Can't stay away
Je descendais vers les cachots de la Coalition Noire pour aller chercher Aurore. Bientôt, elle allait retourner chez elle et il fallait qu’elle soit un minimum présentable. Là, n’était pas ma tâche, c’était le travail d’une autre Coalisée.
Seulement, moi j’allais devoir faire en sorte qu’elle récupère un peu de couleurs. Même s’il est vrai que le soleil dans notre royaume n’est pas aussi agréable que celui que l’on peut avoir à la Costa Del Sol, je devais faire en sorte qu’elle se sente un peu -beaucoup- mieux que dans sa cellule.
Je descendis alors les escaliers menant à la princesse de cœur. Je ne pouvais qu’imaginer l’envie qu’elle avait d vouloir sortir de cet endroit. Lorsque j’arrivai enfin à destination, je fis un signe de tête au garde qui était pour lui faire comprendre d’ouvrir la cellule en question.
Lorsque la lourde porte s’ouvrit enfin, je la vis là. Elle portait des vêtements, qui ressemblaient plus à des guenilles. Ses cheveux paraissaient ternes au peu de luminosité qu’il y avait dans cette prison. Elle est à genoux au sol. Mais lorsque je m’approchais d’elle, elle releva la tête et me regarda.
J’eus à cet instant, terriblement mal au cœur. Je posai ma main dessus.
Je décidai de faire abstraction de cette douleur -même si cela était presque impossible- et fis un pas de plus vers notre prisonnière. Sans dire un mot, je luis tendis mon autre main vers elle, qu’elle regarda sans pour autant la prendre.
Elle se releva avec un peu de mal et attrapa ma main pour tenir sur ses jambes. Lorsque sa paume toucha la mienne, j’eus instantanément un sursaut, j’étouffai même un petit cri de douleur. J’eus envie de récupérer immédiatement ma main et de la laisser là. Mais je ne pouvais pas, ma mission était de lui redonner des couleurs et qu’elle ait l’air d’aller mieux.
Lorsqu’elle fût debout, elle me lâcha la main. Intérieurement, j’étais heureux. Elle s’avança vers la sortie mais ne parti pas très loin, elle m’attendait. Je regardais alors ma main, mais elle n’avait aucuns stigmates physiques, mais pourtant je ressentais vraiment la sensation de brûlure.
C’était dû au fait qu’elle était une princesse de cœur. Et même si je n’étais pas un des membres les plus cruels de la Coalition Noire, elle avait quand même cet effet sur moi.
Je quittai à mon tour la cellule et le garde la referma derrière nous. Je fis signe à Aurore de me suivre. Lorsque nous arrivâmes enfin à l’extérieur des cachots, elle posa une main devant son visage. Geste normal, du fait qu’elle avait été enfermée, elle n’avait pas beaucoup de lumière naturelle à passer dans son cachot.
Je lui laissai le temps de s’habituer un peu plus à cette nouvelle luminosité et j’en profitai alors pour la regarder d’un peu plus près. Ses cheveux qui paraissaient si ternes plutôt, étaient en fait vraiment dans un piteux état. Ma comparse coalisée, Vesper, aura beaucoup de travail à faire sur elle.
Quand elle compris que je la regardais, elle se retourna vers moi tout en haussant un sourcil.
Je lui souriais poliment, même si le fait qu’elle me regarde cette manière était gênant. Ce n’est pas tant le fait que ce soit une femme, mais le fait que ce soit une princesse de cœur. Tous ces regards, un simple contact avec son corps, me fait affreusement mal et elle remarqua très vite que je n’étais pas à l’aise.
Elle hocha de la tête et nous reprîmes la route vers le château, mais cette fois, par l’entrée principale. Je n’allais pas trop vite pour qu’elle puisse profiter un peu de l’air extérieur.
Nous pénétrâmes dans la bâtisse qui servait de quartier général et empruntions beaucoup de couloirs et d’escaliers pour arriver enfin à l’étage et à la pièce qui allait désormais l’accueillir comme il se doit.
Encore une fois, cette douleur. Ça devenait dérangeant. Je repensais alors à ma rencontre avec Hadès. Je préférais mille fois cette sensation de fatigue plutôt que celle que j’éprouve actuellement.
Sans rien comprendre, elle retira sa main immédiatement de mon épaule et alla s’asseoir sur le lit qui était au centre de la pièce tout en regardant le sol.
Elle ne me regardait pas tout en me posant ces questions. Et rien que pour ça, je la remerciais, même si être dans la même pièce qu’elle, était un peu douloureux, ça l’était moins que lorsqu’elle posait ses yeux ou sa main sur moi. Je partis alors devant la fenêtre, tout en lui tournant le dos. Il est vrai que ce n’était pas très poli, mais j’en avais un peu marre de me prendre des décharges dans le cœur et le corps tout entier.
Je tournai légèrement la tête pour la voir. Elle regardait toujours le sol, elle touchait du bout de ses doigts sa tenue qui n’était vraiment pas digne d’une princesse.
Elle releva la tête et me fit de nouveau face. Je ne lui en voulais pas. Elle me faisait mal, c’est vrai. Mais je pouvais la comprendre. Elle avait enfin quelqu’un avec qui elle pouvait passer du temps et devait continuer d’agir comme si elle était dans sa cellule.
Je lui mentais bien évidemment, je n’avais pas du tout l’intention de lui dire qu’en réalité j’étais un homme d’environ 40 ans, qui a vécu il y a plusieurs centaines d’années qui avait perdu sa femme, son fils, sauvagement assassinés et que je me retrouvais dans le corps d’une jeune femme de 18 ans après avoir erré pendant bien trop longtemps…
Je souriais à cet instant. Elle avait raison sur un point, j’étais courageux. Même si elle ne connaissait pas la vérité sur moi, elle avait réussi à me cerner plus ou moins en très peu de temps.
Je me dirigeais vers la porte de la porte de la chambre pour en ressortir.
Je souriais derechef tout en crispant mon visage. Je franchis la porte et informai le garde de répondre aux moindres envie de la nouvelle locataire de cette chambre.
Je fis quelques pas dans le couloir et repensais à cette entrevue avec la princesse. Je venais de lui mentir encore. Je n’avais plus rien à faire. Mais je ne pouvais vraiment plus rester à ses côtés, d’autant plus que même si je lui avais dis que je me portais bien, je savais que ce n’était pas le cas et encore moins celui de Milla. Je lui avais volé sa vie et en plus pour la transformer en une personne malveillante…
Seulement, moi j’allais devoir faire en sorte qu’elle récupère un peu de couleurs. Même s’il est vrai que le soleil dans notre royaume n’est pas aussi agréable que celui que l’on peut avoir à la Costa Del Sol, je devais faire en sorte qu’elle se sente un peu -beaucoup- mieux que dans sa cellule.
Je descendis alors les escaliers menant à la princesse de cœur. Je ne pouvais qu’imaginer l’envie qu’elle avait d vouloir sortir de cet endroit. Lorsque j’arrivai enfin à destination, je fis un signe de tête au garde qui était pour lui faire comprendre d’ouvrir la cellule en question.
Lorsque la lourde porte s’ouvrit enfin, je la vis là. Elle portait des vêtements, qui ressemblaient plus à des guenilles. Ses cheveux paraissaient ternes au peu de luminosité qu’il y avait dans cette prison. Elle est à genoux au sol. Mais lorsque je m’approchais d’elle, elle releva la tête et me regarda.
J’eus à cet instant, terriblement mal au cœur. Je posai ma main dessus.
Je n’allais tout de même pas faire une attaque à mon âge ?
Je décidai de faire abstraction de cette douleur -même si cela était presque impossible- et fis un pas de plus vers notre prisonnière. Sans dire un mot, je luis tendis mon autre main vers elle, qu’elle regarda sans pour autant la prendre.
- Qui êtes-vous et que me voulez-vous ?
- Vous ne voulez pas prendre l’air ?
- Pardon ?
- Je vous propose de sortir de là. Vous ne voulez pas ?
- Il est où le piège ?
- Il n’y en a pas. Vous n’allez l’air en meilleure forme. Venez.
- Vous ne voulez pas prendre l’air ?
- Pardon ?
- Je vous propose de sortir de là. Vous ne voulez pas ?
- Il est où le piège ?
- Il n’y en a pas. Vous n’allez l’air en meilleure forme. Venez.
Elle se releva avec un peu de mal et attrapa ma main pour tenir sur ses jambes. Lorsque sa paume toucha la mienne, j’eus instantanément un sursaut, j’étouffai même un petit cri de douleur. J’eus envie de récupérer immédiatement ma main et de la laisser là. Mais je ne pouvais pas, ma mission était de lui redonner des couleurs et qu’elle ait l’air d’aller mieux.
Lorsqu’elle fût debout, elle me lâcha la main. Intérieurement, j’étais heureux. Elle s’avança vers la sortie mais ne parti pas très loin, elle m’attendait. Je regardais alors ma main, mais elle n’avait aucuns stigmates physiques, mais pourtant je ressentais vraiment la sensation de brûlure.
C’était dû au fait qu’elle était une princesse de cœur. Et même si je n’étais pas un des membres les plus cruels de la Coalition Noire, elle avait quand même cet effet sur moi.
Je quittai à mon tour la cellule et le garde la referma derrière nous. Je fis signe à Aurore de me suivre. Lorsque nous arrivâmes enfin à l’extérieur des cachots, elle posa une main devant son visage. Geste normal, du fait qu’elle avait été enfermée, elle n’avait pas beaucoup de lumière naturelle à passer dans son cachot.
Je lui laissai le temps de s’habituer un peu plus à cette nouvelle luminosité et j’en profitai alors pour la regarder d’un peu plus près. Ses cheveux qui paraissaient si ternes plutôt, étaient en fait vraiment dans un piteux état. Ma comparse coalisée, Vesper, aura beaucoup de travail à faire sur elle.
Quand elle compris que je la regardais, elle se retourna vers moi tout en haussant un sourcil.
- J’ai quelque chose sur le front ?
- Non.
- Pourquoi me regardez-vous de cette manière alors ?
- Pour rien.
- Désolée.
- De quoi ?
- D’être aussi froide avec vous. Je ne devrais pas agir comme ça mais…
- Il n’y a pas de mal. C’est compréhensible.
- Merci.
- Milla.
- Pardon ?
- Vous m’avez demandé qui j’étais tout à l’heure. Je m’appelle Milla.
- Enchantée.
- Non.
- Pourquoi me regardez-vous de cette manière alors ?
- Pour rien.
- Désolée.
- De quoi ?
- D’être aussi froide avec vous. Je ne devrais pas agir comme ça mais…
- Il n’y a pas de mal. C’est compréhensible.
- Merci.
- Milla.
- Pardon ?
- Vous m’avez demandé qui j’étais tout à l’heure. Je m’appelle Milla.
- Enchantée.
Je lui souriais poliment, même si le fait qu’elle me regarde cette manière était gênant. Ce n’est pas tant le fait que ce soit une femme, mais le fait que ce soit une princesse de cœur. Tous ces regards, un simple contact avec son corps, me fait affreusement mal et elle remarqua très vite que je n’étais pas à l’aise.
- Quelque chose ne va pas ?
- On va continuer si ça ne vous dérange pas. Je n’ai pas envie de voir trop de personnes jouer les curieux.
- On va continuer si ça ne vous dérange pas. Je n’ai pas envie de voir trop de personnes jouer les curieux.
Elle hocha de la tête et nous reprîmes la route vers le château, mais cette fois, par l’entrée principale. Je n’allais pas trop vite pour qu’elle puisse profiter un peu de l’air extérieur.
Nous pénétrâmes dans la bâtisse qui servait de quartier général et empruntions beaucoup de couloirs et d’escaliers pour arriver enfin à l’étage et à la pièce qui allait désormais l’accueillir comme il se doit.
- Est-ce que ça vous plait ?
- C’est très joli. Je ne pensais pas qu’il pouvait y avoir de pièces aussi belles dans un endroit comme celui-ci… Sans vouloir vous offenser.
- Il n’y a pas de mal...
- C’est très joli. Je ne pensais pas qu’il pouvait y avoir de pièces aussi belles dans un endroit comme celui-ci… Sans vouloir vous offenser.
- Il n’y a pas de mal...
Encore une fois, cette douleur. Ça devenait dérangeant. Je repensais alors à ma rencontre avec Hadès. Je préférais mille fois cette sensation de fatigue plutôt que celle que j’éprouve actuellement.
- Ça ne va pas ? Demanda-t-elle en posant une main sur mon épaule.
- Aïe !!
- Désolée. Vous êtes blessée ?
- Non. C’est juste que vous pourriez… Arrêter. S’il vous plait ?
- De quoi ?
- Me regarder et me toucher.
- Aïe !!
- Désolée. Vous êtes blessée ?
- Non. C’est juste que vous pourriez… Arrêter. S’il vous plait ?
- De quoi ?
- Me regarder et me toucher.
Sans rien comprendre, elle retira sa main immédiatement de mon épaule et alla s’asseoir sur le lit qui était au centre de la pièce tout en regardant le sol.
- Veuillez m’excuser.
- Je comprends très bien? Vous ne voulez pas avoir affaire à une personne comme moi.
- Non, ce n’est pas ça. Ce n’est pas le fait que vous soyez une princesse et que je pourrais être à vos yeux une personne d’un autre milieu. C’est juste votre… Nature.
- Comment ça ?
- Je comprends très bien? Vous ne voulez pas avoir affaire à une personne comme moi.
- Non, ce n’est pas ça. Ce n’est pas le fait que vous soyez une princesse et que je pourrais être à vos yeux une personne d’un autre milieu. C’est juste votre… Nature.
- Comment ça ?
Elle ne me regardait pas tout en me posant ces questions. Et rien que pour ça, je la remerciais, même si être dans la même pièce qu’elle, était un peu douloureux, ça l’était moins que lorsqu’elle posait ses yeux ou sa main sur moi. Je partis alors devant la fenêtre, tout en lui tournant le dos. Il est vrai que ce n’était pas très poli, mais j’en avais un peu marre de me prendre des décharges dans le cœur et le corps tout entier.
- Vous êtes une princesse de cœur. Et je ne suis pas vraiment une bonne personne.
- Vous avez été gentille avec moi pourtant.
- Il est vrai que je ne suis pas le frit le plus pourri de ce groupuscule mais, je ne suis pas non plus un enfant de cœur.
- Pourquoi être là alors ?
- Ma fe… Famille a été sauvagement assassiné. Alors rejoindre la Coalition Noire était une sorte d’excuse pour moi de me venger.
- La vengeance n’est pas ce qu’il y a de mieux, vous savez ?
- Je sais bien et puis de toute manière ça sera compliqué.
- Pourquoi donc ?
- Vous trouvez le lit confortable ? Changeai-je de sujet
- Parfait... Mais pourquoi somme-nous ici ?
- Ce sera désormais votre pièce à vivre. C’est plus agréable que le cachot.
- Effectivement. Mais je ne comprends toujours pas…
- Vous allez bientôt rentrer chez vous. La moindre des choses que nous puissions faire, c’est faire en sorte que vous soyez dans de meilleures conditions que celles que vous avez connu depuis votre arrivée.
- Merci.
- Vous avez été gentille avec moi pourtant.
- Il est vrai que je ne suis pas le frit le plus pourri de ce groupuscule mais, je ne suis pas non plus un enfant de cœur.
- Pourquoi être là alors ?
- Ma fe… Famille a été sauvagement assassiné. Alors rejoindre la Coalition Noire était une sorte d’excuse pour moi de me venger.
- La vengeance n’est pas ce qu’il y a de mieux, vous savez ?
- Je sais bien et puis de toute manière ça sera compliqué.
- Pourquoi donc ?
- Vous trouvez le lit confortable ? Changeai-je de sujet
- Parfait... Mais pourquoi somme-nous ici ?
- Ce sera désormais votre pièce à vivre. C’est plus agréable que le cachot.
- Effectivement. Mais je ne comprends toujours pas…
- Vous allez bientôt rentrer chez vous. La moindre des choses que nous puissions faire, c’est faire en sorte que vous soyez dans de meilleures conditions que celles que vous avez connu depuis votre arrivée.
- Merci.
Je tournai légèrement la tête pour la voir. Elle regardait toujours le sol, elle touchait du bout de ses doigts sa tenue qui n’était vraiment pas digne d’une princesse.
- Quelqu’un viendra s’occuper de vous.
- Comment ça ?
- Vous ressemblerez plus à une princesse bientôt. Et plus à une sorte de mendiante.
- Comment ça ?
- Vous ressemblerez plus à une princesse bientôt. Et plus à une sorte de mendiante.
Elle releva la tête et me fit de nouveau face. Je ne lui en voulais pas. Elle me faisait mal, c’est vrai. Mais je pouvais la comprendre. Elle avait enfin quelqu’un avec qui elle pouvait passer du temps et devait continuer d’agir comme si elle était dans sa cellule.
- Parlez-moi de vous.
- Que voulez-vous savoir ?
- Vous avez perdu votre famille. Comment est-ce arrivé ?
- Elle se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment.
- Que voulez-vous savoir ?
- Vous avez perdu votre famille. Comment est-ce arrivé ?
- Elle se trouvait au mauvais endroit au mauvais moment.
Je lui mentais bien évidemment, je n’avais pas du tout l’intention de lui dire qu’en réalité j’étais un homme d’environ 40 ans, qui a vécu il y a plusieurs centaines d’années qui avait perdu sa femme, son fils, sauvagement assassinés et que je me retrouvais dans le corps d’une jeune femme de 18 ans après avoir erré pendant bien trop longtemps…
- Je suis désolée.
- Vous n’y êtes pour rien.
- Indirectement, si. Je vous fais revivre ce douloureux souvenir.
- Ne vous inquiétez pas. J’ai appris à vivre sans.
- Vous êtes une jeune fille bien courageuse.
- Vous n’y êtes pour rien.
- Indirectement, si. Je vous fais revivre ce douloureux souvenir.
- Ne vous inquiétez pas. J’ai appris à vivre sans.
- Vous êtes une jeune fille bien courageuse.
Je souriais à cet instant. Elle avait raison sur un point, j’étais courageux. Même si elle ne connaissait pas la vérité sur moi, elle avait réussi à me cerner plus ou moins en très peu de temps.
Je me dirigeais vers la porte de la porte de la chambre pour en ressortir.
- Vous partez ?
- J’ai quelque chose à terminer.
- Je comprends. Je ne vais pas vous retenir plus longtemps.
- Si vous avez besoin de quoi que ce soit, il y a un garde à la porte. Vous pourrez lui demandez.
- Merci.
- J’ai quelque chose à terminer.
- Je comprends. Je ne vais pas vous retenir plus longtemps.
- Si vous avez besoin de quoi que ce soit, il y a un garde à la porte. Vous pourrez lui demandez.
- Merci.
Je souriais derechef tout en crispant mon visage. Je franchis la porte et informai le garde de répondre aux moindres envie de la nouvelle locataire de cette chambre.
Je fis quelques pas dans le couloir et repensais à cette entrevue avec la princesse. Je venais de lui mentir encore. Je n’avais plus rien à faire. Mais je ne pouvais vraiment plus rester à ses côtés, d’autant plus que même si je lui avais dis que je me portais bien, je savais que ce n’était pas le cas et encore moins celui de Milla. Je lui avais volé sa vie et en plus pour la transformer en une personne malveillante…