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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Nazik reste planté là, et le bras tendu, ouvre sa main puis la referme à répétition dans l'espoir d'y faire apparaitre sa clef. Sans succès depuis au moins une heure qu'il essaye. D'un soupir las, son bras retombe sous le poids de l'abandon. Il a essayé de frapper dans le vide, a essayé quelques incantations théâtrales et formules ésotériques. Après tout ce qui a été tenter, sa dernière option serait de danser nu sous la lune. Le temps d'un sourire, la pensée l'amuse brièvement mais très vite, il retrouve un air las. Déjà, il se tient moins droit. Pas complètement abattu non plus… mais les épaules un peu plus basses, la tête et le regard légèrement baissé, dans le vague.
Jusqu'ici, ses sombres pouvoirs se manifestent d'eux-mêmes, se passent bien de son accord et échappent totalement à son contrôle, le poids sa propre ignorance rabaisse sa posture. Le découragement ternit son allure.

La dernière fois, "face" aux gardes noirs, des sans-cœurs sont venu à lui mais loin de lui obéir, l'ont attaqués. A côté de ça, son arme lui ait apparu en main spontanément, sans forcément qu'il le demande ou même qu'il le veuille. Sans même s'en rendre compte. Au moins, sa Keyblade ne risque pas de l'attaquer. Qui dit pourtant, qu'un jour, son arme ne sera pas absente au moment de devoir guerroyer ? Et que penser des ombres, une fois de son côté, une fois en train de l'assaillir ?
Ses pouvoirs fonctionnent comme une loterie, toujours gagnante jusqu'ici mais jusqu'à quand ?

Sa vie est misée, même si un peu de hasard reste toujours excitant… pas trop quand même. Doit-il faire confiance à ce pouvoir et se dire que, si simplement, ça ira en ayant foi ? Il doit plutôt se démener à acquérir plus de contrôle sur ceux-ci, selon lui. Sans succès jusqu'ici comme en témoigne son air dépité.
La forêt l'apaise, c'est sûr… lui rapelle, avec nostalgie, celle de son monde quoique celle-ci soit plus modeste. Il s'est dit, naïvement, qu'ayant obtenu pour la première fois ses pouvoirs en forêts, c'est là qu'il retournerait les perfectionner.

Sauf que ce n'était pas la forêt qui causa l'apparition de ses étranges capacités, ce furent des loups pas loin de le dévorer. De même que la dernière fois, ce ne fut probablement pas le soleil noir, encore moins la ville mais les deux gardes véhéments qui ont fait se manifester ses sombres dons. Le conflit… plus que ça, le danger, voilà ce dont il a besoin pour qu'apparaisse son arme et viennent à lui des sans-cœurs. Pas le choix ! Pour explorer son potentiel obscur, Nazik ne peut rien sinon que de s'exposer à un danger immédiat et palpable. Peut-être que son arme n'apparaitra pas lorsqu'il en aura besoin… peut-être que les ombres l'attaqueront lui et son ennemi sans faire de différences… mais prendre le risque, c'est le seul espoir de comprendre comment ça marche.
Un sourire satisfait revient éclairé son visage et relever son regard, son coeur vibre comme pour confirmer sa thèse.

Comme pour lui dire de baisser la tête à nouveau, sans prévenir, il tombe soudain des trombes d'eaux.

" Ah non ! " Répond-t-il au ciel lui-même, les poings fermés et les yeux illuminés de détermination. Il lève la tête plus encore, n'apercevant que les feuillages qui dégoulinent d'eaux. Le vent fait son corps, soudain trempé, brusquement glacé. Trop fier pour partir en courant se mettre à l'abri, il reste immobile et bien têtu, se jure que la pluie partira avant lui. Ses yeux rougissent de l'humidité, il ne claque pas encore des dents mais pas loin, tremble déjà un peu. L'hiver vient, sans vouloir être trop dramatique, ce n'est pas ça qui l'arrêtera.

" Hey. "

Nazik enchaine les sursauts vifs, regarde partout autour de lui pour situer la voix cassée qui l'interpelle. Après plusieurs secondes d'intenses recherches, rien. Puis… une drôle de créature sort de l'ombre des bois et s'avance à cloche-pied par petits bonds. A chaque saut, son seul manche organique qui lui sert de jambe se déforme sous son propre poids, et de manière irrégulière, sa sandale de bois fait claquer une racine.
C'est un parapluie, vivant, à l'air particulièrement sinistre. Quoique cela ait plus l'air d'une ombrelle façon "nipponne" dont la partie qui se déplie, ici plié, est d'un rouge teinte sang séché. Le papier, ou la toile, est déchiré en deux endroits pour laisser apparaitre un oeil mauvais et une bouche aux dents pointues dont s'échappe une longue langue repoussante.

" Un parapluie… tu tombes bien. "

La déchirure qui laisse paraitre son oeil se déforme, recouvre la moitié de celui-ci et le laisse avec un sourire à l'envers, ainsi, il n'a pas l'air très ravi.

" Evidément que je tombes bien, tu m'as invoqué. "

" J'ai fait ça… ? "

" Non, je suis juste un parapluie vivant qui passe par là. "

" Ah. " Nazik ne cache pas sa déception, l'affichant clairement avec un air d'enfant. Pouvoir invoqué un parapluie lui parait pourtant bien pratique ! Et un parapluie aussi glauque que celui-là, vivant, qui plus est ? Curieux, le jeune homme s'approche de la drôle de la créature et en fait le tour, se caresse le menton pour marquer sa réflèxion. Ca n'a pas l'air d'être un sans-cœur… ou alors, le jeune homme en sait encore moins qu'il ne le pense sur le sujet. Malgré tout, sa curiosité piquée au vif, Nazik ne peut s'empêcher de se poser milles questions.
Si on peut trouver un parapluie vivant à l'allure démoniaque en ce monde, que peut-on bien y trouver d'autres ? Et le parapluie en lui-même, quel est son histoire ? D'où peut vient venir une créature pareille ? Quelle en est l'explication ?

" Bien évidement que tu as fait ça ! " Hurle soudain le parapluie ! Et ce faisant, il bondit sur son manche de bois mouvant en se dépliant tout en grand ! Pris de court, Nazik s'éloigne du monstre dans la précipitation, fronce soudain les sourcils à sentir une déchirure sur sa pommette. Sans dire que les contours du parapluie sont tranchants, des petites extrémités de bois s'en échappent comme d'horribles échardes. " Depuis quand des parapluies vivants passent par là ?! "

" J'en sais rien… " Souffle le jeune homme en effleurant sa plaie. " ...je viens d'arriver ici, comment veux-tu que je sache ? " Il croise les bras et n'attends aucune réponse avant d'enchainer. " Bon sang, laisse-moi tranquille un peu. "

Tout ce que le parapluie vivant a à lui répondre, c'est un regard fixe et blasé. Nazik, lui aussi silencieux, endure farouche le seul oeil méprisant de la créature et, finalement, hausse un sourcil, se détend puis décroise les bras.

" Moi c'est Nazik, enchanté. Comme je te le disais… tu tombes rudement bien ! " D'un geste vif, le sourire malicieux, l'invocateur en herbe s'essaye à attraper la créature, qui s'échappe in extremis d'un bond en arrière.

" Hey ! " Cette fois, la créature a l'oeil très énervé. " Je ne te permets pas. "

" … " Stupéfait qu'un parapluie refuse de se laisser attraper alors qu'il pleut des cordes, Nazik retente sa chance plus sérieusement et l'attrape avec succès ! Pourtant, la créature s'agite, remue avec rage pour se défaire de l'emprise. De la même manière qu'on doit retenir un parapluie par grands vents, le jeune homme doit y allez à deux mains pour maintenir la créature en place.
Après s'être furieusement débattu un peu plus d'une minute, la créature soupire et dépitée, se laisse faire à contrecœur.

" C'est très malpoli ce que tu fais… "

" Moi, au moins, je me suis présenté… contrairement à certain ! " Répond-t-il avec un ton se voulant incroyablement prétentieux et snob, dissimulant d'un sourire victorieux surfait qu'à l'instant, il était à deux doigts de lâcher prise. " Tu t'appelles comment ? "

" Va te faire voir ! "

Soudain, pris d'un peu d'empathie, Nazik lève des yeux attendris en espérant voir ce qui sert de visage au monstre mais ne voit que l'envers rouge d'un parapluie.

" Les parapluies-vivants n'ont pas de noms ? "

" Si ! J'ai un nom ! C'est Kara… " La créature s'interrompt brusquement et reprend, déterminé. " J'ai juste pas envie de te le dire, c'est tout. "

" Enchanté, Kara'. "

" … " Le parapluie grogne et rumine dans sa barbe avant de céder, pour la seconde fois en moins de cinq minutes. " Karakasa. " Articule-t-il avec soin et rancœur pour se remettre à grogner aussitôt.

" T'es grognon mais… " Nazik se permet un rire de plusieurs secondes avant de reprendre son souffle. " …je te trouve plutôt cool. "

Karakasa ne répond pas mais, bizarrement, il grogne un peu moins fort et quelques pas plus tard, ne grogne plus du tout. Le jeune homme marche alors tranquillement dans la forêt, de bonne humeur mais très vite perdu dans ses réflèxions. Il aurait invoqué un parapluie vivant ? Comment ? Et… Nazik aurait tellement de questions à poser à la créature qu'il ne sait juste pas par où commencer.  
Tranquille et sereine, sa démarche avance pas à pas dans la boue, sans forcer ni se presser. Doucement, le jeune homme regarde vaguement les alentours mais en vérité, ses interrogations intérieurs voilent son regard charbon.

" Je t'ai invoqué. " Sort Nazik, sérieux jusqu'à la solennité, grave et sombre, même. " Comment j'ai fait ça ? "

" Comment veux-tu que je le sache ? C'est toi l'invocateur, pas moi. "

" Ca ne m'aide pas beaucoup. " Râle doucement le jeune homme, bien content de ce nouveau mystère à percer, finalement. Tenant son étrange parapluie d'une main, Nazik se gratte furieusement le crâne de l'autre. " Et… tu vas rester là pour toujours ? "

" Non, je repart dès que tu me renvois… ou dès que tu n'es plus capable de me garder avec toi. "

" Comment ça ? "

" Comme ça !!! Haha !!! "

Par surprise et sans crier garde, Karakasa s'agite ! Il remue et glisse déjà entre les doigts de Nazik ! Celui-ci tente de le retenir de ses deux mains mais trop tard, le parapluie s'enfuit déjà à bond furieux, se retourne à deux mètres puis fait onduler sa langue toute entière déployée.
Nazik sourit et se gratte la tempe, gêné mais bien amusé.

" Je pense pouvoir te rattraper… "

Karakasa continue de rire à gorge déployée en faisant onduler sa langue, profitant tant qu'il peut de sa victoire et, honnêtement, Nazik le trouve de plus en plus amusant. Soudain, le parapluie prend une forme de virgule au moment de regarder le sol de son oeil, complètement abattu par la triste réalité.

" De toute façon, il ne pleut plus alors je m'en vais… "

" Ah non ! " Proteste Nazik avec un volonté qui tétanise le parapluie.

" Hein ? "

" J'ai encore des questions à te poser, Karakasa ! "

" D'habitude, on m'invoque quand il pleut et une fois que la pluie s'arrête, on me renvoi…  "

Le parapluie est alors peiné, triste et ému… sans avoir eu l'air jusqu'ici d'un bon acteur… Nazik croit comprendre, s'apprête à parler mais Karakasa le prend furieusement de court.

" …je détèste la pluie !!! "

" Venant d'un parapluie vivant ! C'est… " Le jeune homme a envie de se moquer allègrement mais non, la tragédie de cette créature le foudroie sur place.

" Je suis un parapluie vivant mais pas que ! J'ai un coeur et des émotions mais ça, tout le monde s'en fout ! Plus que ça, je suis un horrible démon cruel et sans pitié ! Tout le monde me traite comme un objet mais je suis plus que ça, je suis… "

" J'ai compris. Tu es Karakasa. " Le coupe Nazik avec douceur. " Si je peux invoquer un parapluie, je ne m'en priverais pas lorsqu'il pleut… mais si tu m'aides ? Je t'invoquerais aussi quand il ne pleut pas, on se battra en duo même ! "

" Marché conclu ! Tope-là ! " Le parapluie fléchit son manche et bondit, se met de travers pour un coup de pied sauté qui claque sur la paume de l'invocateur. Fatalement, Karakasa tombe dans la boue mais se relève sans sourciller, visiblement content… qu'on prenne en compte ce qu'il veut ?
Il se relève, difficilement en gémissant de douleurs.

" Si tu veux vraiment que je vienne à toi, je viendrais. "

" C'est tout… ? Je ne savais même que tu existais la première fois que je t'ai invoqué. Comment j'ai pu vraiment vouloir que tu viennes à moi ? "

" Il pleuvait alors… j'imagine que tu voulais vraiment d'un parapluie… ? "

" …c'est absurde. "

" Je suis un démon ! Je réponds aux sombres passions destructrices des coeurs noircis par la haine des h... "

A chaque mot, le visage de Nazik s'effondre un peu plus dans le scepticisme et le mépris, ce qui pousse finalement Karakasa a arrêté son cirque.

" Prononce mon nom en pensant fort à moi et fait un truc stylé comme une petite danse ou une incantation dans une langue que personne comprend. C'est ce que font les invocateurs en général. Ce qui compte, c'est l'intention ! Si tu cherches sincèrement à m'appeller, j'entendrais l'appel et j'y répondrais. "

" Merci, Karakasa. " Pour être honnête, Nazik a énormément appris et éprouve une gratitude sincère à l'égard du parapluie. Quoique, il fronce les sourcils car la méthode lui parait… bien flou et obscur… mais de tels pouvoirs ne viennent pas avec une notice ou une méthode claire. Est-ce que cela peut s'appliquer aux sans-cœurs ? Ou à sa Keyblade ?
Jusqu'ici,

" De rien Nazik ! " Avec un grand sourire, le parapluie se dissipe comme de la brume que l'on aurait giflé.

Ca fait bizarre. Très bizarre. Le jeune homme n'en a jamais eu et il semble que ce soit le cas de Karakasa aussi mais… seraient-ils devenus amis ?
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Alors, je l'annonce d'avance : ce commentaire sera sûrement plus long que le précédent.

Ce commentaire s'est fait attendre, c'est pourquoi je vais essayer de t'apporter ce que je peux apporter. Et ici... Ça concernera surtout les fautes. J'espère que tu ne trouveras pas ça barbant que j'en parle, car une bonne partie du commentaire y sera consacrée. Je vais tout de même le faire car je pense que ça pourrait aider.

J'en ai repéré un certain nombre en comparaison du rp précédent que j'ai commenté, un peu plus gênantes car je me suis plus souvent arrêté à la lecture. Puisque j'en ai vu un certain nombre se répéter, je pense qu'il peut être utile que j'en parle. Ne t'inquiète pas, je ne vais pas me contenter de toutes les énumérer. Je vais juste prendre 2 ou 3 exemples parmi celles que j'ai noté plusieurs fois afin d'illustrer mon propos et ça suffira ;)

Tout d'abord, j'ai remarqué quelques confusions é/er/ez

Du coup, voici un petit truc qui peut notamment t'aider à choisir s'il faut utiliser le participe ou l'infinitif : lis la phrase à haute voix, si tu peux remplacer ton verbe par un verbe du 3ème groupe comme "prendre", "mordre" ou encore "vendre", alors il faudra utiliser un infinitif. Si tu peux remplacer par leur participe "pris", "mordu" ou "vendu", alors ça en sera un. Sinon, s'il s'agit d'un verbe à la deuxième personne du pluriel du présent, alors c'est ez.

Exemples :
"Le jeune homme doit y allez à deux mains" -> "Le jeune homme doit y aller à deux mains"
"Ce qui pousse Karakasa a arrêté son cirque" -> "Ce qui pousse Karakasa à arrêter son cirque"
"Après tout ce qui a été tenter, sa dernière option serait de danser nu sous la lune." -> "Après tout ce qui a été tenté, sa dernière option serait de danser nu sous la lune."

J'ai noté pas mal de confusions de temps entre le conditionnel présent et le futur à la première personne du singulier, notamment. La terminaison est "ais" lorsqu'il s'agit d'un conditionnel, "ai" lorsqu'il s'agit d'un futur. Le futur sert à parler d'une action qui aura lieu plus tard,  comme tu le sais sûrement. Le conditionnel sert à exprimer un fait incertain, qui dépend d'une condition : un souhait, une supposition etc. Il n'exprime pas une action future mais une action qui pourrait se produire.

Exemples :
"Je t'invoquerais aussi quand il ne pleut pas, on se battra en duo même !" : Nazik invoquera Karakasa lorsqu'il ne pleuvra pas. Tu utilises même le futur dans la deuxième proposition en conséquence. Il faut donc conjuguer le verbe invoquer au futur.
-> "Je t'invoquerai aussi quand il ne pleut pas, on se battra en duo même !"
"Si tu cherches sincèrement à m'appeller, j'entendrais l'appel et j'y répondrais" : Cas intéressant, il y a un si, Karakasa évoque une condition : si Nazik cherche à l'appeler... Que se passera-t-il ? Est-ce qu'il entendra peut-être l'appel ? Ou est-ce qu'il l'entendra toujours ? Ici, Karakasa est affirmatif, c'est un fait certain, donc on doit employer le futur.
-> "Si tu cherches sincèrement à m'appeler, j'entendrai l'appel et j'y répondrai"

Attention aux fautes d'accord, je vais prendre quelques exemples pour expliquer de façon plus digeste tout en illustrant le propos :

"Des sans coeur sont venu" : Lorsqu'il est employé avec l'auxiliaire être, le participe passé s'accorde en genre et en nombre avec le sujet. Ici, on a un pluriel. On obtient donc :
-> "Des sans-cœur sont venus"
"Son arme lui ait apparu" : Alors, ici, il y a trois fautes. La première, c'est que tu as employé l'auxiliaire avoir au subjonctif au lieu du participe. Ce serait plutôt "ai". La deuxième, c'est l'emploi de l'auxiliaire "avoir" : pour un verbe à la voix passive, on emploie toujours l'auxiliaire "être". La dernière, c'est la même que juste avant. Une arme est féminin, on obtient donc :
-> "Son arme lui est apparue
"La méthode lui parait bien... flou et obscur" : Ici, le problème tourne autour des adjectifs. Les adjectifs qualificatif s'accordent en genre et en nombre avec le nom ou le pronom auxquels ils correspondent. Ici, c'est la méthode, féminin et singulier donc on obtient :
-> "La méthode lui parait bien... floue et obscure."

Pour les fautes, c'est déjà bien. Je pense que je peux m'arrêter ici pour cette fois ! Alors, heureux ?

Je peux avoir semblé bien critique jusque là, mais ce n'est pas vraiment le cas, j'ai simplement tenté de t'apporter quelque chose, n'en sois donc pas démoralisé. Là, je vais parler du fond de cet exploit et, sur ce point, je n'ai pour le coup, rien à dire. La contrainte que tu te mets sur l'invocation de la Keyblade me plaît, d'autant plus que Nazik n'a eu aucun Maître et que nous n'avons, pour ainsi dire, aucune idée de comment et quand la cérémonie de transmission s'est produite.

Qui plus est, cet exploit porte sur un sujet que j'aime plutôt bien : donner plus de relief à l'obtention d'une compétence. Ici, il s'agit donc d'une invocation, plutôt anodine de surcroît et tu essaies de lui donner de la personnalité. On s'imagine bien la scène et le dialogue ainsi que la relation me semble convaincants. Comme je le disais, j'ai beaucoup apprécié la lecture pour toutes ces raisons, c'est chouette !

Très facile : 6 points d'expérience, 50 munnies, 1 PS en Symbiose pour cet échange.
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