le jeune homme était sur le chemin de la vérité. Celui ci avait remarqué depuis bien longtemps qu'il n'était plus dans la ville d'halloween, mais, où était il, alors? C'était ce qu'il tendait de trouver. Celui ci, petit à petit, marchait dans un couloir. Tout les meubles étaient en ruine, les rideaux sur le sol et à moitié bouffé par les termites, les fenêtres étaient cassées, mais, pas toutes. D'autres étaient entiére, mais, d'une saleté absolue. Le jeune homme regardait les portes. Ceux ci étaient d'une couleur brun du moyen âge. Vu l'état de ceux ci, ils devaient déjà avoir été mangé par les termites. Celui ci monta les marches, petit à petit et se retrouva au premier-étage. Il poussa la porte de droite et se retrouva dans une grande salle de bibliothéque. Il remarqua le buste qui s'y trouvait et séparant des catégories de livres. Ensuite, il regarda vers la table et trouva par miracle des espéces de fourreaux. Il se dirigea doucement vers ceux ci, puis, les prit délicatement. Etait ce un piége ? Visiblement, non. Ces fourreaux étaient beaucoups trop vieux pour être un banal piége. Le jeune homme se redressa, puis, d'un doigt délicat, ouvrit un des deux foureaux. Il en resortit un révolver d'une vieillesse plutôt impréssionnante, mais, apparement, ils pouvaient encore servir. Il décida, alors, de les remettre en état. Il s'assit sur un siége et prit un bout du rideau qui se trouvait là. Il essuia le canon, puis, la manche pour, ensuite, l'intérieur. Mais, au moment où il enleva son doigt du canon, il appuia sans faire exprés sur la gachette et un coups de feu apparut. Le lachant sans faire exprés, il regarda l'arme comme si c'était de la sorcellerie. Si il avait laissé son doigt dans le canon, il n'avait plus de doigt. Il reprit le révolver, puis, le remit dans le foureau. Il accrocha, ensuite, les fourreaux à sa ceinture et n'y prête plus attention. Il décida de regarder les livres qui avaient dans la piéce carrée. Il alla prés du buste et caressa d'un doigt délicatement un livre, puis, passa à un autre. Ces livres étaient plutôt en bonne état et ne comportait pas de poussiére. Il en déduit que quelqu'un d'autre vivait dans cette maison. Il continua à regarder, puis, sans faire exprés, il effleura le buste. Un bruit survint derriere le jeune homme qui se retourna. Des ennemis viennent d'apparaitre. D'un sourire, le jeune garçon dit en sortant ses keyblades

"J'espére que cette maison n'est pas la votre, elle est en trop bonne état pour vous"