Présentation de Raven
Identité
- N o m : /////
P r é n o m : Raven
S u r n o m : La Lame Ardente
 g e : 22 ans
C a m p : Mercenaires
M o n d e d' O r i g i n e : Domaine Enchanté
R a c e : Humain
- G r a d e . v i s é :
- Capitaine ou plus
Test RP
- J'ouvrais les yeux lentement ce matin là... J'avais la tête lourde... J'aurais dû me coucher plus tot au lieu d'aller jouer à ces jeux... et moins boire !J'avais perdu mille munnies hier soir en jouant aux cartes avec mes compagnons d'armes. Je mis ma main sur ma tête, elle me faisait mal. Comme quelqu'un qui tambourinait contre mon crane. Je me levai péniblement et enfila mon armure. Je pris mon épée, une simple épée courte, et l'accrocha a ma taille. J'arrangeai mes cheveux noirs et ébouriffés à la va vite et sortis de la pièce.
Je traversai le couloir reliant les quartiers de la garde avant d'emprunter un escalier menant, lui, aux étages inférieurs. Je me dirigeais vers la cuisine et poussa la porte de bois, ce qui la fit grincer. Immédiatement, une des bonniches surgit de je-ne-sais-où et me questionna sur mes intentions.
Bonjour, vous... vous pouvez me dire c'que vous glandez la ?
J'ai toujours apprécié leurs accueils si chaleureux. Cet art de recevoir les gens, vraiment admirable. Enfin... au moins elle avait eu la politesse de dire bonjour avant de lancer les hostilités.
Je...
Vous venez piller les réserves de nourriture ! Écoutez, je vous connais ça fait depuis que vous vous êtes engagé que c'est comme ça. Et tout les matins !
Oui mais...
Elle s'empressa de filer vers un placard. Un grand meuble de bois, rongé par les termites.
Mais quoi ? Nous avons fait les réserves hier, car dans deux jours, nous recevons une personne de renom ! On peut pas se permettre de passer pour des rapias !
Dans l'état dans lequel elle était, il ne valait mieux pas l'énerver. Aussi, j'acquiesçai d'un simple signe de tête. Fière d'elle, elle décida de me montrer tout ce que j'aurai pu dévorer... Elle saisit les poignées de porte du placard et, tout en me regardant, elle les ouvrit pour me dévoiler son trésor. Je fus bouche bée en regardant le placard.
Sauf votre respect, madame, je ne pense pas que, un, deux, trois, quatre saucissons suffisent a recevoir quelqu'un... De renom qui plus est !
Je ne puis m’empêcher de sourire. Elle me regarda pendant quelques secondes avant de regarder l'intérieur du placard. Celui ci était quasiment vide.
Quoi ?! Mais...
On dirait bien que quelqu'un a été plus rapide que moi !
Son teint devint écarlate en une fraction de seconde. Je dus être de la même couleur qu'elle d'ailleurs, mais pas pour les mêmes raisons. Furieuse, elle fouilla tout les autres placards et autres recoins de la cuisine. Heureusement, un seul placard avait été dévalisé. Mais c'était celui qui contenait les jambons et autres viandes.
Mais c'est une catastrophe ! Au vol ! On m'a cambriolé !
Allons ce n'est pas si grave...
Déguerpissez crapule ! Allez ouste ! Filez !!
Elle me poussa en dehors de la pièce, et claqua la porte. Je soupirai et pris le couloir de droite avant de descendre les marches de granit qui amenaient aux jardins. Mon ami m'attendait là-bas. Il était assez grand, plus que moi, avait des cheveux bruns et mi-longs. Son armure dorée reflétait les rayons du soleil, aussi je mis ma main devant mes yeux verts le temps de m'en approcher.
Et bien, j'ai entendu crier depuis la cuisine, qu'est ce qui se passe ?
Oh trois fois rien, c'est assez drôle même.
Ah bon ? Que s'est il passé ?
Ben figure toi qu'en me réveillant, j'avais ma petite dalle habituelle alors je suis allé dans la cuisine, et donc la bonniche m'a fait tout un topo sur l'arrivée d'une personne et c... Sauf qu'on m'a devancé, le placard était vide. T'aurais vu sa tête !
Ahaha ! Oui ce devait être assez drôle en effet. Bon un entraînement vite fait ça te dit ?
J'ai le ventre vide donc...
Ah... je comprends. Avec tout ce que t'as bu hier soir ça arrange pas les choses !
Ah oui tiens, mes munnies faudra me les rendre !
Ah non ! Tu les as perdus aux jeux !
…
Et merde, j'allais pas récupérer mon argent. Et, étant assez nul en jeux, j'allais pas me risquer a perdre le double de cette somme. En plus j'aime pas... J'aime pas, j'aime pas, j'aime pas !! Je devrais faire une croix dessus. Il me mit une petite tape amicale dans le dos.
Allez, c'est pas si grave ! T'aura bien le temps de les récupérer va ! Ahaha !
J'y compte bien !
Puis, alors que nous rigolions ensemble, plusieurs cor retentirent. Ce son était grave et régulier... Ce n'était pas bon signe... Vraiment pas....
Oh merde, tu entends ça ?
Oui, oui... Rendons nous dans la salle de garde au plus vite...
Nous courûmes, dans une symphonies de clinquements métalliques et montâmes les marches. Nous nous précipitâmes a l'intérieur du château et pénétrèrent dans la salle de garde. Déjà plein de nos semblables s'étaient réunis. Tous assis vers l'estrade où se trouvait notre commandant de la garde. C'était un Vétéran de guerre. Agé, il possédait de longs cheveux blancs. Il était vraiment en forme pour son age, il ne peinait pas a combattre. Alaric et moi l'observions souvent s'entraîner dans les jardins.
Bon... Je pense que vous êtes comme moi, vous avez entendu l'alarme... De toute façon si ce n'était pas le cas, vous ne seriez pas ici. Arnold de la tour de guet a vu une menace potentielle marcher vers le château. Ce sont des troupes visiblement, et elles marchent en bataillons organisés. Selon ce qu'il ma dit, il semblerait qu'ils atteignent l'enceinte du château d'ici une petite heure des questions ?
Ah ! Enfin de l'action ! Je sais que ça pouvait paraître bête, mais j'aimais bien les combats... Enfin, c'est plutôt que je n'aimais pas la monotonie de ces lieux... Il est vrai que les combats étaient rares. D'un autre côté, on ne risquait pas nos vies a monter la garde dans un couloir mais c'était d'un ennui !
Bon, pas de questions... Les recrues défendront les couloirs accompagnés des soldats. Ne vous inquiétez pas, il y a très peu de chances qu'ils arrivent jusqu'à vous. Les autres vous formerez des bataillons de... Dix, quinze... Et vous vous posterez aux alentours des murailles. J'en veux aussi qui iront au cœur de l'action ! Qui sortiront du château et iront titiller les escouades appuyés par le soutien des archers !
…
Vous deux, vous deux, toi, toi et toi iront a leur rencontre... Ce devrait être suffisant. Ne les attaquez pas directement mais essayez plutôt de leur faire baisser leur garde pour permettre aux archers de faire leur boulot. Et n'oubliez pas ! Ce sont des ennemis inconnus. Alors faites preuve d'attention.
Ouais ! Nous étions dans ceux qui sortaient du château ! On allait se battre, et ça c'était franchement cool. J'adorais ça ! Le choc des lames, les mouvements. La recherche de point faibles et tout ces genres de trucs. J'avais quand même une petite peur qui faisait battre mon cœur plus vite qu'a l'accoutumée, mais je n'y prêtai pas attention. C'était normal, je pouvais mourir...
Des soldats arrivèrent en catastrophe dans la salle.
Commandant ! Ils... ils... Ils ont traversé la muraille, ils sont là ! Vite !!
Comment ? Bien, allez défendre la cour, je m'en vais protéger le roi !
Il partit comme une balle vers la salle du trône. Nous étions livrés a nous mêmes...
Viens, pas de temps a perdre ! s'écria mon ami. Il me tira par le bras et m'emmena dans le jardin en compagnie des autres soldats. Je pris mon épée courte et lui, dégaina son épée a deux mains.
Bien... Que dieu nous bénisse...
Euh...
Ouais, je sais c'était pas trop mon truc ce genre de choses. Toutes ces histoires de dieux, ne me rendait pas malade mais comment dire... Je trouvais ça absurde. Toutes les guerres, saintes ou non, tous les combats bénis par les dieux ont tous été sanglants. Tous ont eu leurs lots de morts. Non, la religion était simplement absurde de mon point de vue... Mais attention, je respectais quand même ceux qui y croyaient, allez pas croire !
Nous filâmes vers une escouade armes en avant mais nous fumes vite stoppées par des genre de sphères violettes/noires. Des monstres en sortirent. Ils n'avaient pas de bras, ceux ci étant remplacés par des lames.
Mais qu'est ce ?
Le soldat a coté de moi se prit un revers de lame dans le bras, ce qui le démembra. Littéralement. Il se vidait de son sang a mes côtés, alors que ses compagnons lui disaient de tenir le coup. Ils l'emmenèrent a l'intérieur et revinrent aussi vite qu'ils le pouvaient. Entre temps le combat avait commencé. Ces ennemis étaient des plus étranges, je n'en avais pas vu de tels jusqu'à aujourd'hui. Ils étaient pour la plupart noirs, avec des grands yeux jaunes. Certains d'entre eux portaient un genre d’emblème. Je me disais que ce devait être celui de leur armée. Je portais un coup a une de ces choses avant d'esquiver un coup de double lames. Que voulaient-ils ici ? Il n'y avait rien de spécial pourtant...
Je transperçai un ennemi de mon épée, avant de parer un coup horizontal. Je posai ma main libre sur mon ennemi et me propulsa par dessus, lui tailladant le dos aussi vite que je le pouvais.
Chose étrange. Leurs corps disparaissaient après leur mort dans un genre de brume. Et plus étonnant encore, il ne saignaient pas pour chaque coup porté. Ma peur de tout a l'heure s'accentuait au fur et a mesure de ces découvertes. Mon cœur s'emballait à l'idée d'être confronté aux démons...
Une de ces choses me sauta sur le dos, et s'agrippa a mon cou. Il planta ses griffes dans ma nuque, ce qui m'arracha un cri de douleur. Je l'attrapai, le décrocha, et fis un demi tour avant de le frapper avec mon crane... Il me faisait toujours aussi mal tiens... Mon ami se débrouillait comme il pouvait. Il possédait une force impressionnante pour manier une épée de cette envergure avec une si grande aisance... Je serrai ma lame de ma main droite, me courba vers l'arrière et m'élança aussi vite que je le pouvais vers les lignes ennemies. Je traversai les troupes en ligne droite, en faisant s'exprimer le courroux de ma lame. En très peu de temps j'avais réussi a faire un trou assez conséquent dans leurs rangs. Je m'en félicitais intérieurement avant de voir qu'un soldat de l'armée d'en face sautait sur le dos de mon ami Je me ruai vers lui pour le stopper. Deux coups d'épées suffirent a le rendre aux ténèbres.
Je sentis un gros poids tomber juste derrière moi. Il s'agissait de l'arme d'Alaric, mon ami. Il venait de me rendre la pareille. Je le remerciai en constatant qu'il venait d'annihiler le dernier ennemi.
Nous rentrâmes alors, emmenant les blessés avec nous, dans le château. Certaines blessures n'étaient pas belles a voir. Nous montâmes au premier a la salle du trône où nous annonçâmes que la menace n'était plus. Tous les visages s'illuminèrent de cette heureuse nouvelle. Cependant, comme pour troubler la fête, un grondement fit trembler les murs. Nous perdîmes tous l'équilibre.
Je ne pense que ça soit réellement fini...
Le Commandant a raison Raven, ce n'était peut être qu'une pause... Retournons-y !
Non ! C'est trop dangereux. N'y allez pas a deux, je viens avec vous, moi et mon escouade. Le roi est en securité tant qu'ils ne passent pas le portes et... croyez moi, ceci n'arrivera pas !
Comme vous voudrez.
Nous dévalâmes les marches une nouvelle fois, je commençais a en avoir marre. Faudra que je pense a demander un monte charge ou autre...
La grande porte était carrément démolie ! Les débris autour... Et l'auteur de ce désastre était rien d'autre, qu'un char. Gigantesque. Mais le plus flippant dans tout ça, c'est qu'il semblait... vivant ? Ouais c'est ça, vivant... Le même emblème, partiellement noir, et des yeux jaunes...
Mais qu'est ce que c'est que ce truc, nom de dieu ?
Commandant, ne jurez pas maintenant, nous aurons besoin de sa bénédiction...
Au diable la bénédiction ! Finissons-en !
Je m'élançai telle une balle, armes en mains, vers des morceaux de murailles, guidé par mon impulsivité. Je pris de l'altitude et sauta sur le dessus du char. Je décimai les troupes qui l'accompagnaient avant de marteler de coups le « toit » de la machine. De légères vibrations me faisaient perdre l'équilibre. Je me lançai un sort de soin avant de redescendre de l'engin. Celui ci avançait vers le château, et, si cela continuait... Il finirai par le raser !
Commandant... Allez chercher les balistères, on n'a plus le choix, nos coups sont inefficaces... Je ne vois pas comment nous pourrions arrêter ça...
Il accepta et partit a leur recherche. Derrière le char, au loin, se dressait une nouvelle vague d'ennemis. A notre distance, cela s'apparentait plus a un flux incessant de ténèbres qui s'apprêtait a se déverser sur le château.
Je la montrai a Alaric qui frissonna a leur vue.
Serions nous perdus ?
Non, ne perds pas espoir, on s'en tirera, on sauvera le royaume !
Une roche tomba des cieux sur la machine qui vola en éclats. Je souris a mon ami en observant les planches de bois au sol.
Tu vois ? Ne lâches pas l'affaire...
T'as raison...
Il redressa sa lame, et attendit les vagues d'ennemis qui se faisaient maintenant pilonner par les balistes. Une créature ailée nous survola et pénétra dans la chambre de la princesse, brisant le verre de la fenêtre. Les éclats chutèrent a nos côtés.
Regarde la prin....
Oui ! Vas la sauver ! Je peux me débrouiller seul !
Mais si je te laisse seul, tu vas...
Allez, je vais pas mourir ! Cours ! Sauve là !
Je me retournai, et courus sur la façade du château, en direction de la fenêtre brisée.
Je rentrais et vis un de ces trucs noirs au dessus du lit de la princesse. Je pointai mon arme vers lui, en lui ordonnant de déguerpir. Son bras fut entouré d'une masse noire et dedans apparut une épée. Il me regarda, et me chargea. Je fis une roulade pour passer en dessous, et en profita pour lui donner un petit coup de pied. Il s'agita dans tous les sens avant de me charger épée la première. Une autre roulade me permit d'esquiver le coup, mais il m'en donna un autre, plus rapide, qui vint cogner dans mon plastron.
Saloperie ! Dégage de là !!
Des bruits de lutte se faisaient entendre en bas. La bestiole profita que je regardais la cour pour m'entailler le bras. De la plaie s'écoulait un un liquide rouge carmin et je tentai de la panser avec ma main. Réflexe inutile... La vague était arrivée dans les jardins, et Alaric était seul en bas... J'étais dos a la fenêtre, je ne pouvais rien faire, j'avais mal... Oui ! Je devais faire sortir ce truc ! Alors, j'attendis une charge de sa part puis, m'accrocha a ses ailes. Je n'avais presque plus de forces dans mon bras blessé. Nous sortîmes de la tour et nous volâmes au dessus de la cour. Je vis une marre de ténèbres et mon ami qui se noyait dedans. Je ne pouvais rien faire! Juste regarder son corps disparaître dans la marre noire s'ensevelir dans les ténèbres, entraîné par toutes ces créatures... Je ne pouvais pas descendre, je ne pouvais pas l'aider, je ne pouvais... rien.
Des larmes roulèrent sur mes joues. Lui qui était là depuis le début, il n'était maintenant plus... Nous avions toujours été là l'un pour l'autre... Je chassai ces pensées de mes esprits assez vite car je vis que la chose m'emmenait au delà de la foret. Où allais-je ? A la source de ces ténèbres ? Étais-je moi aussi perdu ?
Le château entier était en proie aux ténèbres. La Tour de Guet chutait sur la cour qui m'était maintenant très lointaine, et les forces ennemies continuaient leur avancée implacable sur le château.
Laisse moi descendre, putain ! Laisse moi descendre !
La panique m'enlevait toute capacité a réfléchir et mon bras qui me lançait ne faisait que me distraire, lui aussi.... je ne voulais pas y aller, je voulais retourner au château,le sauver ou même mourir en héros mais pas... Mais pas me faire engloutir par les mêmes ténèbres qui avaient eu raison de lui....
Et puis, effectivement, il me lâcha dans la source de ces monstres, dans cette marre de ténèbres aussi noire que la nuit, d'où sortaient ces créatures pourvues de griffes qui tantôt déchiraient ma chair. Je m'y enfonçais, toujours plus, toujours plus profond, tiré par les jambes par quelque chose que je ne pouvais voir... La plaie de mon bras me brûlait, me piquait, me démangeait... Je n'avais plus aucune sensation pendant quelques instants, jusqu'à ce que mes forces me quittent. Je ne discernais plus rien autour de moi. Je dérivais sans but dans le néant total...
*******
Mais.... Mais où suis je ?
J'étais dans une rue étroite, assaillie de pluie. Il faisait nuit. Je me levai et eus un sursaut en voyant mon bras complètement changé. Il n'avait plus rien d'humain.
Il dégageait une sorte d’énergie assez étrange... Mes doigts n'étaient plus que d'immenses griffes orangées. Mon coude formait une pointe, comme une lame, et mon épaule était ornée de pointes. D'ailleurs mon armure avait partiellement disparue ; mon armure de fer avait laissé place a diverses plaques sur mes jambes. Ma jambe gauche, elle, était entourée de ceintures d'un cuir orangé. Mon plastron avait disparu, laissant une veste fine de tissu noir. Où avais-je choppé ça ? Mon passage dans les ténèbres ? Non... Mon bras avait muté... Ce n'était plus le mien ! Je ne me reconnaissais plus... Je dissimulais mon bras sous mes vêtements, mieux vaut ne pas effrayer la population locale, et m'aventura dans cette ville. Je reconnaissais l'odeur de la mer.. Une ville portuaire hein ? Je demandais mon chemin a un passant.
Bonsoir... Excusez-moi de vous déranger mais... Où sommes nous ?
Salut ! Nous sommes sur l’île de Tortuga... T'es sur que ça va petit ?
Tortuga ? Mais bordel où avais-je attéri ?
Merci... Oui je vais bien... Il y'a t-il des moyens de transports ? Je veux dire, comment part t-on d'ici ?
Toi t'as sacrement du picoler. Vas au port et demande a ce qu'on t'emmène. Tiens j'ai une idée! Vas a Port Royal et vas au Centurio. Dis que tu viens de ma part, enfin dit que c'est pour réparer les dégâts, je t'en serais reconnaissant.
De la part de ?
Boah, l'cap'taine comprendra, p'tit gars.
Je me dirigeai vers le port. Sur le chemin, des pirates m’arrêtèrent et voulurent me débourser. Ils étaient armés et je n'avais rien a leur donner. L'un d'eux s'approcha de moi coutelas en main. Je le saisis a la tête de mon bras difforme et lui brûlai le visage. Et sans plus attendre, je lançai une boule de feu sur un autre. Ils partirent tous en criant au démon me laissant seul, horrifié de mes actes. J'essayais de me convaincre de ne pas y penser en me disant que je n'avais fait que me défendre. Je ne comprenais pas... Je comprenais rien en fait.
Je partis de l'île de Tortuga en direction de Port Royal, fasciné par mon bras. Comment pouvais-je être capable de créer des flammes ? C'était absurde ! Je n'avais reçu aucune notion de magie durant ma formation. Le trajet dura toute une nuit, où je ne puis trouver le sommeil, puis, nous accostâmes Port Royal. Je remerciai le capitaine et me dirigea vers le Centurio.
Quelle ambiance la dedans... Y'avait des guerriers partout, ils aimaient bien boire au vu du nombre de choppes sur les tables... Que ce soit un Punk aux cheveux roses surexcité ou bien un homme d'age moyen, silencieux et vêtu d'un manteau rouge... Je remarquais d'ailleurs que sa table était la plus garnie du pub en ce qui était des choppes.
Je m'approchais du comptoir où une jeune et charmante femme officiait et elle me demanda ce que je voulais. Je réfléchis un instant sur l'idée de venir éponger les dettes de l'homme rencontré plus tôt. Non ce n'était décidément pas une bonne idée ! Je lui dis simplement que j'étais perdu, que je n'avais rien a faire et tout ce qui va avec. Elle ne m'écouta que d'une oreille et lorsque j'eus fini, me dit de m'asseoir et d'attendre du travail. Elle m'expliquai ce que je ferais ici. Je compris qu'il s'agissait d'une guilde de mercenaires, qui réalisaient des contrats pour vivre. Ça n'avait pas l'air si mal... Je m'installai et commanda a boire, observant l'homme au foie endurant.
Les Questions
Q u e s t i o n s :
1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?
Oui il en est capable, très capable. Mais comme y'a jamais de relations a part Primus/Oakley
2)Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?
Un dragon ! Un djinn ! Une créature de feu qu'en sais-je !
3)Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?
Il est très fidèle envers les personnes qui lui semblent bonnes.
4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.
Ben il est amis avec les personnes qu'il connait et qu'il apprécie être avec comme son ami Alaric.
5) Quelle est la devise de votre personnage ? S'il y en a plusieurs, donnez les toutes.
L'union fait la force (?)
7) Pourquoi incarner ce personnage ?
Pourquoi pas ?