... Alors ca y est ... tout est fin prêt. Il est temps pour Nikoleis de lancer son premier grand projet scientifique pour la Lumière, celui qui le fera probablement passer de simple inventeur à génie ... si tout marche pour le mieux. Non, je n'éxagère rien, là, je le pense vraiment, car là, quand même, on vous parle pas d'un petit truc. Non, aujourd'hui, c'est ni plus ni moins que la création artificielle de blocs gummis qui va marquer l'Histoire un fois pour toute. Car si ca marche ... fini le monopôle de la Shin-Ra, terminé la suprématie spatial sans coeur et bonjour les contrats pour renflouer les caisses de la Lumière.
Mais non, ce n'est pas tout. Non content d'être un exploit pratique que les mondes envieront, il y a autre chose, un point beaucoup plus personnel ... vu que les blocs gummis sembleraient être le point de rencontre des ténèbres interstellaire et de la lumière des mondes, il y a fort à parier que pour un autre de ses petits projets (encore en phase d'étude) ne voit là qu'un point de départ en comparaison de ce que cela apporterait. Mais vu que ce plus gros projet est LOIN d'être réalisable dans l'etat actuelle des choses ... concentrons nous sur les faits actuels.
Nous voici donc dans l'espace, plus précisément là où la frontière entre les mondes à une forme toute particulière, celle d'un ensemble de blocs gummis qui servait à faire le rempart entre eux. C'est ici, là où lumière et ténèbres s'équilibre, que les conditions de test seront optimal pour obtenir les blocs via virtualisation, puis dosage précis de ces deux éléments dans cette coquille de pure mathématique. Trop de lumière et le produit devient instable, se liquéfiant. Trop de ténèbres et les facultés de liaison se perdent, empéchant les blocs de devenir autre chose que de l'obsidienne magique. C'est pourquoi, afin de faciliter le calibrage des appareils, le mieux est d'éliminer le facteur environnement pour commencer.
Sauf que ... si d'un point de vue d'influence énergétique la zone est on ne peux plus propice, le dosage présente deux problèmes. Le premier, tout d'abord, est le manque manifeste de moyen magique de générer des ténèbres à la disposition de Niko, obligé d'avoir recourt à des outils purement scientifique tel que la lumière noire. Parce que la magie obscure, c'est pas son domaine ... déjà les lasers c'est limite pour la lumière, mais il n'a pas le choix, sa puissance tient plus dans les lois physiques purs et la métaphysique n'est qu'un domaine assez éloigné de ses recherches habituelles.
Quand au second problême ... disons que l'espace à ce niveau n'est pas un endroit que l'on pourrait qualifier de "sûr", genre c'est ici que ce fabriquent les vaisseaux sans coeurs, crées par les débris sans cesse arrachés à cette frontière semi naturelle entre les mondes. Etr c'est bien pour cela qu'il compte sur le soutien aérien de Roxas, dont l'efficacité à résoudre les problèmes de manière (trop ?) directe va s'avérer cruciale pour que, pendant que la fusion du Yin et du Yang des coeurs s'opère dans l'enceinte du labo volant de notre ingénieur gummi en devenir.
Ven 22 Mar 2013 - 22:56Mais non, ce n'est pas tout. Non content d'être un exploit pratique que les mondes envieront, il y a autre chose, un point beaucoup plus personnel ... vu que les blocs gummis sembleraient être le point de rencontre des ténèbres interstellaire et de la lumière des mondes, il y a fort à parier que pour un autre de ses petits projets (encore en phase d'étude) ne voit là qu'un point de départ en comparaison de ce que cela apporterait. Mais vu que ce plus gros projet est LOIN d'être réalisable dans l'etat actuelle des choses ... concentrons nous sur les faits actuels.
Nous voici donc dans l'espace, plus précisément là où la frontière entre les mondes à une forme toute particulière, celle d'un ensemble de blocs gummis qui servait à faire le rempart entre eux. C'est ici, là où lumière et ténèbres s'équilibre, que les conditions de test seront optimal pour obtenir les blocs via virtualisation, puis dosage précis de ces deux éléments dans cette coquille de pure mathématique. Trop de lumière et le produit devient instable, se liquéfiant. Trop de ténèbres et les facultés de liaison se perdent, empéchant les blocs de devenir autre chose que de l'obsidienne magique. C'est pourquoi, afin de faciliter le calibrage des appareils, le mieux est d'éliminer le facteur environnement pour commencer.
Sauf que ... si d'un point de vue d'influence énergétique la zone est on ne peux plus propice, le dosage présente deux problèmes. Le premier, tout d'abord, est le manque manifeste de moyen magique de générer des ténèbres à la disposition de Niko, obligé d'avoir recourt à des outils purement scientifique tel que la lumière noire. Parce que la magie obscure, c'est pas son domaine ... déjà les lasers c'est limite pour la lumière, mais il n'a pas le choix, sa puissance tient plus dans les lois physiques purs et la métaphysique n'est qu'un domaine assez éloigné de ses recherches habituelles.
Quand au second problême ... disons que l'espace à ce niveau n'est pas un endroit que l'on pourrait qualifier de "sûr", genre c'est ici que ce fabriquent les vaisseaux sans coeurs, crées par les débris sans cesse arrachés à cette frontière semi naturelle entre les mondes. Etr c'est bien pour cela qu'il compte sur le soutien aérien de Roxas, dont l'efficacité à résoudre les problèmes de manière (trop ?) directe va s'avérer cruciale pour que, pendant que la fusion du Yin et du Yang des coeurs s'opère dans l'enceinte du labo volant de notre ingénieur gummi en devenir.