimé le coup que lui avait fait ces supérieurs, Ewilan et Juarez avaient été transférer dans une autre escouade pour un motif ridicule et ce fut le soldat Baird qui les remplaçait. Ils étaient 4 au lieu de 5, un soldat pour le prix de deux, le Lieutenant n’avait pas trop contesté ces ordres lorsqu’on lui indiqua gentiment (de manière sèche !) que s’il continuait ainsi, il risquait de perdre bien plus qu’un soldat.
C’est donc dans une escouade réduite qu’Indrick prit le premier vol en direction d’Oerba. Le groupe se fit passer pour un attroupement de chasseur en quête de gros gibier à afficher à leur tableau de chasse. Bien sûr les cartes d’identités étaient fausses, la seule chose véritable fût l’argent que dépensa la Coalition (sous la forme d’argent liquide confier à l’escouade) pour louer un véhicule et des provisions pour la partie de chasse. Une fois arrivée, le lieutenant fut surprit de voir autant de gens dans une station Shin-ra, bien sûr celle-ci était la premier base avancée, mais quand même. Il n’y avait pas que des Soldats et du personnel de la Shin-ra, il y avait des chasseurs de prime, des mercenaires, des hommes d’affaires entourait de garde du corps, des marchants en tout genre. Une vraie petite ville débordante d’activité, un village de pionnier qui rêvaient de pouvoir poser leur pierre à l’édifice, que ce sois pour l’argent, la gloire ou autres, ils ont tous répondu à l’appel de ce nouveau monde sauvage.
L’activité grouillante de la Station fit monté l’adrénaline d’Indrick qui pendant un court instant, se prit au jeu du chasseur à la recherche de gloire. D’ailleurs l’escouade était méconnaissable, aucuns d’eux ne portait l’uniforme de la Coalition Noirs, ressemblant à n’importe quel chasseur de prime, difficile de voir en eux les terrible soldats d’Ariez. A peine débarqué, le groupe prit une petite navette pour descendre de la falaise. Le trajet fut rapide et sans encombre, ils se posèrent dans une petite base militaire fortifiée de quelques hommes et tourelles automatique, quelques baraquements pour accueillir les soldats et des hangars contenant les véhicules de patrouille. C’était des voitures tout-terrain équipées de lumière sur le toit en plus des phares et des grosses roues solides, des plaques en acier et des grilles protéger la carcasse et les vitres de toutes agressions. Le véhicule était assez grand pour transporté 6 hommes armés, alors un groupe de 4 chasseurs, autant dire qu’ils avaient de l’espace. Une fois le véhicule payait et le matériel chargeait, le groupe ce mit en route.
Après un long et fastidieux débat pour savoir dans quel direction aller (déterminer par un vote, qui n’a servit à rien puisque ce fut une égalité parfaite pour les quatre points cardinaux). L’escouade prit la direction de l’Est, vers la forêt tropicale, la route à vol d’oiseau était d’une journée, mais en voiture, la tache était….plus compliqué. La plaine avait beau être « moins » dangereuse que le reste, ils durant affronté de nombreux chemin tortueux et de détour sans fin pour évité crevasse et troupeau de monstres. La nuit était tombée depuis plus d’une heure lorsqu’ils quittèrent la zone dite « sécuriser », la plaine devait continuer encore un moment avant de laisser place à la luxuriante forêt dont ils avaient entendu parler. Deux heures plus tard ils installèrent leurs campement à l’orée d’un sous-bois, cachant le feu derrière un mur de pierre, la troupe ce contenta des provisions apportés, et lorsque le repas fut terminer, Indrick fit le point avec ces hommes.
-A partir d’ici nous somme en territoire inconnu, aucune carte ne va aussi loin, il nous faudra donc partir à l’aveuglette, nous avons de quoi tenir une semaine en ration, essence et munitions alors évitant de gaspiller, a partir de demain nous allons chasser pour économiser. D’après ce que j’ai vu tout à l’heure sur la colline, nous somme encore loin de la zone, si tout se passe bien j’estime notre arrivé à demain en fin d’après-midi.
Une fois la réunion terminer et les tours de gardes donnée, le campement s’endormit peu à peu, bercer par le bruit du vent dans les arbres et les animaux nocturnes.
La nuit était bien entamer lorsqu’Indrick (qui était de garde), remarqua quelque chose d’anormale, adosser à un arbre face à la plaine, il remarqua des mouvements dans la pénombre, le ciel s’était couvert et la clarté de la lune avait disparut. Sans attendre Indrick arma son fusil et alimenta le feu, une bourrasque de vent se mit à soufflet et le Lieutenant dût ce protéger les yeux. Lorsque le vent se calma et qu’Indrick put de nouveau lever les yeux, celui-ci resta pétrifier par ce qui…l’observait ! Deux grands yeux argenté le fixé depuis les ténèbres de la nuit et le pire c’était qu’ils se trouvaient à hauteur d’homme ! Qu’est ce que cela voulait bien dire ! Le soldat n’eut pas le temps de réfléchir à ça plus longtemps qu’un coup à l’arrière de son crane lui fit perdre connaissance.
Le lieutenant était dans un état second, il avait l’impression qu’on le déplacer, il ouvrir les yeux et fut éblouit par la lumière de torche qui l’entourait, il ne voyait pas bien qui l’avait attrapé, ils n’étaient que des ombres pour lui, puis un nouveau mal de crâne le prit et il replongea dans l’inconscience. Le deuxième réveil fut plus douloureux que le premier, l’état second étant partit, Indrick se retrouva avec un terrible mal de tête, massant sa tête pour essayer en vain d’atténuer la douleur. Le soldat remarqua qu’il avait les mains attaché (adieu le massage), il entendit des grognements animaux et lorsqu’il leva la tête pour voir ce qui les poussait, il en resta sans voix. D’abords le lieu une espèce de grande salle en pierre, l’endroit était délabré et plusieurs lianes et branches remplissait la salle, ensuite ce fut les propriétaires des lieux qui lui tirèrent une grimace de surprise. Grand, presque 2 mètres, debout sur deux jambes, le corps musclé pour la plupart, portant des armures de peaux et des armes en bois ou pierre, leurs corps étaient recouvert de poils brun, noir, orange ! Pire ! Ce n’était pas humain ! Ils ressemblaient plus à des gorilles ! Des humanoïdes gorilles !
Le gorille qui faisait face à Indrick était encore plus grand que les autres, mais c’était le seul au pelage d’un blanc presque argenté, il ne portait pas d’armure, mais une série de ceinture étaient attaché au tour de son torse d’où pendaient différentes décoration et autres grigris. Son arme était un impressionnant marteau de guerre à deux main en bois massif avec une énorme pierre polit à son extrémité, le tout sculpté de dessin tribal et autres symboles. Lorsque la petite assemblé prit conscience du réveil de leur prisonnier, ceux-cirent ce turent et observèrent le gorille argenté, celui-ci d’ailleurs s’assit sur un trône en pierre avant de frotté ce qui semblait être une barbichette.
-Qui être animal maintenant ?
La phrase, bien qu’exprimait calmement, relevait plus de la moquerie que de l’interrogation. Le lieutenant fut surprit que cette créature s’exprime dans sa langue même si la construction des phrases étaient encore à revoir. Comme si le gorille avait lu son esprit, il afficha un sourire avant de continuer, sous les rires des autres monstres.
-Toi pensé nous être créature stupide ? Que nous pas assez intelligent pour apprendre langue à toi ? Mais toi te trompe, nous vous avoir vu arriver sur grande pierre qui vole, nous avoir observe vous, nous apprendre, nous comprendre vous, mais nous pas montrer, nous savoir que si nous montrer, vous tuer nous, comme vous faire avec Hum’chak et bien d’autres.
L’homme avait comprit la plus grande partit de ce que venait de dire le gorille blanc, mais il ne voyait pas ou il voulait en venir. La créature parler surement des monstres que les soldats de la Shin-ra repoussait lorsque ceux-ci s’approchaient trop près de la station.
-Pourquoi m’avoir capturé ?
-Nous vouloir bâton de feu et tonnerre et cheval de fer pour faire la guerre, nous vouloirs vos armes pour combattre Homme-cheval.
-Homme-Cheval ?
-Oui, nous les appeler Krit’Cragn, mais dans langue à vous, ça être Homme-cheval.
-Et pourquoi je devrai vous aidez ?
-Si toi aider nous, nous aider toi, nous donner guerrier fort, nous vous apprendre comment survivre dans planète.
Quel drôle de situation dans laquelle se retrouver le Lieutenant, mais il pouvait peut-être en tiré quelque chose.
-Très bien, mais vous devez savoir que dans le camp des Humains, il y a d’autres clan, je fait partit du plus fort celui de la Coalition Noirs, je ne peut pas vous offrir ce que vous demandez, mais si vous me libérer, et que vous jurez de servir la Coalition Noirs, nous vous enverrons autant d’armes et de chevaux de fer que vous voulez.
-Nous te libérer, mais nous attendre armes avant de sceller pacte. Toi dire à ton chef d’envoyer armes à endroit où toi va être. Rappel toi Humain, les Brutes pas aimer être trahis.
Sans laisser le temps au Soldat de répondre, un Gorille le refrappa violemment à l’arrière de la tête. Lorsqu’il reprit connaissance, la journée était encore jeune, un nouveau mal de crâne le prit et lorsqu’il se leva il vit qu’il était juste à côté de son campement qui d’ailleurs grouillait d’activité. Quand Indrick sortit du sous-bois, il fut accueillit par un flot de questions de la part d’Elizabeth qui avait réveillé tout le monde pour partir à sa rechercher.
-Je vais tout vous raconté, mais ça risque de vous surprendre, ce monde à encore beaucoup de chose à nous faire découvrir.