crystaleye [WIP]

Identité

• Nom  : TEXTE


• Prénom : Will


• Titre  :  TEXTE


• Âge :  32


• Camp :  TEXTE


• Monde d'Origine : Colisée


• Race  : Humain


• Grade désiré : osef

Histoire

Certaines histoires commencent par "il était une fois". D'autres finissent par "et ils vécurent heureux". Ces termes ne concernent malheureusement pas cette histoire.

Autrefois, j’étais un sorcier. Je contrôlais le cristal. Certains d'entre vous pense sans doute que j’étais l'une de ces crapules qui vous accoste lors des fêtes foraines pour vous proposer de lire votre avenir dans une boule de cristal. Si vous êtes moins crédule que vous ne semblez l’être et que c'est ce que vous pensez vous aussi, sachez que vous avez tort. Vous êtes même loin de la réalité. Celle-ci est parfois plus fantasque que les récits. Laissez-moi vous conter l'histoire du cristaleye, mon histoire.

Mon histoire commença réellement lorsque je termina l’université. L’université était un lieu ou l'on pouvait apprendre l'art de la magie. Le sujet étant particulièrement vaste, les étudiants n'ont pas d'autre choix que d'y choisir une spécialisation. Ne sachant quelle spécialité choisir, j'ai lance une paire de dés, après avoir attribue un numéro a chaque spécialité. Le nombre qui sorti fut le douze, soit deux six. Je finis ensuite l’université après six longues années. J'y avais acquis des connaissances inestimable, en plus du contrôle du cristal. J'avais alors 24 ans. J’étais jeune et optimiste. Je me pensais plus malin que les autres. Je pensais avoir la vie devant moi. J'avais tort.

Rapidement, je compris que je voulais mettre mes pouvoirs au service du bien. Mais qu'est-ce qu'est le bien ? Est-ce que ma perception du bien est la même que la tienne ? Cette question est au cœur de nombreux sujets philosophique. Je sais aujourd'hui que seul ma perception du bien importe. Une autre question se posait: Comment mettre mes pouvoirs au service du bien ? A cette question, le choix le plus évident me sembla de rejoindre les forces de sécurité de ma ville. Je me rendis compte avec le temps qu'il y avait bien d'autre façon de faire le bien.

Lors de ma période de service, je suis parvenu a arrêter bien des criminels. Avec le temps, certaines de mes méthodes furent néanmoins remise en cause. Lors des arrestations, je n’hésitais pas a utiliser mes pouvoirs afin d’arrêter les malfrats. C’était terriblement efficace, le cristal étant partout autour de nous. Je n’hésitais donc pas a blesser les criminels. Mais vous ne pouvez être le juge et le bourreau, c'est trop de pouvoir pour une personne. Ce fut en tout cas ce que l'on me dit lorsqu'on me demanda d’être plus laxiste sur mes méthodes d'arrestation.

C'est alors que vint ce fameux jour. J'avais alors trente-et-un an. Une journée normal au premier abord. Je parvins, ce jour la, a arrêter Kot, un criminel particulièrement sadique. Il maîtrisait aussi la magie. Il pouvait contrôler des armes. Nous nous sommes affronte dans un duel éprouvant pendant plusieurs heures. Personne dans les environs n’était capable d'intervenir dans notre duel. Je parvins finalement a lui couper sa main gauche, grâce a une vitre en verre. Prive de l'une de ces mains, il ne pouvait plus utiliser la magie correctement. Je n'en sorti néanmoins pas indemne. J'y perdit mon œil gauche.

Je passa les jours suivants a me reposer et a me confectionner un œil en verre. J'y implémenta quelques sortilèges. Grace a eux, je pouvais voir normalement. Je m'apercu rapidement que la majorité des gens ne se rendaient pas compte de la différence avec un œil normal. J’étais rassuré, je n'aime pas attirer l'attention sur moi. Du moins, pas plus que nécessaire.

Je reçu alors un appel. Kot avait été libéré. Quel bonheur pour lui de me l'annoncer lui même au téléphone. On ne pouvait pas arrêter un monstre de son espèce si on l'amputait lors de la procédure. Logique. Mais je n'avais pas vraiment eu d'autre choix. Je ressentis alors une grande douleur en moi. La frustration ou la peur peut être. Non. Je compris trop tard, en voyant la lame sortir de mon ventre, devant mes yeux. Je m'effondra. Kot avait gagné. Je ne pouvais plus rien faire pour l’arrêter. J'allais mourir. En fait, je suis mort. Je n'ai rien pu faire. Pas d'action désespéré pour l'emporter avec moi, rien. Je m’étais fais avoir.

Questions diverses