Ca bosse à New-York ! Szp8Ca bosse à New-York ! 4kdkCa bosse à New-York ! 4kdk
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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.


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Nazik sort du transport le premier, en bondit à pieds joints ! A peine atterri sur ses pieds, voilà qu'une foule compacte de gens passe au travers de son insignifiante personne pour s'engouffrer dans une rame de métro. Le passage de ces personnes bien pressés le fait tournoyer comme une ballerine, et pris d'un brusque tournis, il déambule quelques pas ivres. Le bruit, à ses oreilles inconnues, des klaxons furieux hurlent ! En pleine rue, les voitures s'écartent à peine pour l'éviter, alors que lui court jusqu'au trottoir d'en face, un peu paniqué. Des carambolages manqués font sortir des chauffeurs bien énervés, les véhicules s'entassent et les esprits s'échauffent.
Le jeune homme n'arrive juste pas à rester en place. Lui contemplerait bien ce monde mais à chaque pas qu'il fait, ou ne fait pas, le rythme effréné de ce monde trouve quelque chose pour l'embarquer dans sa danse !

Un couple passe par là ! Et une dame, bien habillée autant que bien énervée, lâche son homme lorsque celui-ci percute Nazik. Ni l'un, ni l'autre, n'ont le temps de se remettre que déjà, Madame embarque le mauvais gars par la main comme on traine son chien. Bien forcé de la regarder, et la trouvant belle de surcroit, le jeune homme observe son visage qui parle en le balladant. Elle n'a pas l'air contente, du tout, ca se voit à son expression et à la façon dont ses lèvres crachent ses mots inaudibles ! Nazik n'entends rien au beau milieu de la cacophonie urbaine, du brouhaha des discussions, des pas rythmés des foules en percussions avec les machineries des chantiers, des moteurs et des klaxons.
Au coin de l'oeil, le passage d'une calèche tirée par un cheval l'apaise, l'aide à reprendre ses esprits… enfin, quelque chose qu'il connait et comprend !

Pris d'un sursaut d'égo, notre touriste se redresse et le dos droit, le menton un peu levé, arrache fièrement sa main tenue par la dame ! Offusquée, elle porte les mains à ses hanches puis, d'un air vindicatif, elle se penche menaçant de gifler ce qu'elle croit être son mari. Nazik ne cède pas, bon sang, et fronce les sourcils autant qu'elle ! La belle se recule alors, l'air surpris et la bouche en "o" qu'elle cache de sa luxueuse main gantée. La surprise passée ? La voilà qui sourit, charmeuse à l'âme innocente du touriste qui conserve son air de mâle fort et fier qu'il ne vaut mieux pas défier !
Pourtant, après quelques instants, Nazik perçoit le désir dans son regard lascif et c'est lui qui sourit, terriblement gêné, incapable de se décider sur la marche à suivre.

Qu'importe ! Lassé de son habituel nanti endimanché et pantouflard, elle se saisit du jeune inconnue à deux mains sur sa tête puis l'attire à elle pour l'embrasser à pleine bouche ! Les yeux écarquillés de surprise, et stupéfait, Nazik ferme les yeux pour se laisser allez, se saisit de la dame à son tour et par les hanches, s'il vous plait ! Oh que non, finalement, pas de s'il te plait pour ce tyran bien emballé ! Et par les hanches ? Un peu plus bas que ça, une deuxième main en haut par politesse.
Une main furieuse le saisit par le col de sa chemise et l'arrache sans ménagement aux bras de sa récente dulcinée.

C'est un mari furieux aux manches de son costard retroussés, rouge de colère, collé tête contre tête et… Nazik n'est pas contre une bonne bagarre ! Trop gêné pourtant, quoique non… disons que New-York lui chante en hurlant de continuer à bouger et ainsi, sans dire au revoir, il prend la poudre d'escampette ! A toute vitesse ! Le mari bondit furieusement sur place, le poing en l'air ! A côtés, son épouse transie dit largement au revoir à l'inconnu et lorsque son mari l'observe d'un air inquisiteur, elle hausse des épaules, l'air de rien.

Nazik, lui, court dans les rues et sans regarder où il met les pieds, à la tête vers les airs. Le Château du Mont aux Lanternes ? Le Clocher du Crépuscule ? Ces deux bâtiments dominent les mondes où ils trônent ! Et de loin ! Mettez-les à New-York et ils ne sont rien… car ici, touts les immeubles sont gigantesques, à en gratter le ciel !

Des trompettes ?! Comment ça ? Nazik s'arrête et tourne la tête, des trompettistes noirs jouent à s'en asphyxier, si fort qu'on les entends même dans la cacophonie ambiante ! C'est du Blues… et incapable de comprendre le paradoxe d'une mélodie qui parait si lente et vive à la fois, le jeune homme se met à marcher mains dans les poches. Toujours sans regarder là où il met les pieds, ni devant lui, sa tête sur le côté avec d'amples pas qui s'amortissent au sol dans un rythme pleins de swings.
Bam ! Un poteau se trouve là et notre touriste se le prend pleine tête, forcé à un virage brutal par le choc.

Finalement… ? Un peu de calme. Sonné quelques pas encore, il rentre sans en rendre compte dans un bar, chute et finit par s'asseoir à un comptoir. Une serveuse surgit agilement, dépose une tasse de café sous ses yeux perdus puis le sert sans le regarder. Pas le temps de la remercier qu'elle file reprendre ses commérages avec une collègue. Nazik n'a rien demandé mais puisqu'il peut enfin souffler, pas question de refuser un café mais entre nous, il ne risque pas non plus de le payer.
Qu'importe, le jeune homme s'affale sur le comptoir comme on tombe mort… et du mieux qu'il peut, se redresse juste de quoi s'accouder, sa tête reposant sur sa main.

" Des gens vivent ici… ? " Nazik souffle enfin, largement, bien content d'enfin pouvoir… prendre le temps, dans ce café enfumé par la cigarette comme si de la brume s'y invitait. " Touts les jours… ? "

Nazik se redresse et se retourne, assis sur le tabouret dos à son café encore fumant, doublement accoudé au comptoir cette fois.

" Je suis venu ici pourquoi déjà ? " Les yeux en l'air, à contempler un ventilateur de plafond, le jeune homme a l'air contrarier… puis son visage s'illumine ! " Ah oui ! Je dois ramener des ordinateurs ! "

Très vite, il retrouve un air contrarié qui se métamorphose en un sourire gêné et doucement moqueur. Doucement parce qu'il se moque de lui-même, après tout.

" J'aurais peut-être dû demander à Kuro qu'est-ce que c'est qu'un ordinateur. "

Du bout des doigts, Nazik effleure ses lèvres après avoir senti des goûts fruitiers… et secoue la tête pour se ressaisir. A peine une seconde après, il repense déjà, sans sourire mais l'air ailleurs, le regard qui rêvasse. Il secoue la tête plus fort encore et se relève d'un pas décidé vers la sortie. A quoi joue-t-il ?
Les serveuses sifflent en s'excitant, bondissant furieuses sur leurs talons et de l'index, indiquant le café ni payé, ni même amputée d'une pauvre gorgée.

Lentement, à pas doux et appliqué, le jeune homme va vers sa tasse à café. Jusqu'ici, New-York lui a imposé son tempo et… il n'a pas pu y faire grand-chose. Pas que ça lui ait déplu, bien au contraire. Néanmoins, puisque c'est dans sa nature, Nazik ne peut s'empêcher de défier la mégalopole. Avec application jusqu'à la tendresse, le jeune homme a le temps et donc, tout naturellement, il le prend sous l'oeil suspicieux des serveuses. Celle-ci ont des tailles de guêpes que leurs bras croisés renforcent. D'humeur lubrique, le jeune homme savoure leurs silhouette de pin-up mais pas autant que leurs airs franchement renfrogner. Le bout de ses doigts s'entrelacent sur l'anse de la tasse encore assez chaude pour que des restes de vapeurs s'en échappent…
...et d'un geste leste, en projette le contenu sur les deux demoiselles d'abords trop stupéfaites pour réagir !

Dans un second temps seulement, elles s'agitent de la chaleur brûlante et s'essuient avec des torchons à portées. La porte du café se referme sur un bras qui ondule pour dire aurevoir à ses dames. Pile au bon moment, une calèche passe par là en toisant fièrement les voitures qui lui succéderont inévitablement à l'avenir et d'un bras tendu, Nazik s'y accroche au passage pour se laisser transporter ! Cheveux aux vents et un sourire franchement méprisant, qui ose se la jouer charmeur face à deux furies qui l'insulte mais lui déjà loin.
Pour la forme, il leur envoit un baiser dans le vent… puis, quand l'humeur le prend, il lâche la calèche et reprend sa marche sur un trottoir.

Le conducteur tourne la tête pour inspecter l'arrière de son engin mais trop tard, croit naïvement avoir rêvé.

" Hey ! " Lâche Nazik en même temps qu'un ample pas chassé, bras levés et mains en l'air à la manière d'un voleur mime plaidant son innocence !

Une autre foule de gens compacte passe par là, s'échappant d'un escalier menant aux souterrains de la ville… et après les avoir suivi du regard, Nazik arque un sourcil. Ses yeux font la route en sens inverse. Qu'est-ce qu'il peut bien y avoir là-dessous, au juste ? Incapable de résister à la tentation, et au mépris de sa mission, le jeune homme va là-bas à son tour ! Pourrait courir comme ils le font tous ici mais… pourquoi ça, au final ? Puisque lui a le temps, il le prends.
Kuro n'a rien dit sur le côté urgent de la mission et… en tout franchise… ? Que ce soit urgent pour la Coalition Noire n'implique pas que ça le soit pour le jeune invocateur.

Nazik ralentit sa respiration et en un instant, c'est tout New-York qui semble ralentir en même temps. Lui qui marche se décale de quelques pas très doux, anticipant de loin une foule de gens compacte qui chargent l'escalier qui descend sous les rues. Et s'arrête, tout naturellement, en entendant des bruits de pas effrénés. Comme pour confirmer son instinct, un portier très bien habillé et taillé en V se penche vers sa porte. Une énième foule de gens compacte en sort furieuse, se dispersant une fois dehors !
Et c'est presque en dansant que Nazik les esquive en avançant, jetant un oeil amusé au portier à terre faute à la charge des clients échappés.

Puis le voilà… pas à pas puis, marche par marche, en train de s'enfoncer plus bas et jusque sous les rues de New-York. On dirait les égouts de la Citée du Crépuscule dans la manière dont l'endroit est construit. Pourtant, c'est relativement propre et bien éclairé, remplis de gens bien habillés qui n'ont rien de révolutionnaire. Quelques rats filent, bien élégants et discrets, il y a même des poubelles dis donc ! Peut-être y a-t-il des obstacles et des tourniquets mais avec une aisance pleine de mépris, Nazik les passe tous sans y réfléchir plus que ça. Sans doute qu'on l'a regardé pour ça, on a peut-être même tenté de le prendre en chasse mais les foules sont denses. Au coeur des forêts de gens, le jeune invocateur disparait aisément.
Sans forcer ni bousculer, simplement en se glissant dans les failles, en serpentant entre les corps qui agissent de manière si machinale.

En les voyant, Nazik repense… avec nostalgie… à ces trompettistes de tout à l'heure. Et soudain, le touriste originaire d'un monde moyenâgeux aperçoit le métro ! Ceux-ci lui apparaissent comme de gigantesques serpents de métaux dont les phares, jaunes, évoquent presque des sans-cœur ! La surprise passée, il s'aperçoit que ce sont des constructions modernes… et lorsque le métro part, les rails lui rappellent le tram de la Citée du Crépuscule.
Ce sont, en réalité, de gros trams souterrains et dis comme ça, le jeune homme affiche un air blasé.

Ces gens courent tous collés et effrénés pour… de gros trams ? Dans son esprit, ces espèces de calèches géantes, sans chevaux, paraissent bien évidentes. Sans savoir exactement à quoi s'attendre, Nazik s'attendait finalement à mieux que ça. La question se pose, pourtant… les gens de New-York sont-ils toujours en retard… ? Ils ont pleins de vêtements, de bijoux et d'artifices mais… ils n'ont pas le temps ?
Le temps c'est de l'argent et puisqu'il a le temps, Nazik le prends, il est suffisement "riche" pour cela.

Ce qui le fait rire, moqueur mais véritablement enjoué… jusqu'ici, comparer sa vie aux autres lui fait un bien fou ! Les gardes noirs ont du pouvoir et sont dominateurs, c'est certain, pourtant ? Aucun d'eux ne respire la joie ! Les habitants de New-York ont l'air d'avoir pleins de choses mais qu'elle est cette vie passé à courir ? L'invocateur préfère encore s'habiller simplement et avoir le luxe de pouvoir marcher même en mission.
Finalement, les gens les plus riches qu'il ait pu croisé, ce sont peut-être les trompettistes qui, n'ont content de jouer d'instrument à la couleur de l'or… n'avaient pas l'air pressés du tout.

Les clochards n'ont pas l'air pressés non plus et, bizarrement, Nazik fait une moue sceptique à l'idée. Sa réflèxion lui semble soudain absurde et pourtant, elle était bien partie ! Non, le jeune homme se fige sur ses pieds et croise les bras, peu satisfait, il est sûr de tenir un début de réflèxion mais n'arrive pas tout à fait à l'articuler. Sans doute que la fortune ne peut se résumer à un seul aspect… la richesse implique de posséder de multiples choses de différentes natures.
Sauf que si ce n'est pas matériel et concret… c'est de la richesse… ou c'est autre chose ? Avoir le temps et le prendre, c'est être riche ou être puissant ?

En pleine dissertation intérieur, le regard voilé et l'esprit absorbé par ses propres thèses et antithèses, un râleur sort Nazik de sa rêverie philosophale !

" Hey ! T'as rien à faire là toi ! "

Un râleur, un de plus se dit le touriste. Après un léger sursaut, Nazik soupire et ne cache pas son air blasé. Au final, cette ville a réussit à l'épuiser et très vite, le jeune homme ne sait plus trop ce qu'il fait là. Pour être franc, il n'a plus le courage d'explorer la ville comme il aurait voulu le faire au départ.

" Ah, t'es le stagiaire ? "

Un stagiaire ? Nazik n'a aucune idée de quoi il parle mais allez, autant ne pas le contredire.

" Je cherche des ordinateurs. "

" Oulah, c'est pas une lumière celui-là. "

" C'est là, le bleu. "

Sans relever la remarque désobligeante, le jeune homme observe les drôles de machines pleines de boutons tous lumineux et colorés. Tout en lui parlant, avec ce même rythme effréné que tout le monde a dans cette ville, les deux hommes appuient nerveusement partout. Incapable de déchiffrer les lumières électriques des machines, Nazik sourit pourtant doucement. Voilà donc les fameux ordinateurs qu'il cherche !
Ni une, ni deux, le jeune homme agite son bras brusquement et dans un nuage de fumée, lui apparait en main sa keyblade.

" Je vous les prends ! "

Nazik l'affirme, le pas en avant si naturel, prêt à frapper et animé d'une joie violente ! Du bout de leurs pieds, les deux hommes se propulsent chacun d'un côté de la pièce. Ce n'est qu'une fois que leurs chaises à roulettes percutent les murs qu'ils se lèvent et s'en vont, prétendant qu'ils ne sont pas payés pour ces conneries. Le jeune homme les regarde avec tendresse, s'en voulant presque de les avoir effrayé au point qu'il n'y ait pas combat.
Peu importe ! Cette fois bien embarrassé, il se gratte à la tempe et reporte son regard sur les ordinateurs, se demandant bien comment il va pouvoir embarquer tout ça.

" Ah ?! " Des petites créatures, jusqu'à la dizaine et bientôt un peu plus, s'agitent déjà à la tâche.

Des… petits monstres, si mignons et doux à l'oeil qu'on dirait des peluches. De drôles de petites boules de graisses qui communiquent entre elles avec des petits bruits de jouets pour chien. Pas plus grande chacune qu'un caniche, ils ont quatre membres arrondis sans doigts. Leurs ventres et un semblant de visage sans détail au-dessus est crème, peut-être un peu jaune à cause de l'éclaire alors que le reste est orange. L'une des créatures a ramassé une casquette et s'est posté en hauteur sur la machine à café, lâchant des bruits en agitant deux minuscules bras boudinés. Ils semblent avoir comme texture… d'être fait de graisse uniquement ? Pas flasque pourtant, tendu mais juste assez pour avoir du swing dans la démarche.
Sous les ordres du petit monstre peluche à casquette, ils s'organisent d'eux-mêmes pour rassembler des outils et désassembler les ordinateurs.

Ils s'y mettent à deux ou à trois pour caler une clef et dévisser des boulons en y mettant touts leurs poids… malgré l'absence de doigts, ils sont très dextres avec des tournevis ou des scie, incroyablement coordonnés aussi ! Aussi rigoureuses que des fourmis, certains d'entre eux font des aller-retours pour ramener des outils, du scotchs mais aussi, tout ce qui pourrait servir de caisse pour le transport.
Enfantin et fasciné, Nazik les applaudit sa keyblade toujours en main, stupéfait de les voir au travail. Bien heureux qu'ils soient intervenus.

Ca… ca devient une habitude de voir de drôles de créatures débarqués lorsqu'il en a besoin. Aussi bizarre que ça soit, Nazik ne s'en émeut et s'assoit simplement. Au départ, il était censé s'asseoir en tailleur par terre mais ses servants lui déposent une chaise roulante juste à temps.

" Okay ! " Son arme disparait lorsqu'il croise les bras et les jambes, l'air d'un pacha. Les petites peluches s'arrêtent toutes pour l'observer… sinon un qui dort et qui se fait réveiller d'une tape. Malgré les bruits mignons et incompréhensibles, la petite peluche responsable de la tape s'exprime avec énervement !
Nazik prend un instant pour les détailler… leurs yeux sont ceux de créatures enfantines, brillants mais si sérieux.

" On finit ça et on va au transport Shinra ! " Si naturel, l'invocateur se comporte comme si c'était lui le patron et… en effet, vu la réaction de mignons, il l'est ! Le travail accélère ! En quelques instants, tout est déjà terminé et le matériel se fait transporter à bout de petit bras en même temps que l'invocateur lui-même. Sans que celui-ci n'ait besoin de se lever… et il se permet même de bailler, bien fatigué !
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New York c'est la ville de mon co... non, c'est pas ce rp.

Bon, après un peu de patience et malgré les quelques contre-temps, me voilà, passons mon talent pour les introductions et plongeons nous dans ce texte qui a tout de même plus d'une semaine.

Concernant la forme, je n'aurai pas grand chose à dire, si ce n'est que c'est mieux. J'ai bien noté que tu as pris compte de mes remarques puisque visiblement, je peine à relever les erreurs de certains des rp qui ont précédé ! Il y a bien sur des fautes ici et là, je vais en corriger une ici que j'ai relevé déjà d'autres fois : "Citée du Crépuscule" -> "Cité du Crépuscule".

Concernant le fond, maintenant... pour être honnête, j'espérais me faire surprendre sur la façon dont tu réaliserais la mission mais m'attendais à ne pas l'être. Je sais, c'est totalement paradoxal. Est-ce un mal ? Non, pas nécessairement. Ma lecture n'en a pas vraiment été désagréable pour autant.

Je pense que tu as essayé de créer un effet au début, ça m'a semblé rythmé et surtout... muet. Il y avait un jeu d'expression par les gestes. Je pense que c'est un choix que tu as fait de ne faire parler ton personnage qu'une fois qu'il aurait fait les frais de cette ville rythmée. Peut-être que la scène avec la femme et son mari m'a semblé un peu moins convaincante à cause de ça. Ça aurait été intéressant de connaître l'échange entre nos deux brefs... tourtereaux ? D'une certaine façon, tout ça m'a semblé surprenant. Après, si c'était bien là pour les raisons que j'ai cité plus haut, je ne peux que comprendre le choix, ça aurait ruiné ce que tu essayais de faire au début !

" J'aurais peut-être dû demander à Kuro qu'est-ce que c'est qu'un ordinateur. "
Pour le coup, ça aurait pu être drôle que la question soit posée car le pauvre n'aurait même pas su y répondre ! Je dis souvent avoir raté mes débuts sur ce personnage et c'est une des choses qui est, en mon sens, un gros acte manqué de mon côté : le décalage technologique créé par ce changement de monde. Bref, on est pas là pour parler de moi, je disais surtout ça pour relever que visiblement, tu ne reproduis pas mon erreur avec ton personnage parce que tu évoques beaucoup ce décalage avec Grimm.

La réalisation de la mission est peut-être un poil simple mais bon, en te donnant une mission FEDEX, je me suis attendu à ce que ça se produise. Tu as su tirer quelque chose de ce choix de monde, ce qui me semble déjà l'essentiel. Globalement, je suis plutôt content du coup Smile

Mission accomplie !

Normale : 21 points d'expérience, 210 munnies, 3 PS en Défense.
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