Tout ce que l'on entend, c'est le bruit crépitant de quelque chose qui brûle : du bois. Beaucoup de bois a été couper, déjà bien assez pour créer une plaine à peine assez grande encore pour accueillir la gigantesque Forge ainsi que le chantier l'auréolant. Des plaines et des plaines entières de forêts denses qui brûlent en bruit de fond mais pas seulement. Malgré l'incendie intense en musique de fond, un noyau en fusion qui parfois éclate d'un grandiose orchestrale et dément ! Et qui dès fois qui, plus timide, siffle tranquillement ; l'incendie perpétuel qui nourrit la forge n'est pas seulement nourri par des arbres mais aussi par du mobilier récolté lors de la taxe. D'ailleurs, tout ce qui n'est pas de bois sert de cage à cet incendie. Ici, tout ce qui n'est pas de bois est de ferraille ; d'ampleur d'usine, l'édifice est majoritairement composé de ferrailles peu ordinaires.
Des métaux principalement récoltés chez les habitants tuyauteries, câblages, couverts, bijoux, certains jouets, etc... le tout trié puis refondu.
L'argument avancé par la Garde Noire fut que les habitants n'avaient plus qu'à se chauffer au bois ; je vous ai déjà parler du bois. La ferraille recomposé se déforme et s'étire, semble avoir imposé ses propres formes agonisantes aux mains qui l'ont tant bien que mal modelés. L'édifice meurtriers part en piques et pieux de touts les cotés, sinistres sont toutes ces fumés crachant encore plus de fumés noirs dans un ciel déjà bien obscur par nature. Puis obscurci par un soleil noir ainsi qu'une usine d'armement.
Jack regarde les cieux qui changent à vue d'oeil sous les siens et se retient de pleurer… inquiet de voir un ciel que ne renierait pas la fin des mondes. La fin, quelque chose sent la fin avec cette forge et... dérrière ces piques, on ne croit pas voir se dessiner un crâne par hasard.
L'ingénieur Bisley, bien avenant, s'est dit que donner une forme de crâne à la cage de ferraille censé contenir un éclat de soleil… il s'est dit que ça plairait à Death.
Est-ce qu'il croit encore que Death est quelqu'un de bien ? Ou lui et se femme ont compris le manège mais se sont laissés corrompre malgré tout ? Peu importe, Jack trouve ça absoluement sinistre ; surtout lorsque le petit soleil à l'intérieur donne à l'édifice milles yeux de sans-cœurs.
C'est radieux, d'un éclat pur à l'origine mais… les flammes et les fumées en font vite de l'ambre doré. Soudain, pour l'avoir transporté et ne l'avoir pas quitté jusqu'au moment de déposer l'éclat de soleil au coeur de la forge… il comprend comment, en deux trois mouvements, les mortels ont pu vicié quelque chose d'originellement pur à jamais.
L'intendant de la Garde Noire en crache au sol de haine pour les dieux… sinon son soleil noir et la coalition noire, rien n'est sacré, rien n'est divin.
Jack n'a pas plus envie de s'attarder… il ne perd pas la moindre seconde au moment de sortir de l'usine car il doit encore traverser les immenses terrains vagues déjà remplis à ras-bords de grands morceaux d'usines à venir, de grosses machines prêts ou en construction, de cables, de tuyaux, de tas de ferrailles, des monts de bois et des montagnes en meubles… malgré qu'un feu ait déjà été nourri avant l'arrivée de l'éclat de soleil, et les fournaises bien entamés, il reste tant de choses à brûler, à faire fondre et à remodeler avant, d'enfin, avoir le résultat final.
Aujourd'hui est un grand jour car Jack, après avoir tant souffert, profite de ses privilèges… l'émerveillement ne dure qu'un temps mais ce temps-là, toute la Coalition Noire reste un moment bouche bée. Pendant un temps, et un temps seulement, personne ne viendra l'emmerder. Il ferait mieux d'en profiter pour récupérer tant qu'il peut.
Alors il saisit sa radio, retrouvant tout le naturel de ce geste à sa première tentative.
« Three, c'est Jack ; ramène l'hippopotame à la porte trois. » Il a bien reçu, blabla ; Jack le sait en train de ramener l'hippopotame peu importe ce que celui-ci est en train de manutentionner, œuvrant plus qu'aucun humain à la construction de tout ce merdier. En attendant, l'intendant estime avoir suffisement marcher comme ça en Grèce et une clope au bec, attends sa monture. Three est compétant mais… différent ? Débile dans l'âme malgré qu'il tienne jusqu'ici de sacrés responsabilités ; la sécurité de cet immense chantier lui étant confié. Bref, il tient à ce que Jack accepte de faire l'hippopotame dans la garde noire et… disons que Three n'a jamais été pénible une seule fois... jusqu'à aujourd'hui, avec toutes ces histoires d'hippopotames nés pour être de la garde noire.
Apparement, l'animal obéit à Three et, de lui-même, brusque des ouvriers, gardes noirs ou esclaves trop feignants. Bon… le mastodonte arrive en tenant en laisse d'une chaine un hippopotame. Sans attendre, Jack l'enfourne et s'installe sur son dos confortable car gras.
« Bon, aujourd'hui j'ai la flemme mais… allez, je mettrais l'hippopotame à l'épreuve à l'occasion. Et pourquoi pas les deux chevaux puant de ténèbres dont on se servait pour transporter le Collecteur, au passage. Et on ira aussi au Château de la Bête récupérer quelques loups. Si Leeds et ses hommes arrivent à en dresser, je vois pas pourquoi on y arriverait pas. » Jack regarde Three, les deux hommes surpris. « T'es pas con, en fait. Bref, on y va, emmène moi aussi loin que possible de ce fichu éclat de soleil olympien ! Je ne désire qu'un bon de fraicheur et de soleil noir. »
Ven 1 Nov 2019 - 18:29Des métaux principalement récoltés chez les habitants tuyauteries, câblages, couverts, bijoux, certains jouets, etc... le tout trié puis refondu.
L'argument avancé par la Garde Noire fut que les habitants n'avaient plus qu'à se chauffer au bois ; je vous ai déjà parler du bois. La ferraille recomposé se déforme et s'étire, semble avoir imposé ses propres formes agonisantes aux mains qui l'ont tant bien que mal modelés. L'édifice meurtriers part en piques et pieux de touts les cotés, sinistres sont toutes ces fumés crachant encore plus de fumés noirs dans un ciel déjà bien obscur par nature. Puis obscurci par un soleil noir ainsi qu'une usine d'armement.
Jack regarde les cieux qui changent à vue d'oeil sous les siens et se retient de pleurer… inquiet de voir un ciel que ne renierait pas la fin des mondes. La fin, quelque chose sent la fin avec cette forge et... dérrière ces piques, on ne croit pas voir se dessiner un crâne par hasard.
L'ingénieur Bisley, bien avenant, s'est dit que donner une forme de crâne à la cage de ferraille censé contenir un éclat de soleil… il s'est dit que ça plairait à Death.
Est-ce qu'il croit encore que Death est quelqu'un de bien ? Ou lui et se femme ont compris le manège mais se sont laissés corrompre malgré tout ? Peu importe, Jack trouve ça absoluement sinistre ; surtout lorsque le petit soleil à l'intérieur donne à l'édifice milles yeux de sans-cœurs.
C'est radieux, d'un éclat pur à l'origine mais… les flammes et les fumées en font vite de l'ambre doré. Soudain, pour l'avoir transporté et ne l'avoir pas quitté jusqu'au moment de déposer l'éclat de soleil au coeur de la forge… il comprend comment, en deux trois mouvements, les mortels ont pu vicié quelque chose d'originellement pur à jamais.
L'intendant de la Garde Noire en crache au sol de haine pour les dieux… sinon son soleil noir et la coalition noire, rien n'est sacré, rien n'est divin.
Jack n'a pas plus envie de s'attarder… il ne perd pas la moindre seconde au moment de sortir de l'usine car il doit encore traverser les immenses terrains vagues déjà remplis à ras-bords de grands morceaux d'usines à venir, de grosses machines prêts ou en construction, de cables, de tuyaux, de tas de ferrailles, des monts de bois et des montagnes en meubles… malgré qu'un feu ait déjà été nourri avant l'arrivée de l'éclat de soleil, et les fournaises bien entamés, il reste tant de choses à brûler, à faire fondre et à remodeler avant, d'enfin, avoir le résultat final.
Aujourd'hui est un grand jour car Jack, après avoir tant souffert, profite de ses privilèges… l'émerveillement ne dure qu'un temps mais ce temps-là, toute la Coalition Noire reste un moment bouche bée. Pendant un temps, et un temps seulement, personne ne viendra l'emmerder. Il ferait mieux d'en profiter pour récupérer tant qu'il peut.
Alors il saisit sa radio, retrouvant tout le naturel de ce geste à sa première tentative.
« Three, c'est Jack ; ramène l'hippopotame à la porte trois. » Il a bien reçu, blabla ; Jack le sait en train de ramener l'hippopotame peu importe ce que celui-ci est en train de manutentionner, œuvrant plus qu'aucun humain à la construction de tout ce merdier. En attendant, l'intendant estime avoir suffisement marcher comme ça en Grèce et une clope au bec, attends sa monture. Three est compétant mais… différent ? Débile dans l'âme malgré qu'il tienne jusqu'ici de sacrés responsabilités ; la sécurité de cet immense chantier lui étant confié. Bref, il tient à ce que Jack accepte de faire l'hippopotame dans la garde noire et… disons que Three n'a jamais été pénible une seule fois... jusqu'à aujourd'hui, avec toutes ces histoires d'hippopotames nés pour être de la garde noire.
Apparement, l'animal obéit à Three et, de lui-même, brusque des ouvriers, gardes noirs ou esclaves trop feignants. Bon… le mastodonte arrive en tenant en laisse d'une chaine un hippopotame. Sans attendre, Jack l'enfourne et s'installe sur son dos confortable car gras.
« Bon, aujourd'hui j'ai la flemme mais… allez, je mettrais l'hippopotame à l'épreuve à l'occasion. Et pourquoi pas les deux chevaux puant de ténèbres dont on se servait pour transporter le Collecteur, au passage. Et on ira aussi au Château de la Bête récupérer quelques loups. Si Leeds et ses hommes arrivent à en dresser, je vois pas pourquoi on y arriverait pas. » Jack regarde Three, les deux hommes surpris. « T'es pas con, en fait. Bref, on y va, emmène moi aussi loin que possible de ce fichu éclat de soleil olympien ! Je ne désire qu'un bon de fraicheur et de soleil noir. »