Il était parti. Il n'y avait plus rien autour de moi... Il ne restait que les ténèbres. J'étais toujours dans mon rêve... Prisonnier de mes songes... Pourtant... Cela faisait un moment que mes rêves étaient devenus ténèbres. Pourquoi? Même si j'étais la victime d'un sort, j'avais le droit de rêver, alors, pourquoi est-ce que je ne le pouvais plus? Toujours est il que le destin avait voulu que je le sache aujourd'hui...
Pour la première fois depuis mon assoupissement, j'entendais quelque chose... Les battements de mon coeur. Ils étaient réguliers, calmes, apaisants... Mon coeur battait doucement, comme si je dormais encore... Chose que je faisait; mes yeux étaient toujours fermés et mon corps refusait de bouger. J'essayais d'ouvrir les yeux: pas de réponse. Mon corps refusait catégoriquement de bouger. Ma conscience était parfaitement éveillée, mais mon corps dormait toujours. Etant donné quelle était la situation dans laquelle je me trouvais, je n'avais pas d'autre choix que de réessayer... Une fois, deux fois, trois fois. Au bout de la cinquième fois, mes yeux finirent par me répondre, et, bien que je ne put que les entrouvrir, je put voir ce qui se trouvait autour de moi. Personne. Ni Ornstein, ni L'Enchanteur, ni le Roi des Rois... Personne. J'étais seul dans cette pièce sombre. Comment était-ce possible? Ce sort aurait seulement dû se briser lorsqu'une de ces trois personnes serait venu me réveiller. Il fallait que je comprennes pourquoi. J'essayais de bouger mon bras gauche: pas de réponse. J'essayais de bouger mon bras droit et ma tête tomba sur l'accoudoir de ma chaise. La sensibilité des capteurs de ma greffe était impressionnante... A la moindre pensée, je pouvais bouger mon bras droit. Cette fois, j'étais complètement éveillé. Pour la première fois depuis quelques années, je put me lever et marcher. Mon corps était lourd. Le fauteuil sur lequel je m'étais endormi avait pris la poussière... Le tapis rouge au sol n'était pas dans un meilleur état... Quand aux chandeliers au plafond... Mieux vaut ne pas en parler. J'avançais un pied devant l'autre, presque en boitant, en direction de la sortie. J'arrivais à des escaliers en colimaçon; ceux d'une tour. Je m'adossait au mur le plus proche et m'étirait. Mon corps était complètement tendu! Il me fallut une dizaine de minutes d'étirement avant de pouvoir marcher normalement. Je montais chaque marche jusqu'à finalement arriver devant un mur, un cul-de-sac si vous préférez. Pour un humain normal, il serait normalement impossible d'avancer plus loin, mais pour moi... C'était différent. Je plongeait ma main dans la poche droite de mon manteau et en sortit une petite pierre gravée de multiples motifs floraux avant de l'apposer sur le mur. Au contact du sceau, le mur disparut... Ah Merlin! Il avait pensé à tout pour que je puisses me reposer dans les meilleures conditions possibles. Mais trêve de bavardage! Il était temps pour moi de sortir de mon "Pays des Merveilles" et de rejoindre le "Monde Réel"...
Je traversait le mur magique qui me séparait du reste du monde tout en continuant de monter les marches de la tour. Le mur magique s'était reformé derrière moi. Il n'y avait pas de retour possible! Bon! Avant toute choses, il fallait que je saches si Alexander était de retour au pouvoir ou bien si le sortilège qui me retenait prisonnier s'était dissipé de lui même. Avant d'avancer, je jetais rapidement un coup d'oeil à mes vêtements: je portais des jambières de chevaliers, ainsi qu'un brassard et un gantelet. Quand à mon manteau... Il était complètement noir et le col créait une croix catholique rouge qui descendait jusqu'à mes pieds. Visiblement, je portais mes habits d'"Artorias, le Marche-Abysses". Afin de coller à mon personnage, je sortit de mon manteau ma longue épée noire, Balmung, que j'accrochais à mon dos. Je ne pourrait peut être pas me battre dans les meilleures conditions, mais au moins, j'aurai une arme pour me défendre. Continuant de gravir cette tour, j'arrivais finalement dans un petit couloir. Ce dernier, selon mes souvenirs, donnait sur la bibliothèque d'un coté et à un plus grand couloir de l'autre. Avant d'avancer, je posais ma main au sol et envoyait une petite onde autour de moi afin d'avoir une idée de ce qui m'attendais. Derrière la porte de la bibliothèque, deux petits êtres, sûrement des balais qui font le ménage compte tenu de leurs déplacements. Dans le couloir, deux gardes devant la grande porte. Calmement, je m'avançait vers eux, pensant qu'ils me reconnaîtrait... Je me trompais lourdement. A la seconde où l'un des deux me vit, les deux se mirent en garde devant moi, me bloquant le passage. Ne comprenant pas leur réaction, je m'approchais d'eux pour leur demander ce qu'il se passait. La seule réponse que je put obtenir fut:
A ces mots, les deux gardes se mirent à courir vers moi, la lame à la main, tentant de me prendre en tenaille. A cet instant, ma main se trouvait sur mon épée, prête à être dégainée...
A ces mots, ma lame fut sortie de son fourreau et tournoyait autour de moi. Cette attaque n'avait pas pour but de leur faire du mal, mais plutôt de les tenir à distance le temps d'utiliser un sort qui les mettraient hors combat. Lâchant mon épée d'une main et touchant mon manteau de l'autre, je tirai ma vraie lame et rangeait la lame des ténèbres dans son fourreau. Dans ma main se trouvait désormais mon épée légendaire... Tenant fermement son fourreau, j'extirpais la lame lunaire et la tenait de telle manière à ce que le coté plat de la lame puisses frapper.
"Mineuchi...!
A cet instant, le combat commençait réellement. Le premier que j'attaquais était l'homme qui se postait derrière moi. Un coup circulaire de ma lame suivie de multiples coups très rapides eurent raison de lui... Quand au second... La rage commençait à l'habiter. Sans réfléchir, le plus jeune des deux, Azel, m'attaqua de toute ses forces, un coup d'épées suivi par un autre. Ce genre de technique... Seul ceux qui n'avaient plus rien à perdre l'utilisait. Son visage affichait la colère... Le même genre de colère qu'on éprouve lorsqu'on perds un être cher. Si seulement il savait que je n'avais pas tué l'homme qui se trouvait au sol. Usant du fourreau de ma lame, j'arrêtais un des coups du jeune soldat avant de l'attaquer de la même manière que son ami... Un coup, puis deux, puis trois... Une dizaine de coups suffirent à le faire plier lui aussi. Je rangeais ma lame et observais ces deux soldats. Ils avaient eu de la chance... Si ça avait té un autre, ils seraient sûrement morts à l'heure qu'il est. Observant l'énorme porte qui se trouvait derrière moi, je compris vite que les dires du soldat était vrai. Alexander ne se trouvait pas ici... Le sort qui me retenais prisonnier s'était donc rompu de lui même. Soupirant, je savais qu'il ne me restait plus rien à faire ici pour le moment. Levant mon gant droit, j'observais mon indicateur de magie... 32%... C'était bas. Trop bas pour pouvoir me téléporter dans un autre monde. Et, vu l'état des deux gardes, si je restait ici, j'allais sûrement me faire tuer avant même d'obtenir le pourcentage requis. Mon corps était encore lourd... Attaquer aussi vite n'avait fait que me fatiguer d'avantage et je n'aurai peut être pas la force de résister à une escouade lancée à mes trousses. Il fallait que je récupère dans un endroit calme, et le seul que je connaissait était ma "chambre". Calmement, je repris le chemin inverse afin de retourner dans la salle dans laquelle je me suis éveillé. A peine je fus arrivé au détour d'un couloir que quatre gardes avaient trouvés leur deux alliés inconscients... Il me fallait un plan. Claquant des doigts, je lançais un nouveau sort.
A cet instant, un double de moi apparut au bout du couloir et se mit à courir jusqu'à la rambarde, sautant dans les jardins avant de continuer sa course. Les quatre gardes se mirent à observer les-dits jardins avant de partir à la recherche de mon clone. Toutefois, il en restait un... Lançant à nouveau mon sort, j'envoyais un clone courir dans les couloirs. Ils se mirent à leur tour à le suivre. Au moins, j'allais être tranquille un petit moment avant qu'un autre groupe ne débarque... Redescendant vers ma "salle privée", j'usais à nouveau de mon sceau pour passer à travers le mur... Toutefois, celui-ci ne se reprit pas de forme matérielle après mon passage, à ma grande surprise. Le sort devait lui aussi s'être estompé avec le temps... Continuant d'avancer, je me retrouvais à nouveau dans le lieu de mon repos. Déposant ma longue épée à ma droite, je m'asseyais à nouveau sur mon "trône" et me mit à observer de nouveau cette salle. Elle était grande, très grande... Pas aussi grande que le couloir ou la salle du trône, mais assez vaste quand même. Les rideaux accrochés aux murs étaient déchirés, le tapis avait perdu tout son éclat... Et les misérables rayons de lumières qui éclairait encore la pièce la rendaient encore plus triste. Et moi, j'étais la, assis, les mains croisées, posées sur mes lèvres à attendre... Attendre que mes réserves de magie remontent... 35%... A cette allure, il me faudrait encore quelques minutes pour pouvoir me téléporter. J'avais le champ de vision libre et cette salle était ouverte, mais mon corps était encore un peu engourdi...Si je devais affronter un officier supérieur de la lumière, ça jouerai sûrement à mon désavantage, d'autant plus que je devais économiser mes ressources magiques... Toutefois, si l'un d'eux venaient à entrer ici, je serai la pour les accueillir en tant qu'Artorias le Marche-Abysses.
Mer 12 Sep 2012 - 20:27Pour la première fois depuis mon assoupissement, j'entendais quelque chose... Les battements de mon coeur. Ils étaient réguliers, calmes, apaisants... Mon coeur battait doucement, comme si je dormais encore... Chose que je faisait; mes yeux étaient toujours fermés et mon corps refusait de bouger. J'essayais d'ouvrir les yeux: pas de réponse. Mon corps refusait catégoriquement de bouger. Ma conscience était parfaitement éveillée, mais mon corps dormait toujours. Etant donné quelle était la situation dans laquelle je me trouvais, je n'avais pas d'autre choix que de réessayer... Une fois, deux fois, trois fois. Au bout de la cinquième fois, mes yeux finirent par me répondre, et, bien que je ne put que les entrouvrir, je put voir ce qui se trouvait autour de moi. Personne. Ni Ornstein, ni L'Enchanteur, ni le Roi des Rois... Personne. J'étais seul dans cette pièce sombre. Comment était-ce possible? Ce sort aurait seulement dû se briser lorsqu'une de ces trois personnes serait venu me réveiller. Il fallait que je comprennes pourquoi. J'essayais de bouger mon bras gauche: pas de réponse. J'essayais de bouger mon bras droit et ma tête tomba sur l'accoudoir de ma chaise. La sensibilité des capteurs de ma greffe était impressionnante... A la moindre pensée, je pouvais bouger mon bras droit. Cette fois, j'étais complètement éveillé. Pour la première fois depuis quelques années, je put me lever et marcher. Mon corps était lourd. Le fauteuil sur lequel je m'étais endormi avait pris la poussière... Le tapis rouge au sol n'était pas dans un meilleur état... Quand aux chandeliers au plafond... Mieux vaut ne pas en parler. J'avançais un pied devant l'autre, presque en boitant, en direction de la sortie. J'arrivais à des escaliers en colimaçon; ceux d'une tour. Je m'adossait au mur le plus proche et m'étirait. Mon corps était complètement tendu! Il me fallut une dizaine de minutes d'étirement avant de pouvoir marcher normalement. Je montais chaque marche jusqu'à finalement arriver devant un mur, un cul-de-sac si vous préférez. Pour un humain normal, il serait normalement impossible d'avancer plus loin, mais pour moi... C'était différent. Je plongeait ma main dans la poche droite de mon manteau et en sortit une petite pierre gravée de multiples motifs floraux avant de l'apposer sur le mur. Au contact du sceau, le mur disparut... Ah Merlin! Il avait pensé à tout pour que je puisses me reposer dans les meilleures conditions possibles. Mais trêve de bavardage! Il était temps pour moi de sortir de mon "Pays des Merveilles" et de rejoindre le "Monde Réel"...
Je traversait le mur magique qui me séparait du reste du monde tout en continuant de monter les marches de la tour. Le mur magique s'était reformé derrière moi. Il n'y avait pas de retour possible! Bon! Avant toute choses, il fallait que je saches si Alexander était de retour au pouvoir ou bien si le sortilège qui me retenait prisonnier s'était dissipé de lui même. Avant d'avancer, je jetais rapidement un coup d'oeil à mes vêtements: je portais des jambières de chevaliers, ainsi qu'un brassard et un gantelet. Quand à mon manteau... Il était complètement noir et le col créait une croix catholique rouge qui descendait jusqu'à mes pieds. Visiblement, je portais mes habits d'"Artorias, le Marche-Abysses". Afin de coller à mon personnage, je sortit de mon manteau ma longue épée noire, Balmung, que j'accrochais à mon dos. Je ne pourrait peut être pas me battre dans les meilleures conditions, mais au moins, j'aurai une arme pour me défendre. Continuant de gravir cette tour, j'arrivais finalement dans un petit couloir. Ce dernier, selon mes souvenirs, donnait sur la bibliothèque d'un coté et à un plus grand couloir de l'autre. Avant d'avancer, je posais ma main au sol et envoyait une petite onde autour de moi afin d'avoir une idée de ce qui m'attendais. Derrière la porte de la bibliothèque, deux petits êtres, sûrement des balais qui font le ménage compte tenu de leurs déplacements. Dans le couloir, deux gardes devant la grande porte. Calmement, je m'avançait vers eux, pensant qu'ils me reconnaîtrait... Je me trompais lourdement. A la seconde où l'un des deux me vit, les deux se mirent en garde devant moi, me bloquant le passage. Ne comprenant pas leur réaction, je m'approchais d'eux pour leur demander ce qu'il se passait. La seule réponse que je put obtenir fut:
"Halte être des ténèbres! Les créatures de votre genre ne sont pas autorisées à marcher en ce lieu!
-Moi? Créature des ténèbres? Demandais-je, étonné. Vous devez faire erreur... Je suis le Chevalier Artorias des Abysses.
-C'est ça! Et moi je suis le Roi Mickey! Et pourquoi le Chevalier des Abysses reviendrait-il d'entre les morts? Rétorqua-t-il.
-Et bien... Pour reprendre son oeuvre la où il l'a laissée.
-Bien sûr... Et pendant qu'on y est, Alexander va lui aussi revenir d'entre les morts et tous nous sauver? Tsss...! Azel! Cet homme m'énerve! Et si on l'envoyait croupir dans les cachots?
-Pourquoi pas! C'est tout ce que méritent les imposteurs de toute façons!"
-Moi? Créature des ténèbres? Demandais-je, étonné. Vous devez faire erreur... Je suis le Chevalier Artorias des Abysses.
-C'est ça! Et moi je suis le Roi Mickey! Et pourquoi le Chevalier des Abysses reviendrait-il d'entre les morts? Rétorqua-t-il.
-Et bien... Pour reprendre son oeuvre la où il l'a laissée.
-Bien sûr... Et pendant qu'on y est, Alexander va lui aussi revenir d'entre les morts et tous nous sauver? Tsss...! Azel! Cet homme m'énerve! Et si on l'envoyait croupir dans les cachots?
-Pourquoi pas! C'est tout ce que méritent les imposteurs de toute façons!"
A ces mots, les deux gardes se mirent à courir vers moi, la lame à la main, tentant de me prendre en tenaille. A cet instant, ma main se trouvait sur mon épée, prête à être dégainée...
"Vous allez le regretter..."
A ces mots, ma lame fut sortie de son fourreau et tournoyait autour de moi. Cette attaque n'avait pas pour but de leur faire du mal, mais plutôt de les tenir à distance le temps d'utiliser un sort qui les mettraient hors combat. Lâchant mon épée d'une main et touchant mon manteau de l'autre, je tirai ma vraie lame et rangeait la lame des ténèbres dans son fourreau. Dans ma main se trouvait désormais mon épée légendaire... Tenant fermement son fourreau, j'extirpais la lame lunaire et la tenait de telle manière à ce que le coté plat de la lame puisses frapper.
"Mineuchi...!
A cet instant, le combat commençait réellement. Le premier que j'attaquais était l'homme qui se postait derrière moi. Un coup circulaire de ma lame suivie de multiples coups très rapides eurent raison de lui... Quand au second... La rage commençait à l'habiter. Sans réfléchir, le plus jeune des deux, Azel, m'attaqua de toute ses forces, un coup d'épées suivi par un autre. Ce genre de technique... Seul ceux qui n'avaient plus rien à perdre l'utilisait. Son visage affichait la colère... Le même genre de colère qu'on éprouve lorsqu'on perds un être cher. Si seulement il savait que je n'avais pas tué l'homme qui se trouvait au sol. Usant du fourreau de ma lame, j'arrêtais un des coups du jeune soldat avant de l'attaquer de la même manière que son ami... Un coup, puis deux, puis trois... Une dizaine de coups suffirent à le faire plier lui aussi. Je rangeais ma lame et observais ces deux soldats. Ils avaient eu de la chance... Si ça avait té un autre, ils seraient sûrement morts à l'heure qu'il est. Observant l'énorme porte qui se trouvait derrière moi, je compris vite que les dires du soldat était vrai. Alexander ne se trouvait pas ici... Le sort qui me retenais prisonnier s'était donc rompu de lui même. Soupirant, je savais qu'il ne me restait plus rien à faire ici pour le moment. Levant mon gant droit, j'observais mon indicateur de magie... 32%... C'était bas. Trop bas pour pouvoir me téléporter dans un autre monde. Et, vu l'état des deux gardes, si je restait ici, j'allais sûrement me faire tuer avant même d'obtenir le pourcentage requis. Mon corps était encore lourd... Attaquer aussi vite n'avait fait que me fatiguer d'avantage et je n'aurai peut être pas la force de résister à une escouade lancée à mes trousses. Il fallait que je récupère dans un endroit calme, et le seul que je connaissait était ma "chambre". Calmement, je repris le chemin inverse afin de retourner dans la salle dans laquelle je me suis éveillé. A peine je fus arrivé au détour d'un couloir que quatre gardes avaient trouvés leur deux alliés inconscients... Il me fallait un plan. Claquant des doigts, je lançais un nouveau sort.
"Decoy!"
A cet instant, un double de moi apparut au bout du couloir et se mit à courir jusqu'à la rambarde, sautant dans les jardins avant de continuer sa course. Les quatre gardes se mirent à observer les-dits jardins avant de partir à la recherche de mon clone. Toutefois, il en restait un... Lançant à nouveau mon sort, j'envoyais un clone courir dans les couloirs. Ils se mirent à leur tour à le suivre. Au moins, j'allais être tranquille un petit moment avant qu'un autre groupe ne débarque... Redescendant vers ma "salle privée", j'usais à nouveau de mon sceau pour passer à travers le mur... Toutefois, celui-ci ne se reprit pas de forme matérielle après mon passage, à ma grande surprise. Le sort devait lui aussi s'être estompé avec le temps... Continuant d'avancer, je me retrouvais à nouveau dans le lieu de mon repos. Déposant ma longue épée à ma droite, je m'asseyais à nouveau sur mon "trône" et me mit à observer de nouveau cette salle. Elle était grande, très grande... Pas aussi grande que le couloir ou la salle du trône, mais assez vaste quand même. Les rideaux accrochés aux murs étaient déchirés, le tapis avait perdu tout son éclat... Et les misérables rayons de lumières qui éclairait encore la pièce la rendaient encore plus triste. Et moi, j'étais la, assis, les mains croisées, posées sur mes lèvres à attendre... Attendre que mes réserves de magie remontent... 35%... A cette allure, il me faudrait encore quelques minutes pour pouvoir me téléporter. J'avais le champ de vision libre et cette salle était ouverte, mais mon corps était encore un peu engourdi...Si je devais affronter un officier supérieur de la lumière, ça jouerai sûrement à mon désavantage, d'autant plus que je devais économiser mes ressources magiques... Toutefois, si l'un d'eux venaient à entrer ici, je serai la pour les accueillir en tant qu'Artorias le Marche-Abysses.