Des piles de documents étaient étalés sur une table de verre, il y en avait tellement que cela gerbait jusque sur le sol. Qina’ran était entre les feuillets, endormi, ou plutôt assoupi et vidé de toute son énergie. On lui avait demandé de se renseigner sur le don dont il était l’un des représentant. En cherchant dans les archives, en demandant un peu pataud le sujet de ses investigations, ce n’est pas une poignée de publications mais des tonzes d’ouvrages, témoignages et notes récoltées de par les mondes. Apparemment, on avait peut-être mal compris l’objet de sa requête puisque ce sont des multitudes de documents regroupant ou synthétisant des magies, des arts obscures ou même des livres de sorts qu’on lui avait tendu avec un certains ravissement, qu’il ne pouvait répondre qu’avec un sourire jaune en voyant la montagne de travail qui l’attendait.
Il était en quête de réponses sur un savoir-faire dangereux, sur le papier ça l’émoustillait. Or, on devait le prendre pour un débutant ou un vulgaire étudiant en magie, ce qui l’avait déjà gonflé au possible.
Des traités parlant de la dénomination des différentes types de magies, la catégorisation des sortilèges bienfaisants ou malfaisants, des espèces de formules rimant les unes avec les autres. Ça le saoulait littéralement. Tout cela n’était que de la paperasse sans importance, même si avec un certains recul, c’était intéressant de savoir comment un sort était crée de A à Z, l’énergie qu’il fallait puiser, les bons mots pour en incanter quelques-uns et surtout le pourquoi du comment cela était nécessaire de créer un tel sort en particulier. Tout comme dans le commerce, il devait y avoir une demande voir une offre. Certains étant innés bien sûr et apparaissant aussi fortuitement qu’une éruption acnéique ou dans des situations extrêmes. On ne peut pas apparaître devant une force supérieur et lui demander de créer un sort par envie ou par caprice.
Il était plus intéressé en lisant les lignes de certains mages se découvrant des capacités magiques brusquement face au danger ou la perte d’un être cher, car c’était écris comme un véritable roman. Des comme ça, il y en avait un bon paquet, le miqo’te touché par ces histoires poignantes raconté avec un certains vécu.
Alors que le reste, il s’en battait royalement les steaks, de l’administratif et rien de plus.
Ce n’est que lorsqu’il était en train de sommeiller en bavant sur un espèce de bestiaire que des petits bruits se firent entendre au loin. On aurait dit des couinements d’un jouet en caoutchouc, juste avant que sa chaise se fasse bousculer. Un petit être de poil volant ornant un pompon était apparu devant lui en portant une grosse sacoche, comme si il avait du mal à voler avec.
Ah bah quand même ! Kupo !
Oh bordel c’est quoi ça ?! Qu’est-ce que c’est ?! J’étais en train de dormir ! Enfin… Des bosser quoi !
Pardon de vous déranger, mais ça fait des heures que je vous cherche ! Du courrier pour monsieur Qui… Quinathan… Une lettre pour vous, kupo !
Des lettres ? On peut pas recevoir ça sur le gummiphone comme tout les monde j’sais pas moi ? Et il y en a trois en plus !
Monsieur, un peu de respect pour le service des mogs postiers ! Non mais j’vous jure, kupo ! Ces gens de la Shinra là…
La véritable peluche postière, après avoir balancé les trois lettres au visage de Qina’ran comme un combo aérien dans sa face, ce dernier s’était envolé en maugréant des insultes et des consternations, malgré l’énorme professionnalisme de cette petite bête.
De curieuses missives, les lettres en question qu’on lui avait envoyé n’avait pas d’adresse d’expéditeur, juste le nom du destinataire. En ouvrant le premier pli jaune pâle, il y avait une grande feuille encadrée par des rayures rouges et blanches comme si il s’agissait d’une publicité un peu trop sérieuse, du genre pour les voyages stellaires ou une connerie du genre.
Vous êtes le grand gagnant de notre jeu concours… Une chance de gagner dix milles munnies… Ouais c’est d’la merde quoi. Et ensuite ?
L’autre lettre en revanche était bien plus élaborée. Le papier avait l’air un peu plus ancien, couleur saumon et, chose étrange, il était très doux au toucher. Cette sensation satisfaisante de caresser un papier qui a l’air vieux mais en sort presque de la presse avec une espèce d’aspérité pareil à du marbre chaud. Ce véritable billet était aussi parfumé, dégageant une odeur qui enveloppa ses narines la première inspiration. Il avait l’impression qu’on avait enlevé la peau d’une mandarine pas trop acide, avec des fragrances de jasmin ou quelque chose du genre. Chose encore plus étonnante : il connaissait ce parfum ! Mais il ne le reconnaissait pas pour autant. Il avait déjà respiré cette odeur charmante et relaxante, mais pas moyen de se souvenir d’où exactement.
Merci pour votre fidélité aux termes de Thèbes… Wow ! Oula, j’espère que personne va tomber sur celle-là. Si c’est bon, je m’en souviens.
Il était rouge comme une tomate. Le dernier message était un peu plus sobre . Mais on le découvrant, c’était un véritable pavé devant ses yeux.
Je te quitte… T’es vraiment qu’un muffle… Connard… Mais je sais même pas c’est qui là ! Y a même pas de noms ! En plus, je sors avec personne que je sache. Qu’est-ce que c’est ces conneries ?!
Il était en quête de réponses sur un savoir-faire dangereux, sur le papier ça l’émoustillait. Or, on devait le prendre pour un débutant ou un vulgaire étudiant en magie, ce qui l’avait déjà gonflé au possible.
Des traités parlant de la dénomination des différentes types de magies, la catégorisation des sortilèges bienfaisants ou malfaisants, des espèces de formules rimant les unes avec les autres. Ça le saoulait littéralement. Tout cela n’était que de la paperasse sans importance, même si avec un certains recul, c’était intéressant de savoir comment un sort était crée de A à Z, l’énergie qu’il fallait puiser, les bons mots pour en incanter quelques-uns et surtout le pourquoi du comment cela était nécessaire de créer un tel sort en particulier. Tout comme dans le commerce, il devait y avoir une demande voir une offre. Certains étant innés bien sûr et apparaissant aussi fortuitement qu’une éruption acnéique ou dans des situations extrêmes. On ne peut pas apparaître devant une force supérieur et lui demander de créer un sort par envie ou par caprice.
Il était plus intéressé en lisant les lignes de certains mages se découvrant des capacités magiques brusquement face au danger ou la perte d’un être cher, car c’était écris comme un véritable roman. Des comme ça, il y en avait un bon paquet, le miqo’te touché par ces histoires poignantes raconté avec un certains vécu.
Alors que le reste, il s’en battait royalement les steaks, de l’administratif et rien de plus.
Ce n’est que lorsqu’il était en train de sommeiller en bavant sur un espèce de bestiaire que des petits bruits se firent entendre au loin. On aurait dit des couinements d’un jouet en caoutchouc, juste avant que sa chaise se fasse bousculer. Un petit être de poil volant ornant un pompon était apparu devant lui en portant une grosse sacoche, comme si il avait du mal à voler avec.
Ah bah quand même ! Kupo !
Oh bordel c’est quoi ça ?! Qu’est-ce que c’est ?! J’étais en train de dormir ! Enfin… Des bosser quoi !
Pardon de vous déranger, mais ça fait des heures que je vous cherche ! Du courrier pour monsieur Qui… Quinathan… Une lettre pour vous, kupo !
Des lettres ? On peut pas recevoir ça sur le gummiphone comme tout les monde j’sais pas moi ? Et il y en a trois en plus !
Monsieur, un peu de respect pour le service des mogs postiers ! Non mais j’vous jure, kupo ! Ces gens de la Shinra là…
La véritable peluche postière, après avoir balancé les trois lettres au visage de Qina’ran comme un combo aérien dans sa face, ce dernier s’était envolé en maugréant des insultes et des consternations, malgré l’énorme professionnalisme de cette petite bête.
De curieuses missives, les lettres en question qu’on lui avait envoyé n’avait pas d’adresse d’expéditeur, juste le nom du destinataire. En ouvrant le premier pli jaune pâle, il y avait une grande feuille encadrée par des rayures rouges et blanches comme si il s’agissait d’une publicité un peu trop sérieuse, du genre pour les voyages stellaires ou une connerie du genre.
Vous êtes le grand gagnant de notre jeu concours… Une chance de gagner dix milles munnies… Ouais c’est d’la merde quoi. Et ensuite ?
L’autre lettre en revanche était bien plus élaborée. Le papier avait l’air un peu plus ancien, couleur saumon et, chose étrange, il était très doux au toucher. Cette sensation satisfaisante de caresser un papier qui a l’air vieux mais en sort presque de la presse avec une espèce d’aspérité pareil à du marbre chaud. Ce véritable billet était aussi parfumé, dégageant une odeur qui enveloppa ses narines la première inspiration. Il avait l’impression qu’on avait enlevé la peau d’une mandarine pas trop acide, avec des fragrances de jasmin ou quelque chose du genre. Chose encore plus étonnante : il connaissait ce parfum ! Mais il ne le reconnaissait pas pour autant. Il avait déjà respiré cette odeur charmante et relaxante, mais pas moyen de se souvenir d’où exactement.
Merci pour votre fidélité aux termes de Thèbes… Wow ! Oula, j’espère que personne va tomber sur celle-là. Si c’est bon, je m’en souviens.
Il était rouge comme une tomate. Le dernier message était un peu plus sobre . Mais on le découvrant, c’était un véritable pavé devant ses yeux.
Je te quitte… T’es vraiment qu’un muffle… Connard… Mais je sais même pas c’est qui là ! Y a même pas de noms ! En plus, je sors avec personne que je sache. Qu’est-ce que c’est ces conneries ?!