François le Français ! Ha non ... Szp8François le Français ! Ha non ... 4kdkFrançois le Français ! Ha non ... 4kdk
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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Dur réveille, se matin. Non, en faite, il n’avait pas eu le temps de dormir, arraché à son intense envie de sieste par son nouveau Boss. Une mission, qu’il disait. Ouai, un projet pour le consulat ! Mais ça ne pouvait pas attendre ? Juste un peu ? Le temps de roupiller une ou deux heure, pas plus ? Bin non, à voir ! Genesis était un mec cool mais c’est pas pour rien qu’on la choisis comme chef … Ha non, c’est vrai, ce n’est pas le chef, juste le porte-parole : ce qui signifie exactement la même chose pour Rin. La mission ? Bien bien décevante. Se rendre chez les pirates et trouver des voiles. En même temps, c’est pas comme si il attendait des aventures grandioses en rejoignant le Consulat. Enfin, c’est pas comme si on allait lui demander de dézinguer des gros monstres à chaque mission, ça, il s’en était rendu compte. Mais bon, l’art, les muses, tout ça. Limite, cette mission était bonne vu qu’après réflexion, il aurait pu avoir pire. Cuisiner pour répandre l’art, pourquoi pas mais pas quand il avait la tête dans le cul comme ça.

Enfin soit, le démon aura beau se plaindre, comme il l’a joliment dit avant de partir : « Plus vite c'est fait, plus vite je pourrais me reposer ! »
Cela faisait toute la matinée qu’il traversait la mer entre Port Royal et Tortuga, à bord d’un navire marchand assez réputé comme meilleur transporteur des mers. On va pas faire une historique complète de ce vieux rafiot, disons juste qu’il a toujours eu assez de chance pour rester en un morceau. Ayant vu ce luxueux bâtiment, luxueux pour le Port Royal, bien sur, il avait décidé de négocier avec le capitaine afin d’avoir ses précieuses toile, voile, ce que vous voulez … Autant dire que ça l’avait bien énervé en vue de l’accord finalement passé, à savoir : j’ai besoin de matelot, embarque et on verra après. Que pouvait-il faire d’autre qu’embarquer ?
Mais alors qu’il lavait le plancher du pont comme un vulgaire mousse, et tout en grognant dans ses dents, il se rendit compte que ce n’était pas avec son boulot de laveur de plancher qu’il allait recevoir les poils tant attendu … Voiles … J’ai dis quoi ?
Bref, à cette époque, car oui, Port Royal n’est pas le plus évolué des mondes, les voiles devaient couter chères. Après tout, on pouvait les comparé au moteur du bateau, sans voile, difficile d’avancer. Est-ce que vraiment le capitaine serait assez généreux pour lui offrir deux moteurs pour une journée de corvée ? Il finit par se relever et claquer son éponge à terre.

Ça sent l’arnaque votre truc !

Ça y est, il avait pisté le « truc » ! A long terme, pourquoi pas, mais jamais il n’aura ses voiles à la fin de la journée si ça continuait comme ça ! Et c’est clair, il voulait retrouver son sympathique dortoir, au Jardin Radieux, où il pourrait pioncer à l’aise en se disant que Genesis serait fière de lui. Sous l’œil étonné de tout l’équipage, il alla jusqu’à la cabine du capitaine, à grande enjambée, faisant résonner le bois à chaque pas. On pouvait lire sur son visage qu’il allait faire un massacre, qu’il allait envoyer la purée, les carottes sont cuite pour le cap’. Bien déterminé à avoir ses fichu voile, il ouvrit la porte à coup de pied, faisant face à l’aristo en perruque blanche qui servait de dirigeant ici.

Hé ! On c’est mal compris je crois ! Quand vous parliez d’un job, je m’attendais à quelque chose de plus mieux que ça !

Le capitaine arrêta sa paperasse et se frotta les yeux en dessous de ses lunettes, un peu comme si il connaissait déjà le personnage. Les emmerdes arrivaient à point avec un singe ignare qui demandait la lune. Tout en essayant de garder son calme, le capitaine essaya d’expliquer la situation.

Rin, tu te plains d’être sur mon navire ? C’est toi qui as insisté pourtant. Tu voulais te payer des voiles, je t’ai offert un emploie. Attend ta paie comme les autres et tu finiras par pouvoir te les acheter.

Mais je ne peux pas attendre, j’ai autre chose à foutre que laver des planches sur le point de se casser la gueule ! Faite moi faire un truc qui vaut l’échange puis c’est bon !


L’aristo semblait pas comprendre que la patience de Rin était quasi inexistante et que le but d’une mission n’était pas de l’accomplir dans un mois. Il fallait trouver des voiles pour le consulat et là, il venait d’employer la mauvaise méthode pour accomplir sa tache. Il lui aurait suffit de dévaliser le marchant, de couper les cordes et de s’en aller avec les rouleaux. Mais Rin, sous ses airs colérique, ne veux pas nuire aux autres. Le vole n’était pas envisageable et aucun pirate aux environs de Port Royal pour botter des culs et piquer des voiles avec une arrière pensé « ils ont ce qu’ils méritent ». Mais au finale, ce fut le capitaine qui remit Rin en place.

Et même si j’accepte, je ne pourrais pas honorer nos engagements. Ce bateau, notre réputation, ce n’est que façade. Nous somme criblé de dette et le profit se fait rare. Nous somme chaque jour harceler par des clients radins qui payent des misères, des taxes, les temps sont dur ET je ne parle même pas des frais d’entretient. Avec la disparition, ou presque, de la compagnie des indes, les pirates sont de plus en plus présent et nous survivons en leur vidant la moitié de nos coffre ! Par ailleurs, je trouve ça assez généreux de leurs part de nous laisser circuler à condition de payer … Soit, tout ça pour te dire que si tu te crois dans la misère, apprend à regarder autour de toi et tu verras qu’il y a toujours pire. Maintenant excuse moi mais j’aimerai trouver de quoi nourrir ma famille et celle de mes hommes …

Ce discours fit l’effet d’un extincteur sur un incendie. Il ne s’en était pas rendu compte, on ne pouvait pas s’en rendre compte ! Cet équipage était donc dans la misère et lui qui osait les sermonner. Il avait honte tout d’un coup. Lui qui était toujours là pour les autres, Ho ! la boulette.

Ha … Mais vous êtes vraiment vraiment mal ?


Un soupire accompagné d’un hochement de tête confirma, ça devait pas être la joie. Soudain devenu humble et plus polie, Rin se retira en s’excusant, un peu déçu par la situation. Il fixa chaque membre de l’équipage et fit le rapprochement. Il est vrai qu’ils n’avaient pas tous ce belle uniforme style anglais qui caractérisait bien l’honnêteté des marchands. Beaucoup étaient sale avec une sale mine et souvent très mince, dans le genre malade, pale, et j’en passe. Les voiles avaient volé au loin dans son esprit, il aurait bien voulu faire quelque chose pour ses pauvres gars mais on ne peut pas sauver tout le monde. Que pouvait-il faire ? Ce n’était pas un grand marchand et à moins de solliciter ses nouveaux ami les consuls, chose qu’il ne ferait pas car il supposait que l’art ne faisait pas la charité… Il n’y avait qu’à attendre et chercher des voiles à Tortuga tout en priant pour le salut de leurs âmes.

Mais alors qu’il voulait regagner sa place parmi les laveurs de plancher, une détonation se fit entendre et le navire tremblât, faisant tomber son équipage. Rin trébucha même pour se ramasser contre le mât principal, une belle trace de poteau dans sa figure. A tribord … Bâbord … Ho merde, à droite ! Un navire les rattrapait doucement, un navire au pavillon noir, des pirates. Comme si il fallait qu’on parle du pire pour qu’il y ait encore pire qui arrive ! Le temps de se remettre de son mal de tête que tout l’équipage était déjà en panique. Des ordres fusaient de partout alors que d’autre coup de canon ennemie émiettait le bâtiment du coté du démon. Tout alla si vite … un boulet défonça une rembarde et fit voler la chose pas loin de Rin qui se cru mort pendant un moment. Des pirates commençaient à aborder le navire, sabre en mains. Il fallait réagir et pas rester sonné durant toute la bataille. Ses pauvres gars étaient déjà dans la merde, il leur fallait pas ça en plus ! Les pirates ne se sont pas contentés que de vider les caisses cette fois, pour une raison inconnu, ils voulaient la mort du vaisseau.
Le consul se releva et, fourreau en main, repoussa un pirate sans doute ivre, vu sa gueule, en bloquant un coup de sabre maladroit. Un pied vengeur dans le foie, histoire de le dégager définitivement puis il fallait trouver une solution. Il avait le pouvoir de les faire fuir, il avait pleinement confiance en ses capacité et il savait que les pouvoirs de Satan serait amplement suffisant pour les faire bruler dans les flammes de l’enfer. Mais toujours ce soucis d’anonymat.

Tout le monde se battait sur le pont. Ce n’était qu’un simple navire marchant mais tous avait un sabre … La seule différence avec le navire d’à coté, c’était que sur celui de Rin, les canon, ça n’existait pas. Un plan, vite, un plan … Le feeling, tout simplement. Il s’inspira de ses vieille histoire pirate, qui étaient des faits d’actualité ici, et se fraya un chemin entre les sabres pour arriver à une corde qui retenait les voile ou un truc du genre, il n’est pas navigateur de souche. Il profita qu’on gars était KO pour choper son sabre et donna un grand coup dans la corde. L’effet souhaité étant de se faire propulser dans les airs et, en lâchant la corde au bon moment, atterrir chez les pirates et faire un massacre. Mais il eu beau attendre … le décollage avait été annulé. Il ne connaissait pas assez en bateau à voir car il avait beau s’accrocher à la corde, rien ne se passa. Frustré mais déterminé à passer de l’autre bord, il monta sur le bord et s’élança comme tout bon pirate.

J’arrive, les bouseux !!

Et durant son long vole, il faillit percuter un autre tocard, armé d’une hache et au regard d’assassin. Une rencontre bien sympathique qui se soldera par une tête coupée en plein vole. Qui veut de l’action, qu’il navigue sur les mers. Pour éviter sa hache, il grimpa un peu plus à la corde et alors que le coup tapa dans le vide, Rin effleura la corde du pirate et la consuma vite fait bien fait avec ses flammes. Le bout lâchant en quelque seconde et le démon se délecta de voir un guignol se ramasser contre le bateau et finir dans l’eau. Il se réceptionna, tout fière, tirant la langue et grimaçant au pirate qui le regardait depuis l’eau.
Mais lorsqu’il se retourna, une bonne dizaine de lames glissèrent juste en dessous de son cou. Il venait de se faire piéger comme un bleu.

Ho, dommage …

Un de ses ennemie lui donna une taloche au menton digne des plus grand boxer et, assommé, se laissa trainé sur le pont par ses brutes épaisses. Ils le jetèrent comme un vulgaire sac à patate devant un homme qu’il s’empressa de regarder. Il n’avait pas l’air très jeune et son visage était plus pâle que blanc, un peu comme un clown qui n’aurait pas finit son maquillage. Il avait une perruque blanche et un chapeau qui rappelait presque celui de Napoléon. En faite, il avait plus l’air d’un anglais de la compagnie des indes qu’à un pirate tout aussi dégueu que malodorant. Dans tout les cas, ça devait être le capitaine, pourquoi le trainer jusqu’à lui si c’est un mec qui nettoie le plancher ?

Qui crois-tu être pour oser poser le pied sur MON bâtiment, jeune homme ?


Ça y est, son petit air hautin et supérieur, une voix de tapette qui tapait sur le système, il détestait déjà ce type. Et comme si ça ne suffisait pas, ce snob écrasait son visage contre le sol d’un air dominant. L’insulte … A fleure de peau, Rin était à deux doigt de laisser sortir ses flammes. Même si son visage était déformé, on pouvait voir qu’il était prêt à cogner sévère.

Et toi, t’es qui pour m’piétiner la face, du con ?!

Apparemment nullement vexée, celui qui avait tout d’abord l’air d’un gentilhomme sortit son sabre en souriant et le pointa prés du visage de ce qu’il croyait être son nouvelle esclave. Il alla même jusqu’à titiller son nez avec la pointe de sa lame. Et c’était quand même douloureux, bordel !

Capitaine Chevalet, le Français Famélique ! Grand seigneur pirate du Nord Atlantique ! Tu as bien du courage, ou tu es fou. En général, ses deux choses vont très bien ensemble… Soit, tu as du cran pour venir t’aventurer seul sur ce navire. De la part d’un simple marchant, cela m’étonne. Mais il faut dire …

Et il parlait et il parlait encore et encore ! Mais qu’est-ce qu’il en avait à foutre de son audace, il lui avait juste demandé son nom, non ? Bientôt, son visage sera défiguré à vie et la colère montante, il devra faire quelque chose ou finir embrocher à cette lame bien trop proche de son visage à son gout. Finalement, Rin poussa un cri d’étonnement en voyant qu’à force, le Chevalet machin parlait plus à son équipage qui les entourait plutôt qu’à l’homme qu’il menaçait. Ha, le sac à main ! Il était méprisable ! Ras-le-bol, on ne va pas savoir régler ça à l’amiable et qu’importe les flammes bleu.

… Nous somme bien loin de chez nous mais j’eus envie de conquérir …

J’M’EN TAPE DE VOS DELIRE DE BOUFFON !!

Ses flammes bleu explosèrent en lui et finirent par émaner de son corps. Tout l’équipage autour de lui fit un bond en arrière, ainsi que le Français snobinard qui, par reflexe, se mit en garde sans comprendre à quoi il avait à faire. Et dans les bruits de bataille, le bruit du métal, de la chair et du sang, parmi les coups de tonnerre que provoquaient les canons, il semblait s’éveiller, se relever, telle un mort sortant de sa tombe. S’aidant de son sabre Kurikara, il se tint debout parmi les flammes, fixant d’un regard meurtrier et fou ce salaud qui n’avait aucun remord à dévaliser les honnêtes citoyens. De l’autre coté du pont, tous se figèrent alors que, par chance, sur le navire marchand, les combats semblaient continuer sans encombre …
Il déballa lentement le tissu rouge qui contenait le fourreau et posa une main sur le manche de l’arme, la brandissant devant lui pour prouver sa confiance en lui. Et d’un coup sec, il dégaina son arme dans un nouveau flots bleuté. Ses oreilles étaient devenu pointue, ses crocs s’étaient allongé, sa queue de démon sortit de ses vêtement et deux corne de flamme apparut sur son crâne. A se spectacle, les pirates ne savaient que faire. Lui sauter dessus ou fuir et se jeter à l’eau ?

Mais qui … Mais qu’es-tu donc ?! Mais … Arrêtez-le !! Dois-je donc toujours régir vos vies ? Du tact, messieurs ! Allez !!

Rin grogna à son opposant avant de lâcher son fourreau et de brandir son arme bien haut. Les hommes de Chevalet transpirait la peur, la peur de l’inconnu. Quel était cet être ? Simple mage ou démon ? Monstre, abomination, ange de la mort ? Il sauta vers le seigneur pirate et tenta de le couper en deux, usant de ses deux mains sur le katana incandescent, s’y donnant déjà à fond. Mais la peur ne se lisait pas dans l’œil du capitaine, au contraire, il semblait aussi vouloir en démordre face à cet impertinent qui l’avait traité de bouffon ! L’occulte ne l’impressionnait pas, pourquoi un simple gamin à queue de diable l’impressionnerait ? Il n’avait rien fait de très grand jusque là, pourquoi la peur ? Il leva sa rapière pour parer son coup, d’une seule main, prouvant son expérience en temps qu’épéiste. Cette parade bluffa même Rin qui ne croyait faire face qu’à un vieillard sans force. Profitant qu’il ait utilisé les deux mains, le Français Famélique leva sa jambe et poussa le diable d’un bon coup de talon dans le torse, le faisant perdre l’équilibre et reculé jusqu’à cogner sa tête contre celle d’un autre gars.

Si vous n’obéissez pas, je vous tue de mes propre gants, compris messieurs ?!

Les pirates, rassuré de voir que leurs capitaine ait réussit à le repousser et prouver ainsi qu’il n’était pas invincible, finirent par tous dégainer leurs sabre et à foncer sur Rin. Le démon se remit d’applomb et se mit à affronter cette horde de malpropre mais visant toujours le capitaine, si bien qu’il n’attaquait pas vraiment l’équipage. Il para un premier coup avant d’utiliser sa force pour repousser un adversaire plus loin. Avançant dans la masse de gens, il donnait des coups rythmé un peu autour de lui, priant sans le montrer que chaque balancement de sabre empêche un autre de le percuter et de le trancher. Il se baissa pour éviter un coup horizontal avant de donner un coup d’épaule, roula à terre, entre les jambes d’un mec qui planta son épée dans le planché jusqu’à se rendre compte qu’à force d’avancer, il se retrouvait cerné de toute part. Mais trop dans l’action, trop rageur pour réfléchir à un moyen de s’en sortir, il sauta assez haut et créa une boule de feu dans le creux de sa main libre avant de la balancer en-dessous de lui. La balle brulante explosa au contacte du sol et embrasa tout les troubles fête qui, de douleur et de peur, finirent presque tous par se jeter à l’eau pour éteindre les flammes. Chevalet, témoins de se spectacle peu encourageant, n’eu même pas le temps de sortir une phrase inutile que le Fils de Satan atterrit et se rua vers lui, sabre prés de la hanche. Le pirate sauta en arrière pour esquiver le coup montant et surtout brulant, tirant avantage de son manque d’expérience au sabre pour plonger sur lui, tentant un estoc qui alla se planter dans une de ses cuisses et lui arracha un crie de douleur. Il agita son sabre n’importe comment pour faire reculer cette ta fiole qui cognait fort, finissant par lui entailler la main et lui faire lâcher son arme dans un petit « Saperlipopette» minable …

Voyant là une ouverture face à ce salopard désarmé, il voulu lui faire gouter à ce qu’il avait subit en essayant de l’atteindre du bout de sa lame. Mais sans de quoi parer, il goutta de prés la pointe avant de rebrousser chemin de courir comme un poulet effrayé vers la partie surélevée du pont. Tout en courant, il sortit son pistolet, le genre de truc qui tire qu’un coup et une fois en hauteur, se retourna pour viser le démon. Au même instant, sabre fixé pour une taillade décisive, le consul s’élança vers lui.
Un coup de feu retentit parmi tant d’autre, la balle traversant l’épaule de Rin, le déstabilisant dans son geste. Il le rata de peu, plantant son épée dans le bois mais avide d’en finir et de lui foutre des baffe, il se redressa en lâchant son sabre, saisissant à la place son arme à feu pour l’envoyer par-dessus bord. Surpris qu’il ait encore cette vitalité malgré la blessure à l’épaule, il ne pu réagir et se fit empoigner le col. Et tout en gueulant comme un barbare, Rin lui donna un coup de boule à en faire trembler la roche. Puis un deuxième … Et un troisième monstrueux qui réussis même à faire cracher du sang au Seigneur pirate. Il le libéra de sa poigne, sonné, et tomba à terre, abattu. Le cuistot, lui, avec son épaule amoché et son mollet ensanglanté, récupéra son arme avant de la glisser sous le menton du capitaine, le fixant d’un air sévère et accusateur.

Je te laisse la vie sauf … Mais en échange… Ne mettez plus la vie des autres en péril !!


Urk … Tue moi tout de suite alors … Je suis un pirate… comme on dit, l’âme des pirates jamais ne mourra …

Un sourire moqueur se dessina sur son visage, défiant le vainqueur d’achever la bête. Mais Rin n’allait pas le faire, il ne voulait la mort de personne, personne d’autre que son pére. Même si ce pirate est … un pirate justement, il ne se sentait pas le courage de tuer autre chose que des sans-cœur et des monstres. A la place, il eu vite fait de choisir sa sentence. Il baissa son arme mais prit le capitaine par la peau du cul avant de le mettre sur une rembarde.

Si jamais j’entend que tu fais encore du grabuge … je te retrouverais et je te ferais plus que te lancer par-dessus bord, clown de mes deux !


Et le clown en question fit un petit tour dans l’océan…

Plus tard, sur les deux bateaux cote à cote, le calme était revenu. Rin menaça les pirates restant et en fit ses captifs, tout ça après avoir retrouvé son fourreau et avoir repris une apparence plus ou moins humaine. Il ignorait si l’autre équipage l’avait vu sous forme de démon, mais en tout cas, personne ne semblait avoir peur de lui, au contraire, il avait droit aux félicitations de tout le monde. L’espace d’un instant, il était le sauveur, le héro. Il avait récupérer quelque truc sur le bateau pirate avant que l’on reparte pour Tortuga, notamment les voiles, une partie du butin volé et une petite coupe que le capitaine avait fait tomber avant de dire bonjour au poisson. Un petit souvenir en somme. Il restitua l’or et les bijoux au capitaine du vaisseau marchand, histoire de les sortir de la misère. Et pour fêter cette victoire, il trouva même le courage de faire un banquet pour tous !
Et le soir, à Tortuga, il regardait tout ce joyeux petit monde partir pour les bars et les filles affriolante… Deux énorme toile sur le dos, un calice version miniature en poche, il voulait repartir pour le Jardin Radieux et accomplir une bonne fois pour toute sa mission. Jusqu’à ce qu’il se rende compte d’une chose…

C’était pas à … Port Royal la zone d’embarquement ? … ET MERDE !

Petit traqua de la vie, lui qui avait déjà mal partout avec ses blessures. Mais il y avait une chose qu’il ne savait pas et qui valait la peine d’être souligner. Ce petit calice sans décoration était plus qu’un bibelot ancien pour les pirates. Il venait de se dégoter un trésors qui allait peut-être lui rendre service plus tard …
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    Mission accomplie !

    Et c'est une très bonne mission. Dynamique, bien écrite et amusante.
    Mais tout cela n'est rien comparé à l'originalité du truc. Avoir incrusté Le Français Famélique dans ton rp, j'ai trouvé ça génial. Comme ça, dès d'entrée de jeu, tu oses faire un truc vachement cool. C'est très original et ça mérité un ps bonus, sans hésitation.
    La difficulté est respectée... Même si à la fin, tu oublies un peu tout ce que tu t'es pris.
    Si j'ai quelque chose à reprocher... Oui. Il y a un moment sur le bateau de François, genre dix lignes où on se fait un peu chier, disons-le mais c'est vraiment la seule chose négative. Continue comme ça.

    38 xp, 380 munnies et 5 PS... 4 en défense et 1 en Force.

    Il faudrait que tu mettes un lien vers ta fiche de personnage dans ta signature.
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