C’est la première fois que je fais une mission sans en avoir reçu l’ordre de Jet. Et de toute façon, il est d’accord. On va donc à San Fransokyo, qu’on ne connaît pas du tout, mais c’est surtout pour voler. Bon, on fait comme si on est de simples touristes au physique atypique devant la Shin-Ra. Alors que moi, je me tais, afin qu’on ne se fasse pas griller.
Une fois qu’on arrive à San Fransokyo, j’active mon collier pour voir la carte. On sort de l’aérogare et on se rend compte qu’il fait nuit noire et il pleut. Bon, pour la nuit, c’est parfait, et pour la pluie, à force, on s’en fout. La ville vraiment grande que le collier montre un modèle assez réduit de la ville.
« Wave, tu te perds dans ta carte ?
Ça va, c’est grand, mais l’aérogare est facile à trouver. Je regarde où je peux trouver quelques entrepôts. »
Je regarde Wave chercher sur cette carte. Storm commence à s’impatienter, et ça se voit car il a l’air de s’ennuyer sec. Mais il fait une réaction que j’ai tendance à oublier malgré que je le connaisse depuis longtemps.
« Bon, Boss, quand est-ce qu’on v… ?! »
Jet et moi on met une main sur le bec de Storm pour le clouer en faisant "Chut !" On ne va pas se faire repérer car Storm est bruyant, quand même ! Bon, je reviens à la carte et je vois deux bâtiments qui ressemblent à des entrepôts.
« J’ai trouvé deux entrepôts. On y va ?
Ouais. »
On marche tous les trois dans la ville en marchant pour éviter tout soupçons. Oui, je sais, avec nos plumes, c’est difficile de ne pas se faire repérer. D’ailleurs, je me rends compte qu’ici, il y a beaucoup d’engins qui se trouvent dans le jeu, autant dans le premier opus que dans "Zero Gravity". Mais je ne vois aucun hoverboard. C’est parfait.
Je déteste m’infiltrer, mais c’est obligatoire pour cette mission. J’ai tellement l’habitude de prendre le trésor pour fuir en hoverboard que j’ai l’impression que je ne pourrai pas faire cette mission d’infiltration, mais de l’autre côté, il s’agit d’un vol, donc ça m’attire, et de toute façon, le Boss nous oblige à faire en sorte que ce soit collectif.
On arrive donc au premier entrepôt. C’est constamment éclairé par ici, heureusement que j’ai les moyens de court-circuiter.
« C’est ici, l’entrepôt. On va s’en éloigner un peu. »
On s’éloigne donc de l’entrepôt, mais pas trop, ni trop peu. On cherche un arbre qui sera aligné à cet entrepôt sans que la vue ne soit gênée. Il y en a un, mais il est éloigné. Ce n’est pas grave, Wave a toujours ses jumelles sur elle. On monte sur un arbre et on va dans les feuilles pour ne pas se faire griller. L’heure de l’infiltration a sonnée.
Je sors mes jumelles et je regarde l’entrepôt avec. L’entrepôt a des fenêtres, ce qui nous avantage car ça nous permet de voir ce qu’il y a. Je vois qu’il y a plus de dix gardes, je vois les ressources nécessaires que l’entrepôt possède, des caméras de surveillance… bref, tout ce qui importe.
« J’ai analysé tout ce que possède l’entrepôt.
Parfait ! Que la fête commence ! »
On descend de l’arbre et devant tout les civils, on fait comme si on était juste des oiseaux comme les autres, avec des intentions comme les autres. Il faut savoir mentir pour arriver à leurs fins. Donc, on va à l’entrepôt et c’est là que le spectacle commence.
On va à l’arrière de l’entrepôt. Il y a une fenêtre à l’arrière et on en profite pour y passer en prenant soin de ne pas se faire repérer. J’ai une petite puce sur moi qui est en fait un brouilleur. Je le pose sur le sol et je l’active pour que les caméras ne nous grille pas. Je sors ma clé à molette et on marche doucement et sans bruit en regardant tout autour de moi pour voir s’il y a une personne qui peut me griller. Et comme on est dans la lumière, c’est facile de se faire griller, et si je tente de couper l’électricité, je crains qu’une alarme se déclenche. Car d’après Naran, la technologie est reine. Donc ils trouveront bien ce genre de chose.
Wave est celle qui se trouve devant nous. Comme d’habitude. C’est elle qui va nous indiquer ce qu’on va voler. Elle se met en position de couverture derrière un mur et on fait de même car si elle fait ça, c’est sûrement parce qu’il y a un garde qui s’approche de nous. Elle cogne volontairement sa clé à molette sur ce mur.
« Hein !? C’est quoi ce bruit ?! »
Le garde s’approche de nous et donc commence à tomber dans le piège. Je mets la mains en direction de Storm pour lui dire de me laisser faire. J’ai déjà ma clé à molette pour ça. Quand il est assez près de nous, il nous voit, il ouvre grand les yeux pendant que je lui donne un violent coup dans la tête pour qu’il soit assommé. D’un coup, j’entends un talkie-walkie qui sonne dans la poche du garde.
« État de la situation ? »
Il faut me laisser faire pour ça, j’ai déjà eu affaire à ce genre de choses. Du coup, Storm et Wave me laissent faire. Donc discrètement mais rapidement, je prends le talkie-walkie pour répondre.
« Il n’y a rien de suspect, pour l’instant. Mais je reste aux aguets, au cas où. »
Comme d’habitude, j’ai pris la voix la plus humaine que je peux faire, et ça marche, pour le moment. Je réponds à toutes les questions, et je peux dire que ce vol est encore dans les classiques. Le gars au bout du fil raccroche. Je range donc l’appareil dans la poche du garde assommé et on le cache à un endroit où on ne le retrouvera pas.
Après ça, on continue notre chemin. On fait le nécessaire pour ne pas se faire remarquer. Un garde gène, mais apparemment, il est trop baraqué pour Wave. C’est donc le moment pour moi de lui péter la gueule ! Du coup, alors qu’il est près de moi, il compte crier quand je lui donne un coup de poing sur la gueule, avant de l’assommer avec le poing. Je regarde autour de moi et personne n’arrive. Je cache le corps et j’entends encore un talkie-walkie parler.
« État de la situation ? »
Je souffle à Storm ce qu’il doit dire et faire en prenant la voix la plus humaine possible et il le dit sans réfléchir une seconde. De toute façon, je ne compte pas lui faire dire une phrase qui nous fera griller. Pour les vols, Storm a une confiance aveugle envers nous, ça se comprend, ça fait des années qu’on fait des vols de ce genre, il y a de quoi avoir une confiance aveugle, même envers ceux que tu détestes.
Comme d’habitude, ils font un bon travail, Storm et Wave. On peut continuer sans accroc après avoir rangé le talkie-walkie et après avoir caché le corps. Nous avons une partie du matériel devant nous, d’après Wave. Parfait. Mais c’est gardé par quatre gardes. Mais ces quatre gardes ne sont pas eux-même gardés.
« Wave, j’espère que tu as tes bombes fumigènes sur toi.
Ouais. J’en ai cinq.
Parfait. Lance-les sur chaque garde. Et allons-vite vers ces matériaux. »
Puisqu’on ne peut pas frapper les gardes sans se faire repérer, c’est le meilleur moyen. Du coup, je donne aux autres des lunettes à capteurs infra-rouges, je lance les bombes fumigènes et ont court tous les trois, car de toute façon, on ne verra pas notre physique. Seuls À la conquête de l’Ouest, Port Royal et la Salle d’arcade nous connaît. On vole ce qu’on peut comme matériaux avant que la fumée ne disparaisse.
Quand on se rend compte que la fumée commence vraiment à disparaître, je brise le mur de façon que ce soit assez grand pour nous et on sort de l’entrepôt. On commence à dévier notre trajectoire pour éviter qu’on soit grillés trop vite et on se cache dans un arbre. On commence à rigoler car certains d’entre eux commencent à nous chercher, mais sans savoir à quoi on ressemble. En attendant que tout se calme, Wave vérifie si on a tout le matériel nécessaire pour fabriquer un hoverboard.
« Fiant ! Il ne reste qu’un morceau de métal !
Tu as le temps pour ça. Les fournitures ne sont pas complets, mais tu as assez pour aujourd’hui.
Bon, c’est vrai. On va à l’aérogare ?
Pas encore, attend que ça se calme. Ça pourra prendre quelques heures. »
L’alarme s’est déclenchée, mais on est déjà sorti. Il faut attendre plusieurs longues heures où j’ai pu me rendormir pour qu’on puisse sortir de l’arbre. Mais juste après que l’alarme soit éteint, je continue de dormir. Mais d’un coup, je sens un coup dans ma tête.
« Storm, putain !
C’est l’heure de se réveiller, Boss. Mais évitez de crier trop fort, on risque de se faire griller.
Urgh ! Bon allez, c’est l’heure de partir de l’arbre. »
On regarde autour de nous si personne ne peut nous voir sortir de l’arbre. Ça a pris une bonne dizaine de minutes, mais on a pu sortir et faire comme si de rien n’était. On part donc à l’aérogare pour payer notre trajet, et qu’est-ce qu’on déteste payer, direction Port Royal pour aller voir Naran. On s’est bien amusé, bien que le fait qu’on doit s’infiltrer soit un peu chiant.
Sam 10 Fév 2018 - 13:55Une fois qu’on arrive à San Fransokyo, j’active mon collier pour voir la carte. On sort de l’aérogare et on se rend compte qu’il fait nuit noire et il pleut. Bon, pour la nuit, c’est parfait, et pour la pluie, à force, on s’en fout. La ville vraiment grande que le collier montre un modèle assez réduit de la ville.
« Wave, tu te perds dans ta carte ?
Ça va, c’est grand, mais l’aérogare est facile à trouver. Je regarde où je peux trouver quelques entrepôts. »
Je regarde Wave chercher sur cette carte. Storm commence à s’impatienter, et ça se voit car il a l’air de s’ennuyer sec. Mais il fait une réaction que j’ai tendance à oublier malgré que je le connaisse depuis longtemps.
« Bon, Boss, quand est-ce qu’on v… ?! »
Jet et moi on met une main sur le bec de Storm pour le clouer en faisant "Chut !" On ne va pas se faire repérer car Storm est bruyant, quand même ! Bon, je reviens à la carte et je vois deux bâtiments qui ressemblent à des entrepôts.
« J’ai trouvé deux entrepôts. On y va ?
Ouais. »
On marche tous les trois dans la ville en marchant pour éviter tout soupçons. Oui, je sais, avec nos plumes, c’est difficile de ne pas se faire repérer. D’ailleurs, je me rends compte qu’ici, il y a beaucoup d’engins qui se trouvent dans le jeu, autant dans le premier opus que dans "Zero Gravity". Mais je ne vois aucun hoverboard. C’est parfait.
Je déteste m’infiltrer, mais c’est obligatoire pour cette mission. J’ai tellement l’habitude de prendre le trésor pour fuir en hoverboard que j’ai l’impression que je ne pourrai pas faire cette mission d’infiltration, mais de l’autre côté, il s’agit d’un vol, donc ça m’attire, et de toute façon, le Boss nous oblige à faire en sorte que ce soit collectif.
On arrive donc au premier entrepôt. C’est constamment éclairé par ici, heureusement que j’ai les moyens de court-circuiter.
« C’est ici, l’entrepôt. On va s’en éloigner un peu. »
On s’éloigne donc de l’entrepôt, mais pas trop, ni trop peu. On cherche un arbre qui sera aligné à cet entrepôt sans que la vue ne soit gênée. Il y en a un, mais il est éloigné. Ce n’est pas grave, Wave a toujours ses jumelles sur elle. On monte sur un arbre et on va dans les feuilles pour ne pas se faire griller. L’heure de l’infiltration a sonnée.
Je sors mes jumelles et je regarde l’entrepôt avec. L’entrepôt a des fenêtres, ce qui nous avantage car ça nous permet de voir ce qu’il y a. Je vois qu’il y a plus de dix gardes, je vois les ressources nécessaires que l’entrepôt possède, des caméras de surveillance… bref, tout ce qui importe.
« J’ai analysé tout ce que possède l’entrepôt.
Parfait ! Que la fête commence ! »
On descend de l’arbre et devant tout les civils, on fait comme si on était juste des oiseaux comme les autres, avec des intentions comme les autres. Il faut savoir mentir pour arriver à leurs fins. Donc, on va à l’entrepôt et c’est là que le spectacle commence.
On va à l’arrière de l’entrepôt. Il y a une fenêtre à l’arrière et on en profite pour y passer en prenant soin de ne pas se faire repérer. J’ai une petite puce sur moi qui est en fait un brouilleur. Je le pose sur le sol et je l’active pour que les caméras ne nous grille pas. Je sors ma clé à molette et on marche doucement et sans bruit en regardant tout autour de moi pour voir s’il y a une personne qui peut me griller. Et comme on est dans la lumière, c’est facile de se faire griller, et si je tente de couper l’électricité, je crains qu’une alarme se déclenche. Car d’après Naran, la technologie est reine. Donc ils trouveront bien ce genre de chose.
Wave est celle qui se trouve devant nous. Comme d’habitude. C’est elle qui va nous indiquer ce qu’on va voler. Elle se met en position de couverture derrière un mur et on fait de même car si elle fait ça, c’est sûrement parce qu’il y a un garde qui s’approche de nous. Elle cogne volontairement sa clé à molette sur ce mur.
« Hein !? C’est quoi ce bruit ?! »
Le garde s’approche de nous et donc commence à tomber dans le piège. Je mets la mains en direction de Storm pour lui dire de me laisser faire. J’ai déjà ma clé à molette pour ça. Quand il est assez près de nous, il nous voit, il ouvre grand les yeux pendant que je lui donne un violent coup dans la tête pour qu’il soit assommé. D’un coup, j’entends un talkie-walkie qui sonne dans la poche du garde.
« État de la situation ? »
Il faut me laisser faire pour ça, j’ai déjà eu affaire à ce genre de choses. Du coup, Storm et Wave me laissent faire. Donc discrètement mais rapidement, je prends le talkie-walkie pour répondre.
« Il n’y a rien de suspect, pour l’instant. Mais je reste aux aguets, au cas où. »
Comme d’habitude, j’ai pris la voix la plus humaine que je peux faire, et ça marche, pour le moment. Je réponds à toutes les questions, et je peux dire que ce vol est encore dans les classiques. Le gars au bout du fil raccroche. Je range donc l’appareil dans la poche du garde assommé et on le cache à un endroit où on ne le retrouvera pas.
Après ça, on continue notre chemin. On fait le nécessaire pour ne pas se faire remarquer. Un garde gène, mais apparemment, il est trop baraqué pour Wave. C’est donc le moment pour moi de lui péter la gueule ! Du coup, alors qu’il est près de moi, il compte crier quand je lui donne un coup de poing sur la gueule, avant de l’assommer avec le poing. Je regarde autour de moi et personne n’arrive. Je cache le corps et j’entends encore un talkie-walkie parler.
« État de la situation ? »
Je souffle à Storm ce qu’il doit dire et faire en prenant la voix la plus humaine possible et il le dit sans réfléchir une seconde. De toute façon, je ne compte pas lui faire dire une phrase qui nous fera griller. Pour les vols, Storm a une confiance aveugle envers nous, ça se comprend, ça fait des années qu’on fait des vols de ce genre, il y a de quoi avoir une confiance aveugle, même envers ceux que tu détestes.
Comme d’habitude, ils font un bon travail, Storm et Wave. On peut continuer sans accroc après avoir rangé le talkie-walkie et après avoir caché le corps. Nous avons une partie du matériel devant nous, d’après Wave. Parfait. Mais c’est gardé par quatre gardes. Mais ces quatre gardes ne sont pas eux-même gardés.
« Wave, j’espère que tu as tes bombes fumigènes sur toi.
Ouais. J’en ai cinq.
Parfait. Lance-les sur chaque garde. Et allons-vite vers ces matériaux. »
Puisqu’on ne peut pas frapper les gardes sans se faire repérer, c’est le meilleur moyen. Du coup, je donne aux autres des lunettes à capteurs infra-rouges, je lance les bombes fumigènes et ont court tous les trois, car de toute façon, on ne verra pas notre physique. Seuls À la conquête de l’Ouest, Port Royal et la Salle d’arcade nous connaît. On vole ce qu’on peut comme matériaux avant que la fumée ne disparaisse.
Quand on se rend compte que la fumée commence vraiment à disparaître, je brise le mur de façon que ce soit assez grand pour nous et on sort de l’entrepôt. On commence à dévier notre trajectoire pour éviter qu’on soit grillés trop vite et on se cache dans un arbre. On commence à rigoler car certains d’entre eux commencent à nous chercher, mais sans savoir à quoi on ressemble. En attendant que tout se calme, Wave vérifie si on a tout le matériel nécessaire pour fabriquer un hoverboard.
« Fiant ! Il ne reste qu’un morceau de métal !
Tu as le temps pour ça. Les fournitures ne sont pas complets, mais tu as assez pour aujourd’hui.
Bon, c’est vrai. On va à l’aérogare ?
Pas encore, attend que ça se calme. Ça pourra prendre quelques heures. »
L’alarme s’est déclenchée, mais on est déjà sorti. Il faut attendre plusieurs longues heures où j’ai pu me rendormir pour qu’on puisse sortir de l’arbre. Mais juste après que l’alarme soit éteint, je continue de dormir. Mais d’un coup, je sens un coup dans ma tête.
« Storm, putain !
C’est l’heure de se réveiller, Boss. Mais évitez de crier trop fort, on risque de se faire griller.
Urgh ! Bon allez, c’est l’heure de partir de l’arbre. »
On regarde autour de nous si personne ne peut nous voir sortir de l’arbre. Ça a pris une bonne dizaine de minutes, mais on a pu sortir et faire comme si de rien n’était. On part donc à l’aérogare pour payer notre trajet, et qu’est-ce qu’on déteste payer, direction Port Royal pour aller voir Naran. On s’est bien amusé, bien que le fait qu’on doit s’infiltrer soit un peu chiant.