Rester en mouvement, Nazik le sait car il le sent, s'il perd l'élan de son adrénaline, un épuisement soudain le fera s'effondrer. La blonde a été semer, la pauvre, le noir complet qui l'a enseveli a réussi à la faire trébucher en contrebas pour l'éliminer. L'obscurantiste, lui, ne s'est pas retourné pour vérifier, il arpente les doigts en se disant que rester immobile le tuera. Quoi de pire qu'une cible mobile, au juste ? Depuis quelques minutes, allez savoir combien, les explosions sont lointaines et les balles se perdent loin de son corps tendu par l'effort. D'autres sans-cœurs ? Non, ils sont bien assez, ils sont peut-être même trop pour l'élu de la clef qui serait bien dans l'embarras lorsqu'ils s'intéresseront à lui. On a pu en voir, en bon nombres, converger vers une certaine position et... s'engouffrer quelque part pour ne plus jamais en revenir. Des gonzesses débarquent par la grande porte qui mène au... deuxième quartier, sans doute ? Sans les compter, et sans galanterie, y en a plusieurs bien amochés mais trop en forme vu d'ici.
Ca ne plait pas à Nazik, il en grimace. La chance l'a épargné jusqu'ici, son perchoir est un bon point de vue mais quand on fera attention à lui, il n'aura pas de couverture !
Et il y a suffisement de sans-cœurs communs à Traverse, s'il fallait se résoudre à en invoquer d'autres... l'obscurantiste n'en arracherait qu'un mais d'aussi profond du royaume des ténèbres que possible. Un seul de plus mais un puissant, qui le laisserait vulnérable quelques instants de trop, par ici. Sans parler qu'en général, appeller quelque chose de l'envergure d'un Darkside, ca se remarque à des lieux à la rondes. Non, pour l'instant, Nazik court maladroitement sur les toits pentus, lutte surtout contre la gravitée et la tentation de se poser pour souffler.
Le troisième quartier est trop rempli, on y converge... le premier n'est plus accessible, le décor lui-même vous y éliminerait. Et c'est probablement la même chose au deuxième d'où viennent les filles.
D.Va... ? Pas possible, elle est là ? Pas étonnant remarquer, les têtes connus s'enchainent et s'affrontent et s'éliminent par ici. D'ailleurs, au quatrième quartier, il y a Roxas qui inonde des rues de flammes, si c'est encore praticable comme localisation, ça ne le restera surement pas très longtemps. Reste le cinquième.
Et pour le rejoindre, faut passer par le quatrième. Nazik s'arrête et lâche de lourde respiration en rafales, après avoir pu tant se cacher, il se sent soudain pris d'une crise de claustrophobie.
A pas retenu que la gravité précipite, l'élu de la clef rejoint le rebord du toit et se laisse allez dans le vide, se retient à l'aide des bras puis s'y hisse pour se projeter au travers d'une fenêtre ! La roulade est horrible, laisse plusieurs éclats de verres et de bois en lui. Faute de mieux, le coalisé les enlève un à un en route, le regard perdu entre les corps étrangers et les concurrents inconnus qui pourraient surgir et le simple agencement des lieux. D'un coup, les morceaux de fenêtres qui le pénètrent disparaissent de son esprit jusqu'à la douleur qu'ils lui infligent.
Un cri de babouin !
Nazik fléchit, les yeux choqués de voir... un bâton qui frappe horizontalement juste au-dessus de sa tête. A l'extrémité de ce bâton, deux drôles de boules oranges semblables à des fruits pendent accrochés de manière sonore. A l'autre extrémité, une main de babouin dextre qui tient le bout de bois et, dans son prolongement, un babouin aux sourcils froncés ! Du bleu sur sa tronche avec un nez rouge, le singe laisse son bâton rebondir contre le mur et enchaine façon kung-fu ! La victime se relève et recule, part à l'instinct les coups qui fusent dans touts les sens, à une main. Les armes rebondissent l'une contre l'autre mais celle du babouin rebondit aussi au sol et sur les murs, incapable de tout parer, l'obscurantiste se prend un coup par-ci, un coup par-là. Jusqu'à subir de véritables enchainement sans pouvoir réagir !
Le babouin est trop excité là, c'est pas gérable ! Son bâton lui sert maintenant de perche pour projeter un double coup de pied sauté retourner ?!
Nazik se fait expulser dos à terre, le souffle coupé et comme paralysé par l'impact ! Et après avoir sortis tant d'acrobaties, voilà que le singe tient son bâton à deux mains, brandit en l'air... sans la moindre finesse comme un sauvage lève sa massue archaïque ! C'est la fin ?! Le coalisé est tétanisé, tout ça pour se faire corriger par un macaque ?! Non, au dernier moment, l'animal interrompt net son élan et regarde ailleurs, quelque chose l'interpelle. Ni une ni deux, l'obscurantiste profite qu'un type taillé comme un héro grecque, et habillé pareil, ait chargé le babouin pour le plaquer au sol. Qu'est-ce qu'il fait ?!
Il s'enfuit ! Dévale un étage, s'ouvre une fenêtre d'un coup de clef et saute sans réfléchir, le voilà au quatrième quartier !
Dim 28 Fév 2021 - 10:49Ca ne plait pas à Nazik, il en grimace. La chance l'a épargné jusqu'ici, son perchoir est un bon point de vue mais quand on fera attention à lui, il n'aura pas de couverture !
Et il y a suffisement de sans-cœurs communs à Traverse, s'il fallait se résoudre à en invoquer d'autres... l'obscurantiste n'en arracherait qu'un mais d'aussi profond du royaume des ténèbres que possible. Un seul de plus mais un puissant, qui le laisserait vulnérable quelques instants de trop, par ici. Sans parler qu'en général, appeller quelque chose de l'envergure d'un Darkside, ca se remarque à des lieux à la rondes. Non, pour l'instant, Nazik court maladroitement sur les toits pentus, lutte surtout contre la gravitée et la tentation de se poser pour souffler.
Le troisième quartier est trop rempli, on y converge... le premier n'est plus accessible, le décor lui-même vous y éliminerait. Et c'est probablement la même chose au deuxième d'où viennent les filles.
D.Va... ? Pas possible, elle est là ? Pas étonnant remarquer, les têtes connus s'enchainent et s'affrontent et s'éliminent par ici. D'ailleurs, au quatrième quartier, il y a Roxas qui inonde des rues de flammes, si c'est encore praticable comme localisation, ça ne le restera surement pas très longtemps. Reste le cinquième.
Et pour le rejoindre, faut passer par le quatrième. Nazik s'arrête et lâche de lourde respiration en rafales, après avoir pu tant se cacher, il se sent soudain pris d'une crise de claustrophobie.
A pas retenu que la gravité précipite, l'élu de la clef rejoint le rebord du toit et se laisse allez dans le vide, se retient à l'aide des bras puis s'y hisse pour se projeter au travers d'une fenêtre ! La roulade est horrible, laisse plusieurs éclats de verres et de bois en lui. Faute de mieux, le coalisé les enlève un à un en route, le regard perdu entre les corps étrangers et les concurrents inconnus qui pourraient surgir et le simple agencement des lieux. D'un coup, les morceaux de fenêtres qui le pénètrent disparaissent de son esprit jusqu'à la douleur qu'ils lui infligent.
Un cri de babouin !
Nazik fléchit, les yeux choqués de voir... un bâton qui frappe horizontalement juste au-dessus de sa tête. A l'extrémité de ce bâton, deux drôles de boules oranges semblables à des fruits pendent accrochés de manière sonore. A l'autre extrémité, une main de babouin dextre qui tient le bout de bois et, dans son prolongement, un babouin aux sourcils froncés ! Du bleu sur sa tronche avec un nez rouge, le singe laisse son bâton rebondir contre le mur et enchaine façon kung-fu ! La victime se relève et recule, part à l'instinct les coups qui fusent dans touts les sens, à une main. Les armes rebondissent l'une contre l'autre mais celle du babouin rebondit aussi au sol et sur les murs, incapable de tout parer, l'obscurantiste se prend un coup par-ci, un coup par-là. Jusqu'à subir de véritables enchainement sans pouvoir réagir !
Le babouin est trop excité là, c'est pas gérable ! Son bâton lui sert maintenant de perche pour projeter un double coup de pied sauté retourner ?!
Nazik se fait expulser dos à terre, le souffle coupé et comme paralysé par l'impact ! Et après avoir sortis tant d'acrobaties, voilà que le singe tient son bâton à deux mains, brandit en l'air... sans la moindre finesse comme un sauvage lève sa massue archaïque ! C'est la fin ?! Le coalisé est tétanisé, tout ça pour se faire corriger par un macaque ?! Non, au dernier moment, l'animal interrompt net son élan et regarde ailleurs, quelque chose l'interpelle. Ni une ni deux, l'obscurantiste profite qu'un type taillé comme un héro grecque, et habillé pareil, ait chargé le babouin pour le plaquer au sol. Qu'est-ce qu'il fait ?!
Il s'enfuit ! Dévale un étage, s'ouvre une fenêtre d'un coup de clef et saute sans réfléchir, le voilà au quatrième quartier !