[Oui, je sais... Le un jour est devenu deux semaines... Merci de pas me le faire remarquer... T_T]
C'est marrant... Vous savez, généralement, on envoit en prison les sales types qui ont commis un crime irréparable (ou pas)? Et bien, c'est tout différent chez les lumineux. Pour peu que vous ayez une aura ténébreuse, on vous jette dans le plus profond des cachôts avec un espoir de sortie tellement mince qu'il faut se débrouiller pour obtenir quelque chose d'utile. Hazama en fit d'ailleurs la (très) désagréable expérience. A peine eut-t-il posé les pieds dans ce monde qu'un certain... Heu... Type en rouge et noir (rappelons qu'Hazama ne connais même pas le nom de son assaillant) dont la politesse est tellement basse qu'il ne daigna même pas donbner son nom. Comme quoi, vive la jugeote des lumineux...
Ce lieu avait tout de ce qui était de plus répugnant: les murs étaient d'un gris mouillé particulier, l'odeur semblait s'apparenter à celle de la mousse, encore qu'il y en avait au plafond, sur le plancher, la moisissure s'était déjà attaquée aux lits et enfin, on ne fournissait rien aux prisonniers!... Enfin... Aux prisonniers normaux me direz-vous... Terumi était en effet... Un peu spécial... Son attitude lui a permis en effet d'avoir un ou deux privilèges... Dans un sens, on pourrait croire que la lumière avait déjà commencé à sombrer dans la folie, mais je vous mets au défi de supporter les provocations de l'homme en noir pendant tout le temps de son emprisonnement... Et encore! Ce dernier n'en était même pas encore la! Comme il devait jouer "les gentils toutous" selon ses propres dires, il ne devait pour le moment en aucun cas faire la moindre action potentiellement suspecte... Il s'était donc contenté de discuter avec son garde qui aurait lui même dit "ne plus pouvoir le supporter" au bout d'approximativement dix minutes... Mais, au lieu de parler de ceci, revenons à ces "privilèges" qu'il avait obtenu... Le premier était un beau bloc de feuilles de papier avec un crayon. Ces choses aurait permis pour un homme normal d'écrire un message d'appel à l'aide... Enfin, évidemment, si, comme Terumi, il n'avait pas été bêtement placé près des douves... Et évidemment, bouteilles en tout genre interdit... Mais ça, ça ne dérangeait absolument pas l'homme en noir, et c'est dire! Durant tout son enfermement, lorsqu'il n'était pas à cette splendide "salle des tortures" (si c'est une torture d'essayer de faire rire aux éclats un homme fou bien sur), il écrivait, griffonnait, dessinait, schématisait des choses bizarres aux formes étranges tout en regardant un étrange disque de métal qu'il portait dans sa main droite. Son garde n'eut d'ailleurs pas tout à fait compris pourquoi l'homme vert usait de ce privilège au combien immense pour faire des dessins sans valeurs au lieu d'envoyer un message d'au secours. Enfin... Comme on dit "Les voies de la science sont impénétrables... Encore plus si ça viens d'Hazama". Bon... On a fait le premier des deux petits privilège de l'homme. Le second était de manger autre chose que du pain presque racis avec de l'eau d'une origine douteuse. Il avait en effet eut le droit d'avaler un petit morceau de poisson (vraiment très petit, qu'on soit bien d'accord...) avec une feuille de salade de couleur jaune (c'était un légume, c'était déjà ça...) et l'eau semblait légèrement plus propre que la précédente... Je crois qu'en effet vous avez remarqué que le pein sec calait plus qu'un petit morceau de poisson et de la salade. Mais bon... Que voulez vous... Il a eu ce qu'il voulait... En dehors de sa libération.
Ce jour-ci était un jour à peu près comme les autres... Le soleil illuminait la pièce ainsi que la partition écrite en rouge carmin sur le mur (surement faite par un précédent détenu, allez savoir...), toutefois, au lieu d'en profiter, le scientifique était, comme à l'accoutumée, sur une bête table qui lui servait de bureau avec une misérable chaise presque rongée au vers en guise de fauteuil, et, comme à l'accoutumée, il écrivait des choses incompréhensibles sur ses feuilles de papier, toujours en ayant un oeuil sur son disque de métal, sans songer ne serait-ce qu'un instant à envoyer un message d'appel à l'aide... Ce jour-ce, il n'avait pas mangé son "repas" et l'avait donné à son gardien... Il l'avait fait pour se moquer légèrement de lui. Ce fut d'ailleurs juste après être retourné à son "bureau" qu'il lâcha un petit ricanement pratiquement inaudible. Depuis le premier jour, il semblait avoir les yeux fermés, à aucun moment il ne semblait les avoir ouvert. Ce jour-ce, au début de l'après-midi, l'homme en noir était allongé sur son splendide lit de prison, reposant un peu son esprit, jusqu'au moment où il allait avoir droit à la meilleure activité de la journée: la petite séance derire torture. Presque lorsque son gardien eut reçu l'ordre divin d'emmener le scientifique serpentaire à sa séance de relaxation, ce dernier releva la tête et afficha un énorme sourire avant de s'exclamer:
"Ah! Vous daignez enfin m'adresser la parole! Alors? Comment était le repas que je vous ai donné? C'était bon j'espère?"On ne savait pas très bien si c'était sa folie ou le syndrome de Stockholm, mais Hazama semblai, tout du moins en apparence, se sentir très bien dans sa prison froide. Aussi, lorsque son gardien lui demanda de se lever et de le suivre, il reprit:
"Je voit! On y va pas par quatre chemins, n'est-ce pas? Enfin, je suppose que vous allez encore me torturer, c'est ça...? *soupir* Vous n'avez donc pas encore compris que je ne savais rien à propos de la Coalition Noire...? Vous m'avez ouvert les veines, brisé des os, fait écouter un crissement insoutenable, humilié, séquestré et fait emprisonné... Vous ne pensez pas que je suis sincère dans mes propos après le temps? Enfin... Je suppose que c'est votre travail comme moi je suis un scientifique..."Il devait s'éxécuter... Aussi, il se leva avec quelques difficultés (à moins que ça ne soit une feinte...) et avança en boitant légèrement vers la salle qui allait lui offrir mille délices dans ses souffrances...
Mar 29 Mar 2011 - 22:14C'est marrant... Vous savez, généralement, on envoit en prison les sales types qui ont commis un crime irréparable (ou pas)? Et bien, c'est tout différent chez les lumineux. Pour peu que vous ayez une aura ténébreuse, on vous jette dans le plus profond des cachôts avec un espoir de sortie tellement mince qu'il faut se débrouiller pour obtenir quelque chose d'utile. Hazama en fit d'ailleurs la (très) désagréable expérience. A peine eut-t-il posé les pieds dans ce monde qu'un certain... Heu... Type en rouge et noir (rappelons qu'Hazama ne connais même pas le nom de son assaillant) dont la politesse est tellement basse qu'il ne daigna même pas donbner son nom. Comme quoi, vive la jugeote des lumineux...
Ce lieu avait tout de ce qui était de plus répugnant: les murs étaient d'un gris mouillé particulier, l'odeur semblait s'apparenter à celle de la mousse, encore qu'il y en avait au plafond, sur le plancher, la moisissure s'était déjà attaquée aux lits et enfin, on ne fournissait rien aux prisonniers!... Enfin... Aux prisonniers normaux me direz-vous... Terumi était en effet... Un peu spécial... Son attitude lui a permis en effet d'avoir un ou deux privilèges... Dans un sens, on pourrait croire que la lumière avait déjà commencé à sombrer dans la folie, mais je vous mets au défi de supporter les provocations de l'homme en noir pendant tout le temps de son emprisonnement... Et encore! Ce dernier n'en était même pas encore la! Comme il devait jouer "les gentils toutous" selon ses propres dires, il ne devait pour le moment en aucun cas faire la moindre action potentiellement suspecte... Il s'était donc contenté de discuter avec son garde qui aurait lui même dit "ne plus pouvoir le supporter" au bout d'approximativement dix minutes... Mais, au lieu de parler de ceci, revenons à ces "privilèges" qu'il avait obtenu... Le premier était un beau bloc de feuilles de papier avec un crayon. Ces choses aurait permis pour un homme normal d'écrire un message d'appel à l'aide... Enfin, évidemment, si, comme Terumi, il n'avait pas été bêtement placé près des douves... Et évidemment, bouteilles en tout genre interdit... Mais ça, ça ne dérangeait absolument pas l'homme en noir, et c'est dire! Durant tout son enfermement, lorsqu'il n'était pas à cette splendide "salle des tortures" (si c'est une torture d'essayer de faire rire aux éclats un homme fou bien sur), il écrivait, griffonnait, dessinait, schématisait des choses bizarres aux formes étranges tout en regardant un étrange disque de métal qu'il portait dans sa main droite. Son garde n'eut d'ailleurs pas tout à fait compris pourquoi l'homme vert usait de ce privilège au combien immense pour faire des dessins sans valeurs au lieu d'envoyer un message d'au secours. Enfin... Comme on dit "Les voies de la science sont impénétrables... Encore plus si ça viens d'Hazama". Bon... On a fait le premier des deux petits privilège de l'homme. Le second était de manger autre chose que du pain presque racis avec de l'eau d'une origine douteuse. Il avait en effet eut le droit d'avaler un petit morceau de poisson (vraiment très petit, qu'on soit bien d'accord...) avec une feuille de salade de couleur jaune (c'était un légume, c'était déjà ça...) et l'eau semblait légèrement plus propre que la précédente... Je crois qu'en effet vous avez remarqué que le pein sec calait plus qu'un petit morceau de poisson et de la salade. Mais bon... Que voulez vous... Il a eu ce qu'il voulait... En dehors de sa libération.
Ce jour-ci était un jour à peu près comme les autres... Le soleil illuminait la pièce ainsi que la partition écrite en rouge carmin sur le mur (surement faite par un précédent détenu, allez savoir...), toutefois, au lieu d'en profiter, le scientifique était, comme à l'accoutumée, sur une bête table qui lui servait de bureau avec une misérable chaise presque rongée au vers en guise de fauteuil, et, comme à l'accoutumée, il écrivait des choses incompréhensibles sur ses feuilles de papier, toujours en ayant un oeuil sur son disque de métal, sans songer ne serait-ce qu'un instant à envoyer un message d'appel à l'aide... Ce jour-ce, il n'avait pas mangé son "repas" et l'avait donné à son gardien... Il l'avait fait pour se moquer légèrement de lui. Ce fut d'ailleurs juste après être retourné à son "bureau" qu'il lâcha un petit ricanement pratiquement inaudible. Depuis le premier jour, il semblait avoir les yeux fermés, à aucun moment il ne semblait les avoir ouvert. Ce jour-ce, au début de l'après-midi, l'homme en noir était allongé sur son splendide lit de prison, reposant un peu son esprit, jusqu'au moment où il allait avoir droit à la meilleure activité de la journée: la petite séance de
"Ah! Vous daignez enfin m'adresser la parole! Alors? Comment était le repas que je vous ai donné? C'était bon j'espère?"
"Je voit! On y va pas par quatre chemins, n'est-ce pas? Enfin, je suppose que vous allez encore me torturer, c'est ça...? *soupir* Vous n'avez donc pas encore compris que je ne savais rien à propos de la Coalition Noire...? Vous m'avez ouvert les veines, brisé des os, fait écouter un crissement insoutenable, humilié, séquestré et fait emprisonné... Vous ne pensez pas que je suis sincère dans mes propos après le temps? Enfin... Je suppose que c'est votre travail comme moi je suis un scientifique..."