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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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D'un pas rapide, énervée, la générale de la lumière traversa les couloirs du château de la lumière comme elle les avait traversés cent fois auparavant, comme si jamais elle n'était vraiment partie à l'étranger pour mener une autre guerre. En vraie parodie d'elle-même, Ravness passa, furibonde, entre les regards de ses gardes, des citoyens et des domestiques du château. Pour une fois, elle ne s'était pas fait escorter, seconder, par deux autres gardes, vu sa rapidité à déguerpir de son debriefing qui durait depuis deux jours. À vrai dire, à moins de courir, peu de ses hommes auraient réussi à suivre sa marche énergique.

Elle arriva jusqu'au bureau de la Générale Cissneï, gardé par deux soldats, l'Officier Ivanovitch et le Caporal Sélifane. Le premier, un malin, dans l'armée de la lumière depuis aussi longtemps qu'elle, s'écarta en la saluant. Le deuxième était arrivé plus récemment.
« Général Primus ? » Elle ne répondit pas, attendit en regardant Sélifane dans les yeux de manière insistante, comme une maîtresse réclamant des excuses. « Vous voulez voir.. » Le caporal s'interrompit en croisant le regard du briscard. Il s'écarta à son tour. La générale s'avança d'un pas, et du revers de la main, toqua à deux reprises avant d'ouvrir la porte, sans attendre plus de permission de sa supérieure qu'elle n'en avait voulu de ses subalternes. Prise par une intuition, elle referma la porte derrière elle.

La capitaine des gardes se retrouva dans le bureau, devant Cissneï, surprise par cette arrivée impromptue. Le museau d'un regret se pointa dans ses pensées, avant qu'elle ne se rappelât qu'elle avait raison d'être en colère. Au simple souvenir de tout ce qu'elle avait pu entendre ces derniers jours, elle s'irrita. La guerrière avança jusqu'au bureau, sans détailler l'ordre, sans prêter d'attention à quoi que ce soit d'autre que les yeux et les lèvres, qu'elle voulait tremblantes, de l'accusée.


« Donc. Pendant que je mène une guerre pour vous... » commença la générale d'une voix forte, autoritaire. Si elle avait eu sa cape grise à son bras, elle l'aurait sûrement jetée aux pieds de la cheffe de la lumière, comme un trophée. « Pendant que je dors dans une tente, hiver comme été, et que je risque la vie de centaines d'hommes... vous êtes à la tête de ce château et vous rampez  aux pieds de la Shinra pour qu'elle nous aide à combattre des sans-coeurs ? »

Elle fit une pause dans une ambiance grave, sans toutefois laisser à sa supérieure la chance de lui répondre. « Des sans-coeurs ?! » répéta-t-elle, en insistant sur tous les mots. « À ce prix, générale, pourquoi ne pas directement congédier nos hommes en les remerciant d'être de fabuleux incapables ? » cria-t-elle plus qu'elle ne l'avait voulu. Un doigt pointé sur la porte, elle poursuivit, se penchant légèrement en avant, vers la générale. « Nous sommes les héros, guerriers et gardes de la lumière ! Nous n'avons besoin de l'aide d'aucun de ces minables pour libérer Disneyville ! Vous nous faites passer pour d'épouvantables imbéciles ! »

Ravness reprit à peine sa respiration avant de continuer sa diatribe. « Quelle est votre intention ? Sincèrement dites-le-moi. Parce que... jusqu'ici... » elle haussa encore la voix sur ces deux derniers mots. « Après le fiasco du Palais des Rêves, j'ai comme l'impression que vous voulez confirmer à nos ennemis que nous sommes faibles ! Disneyville, c'est un message fort à envoyer. »

Elle crut avoir fini. D'un geste très maladroit, elle voulut inviter Cissneï à répondre enfin mais... se ravisa et prononça la suite d'une seule traite. « Ah et s'il fallait se débarrasser de bandits ou de dragons, j'aurais été d'accord ! Éventuellement ! Mais des sans-coeurs ?! Nous avons tellement de keyblades qu'on ne sait plus quoi en faire ! J'ai un bouclier qui irradie de lumière ! Et nos soldats sont bons, Générale ! Ils affrontent plus de sans-coeurs, au quotidien, que vous dans votre bureau ou que moi dans une maudite forêt ! »
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Les mots de la Générale étaient légitimes et l'avaient touchée droit au coeur. Aussi l'avait-elle regardée en silence, cherchant que répondre. L'idée de lui dire qu'elle avait la claire intention de vendre le Château Disney à la Shin-Ra pour refaire sa vie dans une ferme au Sichuan lui avait traversé l'esprit. Juste le temps de se raccrocher à sa contenance et répondre.

"Vous surestimez nos forces."

Soudainement, elle avait la splution de tous leurs problèmes. Soudainement, elle était revenue et tout allait redevenir correct ; la Lumière allait renaître de ces presque-cendres. De cet amas de braises dans lequel elle se complaisait. Cette pensée, Cissneï l'eut avec un rictus. Elle aurait espéré le croire.

Ils étaient certainement capables de reprendre Disneyville sans l'aide de la Shin-Ra. Mais l'avouer ici ? Qu'y gagnerait-elle ? Non il n'y avait aucun moyen de regagner le respect de la Générale. L'avouer serait une preuve de stupidité et le nier, une preuve d'accablement.

"Envoyons des hommes à Disneyville, avec des porteurs de Keyblade si vous voulez. Bannière au vent, l'Eclaireur derrière pour la postérité. Tout sera réglé en un instant. Mais qui resterait ici pour s'occuper de ceux qui hantent les couloirs à toute heure du jour et de la nuit ? Nous sommes faibles Ravness !"

Peut-être n'étaient-ils pas faibles à proprement parler, mais il souffraient certainement d'une dirigeante d'une faiblesse certaine - pensait-elle au même moment.

Que faire ? Elle avait précipité tout un groupe dans un abysse qu'elle avait elle-même créé. La Lumière était compétente, capable et digne. Seulement, elle se refait à le croire ; pourquoi ?

"Nous avons besoin d'alliés. Seuls, nous ne survivront pas. Regardez le Consulat, pas un jour ne passe sans que leurs accomplissement ne pourissent les pages de l'Eclaireur. Si vous cherchez bien vers la fin on peut voir un ou deux articles sur comment la Lumière est dirigée par des incompétents et court droit à sa perte !" Le ton de Cissneï avait rejoint celui de Ravness dans la brutalité. "Une alliance de merde avec le Sanctum c'est tout ce qu'on a, et combien de temps avant qu'ils nous lâchent ?"

Ou que Roxas foute le feu à leur château et qu'ils leur déclarent la guerre. C'était pareil. Jusqu'ici, cette alliance ne leur avait apporté que peu, mais une guerre leur reprendrait ce peu et y ajouterait un lot d'horreurs supplémentaire parfaitement non désirées.

Avaient-ils vraiment besoin d'alliés ?

Une courte inspiration ; non.

"On ne peut pas continuer comme ça..." dit-elle, regardant la Générale dans les yeux. Stupide ; le capitaine du navire en train de sombrer. De son fait : elle tenait la barre. "Nous ne sommes pas faibles... Je -" l'avouer ce serait se livrer à la furie de Ravness Loxaerion.

Le souhaitait-elle ?

Sa phrase resta suspendue ; n'osant continuer. Ne sachant que dire.
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La Générale eut un mouvement de recul en entendant sa supérieure parler du Sanctum, admettre la friabilité de cette alliance, qualifiant celle-ci avec vulgarité. Cela la surprit, en premier lieu parce que c’était le deuxième point qu’elle voulait aborder cette journée, en s’imposant de la sorte. Il y avait aussi un troisième point, et pour le dire avec clarté, elle n’avait pas prévu de changer de ton en passant d’un sujet à un autre. Tous méritaient la même intransigeance et la même remise en question de la part de Cissneï.
Cette femme était… Ravness serra son poing droit, sentant une chaleur particulière envahir son corps. Elle ne la comprenait pas. Ou plus. Et cette incompréhension, cette confusion qui semblait envahir et polluer les actes et décisions de la Chef de l’État-Major de la lumière, provoquait bien sûr ce décalage entre elle et sa capitaine des gardes. Cette dernière le constatait à présent, pouvait définir un problème. Si le Général Primus était bel et bien d’une fidélité sans faille envers cette femme, il était tout à fait évident qu’elle n’obéissait pas à… une générale, précisément.

Cette femme n’était pas un soldat. Elle n’était pas une chef de guerre, ni même une politicienne, un tyran, un ministre élu. C’était une bureaucrate. Si Ravness était déjà en colère la minute précédant la réponse, les excuses de Cissneï, elle éprouvait à présent une forme de dégoût ou de… une impression d’être face à une personne qu’elle ne connaissait, en vérité, pas du tout. La Générale Cissneï n’était qu’une rond-de-cuir, une paperassière. Peut-être que d’autres l’avaient compris, oui. Pour Ravness, ça n’avait jamais été une évidence. Oui, elle ne partait pas en mission, mais c’était une femme blessée, ayant subi des dégâts physiques qui auraient justifié un retour à la vie civile pour n’importe quel officier. Mais ce n’était pas ça. La Maître Aqua aussi était une femme qui restait en arrière-garde, bien au chaud, dans le confort d’un château en attendant la bataille décisive. Mais c’était une guerrière, bien que pacifiste, à la limite de l'idiote.

Mais cette femme, Cissneï, au-delà de toute considération sur ses capacités martiales, sur son intelligence, ne comprenait à la guerre que les problèmes mathématiques, que la mesure des risques encourus et les précautions à envisager. Car Ravness n’avait jamais rien entendu d’aussi sot que cette considération sur le château qu’ils laisseraient à l’abandon le temps du nettoyage de DisneyVille. Non seulement une trentaine de lances pouvaient rester en arrière pour défendre le château, comme à leur habitude quotidienne… mais surtout, il était inacceptable de saboter toute tentative de riposte, d’attaque, de sauvetage, de quoi que ce soit, simplement pour cause d’incertitude, de « et si… », de calculs. Aucune guerre ne se gagnait sans risque. Chaque homme s’était engagé dans la lumière pour mener ce combat, chaque homme était prêt à mourir pour la Lumière, pour la purification de Disneyville ou pour la défense du château et de ses civils.

La Générale Primus n’eut aucune pitié pour sa cheffe. Elle avança jusqu’à son bureau et tapa celui-ci du plat de sa main.  


« Non ! » cria-t-elle comme elle aurait grondé un enfant ! « Nous n’avons pas besoin d’alliés ! Il n’y a pas un seul groupe digne de votre confiance, madame. » Entendre parler d’alliés, en cette heure, alors que tout avait démontré que les groupes ne cherchaient que la meilleure opportunité de trahir, n’avait aucun sens. Même elle l’avait reconnu, prédisant déjà l’abandon du Sanctum. « Ce sont des minables. » cracha-t-elle avec virulence et une haine tout à fait sincère. « Il n’y a aucun groupe pour lequel j’ai la moindre retenue quand je vous dis qu’ils méritent tous la dissolution, la potence ou la subordination à la Lumière. » Et cela, elle le pensait et le dirait haut et fort à qui lui laisserait la parole.

« Je me fiche de ce que raconte l’Éclaireur ! Arrêtez de ramper, crachez sur ces serpents et préparez-vous à la guerre. Vous avez peur de la responsabilité d’une décision militaire, laissez-la moi, ils n’y trouveront rien à redire. » C’était logique. Elle était la Capitaine des Gardes, la supérieure directe de l’ensemble des troupes armées de la Lumière, sinon des guerriers et héros de la faction. Etant à la tête de l’armée protégeant le château, et ayant mené une guerre et de nombreuses batailles, il était logique qu’elle mène les actions martiales. Et oui, beaucoup la critiqueraient. Elle avait l’habitude d’être montrée du doigt. Elle n’était pas faible.
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Ravness avait haussé le ton- crié, aurait été le terme le plus exact. Cissneï avait cillé l'espace d'un instant. Au delà des apparences désormais, elle avait écouté la Générale en silence, sachant avec pertinence qu'elle l'avait clairement vue aussi vulnérable que possible.

Devant le fait accompli désormais, Cissneï regardait Ravness et l'écoutait. Elle voyait en la Lumière bien plus qu'elle-même ne pouvait y déceler. Elle avaient les mêmes effectifs en tête, les mêmes soldats, les mêmes ressources. La différence était là ; Ravness n'y voyait pas des effectifs mais une force faire d'individus et de personnalités. Cissneï y voyait un nombre inférieur aux autres. Des keyblades ? Elle voyait Roxas, electron libre, Sora, Aqua.

Aqua.

Sa respiration de bloqua dans sa gorge mais ses yeux restaient secs. Ravness la défenestrerait.

"Tu as raison."

Elle aurait aimé envelopper cette phrase de plus de mots, de quelque chose d'un peu plus... Non ; Ravness s'en foutait.

"A l'exception d'une chose." reprit-elle en ne la quittant pas des yeux. "Je reste à la tête de la Lumière. La décision militaire m'incombe. Tu l'as dit toi-même, ton bouclier irradie la Lumière. Tu reviens d'une guerre, et l'Eclaireur aurait un plaisir malsain à te voir en cheffe de guerre."

Elle n'avait pas pensé plus tôt à ce qui était évident. Ravness se foutait de l'éclaireur. Mais Cissneï savait pertinemment que ces gens, sous relai d'une presse exhaustive, n'hésitaient pas à donner la version des faits qui les arrangeait. Il s'agissait peut-être d'une vérité déplaisante, au final. Celle où Cissneï, incapable, faible face aux questions incisives de Lulu, ternissait tout son groupe. De par son inaction. De par sa peur, qui se traduisait par l'immobilité des actions de son groupe, que Ravness lui faisait remarquer de manière plus ou moins directe désormais.

"Tu gardes ta Lumière. J'arrête de passer pour une incapable." elle haussa la sourcils. "Le plan d'action reste encore un peu nébuleux, mais nous avons les grandes lignes."

La jeune femme restait factuelle. Ravness n'apprécierait pas ce plan. "Nous allons reprendre Disneyville, Générale. Ensemble."



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La Générale hocha la tête en entendant sa supérieure hiérarchique enfin entendre raison. À vrai dire, si la Maître Aqua avait été là, elle-même aussi aurait sûrement été d’accord avec cette nouvelle directive, bien qu’elle appréciât toujours de mêler l’inutile au grotesque. Cette fois-ci, sur ce point, elles auraient certainement été toutes les trois unies, pensait Ravness au plus profond d’elle. Il ne s’agissait pas de faire la guerre, de traiter les prisonniers ou d’évaluer les priorités : simplement de reprendre une ville au cœur des ténèbres, à une lieue d’ici, en se servant de l’unique force de la lumière.

« Bien. » dit-elle en laissant un très léger sourire reconnaissant transpercer son visage. Ravness se fichait bien de l’impression que la Générale Cissneï donnait à l’Éclaireur ou aux détracteurs de la lumière. Au final, tous verraient que la Lumière représenterait le Salut, lorsque de plus en plus la Coalition noire grignoterait ce qu’il restait des mondes neutres. La mauvaise presse ne changerait rien à un simple état de fait : Death et ses pions devaient être stoppés, et seule la Lumière avait le courage et la force de le faire. Jusque-là, tous menaient ce stupide jeu de la propagande, de la diffamation. En ce sens, tout de même, il y avait un point que la Générale ne souhaitait pas négliger, malgré son manque de connaissances et de moyens pour y travailler : le recrutement de gardes. Les armées de la Lumière ne se développaient pas assez vite. Ils ne bénéficiaient pas, au contraire des autres groupes, d’une troupe locale de chaque monde sous leur territoire. À ses yeux, ils ne pouvaient demander un soutien militaire aux Jouets ou aux Indiens. Alors cette aide, il leur fallait la chercher ailleurs.

Le regard de la Capitaine des gardes se durcit une nouvelle fois.
« Je ne compte pas m’arrêter là, Générale. » Si l’approbation de sa cheffe avait calmé sa voix, il lui suffisait de songer au deuxième point qui l’amenait ici, pour sentir une pointe d’agacement grandir et grandir jusqu’à l’obséder, en quelques secondes. Mais, sans être une personne appréciant une grande mise en scène pour mener à bien son propos, elle se trouvait ici dans cette situation plutôt maladroite où elle ne savait pas comment amener la chose de manière… marquante, pour qu’au moins, sa supérieure comprenne son point de vue. « Bon je… » Une pointe de gêne la gagna, car il n’avait jamais été question de sujet personnel entre elles deux. À vrai dire, elle n’abordait de sujets personnels avec quasiment personne.

« Je dois vous dire que je désapprouve totalement votre mariage avec Matthew March, ainsi que la simple idée d’alliance avec le Sanctum. » finit-elle par dire avec un peu de courage et un visage qui se voulait sévère, bien que n’arrivant peut-être pas à transmettre la même conviction que lors de son précédent reproche.

« Ce sont des opportunistes. Des lunatiques. Aujourd’hui, ils vous veulent à leurs côtés pour nous imposer leur culte. Demain, ils nous entraîneront dans leur folie. Oui, ils ont les mêmes ennemis que nous, disent défendre la lumière eux aussi mais… » Elle fit une pause, cherchant ses mots. À vrai dire, même pour elle, ce n’était pas clair. Mais son cœur lui disait de se méfier, de ne pas croire en ces ressemblances et ces connivences flagrantes. Le Sanctum ne cherchait simplement qu’à s’insinuer dans les affaires de la lumière, en prendre le contrôle, et ne faire des deux groupes qu’une seule entité au service de leur folie. Le Sanctum devait avoir une idée derrière la tête. Leur revirement par rapport au Consulat cachait forcément quelque chose. « Rejetons ces guignols qui se promènent dans notre château. Nous n’avons pas besoin d’eux. » Certes il y avait quelque chose de personnel. En revenant de la guerre et en apprenant que la Lumière et le Sanctum s’étaient alliés de manière plus significative et symbolique, que des paladins étaient en poste ici et pire encore qu’un temple avait été construit pour leur idole, cela causa chez elle une colère sourde. Il lui avait fallu… énormément de sang-froid pour s’empêcher de mettre toute cette petite troupe dans les cachots. Pour autant, une vérité restait : Un traître trahit.
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