Ici vous n'êtes pas au début:
_________________________________________________________________________________
Mukashi sentit un picotement dans son bras qui s’intensifia violement. Puis se fut au tour de son torse et de ses jambes de ressentir cette même douleur comme si on lui plantait un millier d’aiguilles dans le corps. Lorsque la douleur fut insupportable, Mukashi ouvrit les yeux et découvrit une magnifique nuit étoilée. Il devait y avoir, facilement, une bonne centaine d’étoiles rien qu’en regardant devant lui.
Cependant, il y avait quelque chose d’étrange dans cet endroit. Il se rappelait avoir combattu un lui d’essence et, après l’avoir battu, il s’était évanouît au beau milieu des ruines du désert. Or, c’était la nuit, et il ne faisait pas aussi froid que lui avait dit Ukiyo. Le plus étrange est le fait qu’il ne sentait pas son corps enfoncé dans le sable.
Lorsqu’il tourna la tête, pour regarder à sa droite, il vit de l’herbe et au loin une forêt ce qui voulait dire qu’il se trouvait actuellement dans une plaine ou un plateau. C’était pas plus mal qu’il se trouve ici plutôt qu’au plein milieu du désert. Au moins, quand la douleur aura diminuée, il pourrait toujours trouver un ruisseau ou bien un endroit où se mettre à l’abri dans la forêt.
Notre jeune consul resta étendu dans l’air durant une bonne heure à regarder les étoiles, les quelques nuages qui s’étaient perdus et à écouter les bruits autour de lui. Il eut le temps de voir deux étoiles filantes et donc, par la même occasion, de faire deux vœux. Pour être honnête, il n’avait pas fait ces deux vœux en pensant qu’ils allaient se réaliser mais plutôt pour rester dans la coutume et toujours garder une part d’inconnue, de mystères dans sa vie… sinon à quoi bon continuer de vivre si on ne peut plus découvrir de nouvelles choses, faire de nouvelles expériences.
Perdu dans un flot de pensées plus ou moins philosophique, Mukashi ne vit pas un filet rouge foncer sur Terre et plus précisément dans sa direction. Au bout de quelques secondes, un bruit sourd et puissant retentit dans toute la plaine faisant s’envoler un nombre impressionnant d’oiseaux et des hurlements de terreur se firent entendre depuis la forêt.
Mukashi réussit à se relever bien que la douleur persistait toujours au niveau de ses côtes droites. Lorsqu’il releva la tête, il vit la météorite se diriger droit sur lui.
S’il avait put, il serait parti se mettre à l’abri pour éviter l’explosion lors du choc. Cependant, ses pied étaient totalement figées sur le sol, il ne pouvait faire aucuns mouvements comme si une force supérieur l’en empêchaient.
Mukashi se dressait droit comme un « i » comme s’il allait pouvoir arrêter cette boule de feu qui fonçait sur lui à une vitesse impressionnante. Même ses paupières étaient bloquées, il ne pouvait que voir la mort venir à lui à grandes enjambées.
Des gouttes de sueurs provoquées par la peur coulèrent sur son front.
La chaleur commençait à monter autour de lui proportionnellement à sa peur. La comète était maintenant à quelques secondes de lui, la boule de feu allait le percuter et jamais personne ne saura qu’il était là, qu’il était mort et surtout il n’aurait pas les glorieuses funérailles qu’il s’était imaginé. Lorsque la comète le toucha, toute sa peau semblait fondre lui provocant une douleur indescriptible …
.
.
.
Mukashi ouvrit les yeux et se dressa en une seconde. Cependant, il se cogna à quelque chose et retomba de tout son poids sur un lit … un lit ? Mais qu’est ce qu’il foutait sur ce putain de lit ? Excusez-mon langage mais ceci est incohérent ! Il venait de se faire heurter à pleine puissance, d’ailleurs son torse lui faisait encore un mal de chien.
Mais ce n'était qu'un simple cauchemars.
Il resta allongé et observa la pièce dans laquelle il se trouvait. Et pour tout dire, elle était plutôt simple et peu meublé vu qu’elle ne possédait qu’une seule armoire en plus du lit bien entendu.
A ce moment là, la porte s’ouvrit pour y laisser passer un homme immense … un buffle, en une seule claque la mâchoire de Mukashi aurait pu faire le tour et revenir à sa place initiale. Ses cheveux étaient de couleur noirs et ses yeux marrons.
-Ca va ?!!! Il avait l’air un peu paniqué
-Heu oui … je pense devoir vous dire merci pour … . L’homme coupa la parole à Mukashi
-C’est pas la peine de nous remercier, t’avais l’air en difficulté là-bas j’ai entendu l’explosion. T’as eu de la chance que je cherchais dans ce coin là … .
-Que vous cherchiez quoi ? Mukashi venait à son tour de lui couper la parole.
-Des cristaux, je vais cherchez des cristaux, des pierres précieuses tout ça et je les revends sur le marché ou à des scientifiques.
-Et c’est rentable ?
-Pas tellement en ce moment pour ne pas te mentir, le Sultan nous inflige des lois sévères. Il est aveuglé par Aladin ce … .
Mukashi se leva tant bien que mal et posa une main, tant bien que mal ici aussi, sur l’épaule du géant.
-Ne vous inquiétez pas, cela ne durera pas j’en suis sûr. C’est choses là ne durent qu’un temps et croyez-moi eux comme nous ne sommes là qu’un temps. Moi c’est Mukashi, vous m’avez sans aucuns doutes sauvés la vie … c’est vrai j’aurais pu me faire piquer par un scorpion.
A cette remarque un garçon assez jeune étouffa un rire. Lorsque Mu tourna la tête il vit d’abords une femme magnifique. Elle avait de longs cheveux bruns qui cascadaient autour de son visage ambré et deux émeraudes en guise d’yeux.
-Je te présente ma femme Antinéa, mon fils Iznogoud et moi-même Agad.
Devant elle, un jeune garçon avec des cheveux noirs et les yeux verts. Mukashi sourit en le voyant, celui-là on ne pouvait pas dire qu’il n’était pas leur fils. Enfin bref, il tendit quelque chose en disant qu’il était désolé. En prenant l’objet, Mukashi se rendit compte que c’était son portefeuille. Il l’ouvrit, prit le ticket qui était à l’intérieur et le rendit au garçon.
-Tiens je n’ai besoin que de ça, je ne peux pas te voler ton trophée de chasse. Puis il se tourna vers l’homme. Merci je ne t’oublierai pas ... mais, hélas, je dois partir et finir mon travail. Tout mon honneur en dépend.
-On dit quoi ?
-Merci.
Mukashi franchit la porte et s’en alla à la recherche de ce foutu tagueur pour lui mettre la rouste de sa vie.
Suite => t'as vu ? le dernier chapitre est sorti ! A ce qu'on m'a dit il est génial !
Ven 20 Avr 2012 - 18:37_________________________________________________________________________________
Mukashi sentit un picotement dans son bras qui s’intensifia violement. Puis se fut au tour de son torse et de ses jambes de ressentir cette même douleur comme si on lui plantait un millier d’aiguilles dans le corps. Lorsque la douleur fut insupportable, Mukashi ouvrit les yeux et découvrit une magnifique nuit étoilée. Il devait y avoir, facilement, une bonne centaine d’étoiles rien qu’en regardant devant lui.
Cependant, il y avait quelque chose d’étrange dans cet endroit. Il se rappelait avoir combattu un lui d’essence et, après l’avoir battu, il s’était évanouît au beau milieu des ruines du désert. Or, c’était la nuit, et il ne faisait pas aussi froid que lui avait dit Ukiyo. Le plus étrange est le fait qu’il ne sentait pas son corps enfoncé dans le sable.
Lorsqu’il tourna la tête, pour regarder à sa droite, il vit de l’herbe et au loin une forêt ce qui voulait dire qu’il se trouvait actuellement dans une plaine ou un plateau. C’était pas plus mal qu’il se trouve ici plutôt qu’au plein milieu du désert. Au moins, quand la douleur aura diminuée, il pourrait toujours trouver un ruisseau ou bien un endroit où se mettre à l’abri dans la forêt.
Notre jeune consul resta étendu dans l’air durant une bonne heure à regarder les étoiles, les quelques nuages qui s’étaient perdus et à écouter les bruits autour de lui. Il eut le temps de voir deux étoiles filantes et donc, par la même occasion, de faire deux vœux. Pour être honnête, il n’avait pas fait ces deux vœux en pensant qu’ils allaient se réaliser mais plutôt pour rester dans la coutume et toujours garder une part d’inconnue, de mystères dans sa vie… sinon à quoi bon continuer de vivre si on ne peut plus découvrir de nouvelles choses, faire de nouvelles expériences.
Perdu dans un flot de pensées plus ou moins philosophique, Mukashi ne vit pas un filet rouge foncer sur Terre et plus précisément dans sa direction. Au bout de quelques secondes, un bruit sourd et puissant retentit dans toute la plaine faisant s’envoler un nombre impressionnant d’oiseaux et des hurlements de terreur se firent entendre depuis la forêt.
Mukashi réussit à se relever bien que la douleur persistait toujours au niveau de ses côtes droites. Lorsqu’il releva la tête, il vit la météorite se diriger droit sur lui.
S’il avait put, il serait parti se mettre à l’abri pour éviter l’explosion lors du choc. Cependant, ses pied étaient totalement figées sur le sol, il ne pouvait faire aucuns mouvements comme si une force supérieur l’en empêchaient.
Mukashi se dressait droit comme un « i » comme s’il allait pouvoir arrêter cette boule de feu qui fonçait sur lui à une vitesse impressionnante. Même ses paupières étaient bloquées, il ne pouvait que voir la mort venir à lui à grandes enjambées.
Des gouttes de sueurs provoquées par la peur coulèrent sur son front.
La chaleur commençait à monter autour de lui proportionnellement à sa peur. La comète était maintenant à quelques secondes de lui, la boule de feu allait le percuter et jamais personne ne saura qu’il était là, qu’il était mort et surtout il n’aurait pas les glorieuses funérailles qu’il s’était imaginé. Lorsque la comète le toucha, toute sa peau semblait fondre lui provocant une douleur indescriptible …
.
.
.
Mukashi ouvrit les yeux et se dressa en une seconde. Cependant, il se cogna à quelque chose et retomba de tout son poids sur un lit … un lit ? Mais qu’est ce qu’il foutait sur ce putain de lit ? Excusez-mon langage mais ceci est incohérent ! Il venait de se faire heurter à pleine puissance, d’ailleurs son torse lui faisait encore un mal de chien.
Mais ce n'était qu'un simple cauchemars.
Il resta allongé et observa la pièce dans laquelle il se trouvait. Et pour tout dire, elle était plutôt simple et peu meublé vu qu’elle ne possédait qu’une seule armoire en plus du lit bien entendu.
A ce moment là, la porte s’ouvrit pour y laisser passer un homme immense … un buffle, en une seule claque la mâchoire de Mukashi aurait pu faire le tour et revenir à sa place initiale. Ses cheveux étaient de couleur noirs et ses yeux marrons.
-Ca va ?!!! Il avait l’air un peu paniqué
-Heu oui … je pense devoir vous dire merci pour … . L’homme coupa la parole à Mukashi
-C’est pas la peine de nous remercier, t’avais l’air en difficulté là-bas j’ai entendu l’explosion. T’as eu de la chance que je cherchais dans ce coin là … .
-Que vous cherchiez quoi ? Mukashi venait à son tour de lui couper la parole.
-Des cristaux, je vais cherchez des cristaux, des pierres précieuses tout ça et je les revends sur le marché ou à des scientifiques.
-Et c’est rentable ?
-Pas tellement en ce moment pour ne pas te mentir, le Sultan nous inflige des lois sévères. Il est aveuglé par Aladin ce … .
Mukashi se leva tant bien que mal et posa une main, tant bien que mal ici aussi, sur l’épaule du géant.
-Ne vous inquiétez pas, cela ne durera pas j’en suis sûr. C’est choses là ne durent qu’un temps et croyez-moi eux comme nous ne sommes là qu’un temps. Moi c’est Mukashi, vous m’avez sans aucuns doutes sauvés la vie … c’est vrai j’aurais pu me faire piquer par un scorpion.
A cette remarque un garçon assez jeune étouffa un rire. Lorsque Mu tourna la tête il vit d’abords une femme magnifique. Elle avait de longs cheveux bruns qui cascadaient autour de son visage ambré et deux émeraudes en guise d’yeux.
-Je te présente ma femme Antinéa, mon fils Iznogoud et moi-même Agad.
Devant elle, un jeune garçon avec des cheveux noirs et les yeux verts. Mukashi sourit en le voyant, celui-là on ne pouvait pas dire qu’il n’était pas leur fils. Enfin bref, il tendit quelque chose en disant qu’il était désolé. En prenant l’objet, Mukashi se rendit compte que c’était son portefeuille. Il l’ouvrit, prit le ticket qui était à l’intérieur et le rendit au garçon.
-Tiens je n’ai besoin que de ça, je ne peux pas te voler ton trophée de chasse. Puis il se tourna vers l’homme. Merci je ne t’oublierai pas ... mais, hélas, je dois partir et finir mon travail. Tout mon honneur en dépend.
-On dit quoi ?
-Merci.
Mukashi franchit la porte et s’en alla à la recherche de ce foutu tagueur pour lui mettre la rouste de sa vie.
Suite => t'as vu ? le dernier chapitre est sorti ! A ce qu'on m'a dit il est génial !