Nous étions installés depuis peut-être une bonne demie heure lorsque nous eûmes des nouvelles venant de Ruluf et de Mid. Comme à mon habitude, je portais mon index à mon oreille pour activer la communication.
Monsieur, rien à signaler à l’intérieur. A part une boite un peu bizarre.
Une boîte un peu bizarre ? Expliquez vous.
Ben… au fond du batiment, y’a une boite, un coffre, comme vous voulez.
Quelle taille ?
Moyenne ? Ça pourrait contenir des armes, des provisions, … une bombe.
Ou un mec.
Je t’ai déjà dit que c’était pas possible de rentrer un mec là dedans à moins de le découper.
Vous êtes désaturés, de toutes façons. Ouvrez-là.
Quelques secondes passent, j’entends une voix qui n’est ni celle de Mid, ni celle de Ruluf.
On est désaturés mec, tu vas rien faire. Demande de renforts à l’intérieur.
J’ai à peine le temps d’ouvrir la bouche que je vois déjà les Turks présents dans la cour se diriger vers l’intérieur du bâtiment. Je me lève et les rejoints, et ensemble nous progressons à l’intérieur de la serre. Nous prenons un chemin, puis un autre et arrivons finalement à l’étage le plus bas du bâtiment. Je vois Ruluf et Mid aux prises avec un homme, porteur de keyblade.
Les Turks dégainent tous leurs armes et les braquent en direction du nouvel arrivant. Je décide de ne pas m’approcher, et les laisse faire leur travail. Balto s’avance peut-être un peu trop, je comprends ce qu’il veut faire, il veut le maîtriser mais nous n’avons pas assez d’informations sur notre ennemi pour nous autoriser ce genre de négligences. Il se saisit du bras de Balto, vient le plaquer dans son dos et lui arrache son arme avant de lui tirer deux balles dans la nuque.
Tout les agents présents ouvrent le feu sur notre nouvel ennemi. Celui-ci saute, roule et semble danser autour des balles que nous lui tirons. Je récupère une poignée de cartouches dans la poche de ma veste, j’en entends plusieurs tomber au sol alors que d’un coup sec j’ouvre mon arme. Je fourre deux munitions et je m’empresse de la pointer en direction de notre ennemi. Je tire une fois, et je le vois se stopper l’espace d’un instant, les chairs de sa jambe déchirées par le tir.
Maur fonce dessus et le percute d’un coup d’épaule ce qui le fait chuter au sol. Il se positionne au dessus de lui et arme son poing, prêt à l’abattre sur son visage à plusieurs reprises. Le jeune homme ne se laisse pourtant pas faire et l’attrape par le col avant de… lui mordre le cou, lui arrachant une boule de chair. Il se redresse, porte ses mains à sa blessure et titube. Le sang coule de sa plaie et vient souiller ses vêtements. Il tombe finalement à genoux, et face contre terre.
Je profite du temps mort et de la blessure précédemment infligée au porteur de keyblade pour m’avancer d’une glissade. Je lève mon arme en direction de sa tête et tire un dernier coup. Ses couleurs s’évaporent en même temps qu’il arrête de gesticuler. Je me retourne vers les Turks restants. Deux pertes idiotes.
Jetez moi ça dehors et ramenez tout le matériel à l’intérieur. La voie est libre.
Dim 28 Fév 2021 - 18:44Monsieur, rien à signaler à l’intérieur. A part une boite un peu bizarre.
Une boîte un peu bizarre ? Expliquez vous.
Ben… au fond du batiment, y’a une boite, un coffre, comme vous voulez.
Quelle taille ?
Moyenne ? Ça pourrait contenir des armes, des provisions, … une bombe.
Ou un mec.
Je t’ai déjà dit que c’était pas possible de rentrer un mec là dedans à moins de le découper.
Vous êtes désaturés, de toutes façons. Ouvrez-là.
Quelques secondes passent, j’entends une voix qui n’est ni celle de Mid, ni celle de Ruluf.
On est désaturés mec, tu vas rien faire. Demande de renforts à l’intérieur.
J’ai à peine le temps d’ouvrir la bouche que je vois déjà les Turks présents dans la cour se diriger vers l’intérieur du bâtiment. Je me lève et les rejoints, et ensemble nous progressons à l’intérieur de la serre. Nous prenons un chemin, puis un autre et arrivons finalement à l’étage le plus bas du bâtiment. Je vois Ruluf et Mid aux prises avec un homme, porteur de keyblade.
Les Turks dégainent tous leurs armes et les braquent en direction du nouvel arrivant. Je décide de ne pas m’approcher, et les laisse faire leur travail. Balto s’avance peut-être un peu trop, je comprends ce qu’il veut faire, il veut le maîtriser mais nous n’avons pas assez d’informations sur notre ennemi pour nous autoriser ce genre de négligences. Il se saisit du bras de Balto, vient le plaquer dans son dos et lui arrache son arme avant de lui tirer deux balles dans la nuque.
Tout les agents présents ouvrent le feu sur notre nouvel ennemi. Celui-ci saute, roule et semble danser autour des balles que nous lui tirons. Je récupère une poignée de cartouches dans la poche de ma veste, j’en entends plusieurs tomber au sol alors que d’un coup sec j’ouvre mon arme. Je fourre deux munitions et je m’empresse de la pointer en direction de notre ennemi. Je tire une fois, et je le vois se stopper l’espace d’un instant, les chairs de sa jambe déchirées par le tir.
Maur fonce dessus et le percute d’un coup d’épaule ce qui le fait chuter au sol. Il se positionne au dessus de lui et arme son poing, prêt à l’abattre sur son visage à plusieurs reprises. Le jeune homme ne se laisse pourtant pas faire et l’attrape par le col avant de… lui mordre le cou, lui arrachant une boule de chair. Il se redresse, porte ses mains à sa blessure et titube. Le sang coule de sa plaie et vient souiller ses vêtements. Il tombe finalement à genoux, et face contre terre.
Je profite du temps mort et de la blessure précédemment infligée au porteur de keyblade pour m’avancer d’une glissade. Je lève mon arme en direction de sa tête et tire un dernier coup. Ses couleurs s’évaporent en même temps qu’il arrête de gesticuler. Je me retourne vers les Turks restants. Deux pertes idiotes.
Jetez moi ça dehors et ramenez tout le matériel à l’intérieur. La voie est libre.