Le matin de sa deuxième semaine dans la Coalition, Rouskof se réveilla sereinement. Ses cauchemars l’avaient abandonné.
Son inconscient avait ’il finit par accepter les atrocités qu’il avait perpétrer ? Rouskof en doutait, mais maintenant que son esprit était tranquille et aiguisé comme une lame de rasoir, il trouvait cela beaucoup plus plaisant. Ne plus avoir d’état d’âmes ne pourrait lui être que bénéfique dans sa quête de pouvoir.
En se dirigeant vers l’aile scientifique, Rouskof remarqua de nouveau esclave occupé à nettoyer le Manoir, apparemment, la Coalition n’avait pas traîné pour trouver des occupations à sa cargaison.
Rouskof fut accueilli par une scientifique. Sa seul véritable différence avec le scientifique habituel était ses cheveux long.
Rouskof en fut surpris et ne put garder sa réserve plus longtemps.
« - Où est votre collègue ? C’est lui qui me fournissait mes ordres de mission habituellement… »
« - Oh, et bien je suppose que son cadavre doit être occupé à pourrir quelque part… Pourquoi s’en préoccuper ? L’espérance de vie d’un scientifique est très limité ici, j’en suis pleinement consciente, mais ai-je le choix ? »
Dit-elle en lui tendant une enveloppe.
« - Plus j’en apprend sur les méthode de la Coalition, plus je me rend compte qu’être capable de faire abstraction de ses émotion pour être capable d’accomplir n’importe quel mission quel qu’en soi les implication sera un atout… » Se dit ’il tout en attrapant l’enveloppe que la scientifique lui tendait.
Rouskof l’ouvrit sans attendre et se mit à lire.
Rouskof,
Vous souvenez vous de votre première victime en tant qu’agent de la Coalition ? Oui bien sur que vous vous en souvenez…
Et bien d’après nos informations, suite à l’exécution de sa fille, son père songe à rejoindre la cause rebelles, nous ne pouvons le tolérer.
Vous trouverez joint à cette lettre l’emplacement de son habitation dans la cité du couchant.
NE LE TUEZ PAS !! Sa mort nous desservirai plus qu’elle ne nous servirait, je veux juste que vous le dissuadiez de rejoindre les rebelles.
« - Alors quel est votre mission ? » demanda la scientifique.
Rouskof fut interloqué par cette question. « - Comment une simple scientifique qui sait que son heure viendra bientôt ose-t-elle faire preuve d’autant de culot… »Se demanda t’il.
« - Ma mission ne vous regarde pas, si vous voulez survivre plus longtemps que votre prédécesseur, vous devriez apprendre où est votre place ! »Dit-il tout en jetant la lettre dans un feux de cheminé proche.
La scientifique resta un instant la bouche ouverte tel un poisson avant de se recomposer une expression neutre.
« - Vous avez raison, je suis navrée… »
Rouskof sortit du Manoir, et se dirigea vers la cité du couchant.
Il était encore tôt, et il se déplaçai rapidement. En arrivant non loin de sa destination, Rouskof réalisa un bond dantesque afin d’arriver sur un toit.
Il continua sa route silencieusement, se déplaçant de toit en toit. Il arriva enfin en vue de son objectif.
Il avait de la chance, juste après son arrivée, un homme sorti de la maison indiqué dans sa mission. Il le suivit discrètement par-delà les ruelles jusqu’à un bar qui était connu pour être un repère de rebelles.
Rouskof revient devant la maison et réfléchit un instant.
« - Je dois avoir un peu de temps devant moi avant son retour… Sa femme doit encore être à l’intérieur, mais elle ne devrait pas me poser de problème. »
Il observa la maison et remarqua une fenêtre entrouverte au deuxième étage.
« - Voila ma porte d’entrée… » Se dit ‘il.
Il se déplaça jusque sur le toit de la maison où il se laissa pendre en se retenant par les mains au toit devant la fenêtre entrouverte.
Rouskof poussa la fenêtre avec ses pieds pour l’ouvrir, puis se balançant d’avant en arrière, il finit par lâcher le toit pour atterrir dans la pièce de la maison.
Rouskof observa la pièce silencieusement. Il se trouvait dans une chambre à coucher, sur la table de chevet se trouvait une boite de mouchoir. Sous les couvertures, un corps était endormi.
Un rapide coup d’œil lui apprit que la personne endormie était la mère de sa victime.
Il s’éclipsa discrètement de la pièce et se dirigea vers le rez-de-chaussée.
Avant toute chose, Rouskof reconnut les lieux. Le rez-de-chaussée était composé d’un hall d’entrée suivit d’un couloir menant au salon. Attenante au salon se trouvait une cuisine et un petit couloir menant à l’escalier d’où il était arrivé.
Il décida d’attendre le père dans le salon, il s’installa dans un fauteuil confortable.
Alors qu’il attendait patiemment le père, ses yeux commencèrent à vagabonder dans la pièce, ses yeux se posèrent sur plusieurs photos représentant une fillette rieuse et pleine de vie.
Malgré lui, ses pensée commencèrent à vagabonder : « - Comment cette fillette peut-elle être la même personne que la créature que j’ai exécuté ? Sur ces photos elle semble si heureuse… »
Soudain il comprit qu’il commençait à regretter son geste.
Il se secoua intérieurement : « - Tu n’avais pas le choix, les ordres sont les ordres. Si tu ne l’avais pas fait, un autre l’aurait fait, et tu n’en aurais retiré qu’une punition ! » Se dit’ il en rejetant ses émotions au fond de lui-même.
Au même instant, il entendit une clé joué dans la serrure de la porte d’entrée. Rouskof se prépara à la confrontation.
Lorsque l’homme pénétra dans le salon, ses yeux s’écarquillère de surprise.
« - Que… Que faite vous ici ? Qui êtes-vous ? Et qu’avez-vous fait à ma femme ! » Demanda-t-il, sa voix gagnant en force au fil de ses question.
« - Votre femme dort paisiblement dans sa chambre, vous feriez bien de ne pas la réveillez, cela ne ferai que compliqué les chose… » dit Roukof avec calme.
« [color=Crimson]- Comment s’est passé votre rendez-vous avec les rebelles ? [color] » Ajouta t’il.
« - Que… Comment savez-vous que… Attendez, c’est vous qui avez exécuté Sarah ! Si vous êtes venu finir le travail, allez-y, de toute façon j’ai perdu ma raison de vivre en même temps que ma fille perdait sa tête… » Dit-il alors que son visage devenait aussi blanc qu’un cadavre.
« - Non, si j’avais voulu vous tuer, je l’aurait fait il y a une heure de cela lorsque vous avez empruntez la ruelle à deux rue d’ici. Nous ne pouvons tolérer que les rebelles gagnent en effectif et en force. Si jamais nous apprenions, et nous vous y tromper pas, nous le saurons, que les rebelles accueille un nouveau membre en votre personne, je reviendrai et dans ce cas vous et votre femme rêverez de ne jamais être venu au monde ! Suis-je clair ? »
« - Je… Oui, je comprends… »
Rouskof se tut. Le silence sembla s’étirer hors de l’espace et du temps jusqu’à ce qu’il se lève et se dirige vers la sortie. L’homme le laissa passez sans résistance.
Avant de sortir, Rouskof ajouta : « - Oh et sinon à part cela, profitez de la vie, la vie peut-être douce quand on ne s’oppose pas à la Coalition… »
Une fois dehors, Rouskof se dirigea vers le Manoir pour faire son rapport. Il était certain d’avoir supprimé toute velléité de rébellion dans cet homme.
Dim 24 Aoû 2014 - 20:05Son inconscient avait ’il finit par accepter les atrocités qu’il avait perpétrer ? Rouskof en doutait, mais maintenant que son esprit était tranquille et aiguisé comme une lame de rasoir, il trouvait cela beaucoup plus plaisant. Ne plus avoir d’état d’âmes ne pourrait lui être que bénéfique dans sa quête de pouvoir.
En se dirigeant vers l’aile scientifique, Rouskof remarqua de nouveau esclave occupé à nettoyer le Manoir, apparemment, la Coalition n’avait pas traîné pour trouver des occupations à sa cargaison.
Rouskof fut accueilli par une scientifique. Sa seul véritable différence avec le scientifique habituel était ses cheveux long.
Rouskof en fut surpris et ne put garder sa réserve plus longtemps.
« - Où est votre collègue ? C’est lui qui me fournissait mes ordres de mission habituellement… »
« - Oh, et bien je suppose que son cadavre doit être occupé à pourrir quelque part… Pourquoi s’en préoccuper ? L’espérance de vie d’un scientifique est très limité ici, j’en suis pleinement consciente, mais ai-je le choix ? »
Dit-elle en lui tendant une enveloppe.
« - Plus j’en apprend sur les méthode de la Coalition, plus je me rend compte qu’être capable de faire abstraction de ses émotion pour être capable d’accomplir n’importe quel mission quel qu’en soi les implication sera un atout… » Se dit ’il tout en attrapant l’enveloppe que la scientifique lui tendait.
Rouskof l’ouvrit sans attendre et se mit à lire.
Rouskof,
Vous souvenez vous de votre première victime en tant qu’agent de la Coalition ? Oui bien sur que vous vous en souvenez…
Et bien d’après nos informations, suite à l’exécution de sa fille, son père songe à rejoindre la cause rebelles, nous ne pouvons le tolérer.
Vous trouverez joint à cette lettre l’emplacement de son habitation dans la cité du couchant.
NE LE TUEZ PAS !! Sa mort nous desservirai plus qu’elle ne nous servirait, je veux juste que vous le dissuadiez de rejoindre les rebelles.
« - Alors quel est votre mission ? » demanda la scientifique.
Rouskof fut interloqué par cette question. « - Comment une simple scientifique qui sait que son heure viendra bientôt ose-t-elle faire preuve d’autant de culot… »Se demanda t’il.
« - Ma mission ne vous regarde pas, si vous voulez survivre plus longtemps que votre prédécesseur, vous devriez apprendre où est votre place ! »Dit-il tout en jetant la lettre dans un feux de cheminé proche.
La scientifique resta un instant la bouche ouverte tel un poisson avant de se recomposer une expression neutre.
« - Vous avez raison, je suis navrée… »
Rouskof sortit du Manoir, et se dirigea vers la cité du couchant.
Il était encore tôt, et il se déplaçai rapidement. En arrivant non loin de sa destination, Rouskof réalisa un bond dantesque afin d’arriver sur un toit.
Il continua sa route silencieusement, se déplaçant de toit en toit. Il arriva enfin en vue de son objectif.
Il avait de la chance, juste après son arrivée, un homme sorti de la maison indiqué dans sa mission. Il le suivit discrètement par-delà les ruelles jusqu’à un bar qui était connu pour être un repère de rebelles.
Rouskof revient devant la maison et réfléchit un instant.
« - Je dois avoir un peu de temps devant moi avant son retour… Sa femme doit encore être à l’intérieur, mais elle ne devrait pas me poser de problème. »
Il observa la maison et remarqua une fenêtre entrouverte au deuxième étage.
« - Voila ma porte d’entrée… » Se dit ‘il.
Il se déplaça jusque sur le toit de la maison où il se laissa pendre en se retenant par les mains au toit devant la fenêtre entrouverte.
Rouskof poussa la fenêtre avec ses pieds pour l’ouvrir, puis se balançant d’avant en arrière, il finit par lâcher le toit pour atterrir dans la pièce de la maison.
Rouskof observa la pièce silencieusement. Il se trouvait dans une chambre à coucher, sur la table de chevet se trouvait une boite de mouchoir. Sous les couvertures, un corps était endormi.
Un rapide coup d’œil lui apprit que la personne endormie était la mère de sa victime.
Il s’éclipsa discrètement de la pièce et se dirigea vers le rez-de-chaussée.
Avant toute chose, Rouskof reconnut les lieux. Le rez-de-chaussée était composé d’un hall d’entrée suivit d’un couloir menant au salon. Attenante au salon se trouvait une cuisine et un petit couloir menant à l’escalier d’où il était arrivé.
Il décida d’attendre le père dans le salon, il s’installa dans un fauteuil confortable.
Alors qu’il attendait patiemment le père, ses yeux commencèrent à vagabonder dans la pièce, ses yeux se posèrent sur plusieurs photos représentant une fillette rieuse et pleine de vie.
Malgré lui, ses pensée commencèrent à vagabonder : « - Comment cette fillette peut-elle être la même personne que la créature que j’ai exécuté ? Sur ces photos elle semble si heureuse… »
Soudain il comprit qu’il commençait à regretter son geste.
Il se secoua intérieurement : « - Tu n’avais pas le choix, les ordres sont les ordres. Si tu ne l’avais pas fait, un autre l’aurait fait, et tu n’en aurais retiré qu’une punition ! » Se dit’ il en rejetant ses émotions au fond de lui-même.
Au même instant, il entendit une clé joué dans la serrure de la porte d’entrée. Rouskof se prépara à la confrontation.
Lorsque l’homme pénétra dans le salon, ses yeux s’écarquillère de surprise.
« - Que… Que faite vous ici ? Qui êtes-vous ? Et qu’avez-vous fait à ma femme ! » Demanda-t-il, sa voix gagnant en force au fil de ses question.
« - Votre femme dort paisiblement dans sa chambre, vous feriez bien de ne pas la réveillez, cela ne ferai que compliqué les chose… » dit Roukof avec calme.
« [color=Crimson]- Comment s’est passé votre rendez-vous avec les rebelles ? [color] » Ajouta t’il.
« - Que… Comment savez-vous que… Attendez, c’est vous qui avez exécuté Sarah ! Si vous êtes venu finir le travail, allez-y, de toute façon j’ai perdu ma raison de vivre en même temps que ma fille perdait sa tête… » Dit-il alors que son visage devenait aussi blanc qu’un cadavre.
« - Non, si j’avais voulu vous tuer, je l’aurait fait il y a une heure de cela lorsque vous avez empruntez la ruelle à deux rue d’ici. Nous ne pouvons tolérer que les rebelles gagnent en effectif et en force. Si jamais nous apprenions, et nous vous y tromper pas, nous le saurons, que les rebelles accueille un nouveau membre en votre personne, je reviendrai et dans ce cas vous et votre femme rêverez de ne jamais être venu au monde ! Suis-je clair ? »
« - Je… Oui, je comprends… »
Rouskof se tut. Le silence sembla s’étirer hors de l’espace et du temps jusqu’à ce qu’il se lève et se dirige vers la sortie. L’homme le laissa passez sans résistance.
Avant de sortir, Rouskof ajouta : « - Oh et sinon à part cela, profitez de la vie, la vie peut-être douce quand on ne s’oppose pas à la Coalition… »
Une fois dehors, Rouskof se dirigea vers le Manoir pour faire son rapport. Il était certain d’avoir supprimé toute velléité de rébellion dans cet homme.