Mille et une questions
Je me souvenais très bien de la mission où j'avais recruté un ingénieur de San Fransokyo pour la Coalition Noire -Bisley- et dernièrement Death m'a appris que cet homme avait une femme et deux enfants en bas âge. Et il était tout à fait inconcevable de laisser sa famille dans leur monde d'origine.
Et ma mission aujourd'hui était simple ; faire découvrir la Cité du Crépuscule à ces gens.
Je partis donc à la station Shin-Ra pour retrouver sa femme et ses deux enfants. Et comme je ne les connaissais absolument pas, j'avais pris une petite pancarte sur laquelle j'avais inscrit « Bisley Irving ».
Cela faisait désormais quelques minutes que j'attendais sur quai de la station à regarder l'écran indiquant les départs et arrivées des vaisseaux et je focalisais plus mon attention sur celui qui affichait le départ de San Fransokyo, il allait arrivé d'ici quelques minutes.
Je me relevai du banc sur lequel je m'étais assis et brandissait la pancarte face à moi et très souriant. Il ne fallait pas non plus effrayer cette femme et deux petits qui pourraient prendre peur et se demander dans quel endroit ils venaient d'arriver. Déjà que pour eux, c'était quelque chose de nouveau de débarquer dans un monde dont ils n'avaient appris l'existence qu'il y a peu de temps.
Je voyais des gens descendre mais presque aucuns ne s'intéressaient à moi.
Je commençais à me dire que sa famille avait finalement préféré ne pas venir et mon sourire commençait légèrement à s'effacer lorsque je vis une splendide jeune femme. Environ la trentaine. Des cheveux blonds et longs. Avec de magnifiques yeux en amande de couleur bleu qui venait éblouir son teint un tantinet halé. Elle me regardait droit dans les yeux et dériva un instant vers la pancarte pour se focaliser de nouveau sur moi tout en s'avançant d'un pas décidé.
Ce n'est que lorsqu'elle fût à quelques centimètres de moi que j'aperçus deux enfants -des jumeaux- qu'elle tenaient par la main, un à sa gauche, l'autre à sa droite.
En prononçant le nom des deux enfants, elle indiqua lequel elle présentait en penchant sa tête. Je me souvenais aussi très bien du physique de Bisley. Et à part la mèche blanche de leur père, ils lui ressemblaient. Ils avaient les yeux bleus -comme leur mère-. Et même si aujourd'hui, j'étais une femme, je dois bien l'avouer, Samirella était magnifique, je jalousais presque un peu Bisley.
Samirella se contenta de sourire tout en essayant de cacher un peu sa « déception » d'avoir à faire une jeune fille plutôt qu'une personne « adulte ».
Je pliais la feuille de papier et la rangeais dans une de mes bottes -n'ayant pas de poches sur cette tenue, c'était assez compliqué- et fis signe aux trois personnes qui m'accompagnaient de me suivre pour quitter enfin la station Shin-Ra et partir vers la partie « principale » de la ville ; la place des fêtes. Pour l'instant, il n'y avait rien d'exceptionnel dans cet endroit, mais c'était un lieu où à la base se déroule des tournois de Struggle.
Les deux enfants avaient lâchés leur mère mais étaient très content d'être ici. Et ce que je leur avait dit et les enthousiasmait encore un peu plus. Ils n'ont peut-être pas conscience de ce qui leur arrive mais les voir ainsi me faisait penser à Lloyd. Il n'était pas aussi expressif qu'eux, mais le simple fait de voir des enfants avec leur famille me faisait penser à la mienne...
Lorsque Samirella posa une main sur mon épaule, je retrouvais mes esprits.
Les deux bambins qui ne connaissais rien au Struggle étaient en train de mimer une sorte de combat entre eux, s’imaginant être de grands champions dans cette discipline. Mais ils retournèrent vers leur mère lorsque celle-ci les appela, ils étaient très obéissant et pourtant très jeunes. Et lors de ma « précédente vie », j'en ai connu des enfants et pas toujours aussi sage qu'eux.
Je leur fis ensuite une visite rapide d'autres endroits de ce monde, mais les deux enfants échappèrent un instant à leur mère en allant dans une ruelle, je les suivais cependant des yeux. Il était hors de question qu'il leur arrive quelques chose, sinon Bisley pourrait revenir sur sa position de travailler pour la Coalition Noire.
Je les suivis et les rattrapais très rapidement lorsque Sorey se mit à hurler. Je dégainai ma rapière et m'interposai entre lui et le sans-cœur qui lui faisait face.
Une Méga Ombre était là, face à nous. Suite au cris de l'enfant, Samirella nous avait rejoins en courant et avait attrapé ses enfants pour les garder près d'elle.
Je lui avait donné un ordre, sur le moment, je ne m'en étais pas rendu compte mais, leur vie pouvait être en danger. Et je ne réfléchissais plus. Je savais pourtant qu'il y avait des sans-cœurs par ici et j'avais été assez stupide pour ne pas les mettre en garde.
L'ombre me regardait avec ses grands yeux globuleux jaunes et s'évapora dans le sol. Je ne savais absolument pas où elle se trouvait, mais elle refit surface derrière moi et me frappa assez violemment que je tombai par terre, à cet instant Samirella se mit à pousser un petit cri, mais je me relevai aussi vite que je pouvais. Je n'avais pas été trop blessé, juste bien secoué.
Toujours mon arme en main, je fis de nouveau face au sans-cœur qui recommença son petit manège, mais cette fois, je n'allais pas me faire avoir, je décidais de me retourner immédiatement pour lui faire face lorsqu'il ressortirai du sol. Et je ne m'étais pas trompé il apparu devant moi. Je levai ma rapière pour parer son coup et en donnais instantanément un dans la créature.
L'ombre se mit à pousser une sorte de grognement assez étrange avant de repartir dans le sol. Je restais sur mes gardes et inconsciemment je me tendis mon bras qui tenais mon arme pour ensuite pivoter de 180° pour ainsi donner un coup d'épée dans le sans-cœur qui venait d'apparaitre une nouvelle fois dans mon dos. Je ne retirais pas immédiatement mon arme mais la faisait pénétrer un peu plus à chaque seconde quelques centimètre.
La créature braillait de plus en plus et finit par tomber au sol avant de disparaitre. Je soufflai fortement tout en fermant les yeux avant de me retourner une nouvelle fois, mais pour faire face à Samirella et ses deux enfants qui étaient pétrifiés par la peur.
Je restai derrière la famille pour éviter ainsi de voir une nouvelle ombre apparaitre. Et les enfants n'avaient pas envie de retenter l’expérience. ils restèrent près de leur mère. Ils riaient et jouaient toujours mais sans trop s'éloigner.
Nous continuâmes de marcher jusqu'à arriver au pied du clocher du crépuscule.
Les deux enfants soupirèrent et se mirent à bouder avant de recommencer à jouer au bout de quelques secondes. Comme s'ils avaient déjà oublié le refus de leur mère.
Bien évidemment, je ne lui mentionnais pas exactement la situation pire que celle-ci que j'avais déjà connu. Elle aurait pris ses jambes à son cou si j'avais fait ça. Je remarquai aussi que son visage avait légèrement changé.
Samirella rappela ses enfants et je les ramenais à la station Shin-Ra.
Je la laissai repartir vers San Fransokyo avec ses enfants. Moi, je repartis vers les quartier général pour faire passer le message à Bisley et aller me reposer un peu. Ce sans-cœur m'a fait mal au dos mine de rien...
Et ma mission aujourd'hui était simple ; faire découvrir la Cité du Crépuscule à ces gens.
Je partis donc à la station Shin-Ra pour retrouver sa femme et ses deux enfants. Et comme je ne les connaissais absolument pas, j'avais pris une petite pancarte sur laquelle j'avais inscrit « Bisley Irving ».
Cela faisait désormais quelques minutes que j'attendais sur quai de la station à regarder l'écran indiquant les départs et arrivées des vaisseaux et je focalisais plus mon attention sur celui qui affichait le départ de San Fransokyo, il allait arrivé d'ici quelques minutes.
Je me relevai du banc sur lequel je m'étais assis et brandissait la pancarte face à moi et très souriant. Il ne fallait pas non plus effrayer cette femme et deux petits qui pourraient prendre peur et se demander dans quel endroit ils venaient d'arriver. Déjà que pour eux, c'était quelque chose de nouveau de débarquer dans un monde dont ils n'avaient appris l'existence qu'il y a peu de temps.
Je voyais des gens descendre mais presque aucuns ne s'intéressaient à moi.
Je ne pensas pas qu'il y aurait eu autant de personne à venir de San Fransokyo.
Je commençais à me dire que sa famille avait finalement préféré ne pas venir et mon sourire commençait légèrement à s'effacer lorsque je vis une splendide jeune femme. Environ la trentaine. Des cheveux blonds et longs. Avec de magnifiques yeux en amande de couleur bleu qui venait éblouir son teint un tantinet halé. Elle me regardait droit dans les yeux et dériva un instant vers la pancarte pour se focaliser de nouveau sur moi tout en s'avançant d'un pas décidé.
Ce n'est que lorsqu'elle fût à quelques centimètres de moi que j'aperçus deux enfants -des jumeaux- qu'elle tenaient par la main, un à sa gauche, l'autre à sa droite.
- Bonjour. Veuillez nous excusez du retard.
- Il n'y a aucun mal. Vous êtes la femme de Bisley ?
- Oui. Pardonnez-moi. Je me nomme Samirella. Mais vous pouvez m'appelez « Sam ». Et je vous présente « Sorey » et « Mikleo ».
- Il n'y a aucun mal. Vous êtes la femme de Bisley ?
- Oui. Pardonnez-moi. Je me nomme Samirella. Mais vous pouvez m'appelez « Sam ». Et je vous présente « Sorey » et « Mikleo ».
En prononçant le nom des deux enfants, elle indiqua lequel elle présentait en penchant sa tête. Je me souvenais aussi très bien du physique de Bisley. Et à part la mèche blanche de leur père, ils lui ressemblaient. Ils avaient les yeux bleus -comme leur mère-. Et même si aujourd'hui, j'étais une femme, je dois bien l'avouer, Samirella était magnifique, je jalousais presque un peu Bisley.
- Nous ne vous avons pas fait trop attendre ?
- Ho non loin de là. Ne vous inquiétez pas.
- Vous aviez sûrement autre chose à faire que de poireauter dans une gare...
- C'est mon travail. Aujourd'hui, je dois vous faire découvrir la ville et ainsi vous montrer où vous allez vivre avec votre famille et répondre aux questions que vous vous poserez.
- C'est très gentil de votre part... Mademoiselle... ?
- Maxwell. Milla Maxwell.
- Ha oui, c'est vrai. Pardonnez moi. Mon mari m'avais parlé de vous. Mais je ne pensais pas me retrouver face à...
- Une gamine ?
- Oui, excusez-moi. Je ne pensais pas que la femme donc m'avait parlé Bisley était aussi jeune.
- Ne vous en faites pas. C'est assez récurrent comme réaction. Si vous le souhaitez, nous pouvons commencer à visiter les premiers quartiers de la ville.
- Ho non loin de là. Ne vous inquiétez pas.
- Vous aviez sûrement autre chose à faire que de poireauter dans une gare...
- C'est mon travail. Aujourd'hui, je dois vous faire découvrir la ville et ainsi vous montrer où vous allez vivre avec votre famille et répondre aux questions que vous vous poserez.
- C'est très gentil de votre part... Mademoiselle... ?
- Maxwell. Milla Maxwell.
- Ha oui, c'est vrai. Pardonnez moi. Mon mari m'avais parlé de vous. Mais je ne pensais pas me retrouver face à...
- Une gamine ?
- Oui, excusez-moi. Je ne pensais pas que la femme donc m'avait parlé Bisley était aussi jeune.
- Ne vous en faites pas. C'est assez récurrent comme réaction. Si vous le souhaitez, nous pouvons commencer à visiter les premiers quartiers de la ville.
Samirella se contenta de sourire tout en essayant de cacher un peu sa « déception » d'avoir à faire une jeune fille plutôt qu'une personne « adulte ».
Je pliais la feuille de papier et la rangeais dans une de mes bottes -n'ayant pas de poches sur cette tenue, c'était assez compliqué- et fis signe aux trois personnes qui m'accompagnaient de me suivre pour quitter enfin la station Shin-Ra et partir vers la partie « principale » de la ville ; la place des fêtes. Pour l'instant, il n'y avait rien d'exceptionnel dans cet endroit, mais c'était un lieu où à la base se déroule des tournois de Struggle.
- Des quoi ? Demanda Sorey.
- En fait, c'est un jeu. Chaque concurrent possède cent orbes. Et le but du jeu est de frapper son adversaire pour les récupérer.
- Ça a l'air trop cool ! Ajouta Mikleo. On pourra y jouer maman ?
- Je pense que vous êtes un peu jeunes pour le moment. Il faudra attendre un peu. Mais peut-être que vous pourrez un jour voir votre papa y participer...
- En fait, c'est un jeu. Chaque concurrent possède cent orbes. Et le but du jeu est de frapper son adversaire pour les récupérer.
- Ça a l'air trop cool ! Ajouta Mikleo. On pourra y jouer maman ?
- Je pense que vous êtes un peu jeunes pour le moment. Il faudra attendre un peu. Mais peut-être que vous pourrez un jour voir votre papa y participer...
Les deux enfants avaient lâchés leur mère mais étaient très content d'être ici. Et ce que je leur avait dit et les enthousiasmait encore un peu plus. Ils n'ont peut-être pas conscience de ce qui leur arrive mais les voir ainsi me faisait penser à Lloyd. Il n'était pas aussi expressif qu'eux, mais le simple fait de voir des enfants avec leur famille me faisait penser à la mienne...
Lorsque Samirella posa une main sur mon épaule, je retrouvais mes esprits.
- Ça va ? Me demanda-t-elle inquiète.
- Oui, très bien ne vous inquiétez pas. On continue ?
- On vous suit !
- Oui, très bien ne vous inquiétez pas. On continue ?
- On vous suit !
Les deux bambins qui ne connaissais rien au Struggle étaient en train de mimer une sorte de combat entre eux, s’imaginant être de grands champions dans cette discipline. Mais ils retournèrent vers leur mère lorsque celle-ci les appela, ils étaient très obéissant et pourtant très jeunes. Et lors de ma « précédente vie », j'en ai connu des enfants et pas toujours aussi sage qu'eux.
Je leur fis ensuite une visite rapide d'autres endroits de ce monde, mais les deux enfants échappèrent un instant à leur mère en allant dans une ruelle, je les suivais cependant des yeux. Il était hors de question qu'il leur arrive quelques chose, sinon Bisley pourrait revenir sur sa position de travailler pour la Coalition Noire.
Je les suivis et les rattrapais très rapidement lorsque Sorey se mit à hurler. Je dégainai ma rapière et m'interposai entre lui et le sans-cœur qui lui faisait face.
Une Méga Ombre était là, face à nous. Suite au cris de l'enfant, Samirella nous avait rejoins en courant et avait attrapé ses enfants pour les garder près d'elle.
- Restez avec eux !
Je lui avait donné un ordre, sur le moment, je ne m'en étais pas rendu compte mais, leur vie pouvait être en danger. Et je ne réfléchissais plus. Je savais pourtant qu'il y avait des sans-cœurs par ici et j'avais été assez stupide pour ne pas les mettre en garde.
L'ombre me regardait avec ses grands yeux globuleux jaunes et s'évapora dans le sol. Je ne savais absolument pas où elle se trouvait, mais elle refit surface derrière moi et me frappa assez violemment que je tombai par terre, à cet instant Samirella se mit à pousser un petit cri, mais je me relevai aussi vite que je pouvais. Je n'avais pas été trop blessé, juste bien secoué.
Toujours mon arme en main, je fis de nouveau face au sans-cœur qui recommença son petit manège, mais cette fois, je n'allais pas me faire avoir, je décidais de me retourner immédiatement pour lui faire face lorsqu'il ressortirai du sol. Et je ne m'étais pas trompé il apparu devant moi. Je levai ma rapière pour parer son coup et en donnais instantanément un dans la créature.
L'ombre se mit à pousser une sorte de grognement assez étrange avant de repartir dans le sol. Je restais sur mes gardes et inconsciemment je me tendis mon bras qui tenais mon arme pour ensuite pivoter de 180° pour ainsi donner un coup d'épée dans le sans-cœur qui venait d'apparaitre une nouvelle fois dans mon dos. Je ne retirais pas immédiatement mon arme mais la faisait pénétrer un peu plus à chaque seconde quelques centimètre.
La créature braillait de plus en plus et finit par tomber au sol avant de disparaitre. Je soufflai fortement tout en fermant les yeux avant de me retourner une nouvelle fois, mais pour faire face à Samirella et ses deux enfants qui étaient pétrifiés par la peur.
- Veuillez m'excusez. J'aurai dû vous prévenir que...
- Il y a des sans-cœur à San Fransokyo. Nous n'avons juste jamais vu quelqu'un en combattre... Et c'est... Stressant.
- Désolée. vous n'avez rien ?
- Dieu merci, non. Vous avez eu le réflexe de protéger mes fils. Merci infiniment.
- C'est normal. Partons d'ici.
- Il y a des sans-cœur à San Fransokyo. Nous n'avons juste jamais vu quelqu'un en combattre... Et c'est... Stressant.
- Désolée. vous n'avez rien ?
- Dieu merci, non. Vous avez eu le réflexe de protéger mes fils. Merci infiniment.
- C'est normal. Partons d'ici.
Je restai derrière la famille pour éviter ainsi de voir une nouvelle ombre apparaitre. Et les enfants n'avaient pas envie de retenter l’expérience. ils restèrent près de leur mère. Ils riaient et jouaient toujours mais sans trop s'éloigner.
Nous continuâmes de marcher jusqu'à arriver au pied du clocher du crépuscule.
- Whaou... C'est haut !
- Et maman, on peut monter ? Dis oui, s'il te plait...
- Vous avez assez embêté mademoiselle Maxwell pour aujourd'hui. Vous n'allez tout de même pas la faire grimper...
- Ça ne me dérange pas. S'ils veulent aller on...
- Non ! Ils auront l'occasion d'y retourner !
- Et maman, on peut monter ? Dis oui, s'il te plait...
- Vous avez assez embêté mademoiselle Maxwell pour aujourd'hui. Vous n'allez tout de même pas la faire grimper...
- Ça ne me dérange pas. S'ils veulent aller on...
- Non ! Ils auront l'occasion d'y retourner !
Les deux enfants soupirèrent et se mirent à bouder avant de recommencer à jouer au bout de quelques secondes. Comme s'ils avaient déjà oublié le refus de leur mère.
- Vous n'avez pas eu trop mal ?
- Nous, ne vous inquiétez pas. J'ai connu pire.
- C'est possible ça ?
- Ho que oui !
- Nous, ne vous inquiétez pas. J'ai connu pire.
- C'est possible ça ?
- Ho que oui !
Bien évidemment, je ne lui mentionnais pas exactement la situation pire que celle-ci que j'avais déjà connu. Elle aurait pris ses jambes à son cou si j'avais fait ça. Je remarquai aussi que son visage avait légèrement changé.
- Un problème ?
- Des sans-cœurs. Il pourrait y avoir d'autres attaquent encore comme ça ?
- Malheureusement... Oui. Il faudra être très prudent. Sachez cependant que vous et votre famille aurez des privilèges. Et la garde noire ne viendra pas causer des problèmes. Sinon, ça pourrait elle qui en aura. Dis-je en souriant.
- C'est gentil à vous.
- Ho vous savez. C'était norm...
- Non, je veux dire. D'avoir été chercher Bisley, il était malheureux là-bas. Et passer du temps avec nous... Merci beaucoup.
- C'est Death qui faut remercier.
- Faites-le au nom de nous quatre alors.
- Je n'y manquerais pas.
- Des sans-cœurs. Il pourrait y avoir d'autres attaquent encore comme ça ?
- Malheureusement... Oui. Il faudra être très prudent. Sachez cependant que vous et votre famille aurez des privilèges. Et la garde noire ne viendra pas causer des problèmes. Sinon, ça pourrait elle qui en aura. Dis-je en souriant.
- C'est gentil à vous.
- Ho vous savez. C'était norm...
- Non, je veux dire. D'avoir été chercher Bisley, il était malheureux là-bas. Et passer du temps avec nous... Merci beaucoup.
- C'est Death qui faut remercier.
- Faites-le au nom de nous quatre alors.
- Je n'y manquerais pas.
Samirella rappela ses enfants et je les ramenais à la station Shin-Ra.
- Nous reviendrons très vite. Juste le temps de prendre quelques unes de nos affaires.
- Nous vous attendrons de pied ferme !
- Dites à Bisley que je l'aime.
- Désolée, je ne vous ai pas proposé d'aller le voir...
- Il n'y a pas de mal.
- Je lui dirai.
- Merci Milla.
- Nous vous attendrons de pied ferme !
- Dites à Bisley que je l'aime.
- Désolée, je ne vous ai pas proposé d'aller le voir...
- Il n'y a pas de mal.
- Je lui dirai.
- Merci Milla.
Je la laissai repartir vers San Fransokyo avec ses enfants. Moi, je repartis vers les quartier général pour faire passer le message à Bisley et aller me reposer un peu. Ce sans-cœur m'a fait mal au dos mine de rien...