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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Elles étaient déjà parties lorsque j’avais rejoint le rez-de-chaussée. J’étais allé pour me préparer un café avant de remarquer qu’un gobelet traînait là, accompagné de viennoiseries, probablement le fait de l’une des deux Arad. Je le pris et un bus une gorgée, il était encore tiède. Je finis par me mettre au travail.

J’avais commencé par contacter le service de renseignements du vaisseau-mère et leur avais demandé de livrer un pli contenant une copie des informations obtenues dans l’ordinateur personnel de notre cher commissaire. J’avais dû patienter peut-être une heure ou deux avant que l’on frappe à ma porte.

Je me levais et me dirigeais dans sa direction avant de l’ouvrir. Sur le pas de la porte, je vis Crisis, mon pli à sa main.


Bonjour Monsieur, livraison spéciale ! Il me tendit la lettre. Je serais bien resté plus longtemps, mais vu la situation, il vaut mieux que je reparte aussitôt.

Vous avez raison. Merci Crisis, dis-je en refermant la porte et me redirigeant vers le canapé. Une chance que les Turks n’étaient pas les seuls à porter des costumes ici, à Costa. J’ouvris l’enveloppe et dispersai sur la table les différents éléments à ma disposition. Je devais les réarranger pour qu’ils fassent sens et apportent du poids à mon plaidoyer.

Il y avait des captures d’écran de correspondances entre Pavani et Blake, des relevés de banque montrant clairement qu’il y avait corruption, d’autres discussions à propos de plaintes classées sans suite… En résumé, assez d’éléments pour le faire tomber, tout du moins gagner la sympathie du maire de la ville.

Effectivement, j’aurais pu me servir de ces informations comme d’une menace pour obtenir les grâces de Blake. Mais ce n’était pas à ce résultat que je souhaitais parvenir. Je ne voulais pas que Blake ferme aussi les yeux sur nos actions, puisque de toutes façons je n’aurais pas pu m’assurer de sa loyauté. Cela aurait été une prise de risques bien trop grande. Non, je souhaitais directement paralyser Pavani, en le privant de toutes ses aides, quelles qu’elles soient.

Je finis de trier les papiers, puis je me levai et partis à l’étage pour me changer. Je n’avais pas besoin d’être incognito pour rejoindre l’hôtel de ville, et je ne pouvais décemment pas me présenter au maire habillé d’un simple sweat-shirt, sale de surcroît.

Je finis par quitter l’appartement, non sans le verrouiller à double tours et commençai ma traversée de la ville. Je finis par rejoindre l’hôtel de ville, en peut-être une bonne dizaine de minutes. Je montai les quelques marches me séparant de l’entrée, et me retrouvais à l’accueil. Je m’adressais à une hôtesse qui avait la particularité de mastiquer un chewing-gum de manière plutôt frénétique.


Bonjour, je souhaiterais rencontrer le maire, est-il disponible actuellement ?

Vous… souhaitez rencontrer le maire ? Vous êtes au courant qu’il vous faut prendre un rendez-vous , monsieur ?


Shinra. S-h-i-n-r-a, comme la société dont je suis le Président.

Elle s’arrêta quelques secondes, m’offrant même le plaisir soudain de stopper sa rumination bovine.

Je vais essayer de le joindre. Ce doit être important pour que vous vous déplaciez en personne !

Oui, oui, tout à fait, dis-je souriant.

Oui ? Monsieur le maire ? J’ai le président de la Shinra à l’accueil-en, il aimerait s’entrete… Vous êtes disponible ? Parfait, je vous l’envoie.

Quelle chance que l’homme le plus influent de Costa Del Sol ait du temps à accorder à l’homme le plus influent de tout les mondes réunis que j’étais. Je suivis la direction donnée par l’hôtesse d’accueil et me retrouvais devant une porte où son nom était affiché sur une plaque de bronze. Je frappais, et j’attendis sa réponse avant d’entrer.

Le Président de la Shinra en personne ! Ça alors ! Je crois que c’est la première fois que nous nous croisons. Je me présente, Adolfus Whitey, le maire de Costa Del Sol, comme vous devez vous en douter.

Il me sembla ricaner, amusé de la situation. C’était un vieil homme, un peu rondouillard et les cheveux grisonnants. Il semblait gai, il était avenant… Rien de bien éloigné de ce à quoi on pouvait s’attendre d’un maire d’un ville/station balnéaire. Il me tendit sa main, que je serrai en lui rendant son sourire.

Je vous en prie, asseyez-vous, me dit-il en me désignant une chaise faisant face à son bureau. Je m’y assieds et posai l’enveloppe sur mes genoux.

Que puis-je faire pour vous ? Je sais ! Vous… vous avez une tête à investir ! La Shinra désirerait-elle acquérir de nouveaux établissements ici ? Je suis curieux !

Ainsi m’invitait-il à prendre la parole. Les nouvelles que j’apportais allaient le faire changer d’humeur, c’était certain. Cela pourrait compliquer notre échange.

A vrai dire… j’aurais aimé discuter commerce avec vous. Mais j’ai bien peur d’être venu pour m’entretenir avec vous d’un sujet plus… grave.

Il se redressa sur sa chaise et manipula l’un ou l’autre objet présent sur son bureau. Il se racla la gorge et se risqua de nouveau à croiser mon regard.

Un sujet plus grave vous dites ? Je… vous écoute.

Le ton qu’il empruntait à ce moment-ci me laissait croire qu’il n’était pas totalement étranger aux problèmes que rencontraient cette ville. Pour autant je ne savais pas encore dire si ce que j’entendais était de la peur, ou un soulagement.

Puisque nous sommes tout les deux des hommes de pouvoir. Je pense que nous pouvons nous passer des formalités habituelles et entrer dans le vif du sujet. J’ai, dans cette enveloppe, un nombre assez conséquent de preuves contre le commissaire Blake, il-

Le commissaire Blake ? Vous êtes sûr de vous ? C’est un bon élément, je l’ai moi-même nommé commissaire il y a de cela quelques années.

Vous ne m’avez pas laissé finir. Tout porte à croire qu’il est de mèche avec Monsieur Pavani.

Ses yeux s’écarquillèrent soudainement à l’évocation de ce nom. Il se racla de nouveau la gorge, trahissant sa nervosité. Il me dit d’attendre quelques instants, puis se leva se son siège avant de se diriger vers la porte. Il l’ouvrit, regarda de chaque côté du couloir avant de refermer la porte et de la verrouiller à double tour. Finalement il vint se rasseoir.

J’en déduis que vous voyez où je veux en venir. Laissez-moi vous exposer la situation.

A mon tour, je me redressai sur ma chaise.

Il y a de cela trois jours, alors que ma compagne était de passage dans votre ville, elle a été enlevée en plein jour par des hommes armés. Ils ont pris la fuite en voiture avant d’avoir un accident. Les hommes sont morts sur le coup, et ma compagne s’en est sortie avec de graves blessures. Elle a été transportée à l’hôpital. J’ai bien sûr tenté d’obtenir plus de précisions, de coopérer avec la police locale, mais étonnamment cet accident était un sujet tabou.

Armés vous dites ?

Oui, mais ce n’est pas tout. Avec l’aide de mes hommes, et surtout devant la sourde oreille de votre commissaire, j’ai commencé à mener moi même mon enquête. J’ai découvert que c’était Pavani qui était derrière tout ça, qu’il avait souhaité s’en prendre à moi directement et que le commissaire Blake l’avait aidé dans cette entreprise. Voici les preuves.

Je pris l’enveloppe posée sur mes genoux et la lui tendis. A peu de choses près, il me l’arracha des mains et l’ouvrit pour prendre connaissance du contenu. A chaque nouvelle page, il semblait s’enfoncer encore plus dans son siège.

Vous avez ici une copie d’une conversation que Blake a eu avec Pavani, au sujet de cet accident. Il semble le couvrir. Si vous continuez un peu, vous finirez par voir que plusieurs affaires de port d’arme illégal ont été noyées. La dernière page montre que Blake reçoit un virement mensuel de la part d’un compte que nous avons identifié comme étant l’un des nombreux comptes de Pavani.

Evidemment, nous n’avions pas eu le temps de prouver qu’il s’agissait bel et bien de l’un de ces comptes. Mais je pensais avoir suffisamment capté l’attention du maire pour qu’il ne mette pas mes paroles en doutes. Il redressa l’ensemble des feuilles et en claqua la tranche sur son bureau pour les remettre en ordre.

Je n’ose même pas vous demander comment vous avez pu obtenir ces informations. Excusez-moi, je tombe vraiment des nues. Je ne pensais pas que Blake était dans leur combine ! Et dire que la semaine dernière encore je le recevais dans mon bureau au sujet de cette plaie qu’est Pavani. Ah… Misère.

Donc Pavani n’est pas étranger à vos discussions. Dites m’en plus. Je pense que nous cherchons la même chose, souriai-je.

Lorsque Pavani s’est installé ici, j’ai vu ça d’un bon oeil. Un hommes d’affaires ayant déjà plusieurs hôtels dans les autres mondes, ça ne pouvait faire que bonne publicité à Costa Del Sol. Je l’ai laissé s’implémenter, lui et son maudit hôtel Marques. J’étais loin de me douter qu’il en ferait un lieu de débauche, un… excusez-moi du terme, un bar à hôtesses. J’ai tenté de le raisonner, de lui faire comprendre que Costa Del Sol ne partageait pas ses moeurs, que je ne cautionnais pas la présence d’un tel établissement ici et…

Et j’imagine que vous n’avez pas eu le choix que de finir par vous taire. Vous êtes donc au courant pour les armes qui circulent, et toutes ces choses pour le moins douteuses.

Il baissa la tête, gêné par cette révélation.

Oui. Mais comprenez-moi, je ne peux rien faire. Sans lui, l’économie de la ville en prendrait un sérieux coup. D’autant plus qu’il y aurait des représailles, et j’aimerais autant que faire se peut que le centre ville de ma ville se retrouve être le théâtre d’actes de barbarie.

Sans doute exagérait-il un peu le trait, mais il était certain que Pavani ne se laisserait pas faire. Moi-même, je n’aurais pas abandonné mes commerces sans me battre. Sur ce point, nous pouvions nous comprendre et c’était peut-être là notre meilleur atout, l’un contre l’autre.

Blake… Mais quel idiot ! Pas une seconde je me suis douté qu’il faisait partie de sa clique ! Et je le revois, là, assis à votre place à me faire ses petits sourires, à me dire de ne pas m’en faire, qu’il approche du but… il s’est bien fichu de moi.

Si je puis me permettre… je tentais de prendre un ton réconfortant, ce qui n’était pas chose aisée. Tout n’est pas perdu. Vous venez peut-être de perdre un allié, mais vous venez d’un gagner un par la même occasion. Si nous avons les mêmes ennemis, j’imagine que nous pouvons tout les deux collaborer, dis-je glissant vers un ton plus confiant. Vous comme moi, nous sommes les parties lésées de cette histoire. Je ne gagnerai pas contre Pavani sans votre aide, tout comme je me plais à penser que vous ne reprendrez pas le contrôle de votre ville sans la mienne.

Un pacte, si je vous suis bien. Que comptez vous faire ? Dit-il en ouvrant sa boîte à cigares et la poussant vers moi. J’en pris un que j’allumai avant de me lever et de me diriger en direction des fenêtres de son bureau. Elles donnaient sur toute la ville. Il alluma un cigare à son tour et me rejoignit, se tenant debout à mes côtés.

Pavani à eu l’audace de s’en prendre directement à moi, je compte bien le faire payer. Seulement, tant que Blake sera le commissaire de cette ville, la compagnie et moi-même resteront pieds et poings liés. Je ne peux rien entreprendre sans prendre le risque de me, et de vous mettre dans l’embarras. Vous comme moi tenons à notre image, n’est-ce pas ?

Il sembla réticent à la tournure que prenait cette discussion. C’était à moi de me montrer rassurant et de lui démontrer que la Shinra était la meilleure solution à son problème.

Êtes vous déjà allé à San Fransokyo, monsieur le Maire ? Votre homologue là-bas dictait des règles qu’elle ne savait pas suivre. Depuis que la compagnie à repris les choses en main, le taux de criminalité à drastiquement baissé. Les habitants peuvent jouir de rues sûres, ils peuvent rentrer tard le soir sans avoir peur de se faire agresser au détour d’une ruelle.

Je crois voir où vous voulez en venir.

Votre police locale est corrompue. Nous avons des preuves pour Blake, mais il serait idiot de penser que vos autres agents sont étrangers à toute cette histoire. Si vous laissez la Shinra s’occuper de la sécurité ici, je peux vous assurer que vos rues redeviendront bien plus sûres. D’autant plus que cela nous permettrait de regagner en efficacité contre ce cher Pavani.

Et vous, que gagneriez-vous si ce n’est sa chute ? Un homme d’affaires tel que vous doit déjà avoir réfléchi à la question.

Ce serait vous mentir que de répondre par la négative. J’avais pour idée d’obtenir votre fidélité. Devenez l’un de nos partenaires. Rejoignez la Shinra, et vous aurez une sécurité à toute épreuve, une économie pérenne, une modernisation progressive de votre ville…

Et tout cela aurait un coût, bien évidemment.

Rien d’insurmontable, mais ça nous en rediscuterons plus tard, si vous le voulez bien. Pour l’heure, il me semble que nous avons une ville à assainir.

Il se retourna pour retourner près de son bureau.

Ce n’est pas comme si j’avais encore beaucoup de contrôle sur ce monde de toutes façons. Je le pensais, mais si même la police me tourne le dos… Il soupira. Ce ne sera pas aussi simple, si je vire Blake, il conservera sûrement le soutien de ses hommes. C’est un commissaire apprécié de ses subordonnés. Et la dernière chose dont à besoin Costa Del Sol, c’est d’un scandale.

Il n’avait pas tort sur ce point là. Il me fallait réfléchir. Ce n’était pas les seconde classe qui manquaient pour remplacer le commissaire, mais pour ce qui est des hommes… Sauf ! ... Sauf si Blake était amené à démissionner de lui-même.

Pourriez-vous m’arranger un rendez-vous avec lui ? S’il s’agit d’un homme raisonnable, je pense que nous pourrions trouver une solution a l’amiable.

Quel genre de rendez-vous au juste ? Je doute que vous ayez obtenu les preuves que vous m’avez présenté dans les règles de l’art.

Effectivement. J’ai peut-être eu recours à des moyens détournés. Cependant, je peux vous assurer ne pas jouer le même jeu que Pavani. Je ne suis pas armé, et je n’ai dérogé à aucune règle en vigueur dans ce monde.

A peut-être quelques exceptions près. J’allais devoir faire appel à la part de ténèbres de son coeur.

Quant au rendez-vous, je vous répondrai simplement qu’il vous serait préférable de ne pas y assister. Blake est devenu un ennemi de Costa Del Sol en pactisant avec son plus grand ennemi, si vous portez à ce monde le même intérêt que celui que je lui porte, vous ne devriez pas vous en inquiéter.

Mes serres se refermaient lentement sur le maire. J’avais placé beaucoup d’espoirs dans cet entretien, mais le résultat dépassait mes attentes.

Et quel intérêt lui portez vous, au juste ?

Je l’aime, tout comme vous.

Il soupira de nouveau avant de se rasseoir.

C’est d’accord, je vous arrangerai une rencontre. Vous pourrez revenir demain soir, à la sortie des bureaux. Si vous parvenez à esquisser ne serait-ce que l’ébauche d’une solution à notre problème au terme de cet entretien, je considérerai votre proposition.

Dans ce cas, je vous dis à demain soir, Monsieur le Maire, dis-je en tendant la main au dessus de son bureau. Il se leva et la saisit ; je crus tout de même discerner une lueur d’espoir dans ses yeux.

Je quittais le bureau, puis la réception avant de me retrouver enfin à l’air libre. Puis, je pris la route de la location en m’assurant de ne pas être suivi. Faire disparaître Blake de Costa Del Sol ne serait pas quelque chose de difficile, vu toutes les preuves que nous avions en notre possession et cela nous permettrait de rediscuter avec le maire d’une potentielle affiliation à notre réseau.

Je m’enfonçais dans le centre ville, le sourire aux lèvres.











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Mon dieu, la fille à l’accueil. A la fois… tellement clichée, énervante, et à la fois, c’est tellement drôle. Mention spéciale à « l’accueil-en » j’ai imaginé la voix de la fille et ça m’a fait sourire toute seule. Puis, ouais la façon tellement condescendante et agacée avec laquelle Rufus lui parle. En vrai, c’est con, mais ça fait un peu le cliché des administrations publiques quoi. Et vu que Rufus a son propre système, une administration beaucoup plus privée, c’est une… toute autre ambiance, comme on le sait !

On va passer très, très, rapidement sur le titre et le nom du maire. Enfin j’en sais rien moi, mais si tu décides de mettre un pnj important dans une ville, bah tu l’appelles pas comme ça, voilà ! D’après ce que j’ai compris, t’as l’intention de le laisser à sa place, dooooonc Very Happy

Puis, ça nous amène au coeur du rp, et là j’ai vraiment aimé. L’introduction était drôle, l’entrevue est intéressante.

J’aime cette aisance avec laquelle Rufus amène le maire à se confesser, genre, vraiment assez rapidement. Bon bien sûr, il a des éléments, mais comme tu le dis toi-même, tout ça, c’est… des trucs qu’on a obtenus pas nécessairement légalement. Et pourtant, avec cette approche que Rufus a, de mettre la pression sur le maire, de lui rappeler à qui il parle, et des intérêts qu’il pourrait avoir à faire affaire avec toi, tu l’amènes vraiment… bah limite à se confesser.

Alors malgré tout, j’aime le fait que tu ne le prends pas pour un gros con non plus. Non, le mec est raisonnable, il ne se laisse pas convaincre si aisément de se mettre à dos et Pavani, et le commissaire en même temps. J’ai trouvé ta façon d’aborder son ignorance par rapport au commissaire d’ailleurs très juste.

A plusieurs reprises, on sent sa frustration quand il revient sans cesse au fait que Blake lui disait que l’affaire avançait, il nous décrit limite la scène du dernier rapport, et ça rend le tout vraiment… très visuel. J’ai beaucoup aimé. J’ai eu l’impression que tu n’étais pas spécialement emballé par ce que tu avais écrit, mais je le suis moi.

En lisant, je me disais aussi. Voilà, on y est : les deux axes se dessinent. Les deux sont sur la supervision de Rufus évidemment mais… d’un côté on a l’enquête pour ruiner Pavani, menée par les deux infiltrées, et de l’autre l’enquête pour destituer Blake. Ils sont vraiment les deux maillons de cette chaine. Si on ne coince pas les deux, on n’a pas totalement gagné. Si Pavani reste là où il est, il peut continuer de diriger Costa en douce, si Blake reste commissaire, il peut clairement poser de gros problèmes à la Shinra. Je trouve que tout ça tient vraiment la route, et qu’au bout de ça, on arrivera forcément à une évolution majeure.

La discussion sur l’avenir de Costa, d’ailleurs, annonçait en ce sens cette évolution. Rufus est vraiment… dur en affaire. Et on ne sait pas de quoi il retourne, ce qu’il attendra de la part du maire quand l’affaire sera résolue, mais rien que mettre des soldats en lieu et place de la police… Enfin voilà quoi, c’est assez… évocateur, selon moi.

Je suis également très curieuse de voir la suite des hostilités, la rencontre avec Blake, je pense que ça risque pas mal de faire accélérer les choses.

Enfin… Voilà, je pense que c’est déjà pas mal pour exprimer mon enthousiasme (sincère).

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