- Présentation de Larxene
- Question vis-à-vis du Physique : Elle vol aussi gracieusement en portant ses attaques que l'élément qu'elle maîtrise à la perfection, la foudre, cet idéal éthéré procurant une telle souffrance qu'elle fait danser à sa guise, une mort lente aussi belle que la meurtrière qui l'a engendrée, armée d'une série de kunaï qu'elle manie expertement entre ses doigts, aussi tranchant que son caractère, ses techniques de combat sont aussi brutales que somptueuses laissant place à une véritable démonstration d'agilité ne laissant aucun répits à son adversaire. Ses huit lames maintenues entres fins doigts cruels s'appellent chacun Blitz, traduit littéralement par Éclaire dans une langue fort lointaine, de couleur ciel et or tout comme les armures des valkyries, cela explique peut-être la sauvagerie de Larxene durant les batailles. Aussi aiguisés et précis que le tonnerre, ils possèdent le pouvoir de scinder les éclairs et leurs cibles, quoiqu'il arrive ils reviennent toujours entre les mains de leurs maîtresse.
- Question vis-à-vis du caractère :
Trois mots seulement ? Si vous insistez : sadique, persécutrice et imbuvable.
Identité
- N o m Inconnu à ce jour
P r é n o m Larxene
S u r n o m La Nymphe Furieuse
 g e 24 ans
C a m p Organisation XIII
R a c e Simili
Descriptions
P h y s i q u e :
- Il suffit du quelques mots pour décrire cette Simili ingénue : l'élégance à l'état brut. Larxene est de taille moyenne, une allure élancée épousant parfaitement son long manteau obscure, elle est aussi munie d'une paire de hautes bottes noires à talons et d'une paire de gants en cuir, la tenue classique des membres de l'Organisation ne faisant que lui procurer un charme irrésistible, une beauté empoisonné, cette délicatesse ensorcelante. Ce dernier dissimule ce corps lumineux, malgré la totale absence de lumière dans son '' coeur '' tourmenté par cette aspiration à la souffrance et au sadisme, elle est néanmoins affublée d'un chemisier blanc et d'un long pantalon de lin noir, elle porte également un léger foulard sombre qu'elle ne met que lorsqu'elle ôte son uniforme d'organisateur. Mais ce n'est qu'accessoire comparé à sa prestance naturelle, ses cheveux blonds plaqués vers l'arrière laisse deux mèches rebelles valser avec sa cruauté, un teint clair qui ne noircira jamais sa peau et son esprit même sous les soleils les plus rudes, embellit ses airs de grande persécutrice par un regard cyan insistant et violeur, étant la dernière chose que ses proies regarde avant de disparaître la mort se vante d'être plus douce avec cette jeune femme malgré les nombreuse torture qu'inflige Larxene à ces derniers, des lèvres pulpeuse laissant échapper quelque rires qui a de quoi glacer le sang de ses victimes.
C a r a c t è r e :
- Même si les similis ne ressentent aucune émotions, cela ne les empêche pas d'en avoir les souvenirs, malgré que ce soit de faux sentiments. Larxene n'est que la représentation pur et simple du sadisme, hautaine et dédaigneuse elle sait parfaitement en tant qu'organisatrice, comment briser un coeur mais préfère le faire à sa manière : prendre plaisir à faire souffrir les gens que ce soit physiquement ou spirituellement, à croire qu'elle ne subsiste que pour cela, se moquer des autres est une véritable passion pour cette peste renommée et cruelle. Persuadée que personne ne vaux mieux que sa personne, les sentiments sont selon elle une faiblesse, elle est d'ailleurs l'une des rare membre à ne pas vouloir de coeur même si au fond d'elle elle pense le contraire, mise à part certains membres de l'Organisation XIII qu'elle considère comme égale en terme psychologique, mais c'est vous dire que ces êtres représentent une infime minorité, il n'est jamais bon d'être l'ennemi d'un esprit aussi tortueux, persécuteur et inhumain que celui de Larxene. Calculatrice et prudente, elle est capable de gérer n'importe quelle situation, s'immiscer dans les conversation d'autrui montre que Larxene est une femme forte et posé n'agissant jamais sans réfléchir, elle se méfie néanmoins de tous notamment depuis sa dernière défaite. Ne laissant aucun détails lui échapper lorsqu'elle concocte ses plan machiavélique, son côté de manipulatrice avertie montre bien à quelle point elle aime jouer avec le destin du monde, son désir de la perfection ne fait qu'embellir son élégance et sa perversion. La jeune femme sait passer à l'acte quand il le faut et n'irait certainement pas bâcler le travail, toujours prête à en découdre si l'on ose la contester, s'acharnant littéralement contre ses '' jouets '' en prenant plaisir à combattre avec ces derniers, il est sage de ne jamais croiser la route de Larxene lorsqu'elle est de mauvaise humeur. La simili à réellement tendance à laisser place à une colère effroyable, une aspiration aux supplices des plus sarcastiques, lucifériens et douloureux, ne font que flatter un plaisir insatiable pour elle mais est un véritable géhenne pour ses martyrs.
- H i s t o i r e :
- Elle se nommait Arlène, petite fille énergique du Jardin Radieux, un monde pur plongé en ce temps là dans la lumière. La lueur qu'emmenait ses parents était magnifique et ils essayaient tant bien que mal d'apporter à la jeune fille cette éclat si ravissant. Malheureusement, les enfants de l'âge d'Arlène ne le voyaient pas comme sa, ils la rejetaient, comment une fille si lumineuse au sourire réchauffant le coeur peut-être si éloignée de ses camarades ? La raison était simple, elle était trop timide, il lui suffisait de s'approcher d'un autre enfant pour s'évanouir ou d'échanger quelques mots avec son interlocuteur. Laissé pour compte sur la balançoire au gré du vent, laissant les grincements de la corde accompagnant les feuilles. Une autre colombe enfermée dans la cage de la solitude, un plumage éclairé par la plus grande des clarté que l'on nomme amour mais son esprit faisait barrière à tout cela en s'enfermant dans le cocon de la viduité, son coeur tentait tant bien que mal d'immerger des ténèbres mais sans succès, le traumatisme était bien trop intense pour un corps si délicat et fragile. Arlène savait qu'il y avait un masse sombre qui rongeait son être mais elle ignorait d'où venait ce parasite persécuteur. Ne préférant pas sombrer dans cette désillusion, le peu d'espoir qui lui restait jaillissait au milieu de l'obscurité même si elle savait que ce n'était que temporaire. Elle s'enfermait nuit et jour dans la bibliothèque de ses géniteurs pour en apprendre plus sur le monde qui l'entourait et le comportement psychologique des êtres humains. Mais elle n'avançait pas, aucun des livres qui était à sa porté ne pouvait lui expliquer clairement la sociabilité, la timidité était dut à son manque de confiance en elle et de son agoraphobie, ses parents tentaient de l'aider mais ils ne faisaient que la rendre plus malheureuse. Une si jolie petite fille, privé des rayons du soleil, une si gentille fillette malheureusement associable qui a beau essayer mais n'arrive pas à se faire des amis, autant rester enfermée dans la prison aux barreaux ornés d'or compensant l'isolement par un luxe impalpable marquant la séparation avec l'humanité.
Alors qu'elle avait atteint le statut de femme, les questions dans la tête d'Arlène se multipliaient plus que de raison, de nombreux textes parlaient de créatures étranges dérobant le coeur des gens et d'autres qui semblaient encore plus terrifiantes appelées '' épines blanches '' ; elle semblait fascinée par ces créatures, la beauté d'ôter la vie avec cette force mystérieuse, l'inconnue la fascinait. Alors que cette dernière mettais en oeuvre une étude approfondie, sa mère l'avait recommandée pour un post auprès du dirigeant du Jardin Radieux à savoir un certains Ansem Le Sage, connue pour son infinie sagesse, elle accepta bien sûre sans hésiter une seconde, peut-être en sait-il un peu plus que elle sur le sujet, sa timidité ne violait plus sa sociabilité, elle pouvait à présent entrer dans ce que l'on appelle la vie. Elle fut assigner dans la section des recherches scientifiques dirigée par un certains Ienzo, un homme mystérieux aux cheveux abysses mi-longs dissimulant une partie de son visage, de taille moyenne, assez jeune et passionnée de livres, elle avait pour tâche d'effectuer une étude sur le comportements de sans-coeurs, mais elle en ignorait la dite existence. Elle se rendait plusieurs fois auprès de son chef de section et auprès de Ansem lui même pour en apprendre plus sur ces hominisés, ainsi que l'existence de mondes coexistants avec le sien paraissant inaccessibles, malheureusement, elle ne put obtenir aucune données sur les fameuses épines blanches qui dessinaient les sans-coeurs en libertés. Dans un premier lieu, Arlène fit une recherche poussée sur ces fameuses choses noirs, malgré qu'elle était déjà renseigner sur le sujet, les informations que contenaient l'ordinateur et la bibliothèque de la forteresse étaient inimaginables. Alors qu'elle étudiais dans un cadre professionnel dans la bibliothèque d'Ansem Le Sage, un membre de la section dirigée par Braig d'après son badge s'approchait d'Arlène en lui demandant quelques renseignements, une longue chevelure bleuté et sombre, un regard ambre magnifique ainsi qu'une silhouette musclée et élégante accouplée à un air hautain et ingénu. C'était la première fois qu'elle avait une discussion avec une personne d'une autre section totalement inconnue, tout deux plongés dans un discussion passionnante, ayant de nombreux points communs, cette entrevue c'est même finie par un baiser langoureux entre les deux protagonistes. Les jours passaient, le lien tissé entre Arlène et son amant devenait de plus en plus fort, ils excellaient tous deux dans leur profession, leur amour était l'un envers l'autre incommensurable, même si certains n'approuvait pas cette union, Ansem lui même était heureux de voir à quelle point les recherches avançaient grandement et que l'idylle naissait à travers cette dernière, ce qui était du goût de Braig, Ienzo et de Xehanort.
L'été semblait agréable pour la demoiselle ou plutôt madame, la chaleureuse brise dansant avec les pas d'Arlène, le jeune homme lui avait fait sa demande en mariage le veille et elle avait accepté à en pleurer de joie, elle valsait tranquillement au gré de l'alizé mais lorsqu'elle arrivait à son travail, aucune traces du soupirant, elle avait beau chercher dans toutes les salles elle ne le trouvait nul part, elle s'inquiétait légèrement pour son futur compagnon mais restait confiante en se devant de continuer ses recherches pour le bien de l'humanité. Elle se devait d'étudier le comportement des sans-coeurs seul, ils firent venir un nouveau spécimen, une étrange masse sombre arborant des antennes gesticulants dans tous les sens ainsi que deux grands yeux jaunes lumineux, ce dernier ne faisait qu'observer Arlène sans jamais détourner ses yeux d'elle telle une attraction invisible. Arlène passait des nuits, sous les ordres de Ienzo et de Xehanort lui même, à surveiller la créature et il n'y avait pas beaucoup e chose à voir seulement un être fixant continuelle la jeune femme, son prétendant ne venait plus, selon ses supérieurs il aurait été muté dans une autre section, du moins ce n'était qu'un réconfortement illusoire, de plus Arlène n'est pas du genre à avaler des couleuvres et elle s'inquiétait de plus en plus pour son concubin, pourquoi partir du jour au lendemain juste après avoir dévoilé de telle sentiments pour elle ? Alors que la journée paraissait insipide à son goût, un nouvelle idée bousculait son esprit, elle entrait dans la cage de la bête, ce dernier en semblait pas avoir de réaction particulière en la voyant arriver, elle s'approchait élégamment mais sûrement de lui puis arrivé à son niveau, la faune eu un comportement des plus étrange, elle prit Arlène dans ses bras et c'est là qu'elle comprit enfin ce qui ce passait en une sorte de vision clairvoyante, son tendre amour venait d'être tué et il était venue la chercher, les larmes ne pouvaient s'empêcher de jaillir de la veuve à présent, elle savourait ce moment en pleurant son défunt amour en guise d'adieu. Le jour même, le père d'Arlène décidait de venir voir sa fille ainsi que son futur gendre selon lui, étant un célèbre chasseur de sans-coeurs ainsi qu'un vieil ami d'Ansem, il n'eus aucun mal à entrer dans le laboratoire pour rendre visite à sa fille mais le spectacle ouvrait le rideau du désespoir et fermait celui de la joie. Il aperçut sa fille et un sans-coeur dans une étreinte plus qu'amoureuse, dans un excès de folie et de rage meurtrière, il dégainait son arme et n'hésitait pas une seconde à tuer sa propre fille, Arlène semblait perdue à tout jamais, ressentant la douce et fine lame abreuver ses entrailles par la mort en y troquant sa vie, en rouvrant les yeux elle entre aperçue son ancien amant tentant de faire office de barrière à l'attaque, même si elle était échoué, Arlène savait maintenant une chose, ils s'aimaient d'un amour plus que véritable et que par tout les moyens qui puisse subsister, ils se retrouveraient forcement '' dans une autre ''. Le jouvenceau prisonnier des ténèbres dans un geste de désespoir insufflait ses dernières force a son amour condamné à travers un baiser sombre et douloureux sur le cou et dans cet ultime geste d'affection lui arrachant le coeur. La poussière emmenait son l'incurable maladie désignée amour, le père d'Arlène retirait son arme du corps de la dépouille de la jeune fille, souffrant mille et une tortures, mais elle réapparut au dessus de son père pour le mordre à son tour au cou également lui injectant la force que lui avait légué son âme soeur, ce dernier envoyait sa fille au loin d'un battement de bras , son regard troublé, elle avait tué celui qui avait tant tenter de la sauver mais qui avait réussi à la tuer, quand un mal est irrémédiable autant s'en débarrasser mais elle ne partirais pas seule dans le trépas.
La vacuité avait emporté peu à peu le corps de la jeune fille ne restant plus rien de sa vie antérieur, le désespoir l'envahissant peu à peu elle se sentait comme divisée entre deux objectif : la vengeance ou la réminiscence, malheureusement elle n'avait pas le choix et sa propre conscience fut détachée de cet esprit répressif, le coeur, le corps, l'âme ... Tous furent éparpillés aux quatre vents par la faucheuse. Mais l'espoir régnait encore, il fallait choisir, la mort aussi funeste soit-elle n'est qu'une épreuve de passage vers le jardin d'Eden, l'empyrée absolu, le nirvana ultime. Un long couloir de cristal apparut devant Arlène mais ce dernier ce séparait des autres par une intersection, c'était donc cela le fameux choix à faire, le chemin élu par la raison, celui de la rancune et de la persévérance ou bien le voix de l'infini. L'action semblait simple dans cette croisée mais l'explication tellement complexe, quelques murmures incessant et enjôleurs venaient flatter ses envies et elle partie sans hésiter cette fois vers le chemin de la perfection née du crépuscule sans vraiment connaître l'issue de cette initiative, l'inconnue l'avais toujours attiré mais à la fin, la lumière dévoilait les ténèbres de l'ignorance. Ensuite, ce ne fut que trop brumeux pour être conté de la sorte, la seule chose dont elle se souvient c'est d'une main lumineuse imbibée par une aura grisâtre qui lui tendait cette chance vers une nouvelle '' vie ''. Un homme de taille moyenne ressemblait étrangement à Ienzo ainsi qu'un autre homme assez fin portant un cache-oeil ressemblant étrangement à l'un des scientifiques qui travaillaient avec Ansem. Arlène attrapait la main de Ienzo en se blottissant contre lui alors qu'elle portait un long manteau noir, ce dernier lui chuchotant qu'elle n'étais plus vraiment de ce monde et qu'a présent elle devait rencontrer son nouveau maître et ils durent se hâter car une bande de sans-coeurs convoitaient cette âme corrompue en voulant la dévorer, malheureusement elle savait qu'au fond d'elle que cette fraction d'elle même c'était déjà dissipée.
Elle approchait d'un pas élégant et assuré au milieu de la salle, affichant un sourire sadique aux lèvres, son nouvel habit se balançant au rythme de chacun de ses pas alors que le reste de son visage était dissimulé par une capuche. Un homme à la forte prestance désignait Arlène du doigt en la présentant comme étant la douzième arrivant auprès de leur faction prédominante dont le seule but était de retrouver leur coeur, avoir à amender de puissants simili rien que pour récupérer un élément de faiblesse ? Arlène ne dit rien mais même si une partie d'elle voulait retrouver cette humanité,n l'autre prônait une béatitude devant ce statut de personnes éternellement supérieurs. Elle contemplait un à un les organisateurs, l'illustre Xemnas annonçait à sa nouvelle protégée les changements apportés depuis sa mort ainsi que sa nouvelle identité sous cette forme '' éphémère '' dont ils ont l'air de souffrir, se sentir si incomplet, '' Larxene. La numéro XII '' ... Mais, son regard se posait tout particulièrement sur l'occupant du siège numéro XI, arborant un sourire narquois et une chevelure longue et rose au visage sublime dénommé Marluxia d'après les présentations, elle l'avait déjà rencontré, cette air si charismatique, mielleux et mystérieux, le doux parfum d'une rose se glissant entre les doigts du bellâtre, un magnétisme particulier envers ce dernier venait de naître au fond d'elle, comme de l'appréhension. Elle n'était plus qu'une '' carapace vide s'élevant sous le nom de Larxene '' prête à servir son maître pour le bien des Similis et ainsi retrouver son ancienne vie, d'être à nouveau riche d'émotions et de sentiments, c'est si inhumain de se sentir si incomplet ?
Aucune tension ne semblait régner au sein de l'ordre vers ses débuts, même si quelques agitation exaspéraient plus d'un membre dont l'arrivée des deux autres derniers membres, Xion et Roxas, même si au fond, elle s'en fichait complètement, il y avait une partie de cette femme, une sorte de compassion pour ces adolescents, qui étaient devenus de plus en plus bavards avec les peu jours passés à côtoyer leurs pairs, elle même ne faisant pas partie intégrante des vétérans ou plutôt des '' vieux habitués revêches '' en appréhendant tout à fait la peur que cela inspire, l'intimidation, la timidité. Ayant cernée à peu près le comportement de chacun, elle n'arrivait pas à saisir pourquoi ses aînés tenaient tant à exprimer des émotions ? Cela avait-il une importance quelconque de ce manifester spirituellement au sein de l'Organisation XIII, alors qu'elle n'était composée que de coquilles vide d'existence ? Adaptant le jeu avec plaisir, se remémorer la douce sensation que le rire pouvait procurer dans de pâles camaraderies ou bien passer ses nerfs sur le premier niais venu, ou Demyx, époussetait de vieux souvenirs qu'il est toujours bon de ressasser dans le coeur dont nous sommes tous dénués. Jouer les baby-sitter, en revanche, n'était pas très amusant, une corvée de plus que lui avait assigné la tête de croix, rien que de croiser cet air aussi stoïque dans les couloirs de la citadelle suffisait à raviver la flamme de la colère dans l'esprit de Larxene, il en était de même pour les autres . Enfin bref, cela n'enchante personne et surtout la Nymphe Furieuse, mais cela s'avérait amusant de voir le petit jouer avec le peu de choses qu'il avait apprise, l'admirer faire mumuse avec un clé pathétique, si faible qu'on pourrait le briser si facilement et aussi de l'enfoncer au mieux, même si un mur aurait été un plus réactif.
La création du nouveau bastion venait d'être achevé et de nouvelles victimes venait de faire leurs entrée dans la cage, Xemnas avait déjà testé une fois la force de l'un d'entre eux et d'après ses dire, il s'agirait de quelqu'un de fort intéressant qui risquerais d'amuser le galerie, répondant au nom de Sora prétendant être le nouvel Élu de la Keyblade. Ceci n'allait rendre que la partie plus intéressante et peut-être une nouvelle manière d'interpréter les désirs du Supérieur, cet air naïf, enfantin et innocent ne faisant que faire jubiler d'impatience la jeune Simili alors que son nom venait d'être affiché avec ceux assignés à l'office du manoir, le but de cet manoeuvre était de troubler Sora et d'en faire un petit pantin manipulable à la guise de la faction de Simili et mener cette lumière pour éclairer les ombres et trouver Kingdom Hearts. Une exaltation plus qu'intenable naissait au plus profond de l'être de Larxene, à chaque fois qu'elle pensait à cela, elle se mettait à trembler d'émoi, un caprice qui devenait insoutenable le simple fait de pouvoir transformer ce pseudo héros prétentieux et naïf, ce n'étais qu'un doux songe devenant réalité. Pourtant, un songe plus que tourmenteur brimait ses pensées faisant vaciller l'une de ses corde, pourquoi ne pas utiliser ce soit disant héros pour renverser ce maître aux idées plus que saugrenues, se dirigerez vers une utopie inaltérable et envisageable plutôt que concerter sur une obsession chimérique ? C'est du moins ce qu'elle pensait, il fallait qu'elle se montre discrète pour l'exécution de cet entreprise. Pourtant, elle trouvait le comportement de Marluxia fort étrange avec cette dernière, un air douceâtre et charmeur il était l'un des rare membre à la traiter comme une véritable femme et à sa grande surprise, le numéro XI lui dévoilait un plan pour faucher le dit supérieur de l'Organisation en plein vol, une machination plus complexe à la réalisation assuré sans failles, de plus comme ils furent tous les deux assignés au Manoir Oblivion cela leur permettrait de mettre en place le stratagème. Mais bien sûre la réponse à chaque question de tous tenait en un seule non-être aux éclats les plus pur, comment procéder pour rendre le Maître de la Keyblade aussi docile ? Xemnas offrait l'entière responsabilité à Marluxia d'une jeune fille immaculée d'innocence avec un semblant de pureté maussade comme si tout les problèmes avaient été provoqués par cette dernière, elle se dénommait Naminé une jeune Simili née des souvenirs de la bien aimée que Sora chérissait tant, une fillette intéressante car elle aurait la faculté de remanier la mémoire d'autrui.
Cette ivresse stimulait tout particulièrement la curiosité de Larxene, un être qui a succombé aux ténèbres mais qui a cependant percer la noirceur pour en renaître plus vif que jamais conservant ses sentiments, un personne fort intrigante mais le plan marchait à merveille, plus Sora avançait dans le manoir et plus ses souvenirs commençaient à l'embrumer, quoi de plus alléchant au regard que la détresse spirituelle recherchant absolument ce qu'une infime chose voulait représenter. Mais il était grand temps d'asticoter encore plus l'infortune du jeune homme, mais avant cela, Axel était au courant du plan pour renverser Xemnas or il était trop imprudent et prématuré, tenir sa langue jusqu'au moment opportun pour frapper encore plus fort. Au septième étage, la Nymphe Furieuse attendait la venue de ses nouveaux jouets, ses prochaines victimes, elle se retenait de ne pas éclater de rire devant ce spectacle si infligeant, comment une loque aussi faible a-t-elle put vaincre la noirceur ? Jouer avec les sentiments des autres était sa spécialité, ce fut donc aisé de semer le trouble dans l'esprit de Sora notamment en lui montrant ce que ses faux souvenirs veulent voir. Même si le combat fut aisé, elle avait néanmoins sous estimé la force de ce héros '' sans-coeur '', elle disparut en laissant à l'adolescent de quoi faire mumuse pendant un petit moment, les dernières cartes des souvenirs du petit, heureuse d'avoir put s'amuser avec la faiblesse de ce pauvre, si pauvre garçonnet. Une fois revenue dans la salle blanche, les autres membres présent ne semblaient pas apprécier la simple nuance, le combat est un art qui se savoure à chaque secondes, mais l'insolence du '' jouet '' de Vexen n'en rendait que la numéro XII allègrement plus divertie et heureuse, l'unique fait qu'elle est put entendre ce cri d'angoisse, de désespoir et alarmant, rien ne pouvait la rendre plus épanouie à cet instant précis, bien sûre Naminé allait remplacer tout cela en rendant cette douloureuse défaite de Neo-Riku par les souvenances les plus agréables qui soit, Larxene fut même admirative par l'étendue des pouvoirs qu'offrait la jeune Simili. La venue de Marluxia parmi le conflit ne faisait que la rendre encore plus gaie, devant le piètre échec de Vexen et de son petit automate, la susceptibilité de ce dernier était très facile à exploité en l'envoyant directement régler ses comptes avec le Maître de la Keyblade, se rebeller contre le seigneur de ce manoir signifie défier l'Organisation elle même et les traîtres sont punie par la peine capitale. Une fois débarrassés de ce gêneur et avoir testé la '' force '' de Sora ainsi que celle d'Axel, pour avoir eu le courage d'éliminer un de ses pair, il serait aisé de prendre le contrôle de l'assemblée. Malheureusement, le numéro VIII venait de libérer Naminé, mais qu'avait-il en tête cet imbécile ? Tout leur plan venait de basculer, si personne ne peut manipuler Sora alors personne ne l'aurait, Larxene défiait dans un combat à mort cette fois-ci le jeune élu, autant révéler son dessein de toute façon il allait mourir après cette surévaluation plus que troublante. Désastreusement, alors qu'elle avait mis hors service la pseudo princesse que Sora devait sauver ainsi que la copie de Riku, il aurait fallut d'une seule seconde pour changer la roue du destin et annihiler une bonne fois cette plaie plus que gênante, les amis du jeune garçon lui vinrent en aide et Larxene fut vaincue, par la seule chose qui lui faisait défaut et qu'elle haïssait au plus profond de son non-être : les sentiments.
Une sensation, même si elle n'existait pas vraiment, une évanescence qui consumait progressivement le tout et le rien, comment avait-elle put perdre face une bande de lâche et esclaves de leurs sentiments ? Non sa ne se pouvait pas, elle refusait tout particulièrement perdre contre une source de faiblesse et de problèmes, une chose si fragile que sont les émotions ne peuvent pas être une source de puissance, cela ne se peut, c'est complètement impossible ! Comment a-t-il put se battre pour une fausse promesse qui n'est que mensonges et encore mensonges ? C'est de sa faute, Axel doit payer cette peine capitale de sa propre vie ainsi que cette peste de sorcière manipulatrice, Naminé, mais la rancoeur de la simili jetait son dévolu sur le principal acteur de cette histoire, Sora. Comment ... Comment a-t-il put ? La jeune femme avait fait naître en elle une rancoeur si grande qu'elle en était plus humaine, l'esprit de vengeance qui l'animait venait troubler le visage enjouer et souriant, portant cette fois-ci le masque du ressentiment jaloux, perfide et rancunier. On lui avait déjà brisé le coeur en mille morceau mais cette fois-ci, ni son corps ni son esprit avait survécue à l'assaut, tout semblait réellement terminé il ne nous restait plus qu'a être enchaîner par les maillons funestes de la mort, assujettis par ce qu'est vraiment la non-existence. Mais la mort semblait si gênante et froide, Larxene tentait de mouvoir ses bras pourtant elle ne bougeait pas d'un pouce, le fracas des chaînes résonant à travers l'écho de son esprit. La Nymphe Furieuse rouvrit les yeux et elle se vue réellement enchaînée à un mur de pierres blanches, genoux contre terre l'air frais frôlant son doux visage albâtre. Ce n'étais pas encore terminé, la colère était trop forte pour qu'elle se laisse bêtement trépasser, Sora ou devrait-on dire Roxas, tu n'aurais pas dut nous trahir ces deux noms ont compliqués les tâches des membres de l'Organisation XIII et c'est à présent que tout devait ce joué pour la dernière fois.
Les Questions
Q u e s t i o n s :
- 1) Votre personnage est-il capable d’aimer, d’avoir une relation ? Aimer est bien grand et triste et mot vue qu'ils ne ressentent aucun sentiment, elle ne peut avoir de relation qu'avec des personnes qu'elle considère assez forte sur tout les plans.
2) Si l’esprit de votre personnage s’incarnait en un animal mythologique ou chimérique ou réel (nuances acceptées). Que serait-il ? Si c'était le cas je dirais un serpent, pour sa prudence mais aussi sa dangerosité.
3) Qu’en est-il de la fidélité et de l’esprit de camaraderie de votre personnage ? Elle déteste beaucoup de personne, cependant il lui arrive de jouer quelques mauvais tours à ses camarade.
4) En vue de votre race, quand pouvez-vous dire que votre personnage a forgé une amitié. Citez quelques unes de vos relations amicales. L'amitié est bien grand mot, je dirais qu'elle apprécie chaque membres de l'Organisation XIII ou du moins ceux qui y contribue utilement et qui ne la gêne pas dans sa tâche.
5) Quel niveau de rp vous semble acceptable pour votre personnage ? Croyez-vous avoir le niveau ? Si non, donnez-nous une bonne raison de vous valider. Si oui, donnez-nous la quand même ... Je m'estime un peu plus haut que la moyenne normal pour le rp et mon style c'est adapté à merveille pour ce personnage sans vouloir me vanter, cependant en vue de mon manque de motivation et de temps je suis souvent amené à mettre du temps à répondre ce qui est handicapant pour tous. Cependant avec le temps j'ai appris à m'améliorer et depuis, j'ai restreint mon nombre de compte, ce qui facilitera ma vitesse à poster mes réponses.
6) D’un point de vue objectif, qu’est-ce qui vous semble être votre point fort, votre point faible ? Nous sommes humains après tout, nous avons des qualités comme des défauts. Pour ma part je suis perfectionniste, j'aime que les choses soient bien faite et qu'elles remplissent ses objectifs, si ce n'est pas le cas, pour moi sa ne mérite pas d'être posté. Pour mon point faible c'était ma lenteur de réponse mais sa ne l'est plus, cependant je manque de motivation quelque fois voir souvent, donc mon style régresse à cause de sa et je me force à rp, je me lasse ou démotive très vite malgré moi.
7) Pourquoi incarner ce personnage ? Larxene est de loin mon personnage préféré, je l'admire beaucoup et je suis même honoré à chaque fois que je joue avec elle, sa cruauté, son rire dépravé et sa beauté me laissent sans voix.