Ils sont chiants les deux autres aujourd’hui. Ils font que se chamailler. Ils pensent être plus intelligents avec leurs blagues à la con… En attendant, moi j’ai vraiment avancé sur mon travail et je pourrais rentrer en premier à la maison de Pamela ! Dans vos tronches les gars !
Trêves de bavardages inutiles.
Une nouvelle cargaison de peaux d’animaux est arrivée. On va pouvoir mettre tout ça dans le processus de production, c’est bien. Dans l’atelier du Consulat, on a deux procédés pour faire des peaux : le traditionnel et le chimique.
Les deux méthodes se ressemblent à quelques détails prêts. D’abord, faut nettoyer les peaux. On les brosse bien sur la face extérieure pour enlever les poils, les crasses et tout ce qui pourrait déranger pour plus tard. Ensuite, sur la face intérieure, on enlève la peau carrément.
Une fois qu’on a une jolie pile de peaux bien lisses et bien nettoyées, on fait dans des gros bassins de tan pendant un temps différent selon l’origine de l’animal. Le tan c’est le fameux produit : c’est on en prend un traditionnel qui coûte plus cher qui est d’origine naturelle – tanin issu de chêne ou d’autres arbres dont on broie les écorces dans un moulin à tan- soit on prend le chimique de synthèse. Personnellement, je n’utilise pas beaucoup le chimique car… Bah j’ai mes pouvoirs qui aident un peu dans le procédé de fabrication. C’est avantageux d’être un mog !
Une fois que les peaux ont bien trempées, on les retire, on les lave et on sèche. Puis c’est fini après on peut envoyer aux artisans du cuir qui feront des vêtements, du matériel, des renforts d’armures, des carquois… Ils font ce qu’ils veulent avec hein. Je fais le plus dur en vrai, avoir du cuir de cette qualité de façon aussi régulière, c’est compliqué ! Et un Art !
J’y comprends rien à ce qu’ils font Cupcake et Kouignamann. Faut calculer des trucs, faut regarder si y en a trop ou pas assez… Est-ce que le modèle est bien fait ? Est-ce que j’ai pensé à mettre ça et ça ? je suis content d’avoir un travail plus simple.
J’ai qu’à brosser, nettoyer, transporter, tremper, rincer, sécher. Et les ouvriers viennent transporter ce que j’ai fait vers les autres sous-parties de l’atelier pour le travail du cuir. C’est tellement bien.
Tiens, y a Chanteclair qui approche ! Qu’est-ce qu’il me veut encore ?
« Tu as déjà fini ton travail ?
- Oui, chef ! J’ai tout bien fait ! Regarde ! » répondis-je tout en lui présentant les différentes peaux entrain d’être transportées.
Il voltige un peu sur place avant de dire :
« Combien de temps avant que les prochaines peaux soient prêtes ?
- Le temps qu’elles séchent, il faut bien un peu de…
- Va aider les travailleurs du cuir en attendant que ça sèche ! Il ne faut pas rester les bras ballants ! Quand tu finis une tâche, va aider les autres artisans !
- Ok ! Ok ! »
Bon bah… En attendant que ça sèche, je vais aider les autres. Quand ce sera bon, je reviendrais, je placerais les autres dans les bassins de tan et puis ainsi de suite… Mais je partirais quand même avant les autres ! Ha ! Ha !
« La sortie de douche de Pamela sera à moi ! Et à moi seul ! »
Trêves de bavardages inutiles.
Une nouvelle cargaison de peaux d’animaux est arrivée. On va pouvoir mettre tout ça dans le processus de production, c’est bien. Dans l’atelier du Consulat, on a deux procédés pour faire des peaux : le traditionnel et le chimique.
Les deux méthodes se ressemblent à quelques détails prêts. D’abord, faut nettoyer les peaux. On les brosse bien sur la face extérieure pour enlever les poils, les crasses et tout ce qui pourrait déranger pour plus tard. Ensuite, sur la face intérieure, on enlève la peau carrément.
Une fois qu’on a une jolie pile de peaux bien lisses et bien nettoyées, on fait dans des gros bassins de tan pendant un temps différent selon l’origine de l’animal. Le tan c’est le fameux produit : c’est on en prend un traditionnel qui coûte plus cher qui est d’origine naturelle – tanin issu de chêne ou d’autres arbres dont on broie les écorces dans un moulin à tan- soit on prend le chimique de synthèse. Personnellement, je n’utilise pas beaucoup le chimique car… Bah j’ai mes pouvoirs qui aident un peu dans le procédé de fabrication. C’est avantageux d’être un mog !
Une fois que les peaux ont bien trempées, on les retire, on les lave et on sèche. Puis c’est fini après on peut envoyer aux artisans du cuir qui feront des vêtements, du matériel, des renforts d’armures, des carquois… Ils font ce qu’ils veulent avec hein. Je fais le plus dur en vrai, avoir du cuir de cette qualité de façon aussi régulière, c’est compliqué ! Et un Art !
J’y comprends rien à ce qu’ils font Cupcake et Kouignamann. Faut calculer des trucs, faut regarder si y en a trop ou pas assez… Est-ce que le modèle est bien fait ? Est-ce que j’ai pensé à mettre ça et ça ? je suis content d’avoir un travail plus simple.
J’ai qu’à brosser, nettoyer, transporter, tremper, rincer, sécher. Et les ouvriers viennent transporter ce que j’ai fait vers les autres sous-parties de l’atelier pour le travail du cuir. C’est tellement bien.
Tiens, y a Chanteclair qui approche ! Qu’est-ce qu’il me veut encore ?
« Tu as déjà fini ton travail ?
- Oui, chef ! J’ai tout bien fait ! Regarde ! » répondis-je tout en lui présentant les différentes peaux entrain d’être transportées.
Il voltige un peu sur place avant de dire :
« Combien de temps avant que les prochaines peaux soient prêtes ?
- Le temps qu’elles séchent, il faut bien un peu de…
- Va aider les travailleurs du cuir en attendant que ça sèche ! Il ne faut pas rester les bras ballants ! Quand tu finis une tâche, va aider les autres artisans !
- Ok ! Ok ! »
Bon bah… En attendant que ça sèche, je vais aider les autres. Quand ce sera bon, je reviendrais, je placerais les autres dans les bassins de tan et puis ainsi de suite… Mais je partirais quand même avant les autres ! Ha ! Ha !
« La sortie de douche de Pamela sera à moi ! Et à moi seul ! »