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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Death est là sans l'être. Est-ce qu'il est encore capable de contrôler Lenore ? Est-ce que l'Innommable ne tenterait pas sa chance à l'occasion ? Et Kuro, je ne l'ai pas assez surveillé, est-ce qu'il a continué de progresser à son allure habituelle ? Et Nuzik, le nouveau, de quoi est-il réellement capable, quels sont ses réelles intentions ? Et les Gardes Noirs, qu'ont-ils en tête alors que nous essuyons défaite sur échec quasiment sans discontinuer ? Et l'univers, a-t-il toujours aussi peur de venir calmer nos ardeurs alors que l'éclaireur retransmet universellement nos humiliations les unes après les autres ? Les rebelles en savent plus que quiconque sur l'état des lieux réel de notre groupe… quand et comment vont-ils en profiter ?
Trop de questions dont j'ai peur d'avoir les réponses.

Les rebelles veulent empoisonner nos résèrves d'eaux… pour que les Gardes Noirs tombent malades, même pas pour les tuer, simplement pour voler du matériel. Ils prévoient aussi d'attaquer le Manoir affaibli à cause de la sécurité renforcée du chantier… pas pour tuer Death mais pour faire diversion et libérer les esclaves qui construisent le vaisseau voulu par Death. Ce plan là parait très cohérent à mes oreilles et relativement bien ficelé. En effet, le chantier est en pleine forêt… et suffisement proche du manoir pour qu'on réquisitionne du renfort à l'un des deux sites pour renforcer l'autre.
Cette histoire de réserve d'eau me laisse perplexe.  

La source est sûre. Plus ou moins. C'est parvenu aux oreilles de Death par des "amis" qui ont arraché les informations aux oreilles d'un rebelle. Un rebelle qui serait du nom de Liam, capturé à l'occasion par Nuzik sur ordre de Kuro. Et je ne peux pas m'empêcher de me dire qu'il y a eu… énormément d'intermédiaires entre l'information et moi. A la Coalition Noire, nul ne doute de Death. Et moi-même, je n'ose pas douter de sa puissance mais tout de même, son réseau d'information me parait bien obscur.
Puisqu'il me faut bien de quoi travailler… je me force à croire à la véracité des informations fournis par ce Liam.

« Jack, on a un problème ! » Une voix de femme, douce dans la sonorité mais nerveuse dans l'intonation, pressée surtout, s'échappe du talkie-walkie agrippée à ma ceinture. « J'ai des dizaines de gardes noirs qui sont tombés malades, je les soigne et t'en dirais plus dès que je peux mais ils ont clairement été empoisonnés ! »

Putain… qu'est-ce que j'ai soif. Mollement, sans conviction, j'attrape ma radio et m'apprête à y parler… inquiet de savoir comment, mon doigt reste figé au-dessus du bouton sans y appuyer. Si je crie plein de panique comme je me laisse souvent allez à le faire, ça paraitra naturel mais ma position sera révélée. Si je parais trop calme, un rebelle qui écouterait la radio se douterait que je manigance quelque chose. Finalement… en proie au trac, je parle à voix basse et peu confiant, pleins de trémolos sans hurler, ça devrait passer ?

« Quoi… ?! Heu… merde ! Plus personne ne boit ou ne manque quoique ce soit tant qu'on a pas tirer ça au clair ! »

Jusqu'ici, le manoir est bien calme, pour combien de temps ? Le vent souffle du froid mordant que l'on connait de l'hiver, et il pleut fort. Je grimace légèrement face au ciel qui nous crache des gouttes vifs et glacés, chacune semble me giffrer la gueule à l'impact. Ca ne m'empêche pas de rester planté là comme un poireau, devant bien accepter de sentir ma peau brûler au fur et à mesure qu'elle s'imbibe d'eau glacée.
Comme pour me punir au-delà du nécéssaire, je suis torse nu… sinon les bandages que je porte.

Ca me donne l'impression d'expier quelque chose… une astuce immature, une méthode comme une autre de me sentir un peu plus méritant. Nul moral ne m'est permise et ça fait bien loin que mes actions m'interdisent toute pitié, mon seul réconfort, mon seul mérite, c'est encore de souffrir. Et mes yeux soucieux inspectent les environs. Je sais de source sûr qu'il n'y a pas de rebelles au manoir.
Ou alors, ce sont des infiltrés de longue date mais ça, je n'y peux pas grand-chose à part m'en inquiéter.

Le meilleur point de vue, ca serait encore de me tenir sur les toits du manoir mais… ca serait trop alarmant aux yeux des rebelles, ils ne sont pas censés savoir que je suis là. Alors je reste dans l'enceinte, pas à l'intérieur mais dans les "jardins" laissés à l'abandon. Le manoir n'a rien "d'abandonnée" mais le lierre en dévore la pierre comme si c'était le cas, jusqu'à avoir des buissons entiers qui grimpent les piliers et les murs. Sans parler de la mousse qui s'étends sur le bâti comme des stigmates de la lèpre sur un corps malade.
J'aime bien… et d'ici, à raser les murs qui clôturent le manoir, je n'ai pas besoin de regarder la forêt déchirée par les deux hommes ayant mis Death aussi mal en point.

Je suis… presque sûr que les informations de ce "Liam" sont erronés. Si Death m'assure que ses "amis" sont suffisement doués en torture pour croire en la sincérité des aveux arrachés… ainsi soit-il ? Même ainsi, ça me parait bien suspect. Selon son rapport, Nuzik s'est baladé au pif et a croisé, par hasard, deux rebelles en promenade. Je trouve ça gros. La Coalition Noire est incapable de mettre la main sur les rebelles et lui, comme ça, il en capture un ?
J'arrive tout à fait à m'imaginer que Nuzik soit un rebelle infiltré. J'arrive tout à fait à m'imaginer qu'Hayner révèle de faux plans à des rebelles avant de nous les jeter en pâture pour nous mettre sur une mauvaise piste.

J'arrive tout autant à imaginer que Kuro manigance et complote, s'incrustant dans une combine de ce genre par ambition. Je ne serais pas surpris d'apprendre que ma garde noire est infestée de rebelles infiltrés.

Faute de mieux… je n'ai rien dit, rien commenté, rien préparé et j'ai agis sans changement particulier, faisant agir la garde noire de la même sorte. J'ai arrêté de boire autre chose que les bouteilles d'eaux que vend la Shinra à contrecœur, me satisfaisant de pluie quand le ciel m'en offrait. J'ai prévu de rester aux alentours du manoir pour que nous n'ayons pas besoin de réquisitionner des forces au chantier, dans l'espoir de faire capoter cette misérable tentative.
Si jamais… si jamais Hayner cherchait en fait à s'en prendre à l'usine d'armement ? On fait comment ?

Malheureusement, je n'ai pas assez de monde pour faire une sécurité renforcée partout et je n'obtiendrais que du moyen. Ma présence à moi sécurise donc le manoir, le chantier reste sous haute protection et… tant pis pour l'usine, en vérité. Ce qui fait la force de mes larbins, ce ne sont pas leurs armes faites à la chaine, non, c'est l'ombre de leurs coeurs et leurs âmes particulièrement mauvaises.
J'espère, en tout cas… et on croit m'entendre soupirer de soulagement lorsqu'enfin, des rebelles surgissent de par-dessus les murs directement dans le jardin.

Le timing me parait… suspect… il n'a pas fallu longtemps entre le moment où l'empoisonnement est révélé à la radio… et le moment où ils décident de lancer la "diversion". Comme si nous avions besoin d'une autre raison pour penser que nous avons des taupes parmis nous. On pourrait dire que je suis au Manoir par hasard, que c'est un "coup de chance" pour la Coalition Noire que je sois là à ce moment-là. Après tout, cet endroit est le coeur du Q.G de la Coalition et l'intendant de la garde noire aurait bien des choses à y faire.
De la même façon que j'ai gardé sous silence l'empoisonnement prévu de l'eau potable de la caserne… je ne préviens pas mes gardes au chantier de l'attaque qui va arriver.

Ca me stress, me voilà obliger de faire confiance. Deux fois. Une fois à notre infirmerie pour gérer l'empoisonnement et une deuxième fois aux forces en présence au chantier pour gérer la véritable attaque.
Depuis quelques temps, un garde par un garde et de vive voix plutôt qu'à la radio, j'ai fait envoyer des gardes noirs au chantier depuis le manoir.

Pas trop non plus, pour ne pas révéler mes véritables intentions.

Le groupe de rebelle qui attaque au Manoir est compact et bien visible, au lieu de disperser leurs forces, ils les ont rassemblés au même endroit comme pour nous crier qu'ils sont là. J'attrape ma radio en marchant vers eux, je ne cours pas encore mais j'accélère à vue d'oeil.

« Au Manoir, je m'occupe du mur ouest, vous sécurisez le reste. »

Pas si serein, je jette ma radio par empressement plutôt que de la remettre dans son étui. Ca y est, mon corps s'élance à grandes et fauves enjambés vers le groupe. Confiant mais surtout méfiant, je m'arrête à quelques mètres et eux aussi lorsqu'ils me remarquent. Ils me paraissent lents mais je me méfie. Evidément armé de pistolets, les balles fusent en ma direction et je filent vers une autre. A gauche, nous avons les murs qui délimitent le jardin du manoir et moi, j'ai bondis à droite. L'impact est lourd, et sourd, rien ne se fissure mais la bâtisse tremble sous mon rebond.
J'atterri en furie sur un des rebelles qui ne s'en relèvera pas, accroupi sur son torse et mes pupilles qui vont et viennent de touts les côtés plus vite que ma tête ne peut suivre.

J'en compte un peu moins d'une dizaine.

Le pauvre corps lâche des bruits innommables lorsque je m'en sert de tremplin, relevé debout face au groupe. J'en vois qui essaye de me contourner par les flancs, en prenant bien leurs distances. D'un pas chassé froid, presque mécanique, je me rapproche de l'un, l'attrape par le bras et le fait rouler sur mon épaule pour le jeter sur l'autre.
D'autres balles font fuser, je les vois déjà se mettre en joug du coin de l'oeil.

Face à des armes de corps à corps, on doit s'éloigner pour rester en sécurité. Bien que contre-intuitif, face à des armes à distances magie comprise, on doit se rapprocher pour se protéger.

Je charge au travers des rebelles restants et en plein milieu, ils ne se permettent pas de tirer de peur d'une balle perdue. Pas avant d'avoir ajustée leurs visées. D'un long pas fléchi, j'envois mon coude qui plie un ennemi en deux et j'envois un coup de tête, l'arrière de mon crâne percutant un nez en faisant volée des gerbes de sang.
J'attrape à bout de bras un pistolet qui vole par là, l'oppose à une lame et appuyant juste un peu pour bien positionner le canon, je tire.

« GROSSE ATTAQUE AU CHANTIER ! ON SE BOUGE ! »

Son nom m'échappe mais cette voix ne m'est pas inconnu, c'est celle d'un garde gigantesque maniant une hache de la même sorte et très proche de l'hippopotame du chantier. Ca me fige sur place. J'ai jeté ma radio mais celle que j'entends me parait toute proche. En effet, elle est accroché à la ceinture d'un rebelle.
Je me fige, tendu et l'expression vide. Des taupes et des infiltrés, il y en a, c'est certain…

…mais il suffit que des gardes noirs, incompétents, se fassent voler une radio ou la perde ou la revende ou la donne, en véritée. Depuis tout ce temps, tout ce que je balance à la radio à l'attention des gardes noirs, je… je le balance surtout à la rébellion. En direct live comme si j'étais un putain de streamer. La D.Va de la Citée du Crépuscule en fin de compte : c'est une honte !

Prêt à frapper, j'arme déjà le poing avec mes dents serrés mais, à ma grande surprise, tout le petit groupe commando est déjà tombé.

Quand je disais que j'avais été obliger de faire confiance deux fois, c'était faux. J'ai fait confiance trois fois. Quelle folie m'a donc pris de mettre Skinner, entre toutes les autres possibilités, dans la confidence ? Elle est au courant de toute cette histoire et est censé se tenir prête sans avoir révéler la manœuvre. J'ai aussi pris le risque de camoufler en esclaves des gardes noirs, qu'il soit "libéré" et rejoigne la Coalition Noire.
Skinner a, entre autres, la responsabilité de s'assurer qu'au chantier, quelques esclaves dont certains en particuliers soit libéré.

Quelques interminables minutes passent pendant que j'admire les rebelles morts à mes pieds… Hayner se bat depuis la Coalition Noire depuis son avènement. Lui, et la rébellion avec, ne sont pas épargnés par notre influence néfaste. Pour peu qu'un idiot rejoigne notre groupe sans être profondément mauvais ou tout simplement monstrueux, il finit fatalement par le devenir.
C'est le cas des rebelles aussi.

Cinq minutes plus tard, je regarde toujours les cadavres de rebelles avec un regard soucieux à me mordre les lèvres d'inquiétudes.

« Jack, c'est Skinner… des esclaves ont été libérés par l'ennemi, on a fait de notre mieux mais c'est ainsi. »

"C'est ainsi" est le code pour annoncer que les coalisés déguisés en esclaves ont été embarquer par les rebelles… et oui, déjà, je réalise que l'ennemi n'a pas hésité à sacrifier ce petit groupe commando. Ils étaient là pour faire du bruit, sont arrivés paqués et visibles en essayant à peine de se faire discret.
Sans compter qu'ils étaient médiocres, que je sois là ou pas, ça n'aurait rien changé à leurs inévitables défaites. Les deux autres groupes qui se sont fait intercepter par les gardes du château ? Même résultat, de la chair à canon tout au plus.

Encore un peu plus tard, un autre appel radio.

« L'usine d'armement a subi une attaque Jack. Désolé de te dire ça mais les machines ont été saboter et ca va nous prendre quelques jours avant de pouvoir la remettre en marche. »

Je ne vais pas dire que je m'en doutais… parce que putain de merde, je le savais. On est en sous-effectif ! Pour de vrai, je veux dire… si on me demande mon avis, on ne peut qu'être en sous-effectif et on aura jamais assez de moyens matériels ou humains. Au jour d'aujourd'hui, c'est probablement pire que jamais.
J'attrape la radio du rebelle mort et m'en sert parce que… bordel de merde, c'est censé être la mienne.

« Comment ça ?! » Je suis de sale humeur. La rébellion devient ingérable. « C'est une usine, pas un atelier de bricolage dans la garage à Roger. Comment a-t-elle pu être saboté au point qu'on mette plusieurs jours à la remettre en route ?! »

« Les rebelles ont endommagés des parties précises de la chaine d'assemblages et ça empêche tout l'ensemble de fonctionner. »

« Comme s'ils avaient eu les plans, donc. »

J'en déglutit. La seule chose que j'arrive à me dire c'est que… la rébellion n'hésite pas à faire des sacrifices et soudain, de les savoir si arrivistes, ça change la donne. La plupart du temps, la Coalition Noire a pour elle les extrémités qu'elle sait se permettre. En face aussi, apparement.
Si j'ai confiance aux "amis" de Death autant qu'il me l'ordonne… ca veut dire qu'Hayner a été jusqu'à nous jeter en pâtures des rebelles qui ne connaissait que les deux tiers d'un plan.

En s'attendant à ce qu'on extraie l'information et… en s'attendant aux tortures qu'on allait leur infliger ?

Peut-être que je réfléchis trop mais je préfère m'attendre au pire. Si j'en oublie mes déductions peu fiables, je suis sûr de la stratégie concrète de tout ceci… profiter du manque d'effectif en frappant à plusieurs endroits à la fois, quasiment en même temps.

« Tant pis, on ferme l'usine, on la démantèle et on ramène tout ça au chantier pour en finir au plus vite avec ça. »

On s'armera autrement. Ou on se battra avec des bâtons et des pierres. Dès que le chantier sera fini, dès que l'usine ne sera plus, ca fera deux zones sensibles d'éliminés, deux failles de moins de notre côté. Je préfère voir ma maison brûler que de me la faire envahir ou… je préfère la brûler moi-même que de laisser à mes ennemis la satisfaction de le faire.
Je me dis aussi qu'avec tout ce que l'éclaireur a retransmis nous concernant… on a peut-être besoin de rappeller à l'univers que nous sommes dangereux !

« A partir de maintenant, on se suffira de pillages pour l'armement. »

Pour peu qu'on puisse encore se vanter d'être "dangereux".
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Bon, je profite d'une partie de mon temps libre pour noter ce rp en premier lieu, comme ça, ce sera fait ! Smile

En préambule, je vais dire que c'est un rp qui, de façon générale m'a plutôt pas mal plu. Mais avant de parler du fond et de ce qui est bien comme je m'apprêtais à le faire, je vais d'abord aborder parler du négatif que j'ai relevé, qui tient en un seul point : les fautes. Il y en a un certain nombre, certaines ne tiennent, je pense, qu'à inattention. Elles n'ont pas spécialement gêné ma lecture et ce n'est pas trop grave mais... un certain nombre auraient facilement pu être corrigées et c'est juste un peu dommage. Je vais pas tout relever, mais je vais quand même parler de quelques unes que j'ai vu se répéter :

- Les fautes d'accord : l'adjectif s'accorde en genre et en nombre avec ce à quoi il se rapporte.

Quelques exemples :
Le manoir n'a rien "d'abandonnée" -> Le manoir est masculin donc ça donnerait plutôt : "Le manoir n'a rien "d'abandonné""
cette voix ne m'est pas inconnu -> On parle de la voix qui est féminin, donc ça donnerait plutôt : "cette voix ne m'est pas inconnue"
"qu'il soit libéré" et "quelques esclaves, dont certains en particulier soit libéré" -> Dans les deux cas, tu parles des esclaves, qui est au pluriel donc. Ça donnera donc plutôt respectivement : "qu'ils soient libérés" et "quelques esclaves, dont certains en particulier soient libérés"

- Les confusions é/er : le conseil sera de lire la phrase à haute voix. Si tu peux remplacer ton verbe par un verbe du 3ème groupe comme "prendre", "mordre" ou encore "vendre", alors il faudra utiliser un infinitif. Si tu peux remplacer par leur participe "pris", "mordu" ou "vendu", alors ça sera un participe passé.

Quelques exemples :
ont été embarquer -> ont été embarqués
tant qu'on a pas tirer ça -> tant qu'on a pas tiré ça
sans avoir révéler -> sans avoir révélé

- Dernièrement, de façon plutôt générale, certaines fautes auraient pu simplement être corrigées en survolant le texte avec un correcteur. Je ne vais pas expliquer les fautes, elles sont plutôt diverses, mais c'est un peu dommage.

Quelques exemples qui étaient soulignés en rouge quand j'ai tapé mon message :
nos résèrves d'eaux -> nos réserves d'eau
La mousse qui s'étends -> La mousse qui s'étend
Evidément armé de pistolets -> Évidemment armés de pistolets
j'atterri -> j'atterris
en véritée -> en vérité

Bon, j'ai fini pour le point fautes, je ne vais plus t'ennuyer avec ça pour le moment. Passons sur le positif :

Il y a un bel effort de lecture à saluer, dans le sens que tu es bien informé de tout se qui s'est passé durant ton absence. Ton exploit poursuit directement les missions que j'avais donné. Aussi, le fait que tu aies bien rappelé de quoi on parlait est bien pour ceux qui n'ont pas suivi la série de rp ! Et puis, tu parles de moi et tu utilises mon surnom pour parler de Nazik, bonus !

Je dois le dire, Jack et sa méfiance qui part jusqu'à la totale paranoïa m'avait bien manqué. Genre, cette histoire de rebelles infiltrés dans les gardes noirs avec toute l'idée de complot qui va avec, ça m'a donné le sourire, ça, c'est le Jack qu'on aime Smile

Sinon, le plan (modulable ? haha, fallait que je cale cette référence) que Jack a élaboré pour gérer cette attaque est bien ficelé et ça m'a pas mal plu. Ça m'a même inspiré une idée de rp qui viendra prochainement. Bon, tu sais très bien de quoi je parle en disant ça, mais qu'on puisse toujours relier les points de la sorte, je trouve toujours ça très bon !

Le combat n'est pas bien difficile mais c'est clairement pas incohérent avec les stats de ton personnage. La petite référence à D.Va m'a fait sourire.

Tout ne se passe pas totalement selon le plan, ce qui, dans la situation de la garde noire, semble plutôt normal. La décision qui en découle de fermer l'usine d'armement me semble logique, avec le sous-effectif, c'est trop d'efforts et visiblement, on ne peut plus gérer et protéger tout à la fois.

Enfin, voilà, c'était chouette !

Normale : 22 points d'expérience, 200 munnies, 1 PS en force et 2 PS en dextérité.
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