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Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Meeeeerde... J'ai soif et j'ai pas envie d'aller boire de la putain de flotte. Y m'faut du coca, ouais. Et où t'en trouves ? Bah a la cafét'. Je me prépare du coup, je prends mon lance roquette dont je sais pas me servir, et un flingue avec ses munitions. Bon je suis pas con, le reflexe chez moi ca reste de bousiller les gens a coup de poings ou de keyblade mais sur un malentendu...

Je sors de ma nouvelle chambre, une qu'est plus occupée par personne et qu'a plus ou moins échappé à l explosion d'hier, et je m'engage dans le couloir à l'affut d'un petit connard embusqué. Bon, personne. Je descends les marches et j'arrive au rez de chaussée. C'est ça aussi que j'aimais bien avec ma chambre c'est que c'était près des stocks, donc pour tirer de la bouffe en scred c'était pas mal.

J'arrive près de la porte, j'ai le sentiment que je suis pas tout seul alors je sonde la zone. Et effectivement y'a du monde dans la cafét. Bah tiens, puis c'est Primate. Je sais pas pourquoi mais je sens que pour récupérer mon shinra cola ça va être d'un relou.

Je frappe à la porte.


Euh, yo. J'aimerais bien avoir du coca, ce serait cool. Genre un pack de douze que je tienne jusqu'a... bon on s'en tape.

Pour l'instant pas de réponse et t'sais quoi ça commence à me casser les couilles d'avance. Agneugneu, t'auras pas ton coca, Simili. Putain j'te jure que si e'm'envoie chier, je pète tout. J'en ai rien a branler, Nova Titanesque dans leur cul, on verra s'y sont toujours cachés après ça.

Putain mais... je sais que vous êtes là soyez pas relous. Déja vos gars ils arrivent ils me niquent mon appart dans le plus grand des calmes...

Putain mais y m'écoutent pas en fait.J’regarde les alentours. Pour avoir chouré pas mal de trucs, j’connais les entrées, les sorties et comment c’est foutu dedans. Par exemple, ce mur là, sur lequel j’appuie mon épaule… Il mène direct à la petite fontaine de flotte. Si ça disparaît, ça fait un point d’eau en moins.

Pareil… Si j’vais jusqu’au bout du couloir, que j’prends à droite… J’arrive à l’entrée de service. Donc j’évite de me taper toute la pièce, et j’ai plus qu’à me servir. Pis si c’est fermé, écoute… Je retire le mur de l’équation, et ce sera ouvert à qui le veut bien. Ce serait dommage pour Primus la Résistante d’être à couvert derrière une passeoire.

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Comme avant l’attaque d’un envahisseur, les gardes prirent leurs armes et se dirigèrent vers la porte, se tenant à distance raisonnable de celle-ci. La magie ou les technologies qui secouaient le château depuis quelques jours pouvaient non seulement avoir raison des montagnes d’obstacles retenant la porte fermée, mais étaient aussi sûrement capables de projeter la moindre chaise, la moindre table, à dix mètres de là, comme s’il s’agissait d’un grain de poussière. Et il s’agissait de Roxas. Malgré cette boule au ventre et cette rage au cœur qui gagnaient la Générale, elle profita de la situation pour regarder ses hommes se déplacer, aller à l’essentiel, prendre des décisions ou en donner. L’Officier Ambre désigna quelques hommes pour se cacher en cuisine avec la Reine Minnie, et la Sergente Joséphine eut le bon sentiment de placer quelques lances devant les autres entrées menant au réfectoire. Tout cela pouvait être une diversion. Jusqu’ici, les troupes fidèles de la Générale n’avaient eu vent d’aucune action de Roxas, seulement de rumeurs préoccupantes. Quoi qu’il en fût, ce dernier pouvait s’être allié avec des gardes ou des guerriers de la lumière.

« …  ils me niquent mon appart dans le plus grand des calmes... »

Ravness grinça des dents, essayant d’ignorer, en vain, des paroles aussi creuses, alors qu’elle-même se mettait en position, l’épée à la main. La limonade et l’attaque des gardes n’étaient que de vulgaires prétextes. Il était beaucoup trop tentant pour le simili d’essayer de saboter les chances de la générale d’accorder cette victoire à la Lumière. Il était venu ici, était resté au château, là où il était certain de pouvoir détruire son entreprise, c’était… tout à fait évident. Et il se servirait du moindre prétexte pour attaquer. Ce prétexte serait un bouclier absurde, friable, mais il tiendrait sa défense devant la Générale Cissneï et surtout devant la Maître Aqua. Pour lui, tout était si simple ! Il lui suffisait de dire qu’il avait des bonnes raisons d’attaquer, étant la cible d’ostracisme ou étant privé de nourriture et d’eau courante – ce qui était faux, du moins pour l’eau ! – et nul n’oserait vraiment lui donner tort.

La Générale regarda l’Officier Nathalie et quelques hommes ayant déjà amené plusieurs paquets de boissons sucrées. Préoccupée, elle détourna le regard.
« Quel animal ! » pesta-t-elle. Car il y avait un événement sur lequel l’on pouvait davantage compter qu’un lever de soleil à l’est ou que la chute des feuilles à l’équinoxe de septembre : Si Roxas gagnait, la lumière ne verrait jamais la couleur de la récompense. Et à la question : Croyez-vous en la fidélité de Roxas ? Il y aurait encore des réponses positives, des excuses. Non. Roxas avait ses chances de l’emporter, de réelles chances. Pas parce qu’il était fort mais parce que nul n’avait suffisamment son amitié ou sa confiance pour l’approcher et le trahir. Il était donc aussi isolé qu’intouchable.

« Dégainez vos épées. » dit-elle, sans hausser le ton. Jadis, ils s’étaient battus, tous les deux. Elle avait échoué, de si peu, par ailleurs, qu’elle gardait toujours un souvenir fort aigre de cette fameuse journée. Oui, il avait progressé, mais il n’avait pas encore affronté son bouclier. « Enlevez les chaises et les bancs, que l’on puisse lui donner ses limonades. » ordonna-t-elle à une demi-douzaine d’hommes.
Elle se positionna devant l’accès que les gardes commençaient à dégager.
« Prends-les. » cria-t-elle à travers la porte. Ses soldats formaient à présent, devant la porte, une grande ligne de défense. Lanciers en première ligne, autres combattants au corps à corps derrière eux et finalement, debout sur des chaises, ses magiciens, archers et arbalétriers. Deux soldats ouvrirent enfin la porte, exténués par l’effort. La Générale ordonna d’un geste à un garde d’amener les deux paquets de boissons jusqu’au membre de l’Organisation XIII.
Ses yeux se posèrent durement sur le simili pendant que la transaction se fit.
« Continue d’éliminer les traîtres, si tu veux. Aucun ne me survivra. » rajouta-t-elle.
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Moi, je te survivrai. Comme d’hab, qu’j’y fait du tac-o-tac en lui montrant mes jolies petites dents. Les soldats de Ravness arrivent vers moi et me posent les deux packs de coca encore tout neuf aux pieds. Une fois fait, le premier commence à reculer en ne me quittant pas des yeux, le second reste sur place, un peu penché et j’le vois porter la main à sa ceinture, genre méga lentement. J’lève les yeux au ciel et, quand il essaie de me trancher l’bide avec son couteau à beurre, j’lui met juste une claque du revers de la main, avec celle qu’est libre pour le désarmer et j’l’attrape par le col.

Aujourd’hui ta cheffe se montre sous un beau jour, alors j’vais faire pareil et pas tenir compte de c’que t’as essayé de faire. Dégage maintenant.

J’le jette en arrière, et j’le vois se précipiter en arrière, d’abord au sol en s’aidant de ses mains puis en se relevant et en courant, rattrapant son collègue. J’regarde sur mon épaule, le lance roquette que j’avais amené. J’pensais avoir besoin de tout exploser pour récupérer mon graal mais… maintenant j’me sentais un peu con. Boarf allez. C’est pas comme si j’étais foutu de réussir un tir avec ce machin d’façon.

Ravness ! Comme t’as été sympa avec moi, et qu’c’est quand même rare, faut l’souligner… Moi aussi j’fais un geste, que j’dis en me désignant du pouce. C’est cadeau !

J’pose le lance roquette au sol, devant moi et j’le fais rouler vers le cortège gardant la porte du plat d’ma pompe.

Bon, c’est livré sans munitions, mais si à un moment vous trouvez un groupe de connards, ça peut toujours être utile.

J’la voyais mal s’en servir cela dit. Mais, qui sait ? A situation spéciale… non, ça serait sûrement un de ses toutous qui serait désigné pour se servir de ce machin. J’me baisse pour récupérer mon butin, et j’les empile sur mon épaule avant de tourner les talons. J’leur donne pas l’emplacement de la cache d’armes, faut pas déconner non plus, pis j’commence le chemin du retour jusqu’à ma chambre.

En vrai ? J’aurais pas cru qu’ça se passerait comme ça. Et pour autant… J’étais ni fâché, ni frustré. C’était quand même rigolo de se dire que des situations pouvaient s’arranger sans qu’on ait besoin de menacer des gens. C’est quand même un genre de leçon de vie, mine de rien.

J’finis de remonter les escaliers et j’passe la porte de ma p’tite base. J’me laisse tomber sur le lit, et j’commence à déchirer le plastique entourant les canettes. « Shinra Cola »… C’est bon, mais le nom est un à chier. Ce serait quoi le suivant ? « Oranshinra » ? Y seraient pas incapables ces cons. J’me saisis d’une des canettes, me satisfais du bruit de son ouverture et la porte à ma bouche afin de me délecter de ce… « succulent nectar » !

J’me demande si au bout des vingt-huit jours, on verra des déclarations de guerre. T’sais, une fois qu’on sera tous revenus à la normale
.

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« Refermez les portes. » cria-t-elle, à l’instant où Roxas eut disparu dans le coude du couloir. Elle resta en garde, les muscles tendus, attentive au moindre bruit venant de l’extérieur. Et durant les vingt secondes restantes nécessaires, bien sûr à la fermeture des portes, mais surtout à l’empilement de toutes les tables et chaises contre celles-ci, la tension musculaire qui la traversait ne cessa de travailler. Enfin, elle fixa l’objet pendant de longues secondes, s’en approcha et se baissa. Elle toucha du bout des doigts l’arme. Malgré son retard évident dans la maîtrise des nouvelles technologies, elle n’était pas totalement étrangère à cet objet. Sur le nom, elle avait quelques doutes, ainsi que sur l’apparence de la dite munition que Roxas avait précisée absente mais du reste, elle savait bien sûr que cela tirait des explosifs assez redoutables, et bien sûr… totalement semblables à ceux qui avaient accompagné sa dernière sortie jusqu’à l’infirmerie.

Elle se souvint de ce qu’avait dit Milligan. La caserne avait été visée. Si Ravness n’y avait vu aucun signe, aucune attaque envers elle directement, puisqu’elle se trouvait à une centaine de mètres de là, les choses prenaient un autre sens à présent. Le simili avait peut-être essayé de l’atteindre elle, en pensant qu’elle se trouverait dans un lieu fortement lié à son influence dans le château de la lumière. Une vulgaire erreur, bien entendu. La totalité des pièces du château de la lumière était sous son contrôle, en dehors des chambres et en temps normal, puisque ses gardes étaient partout et qu’elle était leur supérieure directe. Aussi aurait-elle pu être partout. Mais Roxas était un singe, sans finesse, sans vision stratégique.

Et que penser de ce cadeau ?

La Générale le prit dans ses mains avec un certain malaise. Le dire tout haut n’aurait rien arrangé à la manière dont on la qualifiait, à cette image d’ancêtre qu’elle promenait avec elle en s’étonnant ou se choquant de tout ce que les mondes modernes pouvaient inventer… mais elle appréciait très peu le risque d’un tel outil.
« Il n’est pas armé. » dit derrière elle l’Officier Nathalie, se mettant à genoux à côté d’elle et lui gratifiant un sourire réconfortant. « Oui, je sais. » répondit-elle simplement. « Qu’en faisons-nous ? Sans munition, je ne comprends pas à quoi il nous servirait ? »

L’Officier ne répondit pas de suite. En tant qu’ancienne institutrice au Jardin Radieux, la Capitaine des Gardes comptait régulièrement sur ses explications simples et ses connaissances du monde pour lui apporter un point de vue moderne. « Nous pourrions trouver la cache d’armes pour obtenir des munitions, et nous aurions un certain avantage contre les autres groupes. Notre armée est majoritairement habituée aux armes de corps à corps, ils seront pris au dépourvu. »

La générale haussa les épaules. La phrase pouvait être comprise de deux manières, et c’était bien de deux manières que la générale la comprenait. Les félons agiraient sûrement sans précaution face à une telle arme, mais les fidèles de la Lumière se verraient peut-être tout aussi bouleversés dans leur habitude de combat avec une arme comme celle-ci de leur côté. Ce n’était pas par difficulté financière que les gardes de la lumière, jusqu’ici, étaient très peu à utiliser des fusils et des pistolets. La plupart étaient habitués aux armes blanches, tout comme leur capitaine. Pourquoi changer maintenant ? Ils s’étaient renforcés, avaient maîtrisé leur technique d’arme. Cela avait davantage de sens de faire confiance à leurs capacités actuelles plutôt qu’en une nouvelle arme.

« Mettez-la en sûreté, Officier. » Elle se releva pour s’adresser au garde qui avait tenté d’attaquer Roxas. Contrairement aux autres, celui-ci n’était pas retourné à ses affaires, se doutant qu’il allait être convoqué. Le Caporal Bulkington se tenait la gorge, haletant. Elle le connaissait assez mal, ayant rejoint la lumière durant son absence à la Forêt de Sherwood, mais elle savait qu’il venait de Londres, la partie moins imaginaire du Pays Imaginaire, avec un certain penchant pour les jeux d’argent.

« C’était bien tenté. » avoua-t-elle en hochant la tête, avec une pointe d’admiration dans la gorge. Il fallait rendre à César ce qui appartenait à César, il avait osé quelque chose qu’elle n’avait même pas imaginé. Peut-être vieillissait-elle vraiment ?... Quelques années plus tôt, elle aurait agi de la même manière. À dire vrai, elle l’avait fait. Lors de son affrontement avec Roxas, Ravness avait profité d’une distraction pour essayer d’achever son ennemi, malgré des ordres contraires. « Mais c’était terriblement risqué, et pas seulement pour vous. S’il s’était vengé sur nous, vous seriez passé en cour martiale et je me serais assurée de votre éviction de l’armée de la lumière. » finit-elle simplement avant de saluer le soldat. Elle pouvait difficilement lui reprocher des erreurs qu’elle avait faites avec plaisir.
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Deux styles, deux très points de vue très différent. Waw, c’est profond. Oui, je sais.

Je viens noter ce rp parce que je m’occupe de Roxas, je me suis dit que ça avait du sens que ce soit la personne qui note Roxas qui s’en occupe mais si ça tombe je fais mal. Si c’est le cas, désolée.

Bon. Alors, Roxas arrive dans le domaine de Primus. J’ai l’impression qu’on a jamais autant parlé de cafétéria que depuis ces derniers mois. C’est peut-être une impression mais j’ai l’impression qu’on a un truc avec les réfectoires pour le moment. Bref !

Roxas, fidèle à lui-même, a besoin ou envie d’un truc alors il s’impose et vient demander un truc sans craindre quoi que ce soit. Enfin, au moins dans ce rp, d’une certaine façon, il se montre assez « respectueux » toute proportion gardée. Il demande déjà, ce qui est déjà une bonne chose. Bon évidemment, en face de lui, il y a quand même Ravness et pas mal de gardes, mais ouais. Il aurait pu faire ça d’une autre façon. Au moins, ici il a demandé de façon à peu près polie, c’est notable.

Et en face, on a Ravness, avec tous ses gardes, ses pnjs, ses ordres à donner. Tu nous vends vraiment une atmosphère martiale, ouais c’est ça, j’ai l’impression d’être dans un film de guerre mais version réfectoire. J’imagine la scène et je trouve ça rigolo. Puis la façon dont tu parles du coca, comme « une boisson sucrée, une limonade » c’est amusant. Genre Ravness, et tu le dis toi-même à la fin du rp, fait un peu vieille fille, avec ses traditions, son manque de connaissance de l’industrialisation et des armes à feu. Et de l’autre côté t’as un genre d’adulescent-d’adolescent-machine-à-tuer. J’aime bien la réflexion que tu fais à propos de la victoire éventuelle de Roxas. Déjà en parlant du fait que selon elle, si il gagne, c’est uniquement parce qu’il n’a pas d’amis, puis aussi quand tu parles de la récompense.

J’ai vraiment l’impression que dans ce rp, à la fois vous présentez vos personnages de façon plus « civilisés », genre limite capables de coopérer ensemble, et à la fois, vous êtes tellement durs l’un avec l’autre. Roxas, bah on sait comment il appelle Primus. Puis Primus, elle le regarde avec tellement de mépris et de sévérité, ça reste dur, même pour Roxas.

Bref, passons à la suite. Donc voilà, sur la deuxième partie du rp, Roxas insiste pas mal sur le fait qu’il est limite surpris d’avoir autant de coopération de la part de Primus, et tu sens que limite… genre vraiment limite, j’en sais rien, il a des remords ? Puis pour montrer sa bonne foi, il file un truc à Ravness. Bon pas un truc révolutionnaire mais ouais, c’était assez notable selon moi. J’ai trouvé que c’était un moment, même si anecdotique, plutôt intéressant, et assez révélateur du fait que selon moi Roxas ne la déteste pas vraiment. Et j’ai l’impression que ça se vérifie dans le rp avec Arthur. Genre on sent vraiment que pour certains truc, Roxas aime bien Ravness. Bref.

Pour Ravness, deuxième rp. En plus de ton passage sur le lance-roquette (j’ai peut-être dit bazooka plus tôt je sais même pas si ya une différence), j’aime bien quand tu interagis avec le garde qui a tenté de s’en prendre avec Roxas. On se serait peut-être attendus à ce qu’elle l’engueule, mais non en fait. Enfin, elle le met en garde mais j’aime bien ta petite réflexion nostalgique en mode, tape sur l’épaule« Fallait oser, ça me rappelle moi à ton âge :/ ».

Voilà, si je devais conclure, je dirais que c’était un rp où il ne se passe pas quelque chose de spécialement notable ou révolutionnaire si on le compare à d’autres coops du BR. Mais ! Il permet pas mal de situer les sentiments respectifs des deux personnages pour l’autre, et moi ça me convient tout à fait en terme de contenu !

Roxas Très Facile : 5 points d'expérience + 60 munnies + 1 PS en sucre.

Primus Très Facile : 5 points d'expérience + 60 munnies + 1 PS en vitesse.
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