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Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Je commençais à être claqué, et a avoir la dalle. Je rêvais de rentrer au village leur dire que c’était fait et qu’ils me fassent un méga banquet comme à la fin de ta BD préférée. J’savais même pas c’qu’on bouffait dans ce monde. P’tête des trucs genre, du chevreuil, du cerf, du sanglier… Vu la gueule de la faune ça m’étonnerait pas. En tout cas, cuisiné à la broche, ça me tentait bien.

J’te représente pas le décor, parce que… cette forêt c’est la putain de même depuis que j’suis rentré. Y’a pas UN truc qui diffère, c’est la forêt tu peux pas faire plus générique. Y’a des bestioles, y’a des ronces, y’a des arbres, certains qui sont morts, d’autres pas. Et comme j’suis pas un spécialiste en botanique, j’ai aucune idée de ce que ça peut être comme arbres, en plus que j’m’en tape. Donc tu vois…

Adonia marche à mes côtés, elle est silencieuse. Elle a l’air surtout résignée, ou pressée d’en finir, j’sais pas. En même temps la pauvre quoi… Tu passes cinq ans a servir de banque du sang, de larbin, bref rien de bien fou, a des sorcières complètement dégueulasses en plus. Un délire. J’peux comprendre que ce soit pas la top enjaille.

Allez, devine. Devine, c’qui nous apparaît, à force de marcher. C’est un deux syllabes, et y’a deux « a ». Ouais ! Une cabane ! Ah, celle la tu l’avais pas vue venir j’suis sûr. Sauf que cette fois, c’est une cabane un peu plus stylée. Genre, c’est pas le vieux truc éclatax que le grand méchant loup aurait soufflé en dix secondes, là… bah en fait si mais y’a de la déco en plus. C’est ça que je veux dire. Y’a des fleurs fanées, des petites guirlandes d’ossements d’oiseaux… j’espère. Nan, c’est bien. C’est… indiqué, voilà.


On y est, la dernière, que j’dis en croisant les bras derrière la tête. Tu le sens ce vent de liberté, qui souffle ?

Oui… Enfin.

Et elle rit. Je met ça sur le compte du nerveux. En vrai, imagine… imagine t’es prisonnier tu vois. T’es plus libre de faire ce que tu veux, on t’traite comme d’la merde, et le pire c’est que personne vient te chercher. Personne vient parce tout l’monde s’en branle. T’as visualisé ? Bon bah c’est ce qu’elle devait ressentir. Un peu comme Jasmine et Aurore. Paf, ça c’est pour votre cul.

T’inquiètes, et là j’y met la main sur l’épaule. Si tu le sens pas, j’peux gérer tout seul. J’rentre, j’la défonce et on en parle plus. Merci bien, au revoir.

Elle hésite. J’le vois au fait qu’elle baisse la tête. Légèrement hein, j’vous toujours ses yeux. Mais elle réfléchit.

Si je te laissais gérer ça tout seul, ça ferait probablement de moi une ingrate. Je dois t’aider.

Tu sais, je comprends. Mais je t’ai posé la question pour de vrai. Si t’as peur, si tu veux pas la revoir. Je comprends, hein.

Elle sourit, puis hoche la tête.

Ca va aller. Je peux que gagner d’façon. J’suis le meilleur !

J’fais les quelques pas qui me mènent au porche. La baraque est putain de silencieuse. J’suis même pas sûr qu’elle est là en fait. J’monte les marches, restant moi-même silencieux, et j’me colle à la porte. Elle est entrouverte.

J’sais pas pourquoi, mais j’sens que ça pue. L’atmosphère est lourde au possible. Genre, c’est tendu et ça se sent. J’ai l’impression d’avoir le poids du monde sur les épaules et… je crains rien pourtant, mais toute la mise en scène là, elle est dingue. Elle est dingue.

Je passe un oeil par le jour de la porte. Un nuage passe au dessus de nous et cache le soleil. J’suis sûr que dès que je rentre, t’as une connasse hystérique qui se jette sur moi et qui va pour me poignarder avec une vieux couteau rouillé. Le truc un peu creepy t’sais.

Allez. J’rentre. Coup d’épaule dans la porte et tout l’bordel.


Viens ici que j’te bute enculée !

Et putain. J’pensais déclencher un truc quoi. Une provoc gratos à chaque fois ça marche. D’habitude, c’est même elles qui viennent me cueillir j’ai pas b’soin des les chercher. Après, tu me diras… J’en ai dézingué deux, p’tète que la troisième elle s’est dit que y’avait un truc qui se passait pas normalement là.

J’avance dans la pièce. Je regarde chaque coin, pis j’entends un truc. Un genre de truc plaintif… étouffé p’tête ? C’qu’est bizarre c’est que ça n’a rien à foutre ici. J’me dirige vers la pièce d’où ça vient et, merde.

J’cours vers Adonia, ligotée, les mains dans le dos avec un bâillon sur la bouche et j’la délivre.


Vous êtes ?

Euh…

Je cale. Je cale direct. J’me retourne vers la porte et là… réflexes de dingue !

J’attrape Adonia par le bras, et je saute par la fenêtre en passant en premier pour pas la blesser. Une vague de bras… qui sortaient du sol, pétait le plancher et nous fonçait dessus quelques secondes avant. Mais genre les bras étaient vivants quoique quand même décharnés. Un truc bizarre.

J’me réceptionne sur le dos, Adonia sur moi et elle se relève. J’fais la même, et on fait le tour de la maison pour revenir à l’entrée. Sur le péron, Adonia nous fixe, un rictus chelou, à des années lumières de ce que j’avais pu voir jusque là, ancré dans sa … sale gueule. La couleur de ses cheveux perdait de son éclat. On passait d’un rouge flamboyant à un marron terne, puis à un blanc. Sa peau devenait grise, lavée par le temps, son sourire n’avait plus rien une once de charme, rien que dalle. Une vieille peau dégueulasse qui se foutait de notre gueule.


Et dire que j’aurais pu réussir, si tu ne t’en étais pas mêlée, Adonia !

Ça, non. C’est scoubi-doo.

Peu m’importe, qui c’est ! Vous ne sortirez jamais de ces bois. Nous vous tuerons !

N…ous ?

J’me retourne vers Adonia, la vraie, prête à lui mettre ma main dans la gueule.

Non… pas moi. Regardez.

Gardant son sang froid, elle me montre le devant de la cabane. Un bras sort du sol, puis un autre, une tête… et ça tout autour de nous. On se fait encercler, et c’est tellement impressionnant à voir que j’bouge pas. Là, t’as un bras qui m’attrape la jambe, deux qui prennent ceux d’Adonia, si elle s’appelle vraiment comme ça. J’réfléchis, là c’est tac, invocation de keyblade, je pète le bras qui me tient la jambe avec l’autre qu’est libre, et j’tranche les deux membres qui retienne Adonia.

Pause. C’est laquelle Adonia, au final ?

Moi.
Elle.

Nan bah je préfère demander parce qu’après c’est chiant pour raconter. Le peu que j’ai suivi des cours théoriques au château, c’est que les morts vivants ils aiment pas deux trucs. La lumière et le feu, et c’est plutôt parce que j’ai deux keyblades. J’donne un coup dans le vent, et pouf, ma magie les parcoure, ça va être un délire.

Je tranche deux membres a gauche, j’en tranche un a droite vite fait et j’reprends à gauche. J’saute, j’tourne sur moi même, la tête vers le bas, j’en découpe toute une rangée. J’ai l’impression d’tondre la pelouse, j’jette un oeil vers Adonia et … elle se débrouille bien. Elle a fait la technique du, j’monte sur une souche, vous pouvez pas m’atteindre et j’vous lance des boules de feu.

Pis au bout d’un moment y’a plus de membres qui sortent, mais y’a les mecs entiers… plus ou moins, qu’étaient pas a portée pour que j’les nique, qui avancent vers nous. J’ai… pas envie.


Adonia, tu me couvres.

J’charge un sort, pendant p’tête cinq secondes. Elle crame deux zombies qui s’approchaient un peu trop de moi.

Monte sur mon dos.

Pardon ?

TA GUEULE ET MONTE.

De sa souche, elle me saute dessus, passe ses bras autour de mon cou et j’saute. Et là, festival du cul. On se retrouve à vingt mètres de hauteur et j’fonce vers le sol comme un putain de missile. Nova Titanesque, mon gars. Et si ça suffit pas, Séisme dans leur cul. Le sol part en couille de fou. La baraque ? Rayée de la carte. Le sol se soulève, éclate, ça tremble de partout, et j’récupère Adonia juste après.

J’cherche du regard la fausse rouquemoute. J’me dis que si elle a cané dans l’impact, c’est bien, mais vas-y j’y crois pas plus que ça. Finalement, je la vois atterrir en douceur sur un pic fraîchement créé, en hauteur par rapport à nous.


Ces bois, nous appartiennent. Tu as tué mes soeurs, tu es venu chez nous, qui habitons ces bois depuis la nuit des temps, pour nous persécuter et nous tuer. La pire erreur que tu aies faite aujourd’hui, si ce n’est venir ici, c’était de t’en prendre à elles en premier.

Elle lève les bras, une énergie rouge… brumeuse, s’échappe. Elle incante quelque chose, j’reconnais pas la langue et là deux cadavres ressortent du sol. Sauf que je les reconnais, c’est les deux autres sorcières. Va y’avoir du sport.

Il faut partir !

Adonia me tire par le bras, et je décale pas d’un mètre.

Pars si tu veux. Rejoins Havrevas, prépare les habitants à mon retour. J’leur ai dit que y’aurait plus de problèmes dans cette forêt… y’aura, putain, de plus, de problèmes, dans cette forêt de merde !

J’m’énerve sur la fin de ma phrase. Elle me regarde, inquiète. J’le sens, je déraille. Je déraille et c’est pas bien. Mon souffle s’accélère, ma voix est plus dure, j’ai limite envie de la tarter elle aussi.

T’attends quoi ? Casse toi !

Et elle se tire, sans demander son reste. C’est plus qu’elles trois, et moi. J’prends une grande bouffée d’air, mais ça suffit pas. J’ai l’impression d’étouffer, j’pense plus qu’à un truc. C’est de quelle façon, j’vais les fumer.

J’me lance. La première des trois m’envoie un brasier X en plein dessus. J’suis tellement focus sur défoncer la gueule de la deuxième que j’l’encaisse, j’passe à travers même et j’y met trois frappes lourdes. Un peu plus lentes, mais v’là puissantes. J’sens des côtes péter, le crâne se fracturer, et c’en est si violent que ça résonne dans mes keyblades. A la fin de mon enchainement, j’tourne sur moi même, et j’y … explose, et là c’est littéral, la rotule d’un coup de pied. Elle ne souffre pas, puisqu’elle ne vit plus.

Finalement, j’attrape sa tête entre mes doigts, et je serre au point de le faire imploser. Le truc craque une fois, une deuxième fois, et la troisième fois, je sens plus aucune résistance a l’intérieur de ma main. Je jette le reste du corps en contrebas, nonchalant.

La première sorcière continue de me harceler avec ses sorts. C’est tout les éléments qui se confondent et qui viennent s’écraser sur moi. J’esquive des boules de feu, des éclairs et de gigantesques pics de glace, tâchant de me rapprocher de plus en plus à chaque esquive. La distance qui nous sépare se réduit jusqu’à ce que j’arrive à sa hauteur. Je rappelle mes keyblades et je lui plante les deux dans le torse, avant de les arracher de ses flancs. Finalement, je lui attrape la tête entre les deux mains et la pousse en arrière d’un coup de pied sec dans le buste. Sa tête se détache du reste, je la laisse tomber au sol et l’aplatis du plat de ma chaussure. Il n’en restait qu’une. Elle, toujours vivante, s’arrêta. Arrivé à sa hauteur, elle tomba à genoux devant moi.


Tu n’es… qu’un monstre. Tu n’as rien d’humain, pestait-elle. Mes soeurs sont mortes, tu les as tuées, tu as joué avec leurs corps, désarticulées comme des pantins. Tout ça, c’est la faute des Hommes. C’est eux qui nous ont chassé, qui nous ont persécuté, qui voulaient nous mettre sur le bûcher. Que crois-tu qu’il va advenir d’Adonia lorsqu’elle rentrera au village, hein ? Elle sera brûlée vive, comme les autres. Tue moi, maintenant, fais ton office. Mais garde bien en mémoire que tu n’as pas sauvé les Hommes, tu n’es que leur bourreau.

Je m’agenouillai et posai la main sur son épaule.

Je sais.

Elle plongea son regard dans le mien, tentant de me transmettre tout le dégoût qu’elle pouvait ressentir à mon égard. Elle le soutenait, et ça même pendant les longues secondes où la lumière que je venais de faire naître consumait sa chair et son être. Lorsque la vie la quitta, je la repoussai en arrière.

Je me redressai, regardant un peu partout autour de moi. C’en était fini des trois sorcières. Havrevas m’appartenait maintenant, c’était le deal avec le sanctum. Peu importe la manière, y’avait que le résultat qui comptait.

Et tout ces efforts… toute cette journée, à les traquer, à les tuer… Ce combat-ci, le dernier… ça m’avait creusé une dalle comme t’imagines même pas. Il était temps de retourner au village. Faites qu’il y ait à bouffer, pitié.
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Heyo !

Chose promise, chose dut, on est parti pour une correction sur cette aventure au Domaine !

Avant de commencer, tu vois ce qui est marrant, c’est qu’avec l’event, j’ai beaucoup lut du Rufus Shinra.  La différence de style est en tout cas sacrément visible, c’est le jour et la nuit ! Je trouve toujours ça cool d’avoir des persos avec des styles différents !

- « Je rêvais de rentrer au village leur dire que c’était fait et qu’ils me fassent un méga banquet comme à la fin de ta BD préférée » Quoi, je commente aussi tôt ? Eh bah oui. En fait, c’est une réflexion que je me fais depuis un petit moment. Avec Roxas ça arrive beaucoup, mais aussi avec d’autres PJ, le côté faire des références à des séries, bd, à la pop culture de manière IRP. En fait, ce que je trouve un peu étrange avec ça, c’est le fait qu’on est dans Kingdom Hearts, ces personnages de pop culture ne sont pas sensé existé. Et surtout, qui nous dis qu’il n’y aura pas un joueur qui va le jouer un jour ? Auquel cas, qu’est-ce qui se passe ? Est-ce que cette référence devient invalide ? Est-ce que ça veut dire que ce nouveau personnage est déjà connu car il a un média à son actif ? Tu vois ce que je veux dire ? Je me demande si c’est réellement pertinent de le faire ? En tout cas, ça me sort de ma lecture à chaque fois 

- « Je passe un oeil par le jour de la porte. Un nuage passe au-dessus de nous et cache le soleil. » Je trouve ça cool que tu essayes un peu d’instaurer l’ambiance. Tu as tout ce qu’il faut, la maison, la sorcière, la forêt mystérieuse, tu as bien raison d’en profiter !

- « J’me dirige vers la pièce d’où ça vient et, merde. J’cours vers Adonia, ligotée, les mains dans le dos avec un bâillon sur la bouche et j’la délivre. » J’ai l’impression que tu grilles un peu les étapes. Ça donne l’impression en tant que lecteur qu’on a cligné des yeux trop vite, et on a sauté une phrase. D’autant plus que tu es à la première personne et qu’on sent les émotions de Roxas. Certes, il y a le « merde », mais je pense que tu aurais pu un peu insisté sur la révélation. « j’me dirige vers la pièce d’où ça vient et, merde. Une fille, tignasse rouge... Adonia ?! »

- « Sur le péron, Adonia nous fixe, un rictus chelou, à des années lumières de ce que j’avais pu voir jusque là, ancré dans sa … sale gueule. » L’idée est intéressante ! Attention néanmoins à la confusion ;). N’hésite pas à préciser quel Adonia est laquelle, quelque chose de simple que tu aurais pu utiliser c’est « Sur le péron, l’autre Adonia nous fixe », c’est tout simple, mais ça permet mieux de distinguer lequel est lequel.

- « La lumière et le feu, et c’est plutôt parce que j’ai deux keyblades. » Il manque un truc ici : «et ça tombe plutôt bien, parce que j’ai deux keyblades »

- « J’m’énerve sur la fin de ma phrase. Elle me regarde, inquiète. J’le sens, je déraille. Je déraille et c’est pas bien. Mon souffle s’accélère, ma voix est plus dure, j’ai limite envie de la tarter elle aussi. » Ah non hein ! Pas de Roxas en Transe, on ne détruit pas notre domaine !

- « Finalement, j’attrape sa tête entre mes doigts, et je serre au point de le faire imploser. » Violent !

- « Que crois-tu qu’il va advenir d’Adonia lorsqu’elle rentrera au village, hein ? Elle sera brûlée vive, comme les autres. » Je comprends l’intention, faire du personnage quelque chose d’un peu plus gris.  Je suis le premier à préférer le gris au noir et blanc. Mais ici, c’est quelque chose que tu vas devoir construire avec Adonia dans tes prochains rp. Est-ce que la sorcière ment pour essayer de sauver sa peau ? Est-ce que ces intentions sont réel ? Si oui, eh bien, pourquoi Adonia était attaché ? Je suis curieux de voir ce que tu en diras !

Donc, ce rp, qu’est-ce que j’en ai pensé ? J’ai bien aimé. Bon déjà, je suis content d’avoir vu juste pour le fait qu’Adonia était louche. Donc c’est bien, ça prouve que les indices que tu as donnés dans ton poste précédent à marcher. Globalement, l’action est bonne, fait juste attention à ta syntaxe parfois, n’hésite pas à donner des accroches pour tes lecteurs. Sinon eh bien, mission accomplis, tu es désormais l’heureux propriétaire de ton petit coin au domaine, félicitation !

Assez curieux de voir ce que tu vas faire avec Adonia, je sais que c’est un personnage qui est devenu récurrent pour l’avoir vu pendant l’event. Y’a du potentiel !

Exploit accomplit :
Normal : 20 points d'expérience + 200 munnies + 3 PS en magie pour la forme
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