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Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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[HJ : Nouvelle mission, située avant l'hiver dans la timeline, quelques temps après la première expédition décrite dans "Blizzard sous les tropiques" ]


Nous y revoilà. La terre des dragons. J'ai une revanche à prendre sur ce monde moisi. J'en suis repartie piteuse lors de ma dernière mission.  Sauf que cette fois, je me suis préparée. L'enfer vert, je suis prête à l'affronter. Contrairement à ma première venue, je sais à quoi m'attendre. Les bestioles, grosses et petites. Le terrain, impraticable, boueux ... J'ai pris le matériel qu'il faut : De la nourriture, des armes, des munitions et des bricoles indispensables à la survie ici. (Dont une espèce de grand poncho en toile ciré, capable de couvrir mes épaules et mes ailes en cas de pluie ...)

A la demande de Biscotte, l'atelier m'a même fabriqué une armure sur mesure. Une espèce de cuirasse en genre de résine, ouverte dans le dos pour les ailes et attachée par des sangles solides. Ça pèse un peu mais ne me gêne pas dans mes mouvements. C'est léger, maniable et je pense que ce serait même suffisamment solide pour dévier le dard d'une guêpe. Même si je ne me risquerai pas à tenter ma chance contre ces bestioles ... Dès que je vois un bout de jaune sur un insecte volant, je m'enfuis à tire d'ailes.

Je porte des vêtements en toile vert-feuille. C'est moche au possible mais ça me permet de moins attirer l’œil des oiseaux. Vu que je baroude depuis plusieurs jours, le vert  s'est transformé en marron-moche mais j'imagine que c'est pour un bien. Un lourd casque fait dans une coquille d'escargot vient compléter la panoplie, fixé au menton par une lanière et rembourré de l'intérieur pour qu'il soit confortable à porter. J'ai glissé à l'intérieur du casque ce que j'ai de plus précieux : Une photo. Deux en fait, collées l'une sur l'envers de l'autre. Sur le recto, Garance, dans notre salon toute sourire. Sur le verso, Arthur. Je les regarde le soir avant de me coucher. ca me donne du courage.

Ca fait donc plusieurs jours que je subis la totale. Pluie, boue, oiseaux ... Mais il y a deux grosses différences par rapport à ma dernière visite. Primo : Je connais le chemin et je me dirige droit vers l'objectif de ma mission.  Plus d'errances hasardeuses. Deuzio : Le temps humide m'empêche le plus souvent de voler, et le matériel lourd que j'utilise me ralentit. L'un dans l'autre, les deux se contrebalancent et font de mon séjour un moment aussi désagréable que la première fois.

Je m'extirpe de la jungle, écartant une fougère d'une main et m'immobilise à couvert d'une grande feuille. Le terrain s'ouvre enfin devant moi et je devine à l'horizon le toit des bâtiments que je cherche. De grands trucs pointus en tuiles brillantes, comme si elles avaient été vernies. Le domaine des Fa où je suis supposée rejoindre mon contact.

Sauf que ... devant moi s'étend une rizière immense. Des grandes marres herbeuses. Leur surface est en permanence agitée de soubresauts causés par la pluie. Ces marres sont séparés par des longs talus herbeux, des couloirs piégeux où n'importe quoi pourrait se tapir. Je pourrais prendre le temps de contourner cette rizière pour rejoindre la route du village, mais c'est à l'opposé de ma position actuelle. Je suis pressée, j'en ai marre de cette mission et je me sens nue sans pouvoir utiliser mes ailes.  Je décide de tenter la traversée de la rizière. Advienne que pourra.

Je zieute aux alentours, à l’affût de mouvements suspects. Au loin dans une des rizière, un buffle d'eau paisse paisiblement. Je ne prévois pas de passer à proximité de lui. Aucun danger. Je repère un couple de grues plus loin, pieds dans l'eau. Elles, elles risquent d'être plus problématiques ... Elles ne font qu'une bouchée des grenouilles. Alors d'une fée, on ose y penser ...

Je sors prudemment de sous la feuille qui me sert d'abris. Les gouttes de pluie commencent à me marteler. Je serre les dents. Chaque impact est comme un coup de poing qui fait tressauter mon casque ou vient me frapper sur une épaule, me faisant vaciller. Je commence à trottiner en me baissant, bougeant de touffe d'herbe en touffe d'herbe pour rester à couvert, hors de vue des guetteurs hérons. Je dérape parfois dans la boue, déstabilisée par les impacts de pluie.  Je finis plusieurs fois jetée au sol mais je me relève à chaque fois. Je termine ma course littéralement sur les fesses, en voulant freiner trop brutalement sur le bord d'une berge mouillée.

Je retiens mon souffle et inspecte les environs. Ma course n'a visiblement attiré l'oeil de personne. Tant mieux. Je lève le nez. Le gros nuage qui me survole semble sur le point de passer. J'attend un peu, dans l'espoir que la pluie va cesser. Ça me simplifierait tellement la vie ... Mais non, la pluie ne fait que diminuer. Le ciel reste uniformément gris. Impossible de voler. Pas de chance.

Bon ... Quand il faut y aller ... Je dois traverser une grande flaque avant de rejoindre le talus qui sépare deux rizières. Je lève mon arme à bout de bras au dessus de ma tête pour qu'il ne soit pas mouillé et plonge les pieds dans l'eau. Le putoizooka est quand même sacrément plus lourd que le lance épine, mais je m'étais promis de revenir avec une arme de plus gros calibre .. Je progresse lentement, a pas hésitants. Le sol sous mes pieds est pas stable du tout, j'ai de l'eau jusqu'à la taille. Le moindre faux pas me ferait chuter et j'ai aucune envie de mouiller ni mes vivres, ni mes ailes.

C'est alors que j'entends quelque chose remuer derrière moi. Un bruissement d'herbes. Le cœur me remonte à la gorge, je me retourne. Un monstrueux rongeur est là. Il m'observe. Son regard noir et luisant posé sur moi, ses moustaches frétillantes. Je ne lui laisse pas le temps de réagir, car aussitôt j'épaule mon putoizooka et presse quasi immédiatement la détente. Avec un "clac" sonore, le mécanisme s'amorce. L'ogive est catapultée par le ressort, droit vers le monstre. Il n'a que le temps de sursauter avant de se faire toucher par mon projectile. La sous munition oignon-poivre-jus de putois lui éclate en pleine poire.

Un grand moment de joie. Le putoizooka tenu d'une main, je me hâte de placer devant ma bouche mon masque respiratoire avec l'autre main. Autant se protéger avant de moi même être victime des gaz terrifiants. Un coup de vent malheureux aurait vite fait de faire moi une victime collatérale ...  L'effet de l'arme est dévastateur, je n'arrive pas à détourner mon regard de ce spectacle. Même sous son épais pelage luisant de crasse, je peux jurer voir mon adversaire verdir, alors que simultanément ses yeux rougissent et s'embuent de larmes. Sans parler de l'affreux coquard qui apparaît sur le coin du museau là où l'ogive a éclatée.

Ça en est trop pour lui, il couine, se tord de douleur, essaye de se griffer le visage et décampe de façon erratique. Je pioche dans mon gilet une nouvelle cartouche que je charge dans la culasse de l'arme. J'engage le mécanisme avec un claquement sonore. Je trouve le  geste et lui bruit qui l'accompagne étrangement satisfaisants. Je reste à contempler la débâcle de mon adversaire, pieds toujours dans l'eau mais un sourire de satisfaction aux lèvres.

Quand j'estime le nuage dissipé, j’écarte d'un geste négligeant le masque de ma bouche. Je sors une longue tige de sucre d'orge que je me cale au coin de la bouche, adoptant une pose triomphante comme j'en ai déjà vu sur des affiches humaines.

"-Le monde se divise en deux catégories: ceux qui avaient un putoizooka chargé, et ceux qui pleurent. Toi tu pleures ..."

Clairement je me la joue un peu ... me jugez pas. Les instants de gloire sont rares dans ce foutu pays ... Je ne regrette pas une seconde d'avoir pris mon Putoizooka. Ca pèse des grammes et des grammes, j'ai détesté le tringueballer à travers le pays, mais ça valait franchement le coups.
 
Un bruit d'ailes me sort de mes pensées et de nouveau je deviens vigilante. Je me hâte de traverser la flaque pour enfin arriver sur le début du talus. Plus loin, les deux hérons se sont envolés. Je plisse les yeux. Ont-ils été dérangés par les couinements du rat ? Visiblement ça les a fait fuir plutôt qu'approcher. Tant mieux.

Plus d'adversaires à l'horizon. Je suce mon sucre d'orge avec nervosité. Un peu de courage en barre, pour affronter ce qui va suivre. Je reste immobile dans les herbes un long moment. Je guette, je scrute, je tend l'oreille. Rien. Alors au bout d'un moment, je prend la décision qui s'impose. Je balance à l'eau le peu qui reste de ma tige de sucre et remet mon masque en place de façon préventive. Et je commence ma lente avancée sur le talus herbeux. Une progression le long d'un couloir de 30 centimètres de large, entre deux marres boueuses et menaçantes. Du couvert mais aucune visibilité ...  Aucun espace de manœuvre ni moyen évident de retraiter. La joie.

Une fois encore j'avance accroupie, mon putoizooka épaulé. Je suis prête à poivrer le nez du premier intrus qui viendrait me menacer. Un coups. Un seul coups au but doit suffire avec cette arme.  Il faut juste que je ne me rate pas ...

Je progresse à bon train mine de rien. Et je finis par croire que je vais m'en sortir sans faire de nouvelle mauvaise rencontre.  Mais soudain venant de ma gauche, une masse noire et écailleuse bondit vers moi. Je n'ai que le temps de me jeter au sol en avant, faire une roulade mal ajustée et finir les derniers centimètres à glisser sur les fesses.

COULEUVRE ! Je suis embusquée par une couleuvre ! Mon esquive erratique m'a jetée au sol. Avant que le serpent n'ait pu poursuivre son attaque,  je roule sur moi même, épaule mon putoizooka et presse la détente. L'ogive fuse, éclate au sol à quelques centimètres du reptile géant. Le coups est raté. C'est à peine s'il tressaille quand le nuage l'atteint. Sa langue bifide s'affole un court instant, il esquisse un mouvement de recul. Mais guère plus. Je vois son immense corps fuligineux se recroqueviller sur lui même. Ce n'est pas un abandon, bien au contraire ! Le voilà prêt à bondir une nouvelle fois.

Saperlipopette ! Il faut fuir ! J'ai un instant de panique, je regarde autour de moi. Je suis coincée entre deux marres sur une étroite bande de terre. Tant pis ... J'ai économisé ma magie jusque-là. Il est temps de l'utiliser ! Je déploie mon pouvoir et saute vers la marre au moment où le serpent se détend dans ma direction. Mes pieds touchent la surface gelée qui vient à peine de se former et je patine à toute vitesse dessus. J'entend derrière moi un boucan. Je n'ai aucune envie de me retourner ! Je fonce ventre à terre sans chercher à comprendre. Des serpents ! Ce pays est habité de serpents ! La dame en rouge veut ma mort !

Je n'ai qu'une vague conscience des événements qui suivent. Je fonce, je patine, j'escalade des talus, j'approche du jardin des Fa ... Une chose est sûre, le serpent ne sera pas parvenu à me rattraper.

C'est une Neige essoufflée et à quatre pattes qui parvient en fin de compte à se présenter devant Mushu, mon seul contact dans ce monde. Le dragon installé à prendre le thé sur une petite table de pierre, hausse un sourcil en me voyant arriver. Il rajuste les manches de son espèce de grande robe de chambre (pourquoi un dragon porte ça ??) et m'examine d'un regard critique.

"-Tu as sale mine cocotte. Tu sais que tu peux prendre le pousse pousse pour venir ici ? Ça épargnerait ta frimousse, t'as l'air d'avoir douillé. Sympa la coquille de mollusque sur la tête sinon , ça donne un style ..."

Misère, je jure que je vais faire dire à ce lézard tout ce qu'il sait ... mais pas tout de suite. Là j'en peux plus. Je m'affale à moitié sur la table, laissant une partie de mon barda tomber à même le sol. Il n'y a que mon putoizooka que je traite avec un peu plus de considérations et pose avec délicatesse. Ce serait dommage qu'un tir parte maintenant ...

"-Je suis là pour une mission capitale, que l'ambassadrice m'a adressée !"

"-HHmmm ... vas-y fais comme chez toi. Installes toi. Bonjour au fait." Je saisis parfaitement son ton ironique ...

Je me renfrogne un peu avant de lâcher du bout des lèvres. "-Bonjour ... monsieur Mushu. Merci""

"-Voila, tu vois, quand tu veux tu peux ! Allez cocotte, dis moi tout. Je vois bien que sans moi t'es perdue."

Je hoche. Je sors de l'intérieur de ma cuirasse une grosse enveloppe. Il s'agit d'une "mini enveloppe" achetée dans une boutique aux jardins radieux, supposée apparemment afficher le nom d'un convive sur une table pendant les dîners chics. Ça échappe un peu à ma compréhension mais elle fait pile poil la taille requise pour moi et son aspect noir satiné lui donne un air très officiel. Je me lève et pose l'enveloppe sur la table dans un geste qui se veut intimidant et plein d'assurance.Je le sais, je l'ai répété des heures devant mon miroir chez moi.

Intrigué faute d'être intimidé, Mushu prend l’enveloppe et regarde dedans avec curiosité.

"-J'ai besoin de savoir tout sur celui-là. Le consulat s’intéresse de prés à son cas."

Une fois encore, Mushu lève un sourcil.

"-Quoi, lui ? T'es sérieuse, cocotte ?"

"-Oui ! Il est recherché par le Consulat. Qu'est ce que tu sais de lui ?"

"-Whoah whoah, j'aime pas le ton que t'emploies là ... Qu'est ce qui te dis que je suis une balance ? C'est quasiment des cousins ceux que tu cherches. Parce que oui, ils sont toute une bande ... Et puis on dit "s'il te plait"."

"-Des cousins qui mangent des gens d'après ce qui se dit !"

Silence. Mushu  pose l'enveloppe ouverte sur la table en pierre entre nous deux. On voit qu'elle contient un dessin, d'une créature mi Lion mi taureau, surmontée du titre "Nian". Je soupire et sors alors de mon rôle de petite soldate du consulat. Je joins les mains.

"-S'il te plait, Mushu ? C'est hyper important !"

"-D'accord, d'accord ! de toutes façons, je l'aime pas ces types ... Mais qu'on soit bien d'accord, cocotte ..."

"-Neige ..."

"-Oui oui si tu veux. M'interompt pas. Qu'on soit bien d'accords : C'est pas mes oignons à moi. Je te donne un tuyau. ENCORE. Et toi tu le graves dans ta tête de Kami."

"-De fée ..."

"-Chut. Tu le graves dans ta tête et tu l'oublies pas. Comme ça p'têtre qu'un jour tu me renverras le pousse pousse, tu vois ? Ça marche pour toi ? Je te rencardes et à charge de revanche"

Je hausse les épaules. Je suis pas sûre les implications de tout ça mais c'est pas qui si je semblais avoir le choix.

"-D'accord ça me va. Je t'écoute."

"-Parfait !"

Il se frotte les pattes et se donne un air important.

"-Cet affreux là. C'est un Nian. Mais tu le sais, c'est écrit sur l'image"

Il regarde l'image en prenant un air pensif.

"-Il ont toujours été iconogéniques ces fripons là ... pas aussi beaux qu'un dragon mais c'est pas mal ...  Le seul "hic" cocotte, tu l'as dit, c'est qu'ils mangent des gens. C'est terriblement mal élevé et mal vu, tu vois ?  Mais comme ils ne sortent qu'une fois par an et qu'ils sont faciles à repousser, on se contente de faire du bruit et mettre du rouge partout. Des vraies flipettes ces bêbêtes haha."

Il ne m'apprend rien de très neuf jusque maintenant. Tout ça avait été mis dans le dossier par la dame en rouge. Mais au moins j'ai la certitude qu'il n'essaye pas de raconter n'importe quoi.

"-D'accord. Du bruit, des couleurs. Surtout du rouge. Mais si plutôt que l'éloigner, je voulais ... le trouver ? Remonter sa piste. Le traquer. L'éliminer peut-être ? Tu saurais m'aider ?"

Ma déclaration le fait s'esclaffer. Il lève les deux pattes.

"-Ah non cocotte. Désolé. Ça c'est pas ma guerre. Moi je protège les Fa. Et on vit pas du tout dans un coin menacé par les Nian. Je doute franchement que tu arrives à autre chose qu'à te faire croquer par un Nian. Mais si t'insistes ? D'accord d'accord, je te dirais tout. On va ressortir des cartes du vieux Fa et faire le topo ... Si tu veux y aller, t'as intérêt à méchamment te préparer et prévoir un sacré plan."


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Coucou toi, c’est l’Impératrice Céleste Éternelle Meng Tian. Est-ce que j’aime bien mon nouveau titre ? Oui, clairement.

Mais passons, je vais donc te noter.

Je vais tâcher d’être concis et efficace. Tout simplement car ici nous avons une mission qui a été décomposée en trois parties distinctes. Ce qui en soi est intéressant car on va pouvoir voir en un peu plus de détails ce que Neige fait.

Ma première remarque, c’est justement sur ce format.

Moi-même, j’aime bien dans certains cas décomposer mes missions… Cependant, je trouve qu’ici ce n’était pas forcément nécessaire. Pourquoi ? Parce que dans l’ordre de mission, Huayan te donne spécifiquement une région ( le DongBei) et au final tu vas…

Quelque part dans le sud de la Chine ( y a des rizières et du bambou). Ça fait quand même un sacré détour.

Alors, je saisis l’idée du rp mais la question est : est-ce que c’était vraiment nécessaire ?

Neige cherche de l’aide, j’entends bien. Sauf que Huayan lui propose spécifiquement de l’aide dans l’ordre de mission si besoin est et en plus la jeune fée semble être très amie avec Biscotte le Mog de l’Atelier du Jardin Radieux qui pourrait aussi l’aider ( et il le fait dans la suite en plus).

Ça me semble déjà pas mal comme aide pour une simple mission de recherche. Mais bon, pourquoi pas !

Ma seconde remarque, ou second questionnement, est sur la temporalité.

Je pense qu’en effet, parfois un rp se déroule à un temps spécifique qui nécessite qu’on précise la période où on agit. Typiquement ? Huayan pour la fameuse soirée du Nouvel An par exemple. Ou alors le sujet « Poésies » qui est dans une sorte de bulle temporelle particulière. Ou Naran qui fait ses aventures en Mongolie alors qu’elle était déjà en taule chez Tonton Death.

Et je ne l’ai pas fait dans la notation précédente que je t’ai faite, mais techniquement j’avais déjà réagi en RP en disant que tu n’avais pas fait ta mission au début de l’hiver à l’Empereur. Sauf qu’entre temps, tu postes en disant qu’en fait tu as bien fait un truc avec Neige -même si c’était un échec, donc au final ça change rien, mais si tu avais réussi, y aurait eu une incohérence temporelle en rp-. Donc c’est pas très grave, mais j’insiste sur le fait de faire attention à la temporalité, sinon on va vite se retrouver avec quarante chronologies différentes et chacun qui fait ses passages « espace-temps foufous zépartionattrapelaqueuedumickey ».

Prudence, donc.

Maintenant, le RP en soi.

C’est un avis que j’ai déjà donné : c’est mignon, ça se lit bien, c’est agréable. Et encore une fois, je mets en avant l’intérêt particulier du point de vue de Neige qui voit le monde d’une façon complètement différente d’un humain ou d’une créature de grande taille.

Il n’y pas de fautes d’orthographe ou de grammaire à outrance, ou du moins ça ne m’a pas traumatisé ou je ne les ai pas remarquées ! Parcontre, les Nian ne sont pas des cousins des Dragons. Les Dragons sont une race à part dans la cosmologie chinoise car ce sont des êtres divins, ils n’ont donc pas de « cousins ». Les Nian sont « juste » des créatures parfois maléfiques terrestres.

Sinon, les dialogues sont sympas, y a du répondant. C’est très « Disney », ce que moi personnellement je n’aime pas forcément, mais qui est le bienvenu sur le forum. Très sympathique donc au final !

Notation :

• Facile : Facile : 10 points d'expérience + 100 munnies + 1 PS en MAG et 1 PS en DEF.


Edit : Nouvelle notation :

Normal : 20 points d'expérience + 200 munnies + 2 PS en MAG et 1 PS en DEF.
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