Présentation de Sears
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Identité
- N o m : Sears
P r é n o m : George
S u r n o m : La Paresse
 g e : 25 ans
C a m p : Coalition Noire
M o n d e d' O r i g i n e : La Cité des Rêves
R a c e : Humain
Test RP
- Bref, on m'a dit un jour « Chaque fois que tu allumeras une cigarette, médite. Ou bien tu fumeras moins, ou bien tu vas beaucoup méditer. » Depuis ce jour je médite, ouais j'ai pas vraiment de volonté dans ce sens là. Alors je m'allume une clope, une Red Apple. Il fait froid dehors mais le ciel étoilé est magnifique, la lune immense. On peut dire ce qu'on veut, fumer dehors ça détend, ça fait du bien en faisant du mal. Ce qui m'énerve en réalité, ce sont ceux qui disent que ça nous exclue, par exemple en soirée. Je ne suis pas d'accord, j'ai réussi à créer bon nombre de contact, la cigarette est un outil. Certains vont fumer parce que ça leur donne un genre, d'autre pour faire pareil que les autres, moi, parce que ça m'aide. Puis je suis trop flemmard pour rétorquer quand on me dit que ça nuit à la santé, je m'en fous pas mal aussi faut dire. « Sears. » Au fait, je m'appelle George Sears, mais j'aime pas mon prénom et pour faire simple, on m'appelle Sears. Celle qui m'appelle, c'est Ariez, ma boss, parce que ouais, je suis un nouveau membre de la Coalition. C'te connerie... « Dame Ariez ? » Je suis peut-être le type le moins énergique de la terre, je fais des effort de langage, ça m'arrive... Rarement, vers les femmes en général et celle-ci, j'ai compris très vite qu'il fallait pas que je joue au plus malin.
« Les mercenaires ont mauvaise image avec certains autres groupes et avec les habitants de plusieurs mondes. Tu vas renforcer cet effet, mais à Port Royal, fais comme tu le souhaites et grouille toi. » Là je fais une bêtise, je lui pose une question. « Tout de suite ? » J'la regarde, elle me regarde, j'la regarde, elle me dit « Grouille-toi ! » J'arrête de méditer en jetant mon mégot dans mon cendrier portable. Faire ça, c'est peut-être la seule chose que je fais sans en voir la paresse. « J'y vais. » Là, je vais dans ma chambre, on est bien logé d'ailleurs, j'ai pas à réfléchir pour trouver un appartement aussi. J'ouvre l'armoire, que des costumes ou presque, je prends le premier qui vient pour pas me prendre la tête. Cet habit rend bien et il est aussi peu compliqué que moi. Une chemise blanche que je ne boutonne même pas jusqu'en haut. Par dessus une veste noir, simple, mais élégante. Je met aussi un pantalon, ce qui n'est pas étonnant et des chaussures noires et très simples. Je ne mets pas de cravate, le noeud est galère à faire et je n'ai jamais eu la patience d'apprendre. Ce costume est bien mais quand je regarde de près, la couleur tranche trop avec celui de mes yeux et mes cheveux qui sont marrons/châtains. Mes cheveux d'ailleurs, toujours en pétards et ça me fait rire. Il paraît que c'est la mode chez les jeunes, moi, il suffit que j'aille me coucher et au réveil, ils sont comme ça. J'me dis que mon look est parfois trop négligé et que je devrais arranger ça... Dix secondes après je me dis que c'est plus rapide comme ça et pas besoin d'en faire trop. Je prends d'autres affaires et je sors de la chambre.
Je marche jusqu'à la station Shinra en espérant qu'il ne va pas y avoir de loup, j'aime pas les loups. Je réfléchi et je réalise que sur le chemin que je prends d'habitude, il n'y a jamais de loup et donc je continue. Il fait froid, en même temps on est en Janvier, mais maintenant que je suis partis, je ne vais pas faire demi-tour pour chercher un manteau plus chaud. La compagnie Shinra est cool, je me casse pas la tête pour savoir quand il y aura un vaisseau, il y en a tout le temps. Mon père a toujours voulu que j'aille travailler là-bas, j'aurais eu une bonne place, un bon salaire et j'en ai les capacités. Je n'ai pas envie de bosser là-bas, les responsabilités arrivent vite et moi je veux garder un minimum de liberté. C'est le seul point négatif en aillant un boulot à la Coalition, si je me fais choper par un autre groupe, soit je meurs, soit je fini en taule et ça, j'veux vraiment pas. Puis j'me dis que je devrais pas penser à tout ça, que je vais continuer ce que je fais et qu'on verra bien le moment venu ce qu'il se passera. Aller dans ce groupe par contre, ça me permet de ne pas me prendre la tête, j'ai pas de problème d'éthique à avoir, pas besoin de réfléchir aux conséquences, c'est plutôt cool en fait.
J'arrive à la gare, je sais pas quel vaisseau prendre et il y a beaucoup de queue au guichet. Je regarde autour de moi et je trouve la solution à mon problème, un banc. Je m'assois et j'attends, je ne sais pas quoi mais ça n'me fatigue pas en attendant. Je pense à ce que m'a demandé Ariez et je ne sais pas si elle n'essayait pas de se débarrasser de moi. J'étais le moins qualifié pour ce genre de mission, je ne sais même pas pourquoi elle m'a accepté dans son groupe d'ailleurs. Peut-être que mon charme lui fait de l'effet, ouais c'est sûrement ça. Mais avant de lui déclarer ma flamme, je vais attendre d'être Maréchal ou président et là je ferai carton plein. Même si dix autres filles voudront coucher avec moi en même temps, je dirais non, mon coeur est seulement pour la belle Ariez. Par contre, elle a franchement l'air d'être une peste et je cherche, je cherche, mais je trouve pas d'autres mots pour la qualifier parfois. Vous avez sûrement vécu ça, c'est pas le cerveau, mais bien le coeur qui dirige nos sentiments. Brr, là je suis content de ne pas être un sans-coeur ! J'ai beau ne pas réussir à contrôler mais sentiments, je déteste ces bêtes encore plus que les loups. Ça resterait classe de pouvoir en contrôler, j'ai déjà vu des gens le faire et ça envoie, mais il parait que ça fatigue donc ça m'intéresse pas plus que ça. Par contre, tant qu'Ariez ne veut pas de moi, aller voir d'autres filles ne me dérange pas.
Je remarque qu'il n'y a plus de queue et que je peux aller au guichet. Je regarde la fille derrière le comptoir, elle me regarde, je la regarde, elle me dit « Oui? » J'avais oublié que c'était à moi de parler. « Bonjour, un ticket pour Port Royal s'il vous plait. » Elle pianote sur son clavier d'ordinateur et là avec un air presque gênée elle me dit « Il y en a un dans deux minutes, mais c'est à l'autre bout et c'est le dernier. » Je perds trente secondes à me demander si je dois attendre demain ou si j'ai le temps de courir pour attraper celui-ci. Je me dis que je vais attendre, courir ça fatigue trop. « Je le prends. » Mince, c'est pas ce que je voulais dire, mais le ticket est déjà imprimé. Je suis obligé de l'attraper sinon je vais devoir rembourser la Coalition donc je cours. Je crois que j'ai jamais couru aussi vite, je ne sais même plus si j'ai déjà couru un jour. J'arrive à temps, je monte et là le contrôleur me dit que j'ai oublié de composter mon billet, il me dit « cent munnies d'amende » j'ai entendu « Dix mille dollars d'amende ». Je regarde le contrôleur, là j'aimerai qu'il perde son boulot, sa femme, qu'il obtienne la garde de son enfant, qu'il le perde dans un accident de voiture. Je lui dis « Merci. » et là je réalise que ma volonté extrêmement limitée ne s'arrête pas au tabac.
J'arrive enfin à Port Royal, je fais pas deux pas que j'ai déjà les chaussures pleines de boue. Je pense déjà à ce soir quand je devrais les nettoyer, j'me dis que c'est trop chiant, j'y pense plus. Le soleil se lève à peine, je regarde dans sa direction, j'me fais mal au yeux, je regarde ailleurs. Je remarque que je vois des taches à cause de la lumière et je me demande pourquoi on voit des taches après avoir regardé de la lumière, j'ai pas la réponse, je me mets à marcher. Je me complique pas la vie, je suis dans la partie de la ville où il n'y a que des poivrots. Je rentre dans la première maison, la porte tient à peine donc c'est pas fermé à clé. Je suis de la Coalition donc je me casse pas la tête, je me dis que je tue trois types et que ça va montrer que les mercenaires sont des incapables.
Je rentre dans une chambre, le type dors, je me dis que le tuer dans son sommeil c'est lâche. Je réfléchi et je me dis que c'est plus rapide de la tuer dans son sommeil. Je sors mon flingue, parce que oui, j'ai un flingue, appuyer sur une gâchette c'est moins crevant que de donner un coup d'épée. C'est mon père qui voulait m'apprendre à tirer, j'avais la flemme mais il était chiant. Je me suis dépêché d'apprendre, il a arrêté d'être chiant. Je suis motivé à vous décrire mon pistolet, mais pour vous, tous les flingues se ressemblent. C'est un Colt AMT calibre 45. Je me dis que si vous savez pas ce que c'est, vous irez sur google. Je braque le type qui dort, je tire dans sa tête et je réalise que ça fait du bruit. J'ai peur qu'il se réveille mais il est déjà mort. Je m'apprête à ranger mon arme, là une folle me pousse. Ma veste se coince dans l'angle d'un meuble elle se déchire. En même temps je tire sans faire exprès dans la jambe de la folle, elle tombe par terre. Je la regarde et elle me dit « Comment quelqu'un qui croit en Dieu peut agir comme ça ? » Je me demande pourquoi elle peut penser à ça dans un moment pareil et ensuite je cherche comment elle sait que je crois en Dieu. Je remarque que ma chemise s'est ouverte et que la croix attachée à mon cou est visible. J'ai veux lui répondre un truc cool alors je lui dis « Dieu a des projets pour chacun de nous. » Je sais pas si elle a compris ce que j'ai voulu dire et je sais pas non plus si ça veut dire quelque chose. Je crois en Dieu, c'est facile et je peux me repentir quand j'en ai gros sur la conscience. Mes parents sont croyants aussi, j'ai été élevé dans cette optique là à la Cité des Rêves.
La folle se met à hurler, j'ai peur, je tire sans réfléchir. Je me rends compte de ce que je viens de faire et je veux m'excuser. Je remarque qu'elle est morte et je lui dis que je suis con de m'excuser à un mort. Là, je me trouve vraiment con de me justifier auprès d'un mort. Je sors de la maison en reboutonnant les boutons de ma chemise. Avec ma veste déchirée, je trouve que je fais vraiment suspect, je me mets à marcher vite pour aller à la gare. Je réalise que même avec un costume en bon état je fais suspect à Port Royal, j'arrête de courir. Du coup je réalise que j'ai fais beaucoup de bruit avec mon pistolet et que je ferai mieux de me dépêcher. Dix mètres en marchant vite et j'ai un point de côté, j'arrête de me dépêcher. Je prends le premier vaisseau pour le Château de la Bête, je marche et je rentre. Je suis devant mon lit, je suis en piteux état, mes affaires sont soit déchirées, soit pleines de boues. J'ai pas le courage de les retirer, je m'allonge comme ça et je m'endors. Bref, je m'appelle George Sears.
G r a d e . v i s é :
- Bleusaille
Les Questions
Q u e s t i o n s :
1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ?
Yes, he can
2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ?
Un koala, ça dort tout le temps.
3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ?
Bah il est fidèle dans le sens où il aura la flemme d'aller voir ailleurs.
4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales.
En ce moment il a plus trop d'amis, mais il considérera quelqu'un comme son ami s'il y a eu un bon feeling et aucune trahison derrière. Il est pas compliqué.
5) Quelle est la devise de votre personnage ? S'il y en a plusieurs, donnez les toutes.
« Tout vient à point à qui sait attendre. » Il aime croire en cette phrase, ça justifie ça féniantise.
6) Vis à vis de votre façon d'écrire, quels sont vos points fort et points faibles?
Elle me les brise cette question.
7) Pourquoi incarner ce personnage ?
J'ai toujours voulu jouer un fumeur en costard, jouer un bleusaille, faire un mec flemmard et un mec qui utilise des flingues. Tout est réuni en un seul être imparfait, je vous présente Sears.