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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Seifer Almasy



Identité

  • Nom  : Almasy

  • Prénom : Seifer

  • Titre  : Le Spadassin Crépusculaire

  • Âge :  23 ans

  • Camp :  Les Mercenaires

  • Monde d'Origine : La Cité du Crépuscule

  • Race  : Humain

  • Grade désiré : A votre appréciation




Physionomie


Dans sa jeunesse de la Cité du Crépuscule, Seifer se rapprochait de ce qu'on peut appeler un physique longiligne. A l'époque déjà, il était l'espèce de grande perche blonde repérable à plusieurs mètres à la ronde de part sa taille. A ses dix-huit ans déjà, il culminait autour du mètre quatre-vingt-huit, une taille qu'il a conservé aujourd'hui. Mais ce qui le différencie d'alors, c'est sa prise de masse, due à un entraînement quotidien et son régime alimentaire peut-être trop riche depuis qu'il vit à Port-Royal. Autrefois jeune homme grand mais frêle, il est désormais un adulte en pleine force de l'âge et doté d'un physique avantageux, un atout considérable pour tout mercenaire qui se respecte. Mais par delà les muscles, il a su conserver un minimum de vélocité car si ce n'est pas ses bras et ses poings, ce sont des jambes et sa vitesse qui peuvent lui sauver la vie.

Son visage, à l'inverse de sa physionomie, n'a pas vraiment changé. Son regard azuré, moins impassible et fermé qu'il n'a pu l'être, est entrecoupé d'une cicatrice. Cette cicatrice de la honte, souvenir de son ancienne vie qui lui rappelle ce qu'il a laissé derrière lui. Sa mâchoire carrée, ses lèvres basses et serrées, ainsi que ses petits yeux contribuent à sa réputation pas forcément vraie d'homme froid et antipathique. Ses cheveux, d'un blond miel presque doré, sont toujours coupés courts et dressés en arrière, si ce n'est son éternelle mèche rebelle. Depuis son arrivée à Port-Royal, il lui est arrivé d'aborder des looks différents, notamment une barbe ou des cheveux plus longs, mais les différents résultats lui ont coupés l'envie à toute extravagance.

Son style vestimentaire, quant à lui, change en fonction de ses occupations. Lorsqu'il est à Port-Royal, qui est plus ou moins sa zone de confort, il aborde des tenues décontractées, comme des chemises de pirates, des pantalons amples ou des bottes. Cependant, lorsqu'il est amené à se déplacer ou à travailler, il porte toujours la même chose. Un grand manteau gris proche du blanc, ornée sur les manches de ce qui semble être des croix rouges, des bottes noires simples, des gants de cuir noir, un pantalon tout aussi noir ainsi qu'un gilet bleu avec de petites touches de blanc. Il porte également un collier, doté de chaines épaisses et d'une plaque.


Question vis-à-vis du Physique :


Amateur de Struggle à la Cité du Crépuscule, Seifer avait quelques bases communes quant à ce qu'il s'agit du combat. Mais paradoxalement, lorsqu'il reçut par surprise sa gunblade Hypérion, l'adaptation a été plus compliquée que prévue. Passer de quelque chose de contondant à quelque chose de tranchant, le style de combat était différent, sans oublier le poids de l'arme qui était à son obtention un handicap. A force de pratique, il a su en faire une arme complète et équilibrée, qui en tant que lame et en tant qu'arme à feu, lui permettait de combattre à distance comme au corps à corps.

Son style de combat, savant mélange de force, d'agilité et de tactique, fait de lui un combattant émérite. Il est tout aussi capable d'être un bon escrimeur qu'un redoutable prédateur, portant des coups de buttoirs mortels à ses adversaires. L'expérience, à force d'échecs cuisants et de combats réussis, lui a apprise la patience et la méditation. Désormais, il a tendance lorsque l'adversité est présente de temporiser le combat, de ne pas sous-estimer son adversaire et de savoir le respecter. Le moindre de ses faits et gestes est scruté, analysé, dans le but de déceler une quelconque faiblesse.

Quant à la magie, à ses débuts en tant que mercenaire, il n'en avait carre et s'estimait satisfait de son bagage physique. Pourtant, les dieux seuls savent le nombre de fois qu'elle a pu lui sauver la mise, que ce soit dans de simples combats comme des affrontements plus conséquents. Aujourd'hui, il la respecte beaucoup plus et l'étudie au même niveau que le combat, car au moins aussi décisive, voir bien plus encore.




Psychologie


Apathique, réservé, froid, impertinent. Sur ces quatre mots, vous avez la vision de surface de la plupart des gens sur Seifer. Quelque part, ils n'ont pas tort, mais ce n'est qu'une partie de sa personnalité complexe. Ce qui est vrai, c'est qu'il a toujours été quelqu'un de marginal. Aussi loin que l'on puisse remonter, il a toujours voulu s'illustrer et se démarquer des autres. Tout simplement, devenir quelqu'un. Mais son caractère de forte tête et sa jeunesse - au début - lui ont mit de belles oeillères, des entraves dans sa quête de lui-même. Dans ce besoin précoce de se sentir reconnu et apprécié,
il aimait prendre la tête des opérations, contrôler ce qu'il peut et le pouvoir. C'est ainsi qu'il fonda de sa propre initiative le Comité disciplinaire du Crépuscule, afin de pouvoir exercer une certaine forme d'autorité. Cela ne l'empêche pas d'être travailleur, capable de mener à bien les tâches qui lui sont confiées. Mais le problème avec le pouvoir et l'autorité, du moins chez lui, c'est qu'il en oublie beaucoup l'essentiel : les relations humaines et le monde qui l'entoure. Sur ce point, l'âge et certains mauvais passages de son vécu font qu'il tend à changer.

Il est également égoïste, mais au fond, tous ces mercenaires ne sont-ils pas égoïstes au fond, soucieux de leur avenir, de la place qu'ils estiment mériter ? Puis, il est tout à fait capable de travailler en équipe, c'est même une chose qu'il apprécie. Et bien que son apparence hautaine et indifférente laisse paraître le contraire, le respect est une valeur primordiale chez lui, tant envers lui qu'envers ceux avec qui il collabore. Mais alors, serait-il un héros qui ne s'assume pas ? Pas exactement. Il a du mal à s'attacher aux autres, de peur des déceptions, des rancoeurs et des regrets. C'est pas le genre de mercenaire à vous offrir un verre, il est à l'inverse celui qui accepte les invitations. Pas par profit ou par cupidité, mais car il estime que sa place est là. Son ambition, par moment, prend beaucoup de place dans sa tête, souvent en balance avec d'autres types d'intérêts. C'est pourquoi il est devenu mercenaire, afin d'éviter au maximum les conflits d'intérêts et de trouver une position à la fois neutre et confortable, malgré que la guerre précède et fait intervenir les choix.

Au fond de lui il le sait, certains de ses démons intérieurs ne se cachent pas et se montrent au grand jour, sa cicatrice est là pour en attester. Son coeur, bien que renforcé par les épreuves, reste instable. Qui sait après tout ce que l'avenir lui réserve ? Aujourd'hui il est mercenaire, demain il sera peut-être vagabond, affilié à la lumière ou aux ténèbres, ou mort. Vivre au jour le jour, tel est son leitmotiv. S'accommoder des caprices du destin, des erreurs du passé et faire en sorte que le futur soit un peu plus ensoleillé. Mais tant qu'un contrat l'attend à Port-Royal, il aura toujours la même flamme dans les yeux que lors de sa grande première.




Histoire


Le silence. Un moment qui peut être à la fois paisible et dangereux, à la fois triste et bienheureux. On n’y a pas souvent le droit, ici, à Port-Royal. Ne vivant pas très loin du Centurio, je peux vous dire que même le soir, c’est souvent animé là-bas. On entend des poivrots chanter, des accros aux jeux s’entretuer pour une accusation de tricherie. Pas de quoi se plaindre de la vie ici, dans un autre quartier que je ne mentionnerai pas, c’est la toute-puissance des bordels qui vous empêche d’avoir votre moment de paix. Mais parfois, rien ne vient troubler l’ambiance et c’est alors que le silence apparait. Oui, comme en cet instant-même. Rien ne peut rompre ce silence, pas même le bruit d’une vague, ou d’un quelconque volatile blanc. Un sentiment de liberté et de tranquillité qui revigore, ce qui n’est pas du luxe sachant qu’on est en guerre… Comment-ça, vous me trouvez nostalgique ? Allez voir un autre mercenaire si vous n’êtes pas contents ! Quoi, ça vous intéresse tant que ça de savoir à quoi je pense ? Seifer Almasy a une si grande importance pour vous ? Si ça vous chante d’écouter quelques passages de mon vécu, soit, c’est une perte de temps. Mais sachez que l’image que vous vous faites de moi est fausse. Oui, fausse, ça je peux vous le garantir. Trêves de bavardages, mon récit commence dès maintenant.

Je viens de la Cité du Crépuscule. Si certains de mes souvenirs là-bas sont intacts, je n’ai plus beaucoup de souvenirs de mes parents, si ce n’est leur visage que je n’ai pas encore oublié. Ce serait très bête d’oublier qui est mon père, puisque je lui ressemblais, paraît-il. J’ai vécu une enfance assez turbulente là-bas. J’avais besoin de me sentir fort, d’être reconnu et aimé parmi mes pairs. De ma génération, il y avait pas mal de jeunes : Hayner, Olette, Pence, Fuu, Rai. Les premiers formaient une bande, un trio qui avait un petit QG au sein de la ville. Rai et Fuu, malgré que je ne leur ai jamais vraiment avoué, était mes meilleurs amis. C’est avec eux que j’ai fondé de ma main le Comité disciplinaire du Crépuscule, une organisation pas très utile en soi puisque la ville était assez calme en général.
Mais pour casser les pieds, j’étais au pied de guerre, surtout avec la bande à Hayner. Ah, ce bon vieux Hayner... Hayner était mon rival de jeunesse. Ayant tous les deux des caractères forts, il était difficile pour nous de cohabiter. Surtout lorsque notre sport favori, le struggle, nous mettait en concurrence constante. Pourtant, je le respectais beaucoup malgré nos disputes incessantes. Je n’ai peut-être pas été juste avec eux. En clair, j’avais tout pour être heureux et ma vie n’a jamais été aussi insouciante qu’à cette époque. Mais contrairement aux contes de fées, ça n’allait pas durer… Et voilà les amis, c’est terminé, ouste ! Quoi, je n’ai pas fini ? Moi qui pensait pouvoir me débarrasser de vous, j’y étais presque ! Concernant la suite, je pourrais vous la raconter, mais je vais vous lire des petits rapports que j’ai fait à l’époque, en tant que Chef du Comité, jusqu’à mon départ.

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Rapport n°31
Qu’est-ce qu’était cette... chose ? J’attendais un adversaire sur le terrain de Struggle, qui était désert et je suis tombé nez à nez avec une créature comme je n’en n’ai jamais vu avant. Noire, dotée de deux yeux jaunes luisants, menaçante, terrifiante. J’ai essayé de m’en débarrasser à l’aide de mon bâton de Struggle, mais elle ne réagissait pas à mes coups, une impression d’être un fantôme. J’ai pris mes jambes à mon cou et je me suis enfui. Je viens de ressentir la plus grande peur que j’ai pu avoir dans ma vie, la peur de mourir.

Rapport n°32
J’ai beau essayer de m’expliquer à droite à gauche, que ce soit à mes amis comme à la bande à Hayner, impossible de leur faire croire ce que j’ai vu. Quoi que, Fuu semble intéressée par ce que je dis. Peut-être est-elle la seule à croire que je ne suis pas devenu fou. Le Comité de discipline du Crépuscule va multiplier ses rondes et élucider ce mystère.

Rapport n°34
Après une première journée de préparation, aujourd’hui était notre premier jour de ronde et évidemment, aucune trace de la moindre créature noire suspecte. Malgré quelques appréhensions, j'apprécie l'aide de mes deux acolytes, qui même s'ils ne me croient pas forcément, y mettent du leur. Ce n'est que le premier jour, on va réussir à en trouver un autre, de ces trucs noirs !

Rapport n°38
Heure après heure, jour après jour, je ne compte plus le temps que je passe avec Fuu et Rai à arpenter la Cité. Impossible de mettre la main sur une quelconque créature noire. Je commence à croire que cette apparition n’était qu’un rêve.

Rapport n°55
Je fête aujourd’hui mes quinze ans. Près de sept mois se sont écoulés depuis cette apparition, elle semble si lointaine, il y a bien longtemps que j’ai décidé de tourner la page. Parmi les cadeaux que j’ai reçus, un nouveau bâton de Struggle flambant neuf. Tremblez, challengers. Seifer sera le prochain champion ! Mais aussi un cadeau de Fuu, un petit coffret grand comme ma paume, mais vide. Qu'est ce que ça signifie ?

Rapport N°56
La créature noire ! Je l’ai revue ! Près de la gare ! J’ai essayé de l’affronter de nouveau, mais impossible de lutter. Je l’ai prise en photo pour la faire voir à mes acolytes, mais lorsque je leur ai tendu la photo, la créature n’était plus dessus. Les gars, j’ai compris, arrêtez votre farce, ça fait sept mois que je ne l’ai plus revue cette fichue créature, c’est fini !

Rapport N°58
Nouvelle apparition de la créature noire, cette fois-ci pas très loin de la sortie de la ville. Une fois encore, je ne suis pas capable de lui faire quoi que ce soit et une fois de plus, Rai et Fuu n’étaient pas présents. Suis-je en train de perdre la raison ?

Rapport N°63
Ultime apparition de la créature. Fuu était présente avec moi et cette fois, l’a vue. Plutôt que de la prendre par devant, on a essayés de la suivre. Elle nous a menés au tunnel de la ville, près de la gare. Cachés derrière une caisse, nous l’avons vu traverser un portail. Par peur de ce qui pouvait se produire, nous n’avons pas voulus la suivre, mais avons notés tout ce que nous avons vus. Sa forme, sa manière de se déplacer, ses yeux jaunes, le portail en question. Prêts à délivrer ces anecdotes croustillantes à nos amis, d’énormes bruits venant de l’extérieur nous incitait à sortir.

Rapport N°64
Ce que nous avons découverts en sortant a bouleversé notre existence. Des cris, des larmes, des combats de partout ; la Cité du Crépuscule est attaquée. Des créatures noires de tous les côtés, des gens qui tombaient en défendant la ville, laissant leur cœur s’envoler. Je me suis enfuit avec Fuu, nous cherchons un endroit où nous réfugier. J’avais peur pour ma vie, mais pour une fois, j’avais peur pour la vie de quelqu’un d’autre. Pour la sienne.

Rapport N°65
Nous avons trouvés refuge dans une maison avec quelques adultes. En chemin, nous avons interceptés Rai, qui nous a suivis. Dehors, c’est la pagaille. Un groupe composé de quelques personnes essayant tant bien que mal de défendre la ville des créatures noires. Parmi-eux se trouvait Dingo, un ami de Sora, que nous avons rencontrés il y a quelques temps. Avec un peu de chance, ils parviendront à défendre la ville. Notre sort est entre leurs mains.

Rapport N°66
Le ciel est devenu sombre, le soleil est devenu noir. La ville a été vaincue et assiégée. Le groupe de héros, bien qu’ardents défenseurs, n’a rien pu faire pour nous. Les héros sont tombés au combat face à d’autres individus plus puissants encore. Le règne de la Coalition Noire par les Sans-cœurs venait de commencer. Qui sait de quoi notre avenir sera fait. Peut-être allons-nous tous mourir. Ce sera mon dernier rapport en tant que chef du Comité disciplinaire, je démissionne. Je n’ai pas le pouvoir de défendre la ville face à cette menace.
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N'en jetez plus, c'est dans ces années-là que j'ai vécu quelques unes des années les plus compliquées de ma vie. Pas énormément sous le règne de Xenahort et Konstantine, qui se voulait plus souple et nous donnait quand même un minimum de liberté. Celui qui leur succéda, le Modéré Noir, était un véritable tyran. Son gouvernement était de terreur et il se renforçait chaque jour, apportant à ses rangs de nouveaux officiers et de nouvelles façons de nous asservir. L'année noire était à la limite du soutenable, les sourires avaient totalement disparus des visages des habitants. Pendant près d'un an, sans interruption aucune, le Modéré Noir a pu dominer le monde sans être inquiété. J'étais à bout de nerf, mais je ne pouvais rien faire. Il y avait bien Heyner qui depuis toutes ces années montait une campagne d'opérations avec un petit groupe de rébellion. Que comptait-il faire face à eux ? Il ne faisait clairement pas le poids, de bien plus valeureuses personnes sont tombées pour défendre ce monde. Fuu croyait en son projet, mais il était perdu d'avance. Nous nous sommes disputés sur le sujet.

J'avais alors dix-huit ans et je n'en pouvais plus de vivre dans un monde qui n'était plus le mien et où je ne pouvais rien faire pour changer sa situation. C'est alors qu'un soir, ainsi que les soirs suivants, j'élaborai un plan pour m'en aller.
Je repensais au Sans-cœur que j'avais vu dans le tunnel, avec son portail. Peut-être qu'un autre portail pourrait être crée à cet endroit, et par là, je pourrais m'y enfuir. Après avoir préparé mon plan, équipé notamment d'une épée en bois pour chasser d'éventuels monstres, la question fondamentale se posait : allais-je emmener quelqu'un avec moi ? Je pensais forcément à Rai et Fuu, qui méritaient l'un autant que l'autre de me suivre. Pourtant, un départ à trois était beaucoup trop risqué, je devais faire un choix.

C'est à Fuu seule que j'ai demandé de venir avec moi. Je me suis heurté à son refus, et elle essayait de me faire changer d'avis, sortant de nouveau le sujet de la rébellion comme argument. Après une dispute violente, j'ai fini par me précipiter vers la porte pour la prendre.
C'est la dernière fois que je l'ai vue, elle comme Rai. Dans ses derniers mots pour moi, j'ai réalisé que bien plus tard que ses sentiments envers moi dépassait le simple attachement. Mais ma colère, ma peur et mon égoïsme sortaient au grand jour ; je ne souhaitais pas de son amour, je voulais simplement qu'elle me suive. Je n'avais désormais pour seul objectif que mon départ de la Cité du Crépuscule, même seul et même en laissant tous ces personnes derrière moi...(précision : son départ se situe avant le renfort d'Arachné à la Coalition et la vision des petites araignées, histoire de laisser une fenêtre de tir pour pouvoir s'enfuir)

Le début de mon plan se déroulait presque trop bien : échappant à la vigilance des nombreux Sans-cœurs présents dans la ville, j'avais atteint sans trop de difficultés l'entrée du tunnel. M'introduisant à l'intérieur, évitant d'autres créatures noires présentes de couloir en couloir, je finis par tomber sur un cul-de-sac. Le temps de me retourner, je me retrouvais face à un Sans-cœur que je n'avais jamais vu auparavant : un Guerrier Gargouille. Armé d'une hache, il se mettait à bondir dans ma direction. J'engageais alors le combat, avec pour seule défense mon épée de bois. Si mes tentatives d'esquiver ses coups étaient maladroites, mon premier coup d'épée a directement eu raison de mon arme, je n'avais plus que le manche dans mes mains. J'étais désarmé, je ne pouvais pas non plus m'enfuir trop loin, sous peine d'alerter d'autres Sans-cœurs.

Alors que je commençais à me résoudre à ma défaite, un événement se produit. Mon arme d'infortune se transformait en quelque chose de bien plus intéressant. Mon épée de bois était devenue une gunblade, un pistolet monté d'une lame d'épée. Le combat s'annonçait alors beaucoup plus équilibré. Bien que ne maîtrisant pas du tout l'arme et l'équilibrage de son poids, je parvenais à porter quelques coups à mon adversaire, qui ne semblait pas pour autant sévèrement touché. Bien au contraire. Profitant de mon inexpérience et d'un moment d'inattention de ma part, il m'asséna un premier coup de poing pour m'assommer, puis un coup latéral de la pointe de sa hache sur mon visage. Vous voyez ma cicatrice ? Vous savez désormais d'où elle vient. Mais si je suis là pour vous en parler aujourd'hui, c'est que j'ai survécu. Comment ? Je vais vous l'expliquer.

Alors complètement K.O. au sol et de nouveau désarmé, voyant le Sans-coeur se diriger vers moi pour me porter le coup fatal, j'aperçois sur le mur au fond du cul-de-sac un mirage, une porte de sortie inespérée. Là, juste en face de moi, un portail venait d'apparaître. Il semblait très instable, peut-être qu'il n'allait pas être là longtemps. Blessé au visage et groggy, je parviens toutefois à trouver l'instinct de survie nécessaire pour me relever. D'une glissade, je parviens à la fois à esquiver le Guerrier Gargouille et de récupérer ma nouvelle arme. Je ne pouvais pas la laisser là, j'en aurai probablement besoin. Et d'un sprint comme je n'en ai jamais fait dans ma vie, j'ai plongé la tête la première dans le portail. Ma mission était accomplie, j'avais réussi à fuir, mais c'était peut-être pour mourir quand même. Au moins, j'avais eu l'audace d'essayer. Je n'avais pas conscience à ce moment-là que j'ai quitté mon monde en lâche, laissant derrière moi mes amis, parents et abandonnant les habitants de la Cité du Crépuscule à leur sort. Une nouvelle vie allait peut-être commencer pour moi...

C’est de cette manière que j’ai atterris à Port-Royal, et pas n’importe où qui plus est. Ayant plongé  dans le portail, j’ai atterris la tête la première directement dans un enclos à porcs, rempli de boue. Voilà comment ce nouveau monde m’avait accueilli. Lorsque j’ai vraiment repris conscience, je me rendais compte que j’avais réellement réussi à m’enfuir, mais surtout, j’étais émerveillé par ce nouveau monde que je ne connaissais pas. Il ne m’a pas fallu beaucoup de temps pour trouver quelqu’un pour me recoudre le visage, même si j’ai gardé une trace indélébile. Cependant, je devais me faire à ma nouvelle vie et me trouver un emploi. Il y avait beaucoup de pirates dans le coin, et me voir avec mon arme n’avait pas l’air de les enchanter. Je devais trouver quelqu’un pour me protéger. C’est à travers le bouche à oreille et l’aide de quelques passants que je trouvais finalement le Centurio, une sorte de clan de mercenaires. Là-bas, s’il y a besoin de travail, vous en avez, mais pour les valeurs et les moralités, on y repassera.

Je me suis donc engagé en tant que mercenaire, un rôle que j’occupe depuis désormais cinq ans. Cinq années de hauts et de bas, mais où j’ai su profiter de ma vie. Les débuts étaient laborieux, mais à force de persévérance, d’entraînement et de gamelles à ramasser, j’ai fini par entrer dans le système. Et bien que les Mercenaires soient finalement que des gens ambitieux et solitaires, il m’est arrivé de collaborer avec des personnes de valeur. Je pense notamment à la bataille du siège de Port-Royal, où nous avons dû affronter la Compagnie des Indes qui en voulaient au Centurio.
J’ai fait la connaissance là-bas de Yojimbo, un mercenaire que je ne connaissais pas et qui ce jour-là, avait une grande importance dans la défense de la ville. Pour avoir combattu à ses côtés, je le respectais beaucoup, avant qu’il ne disparaisse. Dans nos rangs, l’espace d’une guerre se trouvait également un pirate dénommé Jack Sparrow. Le tableau qu’on me faisait souvent de lui le disait menteur comme un arracheur de dents, cupide et terriblement égoïste, mais durant ce siège, nous avons défendus côte-à-côte notre position et nous avons gagnés.

Une victoire au lourd tribut, puisque nous perdons alors le responsable du Centurio Montblanc, assassiné. Une perte qui a affecté tous les mercenaires autant qu’ils sont. Depuis, nous sommes lancés activement dans la guerre. Nous établissons des alliances car bien que neutres, nous devons nous assurer une place de choix au sein de cette guerre. C’est tout l’avantage d’être mercenaire : notre neutralité fait que nous nous sommes associés à toutes sortes de clients et il est plus facile pour nous d’obtenir des avantages en échange. Plus les jours passent, plus nous montons en puissance. Pourtant, l’équilibre reste fragile et il suffit d’un événement majeur pour tout bouleverser.

Voilà pour mon récit. Aujourd’hui vous voyez, je vis au jour le jour, au rythme des contrats qui me sont proposés au Centurio. Demain, peut-être que je serais envoyé je ne sais où pour tuer quelqu’un. Peut-être que dans ce demain-là, je finirais mort. Mais la vie est courte, il faut savoir l’apprécier. Il est vrai que je pense aux gens que j’ai laissé derrière-moi, s’ils sont encore en vie et s’ils se posent la même question à mon sujet. Mais j’ai appris à dissimuler les apparences. Je n’ai peut-être pas fait le deuil, mais je fais comme si, et ça marche très bien comme ça.




Questions diverses



1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?
Même s'il ne le s'avoue pas forcément à lui-même, Seifer est capable de ressentir des sentiments pour quelqu'un. Maintenant, il n'est pas du genre à les assumer, sa relation avec Fuu en est parfaitement l'exemple.

2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?
Un bison

3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?
S'il est un partenaire pas souvent expressif, il sait reconnaître les camarades de valeur et leur rend toujours la pareille. Ceux-là, ils peuvent aller jusque dans les fins fonds de l'Enfer, il les suivra volontiers. Puis, pour avoir laissé tomber certains amis qui comptaient beaucoup pour lui, il ne refera pas la même erreur.

4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.
S'il ne leur a jamais avoué, de part son caractère à l'époque beaucoup plus fier et froid, Seifer appréciait beaucoup ses deux comparses, Rai et peut-être plus particulièrement Fuu. Son rival de l'époque, Hayner, avait toute son estime et très souvent, il lui arrive de repenser à lui et de se demander si lui, comme les autres, sont encore en vie.

5) Quelle est la devise de votre personnage ? S'il y en a plusieurs, donnez les toutes.
"Vivre au jour le jour" et "Essayer de ne pas avoir de remords, mais ne jamais regretter de tout donner"

6) Vis à vis de votre façon d'écrire, quels sont vos points forts et points faibles?
C'est très subjectif et compliqué pour moi de juger ma propre façon d'écrire, mais je vais essayer d'être le plus objectif possible. Pour mes points forts, je dirai la diversité des mots que j'emploie, les explications et détails que je gère et le fait de me donner à 100%, de croire en ce que j'écris et de le vivre pour y apporter une touche de réalisme et d'authenticité.

Après pour les faiblesses, je mettrai en avant les longueurs. Ayant assimilé l'essentiel de mon style d'écriture sur les forums RPG où j'ai côtoyé parfois de très bons rpgiste, j'y ai appris à écrire beaucoup de choses, mais j'estime avoir du mal à privilégier la qualité et la dissocier de la quantité. De plus, tout en parlant de quantité, j'apprend toujours à aérer mes écrits et je n'en suis pas encore totalement satisfait.


7) Pourquoi incarner ce personnage ?
M'intéressant particulièrement aux mercenaires et plutôt qu'un personnage inventé, je privilégiais l'option du personnage existant, afin d'avoir déjà un peu de matière dans l'univers déjà existant du forum puis, pour y donner une interprétation personnelle. Sur ce point, Seifer est un personnage intéressant. On lui connait surtout sa fierté, sa suffisance et de sa méprise, ma mission personnelle est de lui donner un aspect plus psychologique, torturé, travaillé. Une approche plus humaine de Seifer, peut-être parce que je suis quelqu'un d'humain, aux émotions qui peuvent être fortes.


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Salut ! Je te souhaite officiellement la bienvenue. J'espère que tu vas plaire sur ce forum... parce que toi, tu me plais déjà.

EDIT : A l'avance, désolé pour toutes les fois où j'ai confondu Hayner et Seifer ^^

En lisant le physique, j'ai été assez scotché, je dois dire. C'est très précis et très bien écrit, donc... bonheur ! Et tu sais, quand je lis une fiche, c'est toujours un peu la même chose. En premier lieu je regarde la longueur... ensuite je lis les réponses aux questions, tout à la fin. Enfin à ce moment-là, je lis le physique... Et alors que je lisais le physique, je me suis dit ["impeccable, son niveau doit tourner autour de Commandant. "
C'est rare que je lise un physique et que rien ne manque... Bon tu aurais pu être plus précis, c'est sûr... D'ailleurs, on peut toujours être plus précis. Regarde, tu aurais pu parler... De sa voix, de sa posture, de sa démarche.

Bon allez, si je fouille un peu... je suis un peu gêné par :  "Autrefois jeune homme grand mais frêle, il est désormais un adulte en pleine force de l'âge et doté d'un physique avantageux,"

Grand mais frêle ? Euh ouais... Il avait quoi... Quatorze ans ? Ouais je crois.

Seifer Almasy 253px-Seifer_KHII

Je te trouve un peu dur ^^. Il est clairement plus costaud que Hayner et Roxas. Bon ok, c'est pas Rai, mais je crois que... pour un ado, ça passe carrément. Donc non il n'était pas frêle.

J'aime assez, toutefois, la comparaison que tu fais entre Hayner adulte et Hayner adolescent. Disons que tu la fais bien. Toutefois elle souligne un petit minuscule problème présent aussi dans ton caractère;

Au fond... Pourquoi parler de cet Hayner-là ? Je parle bien entendu de cet Hayner de KH2, le seul qu'on connait d'ailleurs.

Quand tu y réfléchis, personne ne fait ça. Dans ma fiche de Lulu, je n'ai pas comparé le physique et le caractère de Lulu ado... à ceux de ma Lulu de vingt-huit ans. Tout comme Freyja ne l'a sans doute pas fait.

Bon, une petite comparaison, ok... Mais axer ses descriptions sur la différence entre ton personnage ado/adulte ?

Sans me tromper, je pourrais deviner que tu l'as fait pour une raison tout à fait évidente : Parce que le seul Hayner qu'on connait, dans Kingdom Hearts, c'est l'adolescent, celui de quatorze ans. Et tu veux marquer la différence.
Mais c'est un peu ce que je trouve dommage... Le point de vue de Kingdom Hearts a influencé le point de vue de ta fiche, alors que finalement... Le vrai Hayner (pas celui de Roxas donc, qui n'est qu'artificiel) n'a que très peu d'importance dans Kingdom Hearts II.

Rassure-toi, ce n'est que mon opinion ^^, j'ai vraiment apprécié ton physique.

Je donne commandant à ton physique.

Si je t'ai parlé d'ô combien j'étais content de ton physique, de la façon dont j'ai estimé ton niveau, c'est parce que quand j'ai lu le caractère, j'ai été un peu déçu.

Niveau style, rien à dire... Le caractère est très bon, en tant que texte. Mais... je l'ai trouvé très superficiel, il ne gratte que la surface. Je ne connais pas tellement Hayner, puisque je n'ai pas joué à FFVIII mais... j'ai trouvé ta description un peu légère par rapport à un personnage... sans doute très intéressant.

Le fait que ton caractère soit très obscur, encore ça j'ai trouvé ça cool. Bah oui... Même toi tu n'as pas l'air certain d'avoir totalement compris Hayner quand tu écris (ce n'est pas une critique) et ça donne un style assez terrible, vraiment hésitant. Tu n'arrives pas à te décider sur ce qu'il est, du coup tu nous laisses dans le vague.

Mais certains points ne sont absolument pas abordés et ça je trouve ça vraiment dommage.

Comme je le dis souvent, le caractère demande plus de précision que le physique, et surtout beaucoup plus de maturation. Moi il me faut des jours pour réussir à plus ou moins réunir tout ce qui compose le caractère de mon personnage, même quand c'est un inventé.

Et un bon caractère, c'est... une vingtaine de traits, au minimum. Je ne dis évidemment pas que tu dois les citer tous, non ça peut être beaucoup plus subtil que ça, mais il faut simplement se rappeler que personne n'a un caractère "simple". Personne ne peut être résumé en trois mots.

Au caractère je donne lieutenant. Ca reste un bon grade et c'est beaucoup plus dans la moyenne de ce que je donne aux nouveaux, en général ^^.

Alors je suis en train de lire l'histoire. Pour l'instant je vais dire un peu tout ce qui me dérange.

Oui dans un premier temps... Vivi ? Qu'en as-tu fait ? ^^ Pas la moindre mention, rien, j'avoue être un peu étonné. Surtout que Vivi est quand même un sacré lèche-bottes auprès de Seifer.

En soi, dans le même registre :
"De ma génération, il y avait pas mal de jeunes : Hayner, Olette, Pence, Fuu, Rai."

La cité du crépuscule c'est vachement grand... et quand bien même... je pense qu'il y a plus que six gamins dans la ville, ou même dans leur classe. Ca aurait été sympa que tu glisses un "Parmi tous les adolescents de la ville, il y avait... "
Fin tu vois.

Alors aussi

"Rapport N°66
Le ciel est devenu sombre, le soleil est devenu noir. La ville a été vaincue et assiégée. Le groupe de héros, bien qu’ardents défenseurs, n’a rien pu faire pour nous. Les héros sont tombés au combat face à d’autres individus plus puissants encore. Le règne de la Coalition Noire par les Sans-cœurs venait de commencer. Qui sait de quoi notre avenir sera fait. Peut-être allons-nous tous mourir. Ce sera mon dernier rapport en tant que chef du Comité disciplinaire, je démissionne. Je n’ai pas le pouvoir de défendre la ville face à cette menace."

Ce n'est évidemment pas grave mais il y a une petite erreur. Comme je te l'ai dit dans mon mp, les sans-coeurs n'ont été utilisés qu'à partir du règne du Modéré noir. Avant ça, il avait à peine d'influence dans la Coalition noire.

Et j'avoue avoir été perturbé par une chose. Seifer veut se barrer de la cité du crépuscule et donc, par sûreté, emporte... une épée en bois ? Ok faute de mieux ! Mais il a dix-huit ans... Ce mec est une légende du struggle (j'exagère à peine ^^); Qu'au moins il prenne une batte !

Voilà j'ai fini de lire !
Passons à ce qui est bien et à un commentaire un peu plus global.

Déjà... le style est bon, ça c'est sûr. C'est vraiment agréable de te lire même si parfois, tu fais des fautes un peu grossières. C'est suffisamment rare pour que je ne t'en tienne pas rigueur mais... une relecture ne fait jamais de mal ^^.
J'ai beaucoup aimé l'idée des rapports. Le fait que tu partes sur l'idée du sans-coeur que Hayner poursuit pendant des jours entiers, c'était très bon... même si au final, il s'avère que la Coalition noire n'a pas tout de suite régné grâce aux sans-coeurs... Sans parler du fait que les sans-coeurs étaient arrivés sur la ville depuis quoi ? Moins d'un an ? Mais ça tu pouvais pas savoir.

Les rapports m'ont plu mais je ne t'ai pas trouvé très subtil par rapport à Fuu. Ca m'a gêné, franchement... A chaque fois que tu en parles, tu laisses planer un pseudo mystère et... sans méchanceté, vraiment, j'ai trouvé ça un peu lourd. C'est d'autant plus flagrant que tu ne parles absolument pas de Rai. Ok, si, tu le cites. Mais faire une fiche sur Hayner sans parler une seule fois de la stupidité de Rai, c'est quasiment impossible.

Donc on sent direct que tu places Fuu sur un autre plan que Rai. Ca n'est pas un problème mais à mon sens, c'est assez mal amené. Ce qui est dommage, je suis sûr que tu as d'excellentes idées. (Bon après, les chances qu'une Fuu nous rejoigne sont maigres)

J'ai adoré le fait que Seifer abandonne un peu, très vite d'ailleurs, à l'arrivée de la Coalition noire. Il est certain, et à raison, de ne rien pouvoir faire contre eux. Alors il abandonne son titre de président du comité disciplinaire... C'est terrible.
Ouais c'est encore ce que j'ai préféré dans cette fiche : On a un Seifer qui s'est vraiment comporté en méga-lâche alors que tout le monde comptait sur lui.

J'ai aussi aimé la raison... à la cicatrice de Seifer. Un combat contre un sans-coeur, un sans-coeur à peine balèze pour un mec comme Sora... mais insurmontable pour un civil. J'ai aimé ça parce que tu n'as pas essayé de trouver une explication de ouf, tragique, sur la cicatrice de Seifer, qui n'aurait jamais égalé la raison de base (dans FFVIII)

Mais... Mais quoi ?

Seifer a une cicatrice dans KH2, ce qui est évidemment antérieur à l'avènement de la coalition noire. Ah... clairement le fait que tu aies fait semblant de rien m'a gêné ^^. Donc oui j'aimais l'idée mais le fait d'avoir changé l'histoire du personnage de base m'a déçu.

Sinon...

Ecoute je crois que c'est tout. J'oublie certainement des choses mais c'est pas grave.

J'ai aimé ton histoire mais j'ai été bloqué par quelques maladresses, tu me comprendras.

Je donne capitaine à ton histoire...

Ce qui te fait un grade, en définitive, de Capitaine !

Fiche validée et toutes conneries du style. Si tu veux des renseignements sur la situation actuelle des mercenaires, n'hésite pas ^^
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