Et ainsi, la tragédie trouve une fin comique... [Mission normal] Szp8Et ainsi, la tragédie trouve une fin comique... [Mission normal] 4kdkEt ainsi, la tragédie trouve une fin comique... [Mission normal] 4kdk
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Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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    Je me présente, je m’appelle Pierre. J'ai abusé sexuellement de trois jeunes filles avant des les étrangler à mains nues. Vous allez me dire qu'il ne faut pas, que c'est mal et que j'irais en enfer, mais je m'en fous comme de l'an quarante. Moi ça me plait, je me sens fort, puissant, et ça me fait oublier ma mégère de femme. Ah celle-là, une baleine, je fais rien d'assez bien pour elle. Connasse. Puis, entre nous, se faire une petite bohémienne, ca fait toujours plaisir. Donc je me promenais près des catacombes, en guettant la première bohémienne qui passerait dans le coin. Il faisait nuit noire et tout le monde dormait. Puis la ruelle n'était pas très fréquenté... Alors que je marchais j'ai vu de loin une silhouette. On ne la voyait pas bien, mais on pouvait dire sans se tromper que c'était une dame. Pour commencer, elle portait une robe verte en soie. Des cheveux lisses et raides couleur noir de jais tombait le long de son dos. Franchement, j'ai pas réfléchit parce qu'entre nous... Je perds tout contrôle quand je vois une bohémienne, seule dans le noir prête à passer entre mes mains. Je la regardais, la fixait d'un air pervers en m'approchant d'elle. Je la violerais, puis je la tuerais... Mais je vais pas l'étrangler comme les autres, celle-là je vais la rouer de coup jusqu'à ce qu'elle crève. Je m'approchais d'elle en pressant le pas, elle était toujours de dos mais j'imaginais son teint mâte et ses yeux ébènes qui seront pris de panique en voyant qu'elle ne peut que faire ce que je lui dis en espérant ma pitié... J'étais juste derrière elle, j'ai attrapé fermement mes épaules, pour qu'elle ne puisse plus bouger. J'ai sortit un couteau de ma poche et je l'ai glissé sous sa gorge...

    « Alors ma jolie ? Avant que je te fasse passer la pire et dernière nuit de ta vie, tu voudrais pas me dire qu'est-ce que tu es venu faire ici, dans ces catacombes seule et dans la noir ? »

    Je l'ai retourné, histoire de voir sa petite mine inquiète et j'ai sursauter en criant de toutes mes forces.

    « Je suis là pour te tuer ! ♪ »

    Alors que j'aurais du voir une jolie demoiselle, j'ai vu un visage pâle, un sourire au visage et une lueur assassine dans les yeux. Et ses cheveux oranges en plus ! J'ai faillit mourir de peur en voyant ça, et j'ai lâcher ce clown avant de tomber à genou. Ce bouffon m'a explosé les noix d'un coup pied, par surprise en plus ! J'en menais pas large, surtout avec sa tête de psychopathe... J'avais peur. Et son rire n'avait rien de rassurant... Malgré la douleur atroce je me suis levé prêt à me battre contre ce type. Entre temps il avait enlevé sa robe, dévoilant un costume rayé et un noeud papillon géant et jaune. En plus, c'était un homme, et il a enlevé sa perruque... Merde ! Au vu de sa tête, j'était tomber sur un type plus dingue que moi. Mais bon, c'est juste un dingue. Il était plus petit et moins grand que moi, alors je me suis dit que j'aurais vraiment aucun mal à me le faire. Avec mon couteau, je me suis ruer vers ce dingue pour le planter mais avant que ne réussisse... Il a disparut. Comme s'il s'était volatilisé ! N'étant pas un spécialiste de magie, mes connaissances étant même nulle dans ce domaine, je n'ai pas deviner son tour de magie. Il avait une utilisé un sort d'invisibilité très sommaire qui le rendait juste difficile à voir, couplé à la luminosité inexistante, je ne le voyais plus ! Comment j'aurais put tilter tout ça moi...

    « Montre toi fils de chien ?! T'es où ?! »

    J'ai sentit que quelque chose me frôlait le visage, c'était effrayant, c'était comme si la mort murmurait à mes oreilles...

    « Je suis là ! ♪ »

    Dans un geste désespéré, je me suis retourner et j'ai tracer un arc cercle imaginaire du bout de ma lame pour l'avoir. C'était un échec, tout ce que j'ai réussit à faire c'est esquinter son visage, en faisant une fine plaie le long de sa joue. Quand à lui, ce clown grotesque à bondit en arrière. Il ne semblait même pas s'être rendu compte que ma lame l'avait touché et, ignorant totalement cette blessure, me fixât d'une lueur assassine, le sourire aux lèvres.

    « Tu sais comment on sait qu'une gamine jouit ? »

    « Mais qu'est-ce que tu racontes bordel ?! »

    « On le sait quand on entend le bassin craquer ! HAHA ! »

    Ce type, c'était un taré, il me sortait une blague comme ça mais... pourquoi ? Me mettre mal à l'aise ? Me perturber ? Bizarrement, ça m'a mis mal à l'aise. Je ne saurais vous expliquer pourquoi, mais cette blague avait quelque chose de violent, quelque chose de dérangeant qui n’aurait normalement pas du me déranger ! Bordel, je comprenais rien et il continuait de me fixer avec son air de malade mentale.

    « Tu sais, j'ai horreur que l'on tue quelqu'un ! Haha, c'est drôle oui, mais j'ai horreur de ça. C'est sur on rigole, et j'adore rigoler, mais si quelqu'un meurt, il rigolera plus jamais. A cause de toi, trois jeunes filles ne rigoleront plus jamais, sans compter leur mère qui seront triste à vie. Le plus dur dans la mort, c'est pas pour ceux qui partent... Mais pour ceux qui restent. En tout cela fait six personnes qui ne seront plus joyeuses, tu as effacés six rires pour l’éternité. Mais ne t'en faits pas, je leur redonnerais le sourire. Nous leur redonnerons le sourire, mais pour ça, tu devras crier. Oui, je vais te faire crier, comme un porc, ça ne devrait pas être dur vu la ressemblance !» dit le clown, avant de lâcher un petit rire moqueur, bizarrement, je voulais l'écouter, il avait quelque chose... d'hypnotisant, la faute à son air joyeux en plein contraste avec ses paroles, mais aussi à cause de sa voix douce et calme, presque féminine... « Grâce à moi tu vas crier, de toutes tes forces. Je veux que toute la cité entende tes cris. Tu devras aussi avouer ton crime, toujours en criant. Il faut que tu cries... Comme ça les mère à qui tu as voler leur enfant entendront ta souffrance, et elles souriront, seront apaisés que tu subisses le même sort. Je te ferais bien subir le même sort qu'à tes victimes mais... Tu n'es pas du tous mon genre ! »

    Puis il rigolât, encore une fois. Bon dieu mais ce est type est complètement... BARGE ?! J'ai beau être un salopard, vous ne pouvez pas me contredire quand je dis que c’est un véritable cinglé ce mec. Il était content ? Je suis sur que tous ces paroles n'éraient qu'une excuse pour assouvir ses pulsions sadiques. Je savais très bien que si je ne faisait rien, alors c'est lui qui ferait quelque chose et je ne veux surtout pas ça. Je me suis jeté sur lui, prêt à le saigner. A mi-chemin, j'ai eu un flash qui m'a arrêté net. J'entendait des cris de douleurs à m'exploser les tympans, c'était ma voix, c'était comme si celui qui crier c'était moi, sauf que... Je ne criais pas. Enfin, je pensais, j'en était presque sur mais peut-être qu'en fait, j'avais vraiment crier ? Le bouffon m'observait, toujours aussi calmement.

    « Tu as mal vu peut-être ? Attends je vais de remontrer...»

    Un second flash ! Cette fois-ci, en plus des cris et de la forte lumière qui m'envahissait subitement j'eut l'impression que quelque chose s’enfonçait violemment en moi. Et toujours ces cris. Un cauchemar, bien que ça ne dure qu'un bref instant, ces flash me faisait l'effet d'un cauchemar. Incapable de dire si j'avais vraiment eut mal, incapable de dire si j'avais réellement crier ou non. Puis ça me l'a refait une troisième fois. La troisième fois fut de trop, elle me fit perdre tout contrôle, j'avais clairement l'impression que ce flash était réelle. Je me suis jeter sur lui et à ma grande surprise, il a sortit de nulle part un boomerang qui s'est empressé de lancer vers moi. Je n'était peut-être pas un champion du combat, mais j'eut le réflexe d'esquiver à temps d'un pas vers la gauche, bizarrement, il fit de même, allant lui aussi vers la gauche. Je l'ai suivit et je n'ai compris la feinte que trop tard. Il avait lancé son boomerang de la main droite et l'arme formait une courbe arrondit vers la gauche... Evidemment, comme un con je me suis prit le boomerang dans l'articulation de ma jambe droite, et j'ai chuté face contre terre, à ses pieds...

    Et pour bien me le faire comprendre il a mis son pieds sur mon visage. Enfin, il ne l'a pas seulement posé puisqu'il m'a pressé le crâne comme un citron sur le sol. Ça faisait bien mal, j'ai même crié, mais vu sa force, j'ai pas vraiment eu de mal à me dégager. Je me suis reculer un peu, et en voulant me mettre en garde, j'me suis aperçut que je n'avais plus mon couteau... Il le tenait entre ses doigts et ricanait, tout content de l'avoir volé. Je ne supporter plus son air joyeux et ses rires...

    « Arrête de sourire bordel ! »

    Il l'a fait. J'aurais préféré qu'il continue à rire... Entre temps le boomerang avait disparut, et il faisait danser mon arme entre ses doigts, témoignant d'une dextérité effrayante. Son visage était devenu colérique, et il me fixait d'une haine froide. Je tremblais, tétanisé à la vue de ce clown morbide...

    « Je... je... je voulais pas ! J'te le jure ! j'ai essayer de me retenir mais j'ai pas pu ! Laisse moi en vie, je ne le ferais plus jamais ! Je violerais plus jamais personne ! »

    Il se remit à sourire.

    « Je suis rassuré que tu me dises ça car vois-tu... Je me voyais mal revenir en disant que je me suis trompé de personne hahahahaha ! Le rouge-gorge ne m'aurait surement pas cru si je lui avais raconté que j'avais tuer quelqu'un qui lui même avait essayer me tuer ! Enfin... Ça ne fait que confirmer l'ordure que tu es huhu...»

    A peine eut-il finit qu'il lança mon couteau, pas pour me tuer, mais juste pour me le rendre, le jetant à mes pieds. Que ce soit une ruse ou pas, peut m'importait, je me suis baissé pour récupérer le couteau, le plus vite possible, tâchant de ne pas lui laisser le temps de m'entourlouper. Grave erreur, puisqu'aussitôt baissé il a frappé ma tête avec son pied comme un joueur de blitzball frapperait un ballon pour marquer ! C'était un véritable tir qui en plus de salement m'amocher le visage m'a éloigner du couteau. Allongé sur le dos, je peinais à me relever quand je sentit une douleur me saisir à l'entre jambe. Il les pressait avec son pieds, c'était horrible, la pire douleur qu'un homme puisse subir. Là oui, même si ma dernière envie était de lui faire plaisir, j'ai hurler comme un porc. J'en avais les larmes aux yeux... J'ai réussit à me libérer mais ce ne fut pas sans mal, et je n'en menait pas large. Ce psychopathe m'avait transformé en Onuke... Là, j'ai voulu m'enfuir. J'aurais voulu prendre mes jambes à mon coup mais la douleur me faisait boiter. Je fuyait misérablement sous les rires de mon agresseur que je n'aurais jamais imaginer si dangereux.

    Avec un démarche dansante, il a commencé à se rapprocher de moi. Il me croyait surement hors d'état de nuire, et sans doute avait-il raison, mais c'était un chance à saisir et lorsqu'il fut à ma portée, je l'ai violemment envoyé à terre d'un revers de la main. La douleur me reprit de plus belle, la faute au geste ample que je venais d'effectuer. Alors que je tentait de fuir encore une fois, le clown attrapa mes deux jambes avec les siennes, et me fit chuter. Aussitôt il se releva, attrapa un pavé et me tua avec... en fracassant le crâne. Alors que mon âme quittait mon corps, je le vit dépouiller mon cadavre de tous ce qu'il possédait, mes vêtements comme ma bourse, me laissant nu... le pavé qui m'a tué était encore là, taché de sang. Mais... Que voulait donc cet étrange personnage ? Ils finiront pas trouver mon corps... dépouillé avec un pavé ensanglanté à cotés. Quelle mise en scène, ils penseront immédiatement à la thèse du vol qui a mal tourné... Machiavélique.

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    Mission Accomplie...

    Un mot...

    Horrible ^^

    Mais j'ai bien aimé.

    25 xp, 250 munnies et 3 pS. 2 en vitesse et 1 en force.
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