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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Mise en garde :



-Bonjour Madame. Veuillez signaler tous vos bagages et objets irréguliers.

Je dépose ma valise sur le comptoir.

-Bonjour.
-Identité ?
-Nina Arad. Je travaille pour la Shin-ra.

Il lève les yeux vers moi et semble enfin porter l’intérêt qui me sied. Nous sommes de fait dans une station Shinra.

-Quelle est la raison de votre venue ici, madame ?
-Je suis envoyée directement par le Président pour une mission. La Consule Song est au courant de la venue d’un émissaire. Voici les papiers qui en attestent.

Je lui tends un papier tout droit venu des hautes instances de l’entreprise. Je ne sais pas si le Président l’a seulement touché mais ça semble avoir l’effet escompté. On fouille rapidement mes affaires — parmi lesquels quelques vêtements et dossiers — pour voir s’il n’y a pas d’arme puis je suis moi-même passée au crible.

-Rien à signaler. Bienvenue en Chine, madame.

L’officier de l’armée impériale me tend le laisser-passer officiel estampillé avec leur cachet. Je le range dans la poche intérieure de mon manteau et me mets en route.

Je reste justement dans la station Shin-ra. Je m’arrange avec l’un des officiers de la station pour qu’un pilote puisse me déposer sur le site même de l’exploitation minière ne connaissant pas la disposition des lieux sinon qu’elle se trouve près d’un lieu appelé Xi’an.

Après quelques temps assise dans un vaisseau, nous arrivons sur les lieux. Je suis immédiatement accueillie par plusieurs soldats impériaux que je salue indifféremment.

-Bonjour.
-Madame, vous vous trouvez actuellement à proximité d’un site sous scellé pour enquête. Vous ne pouvez pas rester ici.

Je leur tends le laisser-passer émis dans la station par l’armée impériale. Il le regarde un instant puis me le rend.

-Même avec cela, madame, vous pouvez circuler en Chine mais pas ici.

Je reste muette un instant et puis je le regarde dans les yeux, fixement.

-Excusez-moi soldat, dites-moi à qui appartient ce site.

Il me regarde quelques instants, incrédule, puis se tourne vers ses compagnons pour ensuite revenir à moi.

-C’est une exploitation minière appartenant à la Shin-ra.

Je lui tends donc l’ordre de mission et laisser-passer donné par mon employeur.

-Soldat, je suis envoyée directement par la Shinra. Monsieur le Président lui-même a souhaité que quelqu’un vienne dans les plus brefs délais enquêter sur ce très regrettable incident qui lui fait mauvaise presse. Etrangement, l’idée d’être mentionné dans ce genre de mauvaises nouvelles — et de surcroit médiatisées —ne l’enchante pas vraiment.
-Je comprends mais… j’ai des ordres.
-Madame Song, récemment promue à la tête de l’armée, a elle même invité la Shinra à envoyer un émissaire pour enquêter sur les faits… ce qui est —vous en conviendrez— bien normal étant donné que les mines appartient à Rufus Shinra.

Je marque une pause.

-Manifestement, votre chef a déjà enquêté sur les faits puisqu’elle semble avoir pris connaissance de l’identité de l’auteur des faits. Mon chef, quant à lui, espère pouvoir enquêter sur un site qui lui appartient et sur lequel, il a de ce fait, tous les droits. Sachez que je suis prête à tout pour que ses désirs soient entendus. Pensez-vous vraiment qu’il serait judicieux de lui refuser son droit le plus stricte et ainsi vous mettre en défaut vis à vis d’un des partenaires commercial de la Shinra ?

Encore un regard incrédule, puis une mine dépitée.

-Vous pouvez passer. Nous informerons les autorités de votre passage.
-A votre aise.

Je passe devant la garde et jette un rapide coup d’oeil à l’environnement. De toute part, j’aperçois de nombreuses collines mais la vue est assez dégagée sur la plaine. La mine se trouve à flanc de montagne. Quelques bâtiments très sommaires se trouvent de part et d’autres des creux dans la terre sans qu’on y ait mis les moyens. C’est quelque peu surprenant pour une entreprise ambitieuse et technocrate comme l’est la Shinra. Un peu à l’écart j’aperçois une multitude de tentes blanches. Je décide d’emblée de m’y rendre, car c’est certainement là que je rencontrerai le plus de témoins.

Je traverse le campement —lui aussi sommaire mais néanmoins bien organisé. Les tentes sont organisées sur quatre rangées. J’interpelle un soldat de la compagnie.

-Soldat, où pourrais-je parler aux soldats qui étaient en poste lors de l’attaque ?

Nul besoin de mentionner quelle attaque, quel jour, les événements sont encore tous frais dans les esprits. L’homme a l’air à moitié sombre, à moitié intéressé.

-Vous en trouverez quelques uns à l’infirmerie. La grosse tente tout au fond de cette rangée.

J’inspecte les lieux, tout en me dirigeant vers ladite infirmerie. En entrant le spectacle n’a rien de bien alarmant, quelques hommes sont allongés dans des lits, à priori dans un état acceptable. Il n’y a qu’un homme qui semble être dans un état plus critique : un large bandage recouvre tout son torse, son visage est crispé mais il semble dormir d’après son rythme cardiaque. Une infirmière est présente mais trop occupée pour me prêter attention. Je m’approche d’elle et l’informe de ma présence.

-Bonjour, la Shin-ra m’envoie. Pourrais-je parler aux blessés de l’attaque ?

Elle ne prend pas la peine de me regarder tandis qu’elle nettoie ses instruments.

-Tous les blessés sont là. Vous pouvez y aller.

Je m’approche d’un des lits et m’assieds à côté tout en saluant un blessé, à moitié allongé.

-Bonjour soldat. La compagnie m’envoie pour enquêter. Est-ce que je peux vous poser quelques questions ?
-Oui madame. Mais à vrai dire je ne suis certainement pas la personne la mieux informée. Vous devriez aller voir le responsable de la mine.
-Est-ce que le responsable était sur place lors des faits ?
-Non madame.
-Alors son témoignage ne m’intéresse pas.
-En revanche le sergent Caith pourra certainement mieux vous informer, il l’a sans doute mieux vu que nous.
-Qui est-ce ?

Il me pointe l’homme le plus mal en point.

-J’irai le voir après. Pouvez-vous me dire ce qui s’est passé, tout ce qui s’est passé : ce que vous avez vu, ce que vous avez entendu, ce que vous avez senti, n’importe quel détail.
-En fait…J’ai pas vu grand-chose.

Il grimace.

-Il faisait nuit, on avait les braseros allumés mais bon… Vous savez on n’a pas l’habitude des visites. Bien sûr il y a les mongols mais bon… Les attaques se sont calmées dernièrement. Donc, on était là, on discutait pendant notre tour de garde. Puis le brasero s’est embrasé. Ça m’a foutu les jetons… Mais bon, j’ai cru que c’était juste un dysfonctionnement. Enfin ça a pas duré longtemps parce que j’ai entendu les autres sursauter puis je les ai sentis moi aussi.
-Sentis quoi ?
-Des trucs qui m’ont attrapé les jambes. Au début j’ai cru que c’était des mains, puis j’ai essayé de m’en défaire et j’ai senti que c’étaient des racines, des herbes, elles bougeaient comme si elles avaient une vie.
-De la magie ?
-Je sais pas trop, je ne m’y connais pas. Puis ya des pierres qui ont volé dans le ciel. Je vous jure que c’est vrai, elles volaient puis elles ont frappé d’autres gars.
-Et vous, vous avez vu autre chose ?

Il se tient le cou, protégé par une minerve.`

-J’ai fini par perdre connaissance, les herbes se sont mises à m’étrangler. J’ai de la chance de m’en être tiré si bien.

Je hoche la tête et me dirige vers un autre homme. Celui-là doit avoir une commotion, sa tête est bandée. Je le salue de la même façon que l’autre soldat et l’interroge sans plus de formalité.

-Vous étiez avec lui ?

Je lui indique le soldat que je viens d’interroger.

-Non, moi j’étais plus proche de l’entrepôt.
-Qu’est-ce qui s’est passé ?
-J’ai entendu des cris, puis plusieurs coups de feu. J’ai su par après qu’un des gars avait pris une balle dans la tête, les autres ont volé dans les airs comme par magie. Dans le noir, on n’a pas vu grand-chose mais on était prêts à se défendre, on avait nos armes. Puis on a vu quelqu’un arriver, et c’était pas l’un des nôtres. C’était un homme, il avait la peau brune je crois, des habits noirs mais un foulard rouge, on aurait dit un voyou. Ca m’a frappé parce que c’est pas comme ça qu’on s’habille aussi, du coup j’ai compris que c’était lui le problème.
-Qu’est-ce qu’il a fait ?
-Il a dit comment il s’appelait. Il a dit « Je suis Freddy. Des Blood Fists ». Je sais même pas ce que c’est, mais ça m’a marqué ça aussi. Puis il y a eu le feu encore, du feu qui tourbillonnait dans tous les sens.
-Donc c’était ce voyou qui faisait de la magie ?
-Je peux pas vous dire mais on en a parlé avec les autres… et on a vu que lui. En tout cas c’était pas des Mongols, ça j’en suis sûr. Puis les pierres se sont mises à valser et je me rappelle plus de rien. J’étais pas là quand le chef s’est fait…

Il m’indique toujours le même homme. Je me lève et viens à sa rencontre. Il suffit que j’approche pour qu’il lève les yeux.

-On ne voit pas souvent un visage comme celui-ci par ici.
-Vous travaillez pour la Shinra depuis longtemps, Sergent ?
-Dix ans, c’est déjà pas mal. Mais je dois bien admettre que ce bout de bois a bien failli me tuer. Et mes chiens n’auraient rien pu y faire.

Il m’indique les trois molosses qui sont couchés au pied se son lit.

-Vous confirmez les dires de vos collègues ? Les flammes et les pierres qui volent ?
-Ouais.
-C’est un peu surprenant… Non ? Vous connaissez Illusiopolis ? Les Blood Fists ça vous parle ?
-J’ai déjà été affecté à Illusiopolis, mais c’était il y a quelques années, c’est trop ancien pour ce gang je suppose. En revanche j’en ai entendu parler quand je revenais au Vaisseau Mère. Rien de particulier à priori.
-Et ça vous semble logique qu’un gang d’Illusiopolis frappe une exploitation minière en Terre des Dragons ?
-Le minerai rouge a une certaine valeur marchande puis peut-être qu’ils se rebellent contre la Shinra, donc ce n’est pas très surprenant. En revanche j’ignorais qu’il y avait des mages parmi eux.
-Vous pensez qu’ils étaient plusieurs ?
-Eh bien soit… Ce Freddy était très fort, soit ils étaient plusieurs, mais j’imagine qu’il avait le pouvoir de le faire seul, avec sa magie… Toujours est-il qu’il a pu emporter trois caisses de minerais sans que le campement ait le temps de mettre la main dessus ou de voir un vaisseau approcher. Et on a vu que lui.

Il grince des dents.

-Est-ce ce Freddy qui vous a fait ça?
-Bah je l’ai menacé. Il m’a provoqué, comme s’il avait pas peur de moi. Il a projeté mes chiens d’un mouvement de bras dans le feu, sans les toucher. Moi je me suis approché pour le frapper. Il m’a évité sans que je puisse rien faire, et puis j’ai senti le truc venir de nulle part, un gros morceau de bois en plein dans les côtes et je peux vous dire que là aussi c’était de la magie, c’est pas lui qui le tenait. Alors si je mets la main sur cet enfoiré…
-Merci Sergent, ce sera tout pour moi.

Je me retire de l’infirmerie puis je me rends sur les lieux  du crime.  Sur place, je le constate, c’est comme s’il y avait eu une bataille. A de nombreux endroits, je vois des traces de brûlures, d’explosions, des traces de sang. Je constate aussi la végétation arrachée en lambeaux, certainement les herbes qui maintenaient les hommes.

Je pense avoir fait le tour de la question. Je me dirige vers les soldats de l’armée impériale, les informe de mon départ. Puis je monte dans le vaisseau qui m’attend, où j’ouvre les dossiers très édifiants qui m’accompagnent, fais des parallèles entre les dossiers qui s’y trouvent, les rapports de mission et cette affaire.

-Nous retournons à la station Shin-ra, madame ?
-Non. Emmenez moi au Vaisseau Mère ?
-Au Vaisseau Mère, madame ? Ce n’était pas prévu.
-Je dois informer le Président…

Je marque une pause.

-…d’un certain nombre de choses qui ne peuvent attendre.

Il me fixe, inquiet. Ne préférant pas prendre le risque de recevoir un blâme plus tard, il obéit.

Arrivée sur place, je me rends immédiatement vers l’ascenseur qui mène à l’étage de la Direction. Je vois les étages passer tout en réfléchissant à cette affaire. Je tiens dans mes mains le rapport que j’ai rédigé pendant le voyage faisant part de ce que j’ai pu entendre, les faits, mais aussi des zones sombres de cette affaire et des parallèles qu’on peut faire avec les dossiers.

Arrivé au bon étage, j’ignore l’hôtesse qui me court après aussi vite qu’elle le peut en talons aiguilles. Je marche rapidement et arrive devant le bureau de Scarlett. Je vois à travers sa porte vitrée qu’elle est seule. Quel dommage. J’entre et dépose le papier sur son bureau. Surprise, elle lève les yeux et me regarde déconcertée.

-Je… Je ne vous attendais pas ici ou plutôt maintenant, Mademoiselle Arad.
-Excusez-moi, je voulais vous part directement de mes réserves sans qu’elles passent par des mains incertaines. Et au plus vite. Je me suis dit que c’était important.

Je sens qu’elle voudrait pouvoir me le reprocher mais en lisant le papier, elle s’y résout. Pendant ce temps-là, je regarde distraitement vers la porte, au cas où je verrais passer une grande silhouette présidentielle.

-Très bien, faites ce que vous avez à faire dans ce cas. Nul doute que le Président appréciera ces approfondissements. Vous pouvez y aller. Et… Mademoiselle Arad ?
-Oui ?
-Veuillez prévenir de votre arrivée à l’avenir, je supporte assez mal l’insubordination. Et que vous le vouliez ou non, je suis au dessus de vous.



C’est ce qu’on verra.

A nouveau je prends congé, prenant bien le temps de trainer sur place avant de quitter les lieux, espérant voir ou être vue. Je suis vue oui, mais par cette fameuse hôtesse qui me dévisage avec mépris. Apparemment, je ne me suis pas fait que des amies à cet étage.
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Donc !

C'est une bonne mission, agréable à lire, pas lourdingue en narration. Il y en a peu ici, est-ce que c'est un mal ? Non, pas ici. Parce que ce qui nous intéresse c'est les dialogues, intéressants. Le cheminement est bon, est dans les règles. Tu as pris le temps de te renseigner sur le fameux blocage de frontières of doom hein, c'est bien !

Deux petits trucs ici, le premier :

"(...) bien normal étant donné que les mines appartient à Rufus Shinra."

Ici on parle des mines, au pluriel. Le verbe appartenir ici s'accorde en nombre avec le sujet, ici les mines. La terminaison de la troisième personne du pluriel au présent de l'indicatif ici c'est "-ent". Ça aurait donc donné :

"(...) bien normal étant donné que les mines appartiennent à Rufus Shinra. "

J'ai mis en rouge, comme Scarlett Smile


Deuxième chose : le BBcode

Alors peut-être que c'est voulu, mais au début de ton texte, tes paroles sont en gris, ta narration en noir. Et arrivé en milieu de texte, la narration ET le parlé sont en gris. Je sais pas si tu le sais, mais du coup le BBcode fonctionne avec les crochets. Je prends un exemple

[ b ] Ici un exemple, mais faut virer les espaces pour que ça fonctionne [ /b ]
On voit donc que le premier "b" qui correspond au gras est mise entre crochets, ouverts puis fermés. A la fin de la phrase, la même balise, sauf qu'il y a un slash ( / ) juste avant le "b" pour marquer la différence avec la première balise qui n'en a pas. Celle-ci ferme le code, en quelque sorte. Je suis pas un pro, mais j'essaie d'expliquer de façon claire et précise ^^

Pour la couleur c'est pareil. Si tu ouvres un truc de bbcode, il faut que tu penses toujours à le fermer juste après. Vois la première balise comme un interrupteur "on", et la dernière avec le slash ( / ) comme un "off". Si tu la fermes pas, elle restera active jusqu'à la fin de ton texte, malheureusement ^^

Mais bon, je ne suis pas un monstre ! Il n'y a pas que du négatif dans ce texte.

Comme j'ai dit, le cheminement est bon. Tu arrives, tu passes la douane normalement. C'est très bien.

L'interrogatoire s'il en est est bien mené. Tu vas droit au but comme on en attendrait de ton perso. Tu t'attardes pas sur de la fausse pitié de ce qui leur est arrivé, non. Question, réponse. Suivant. Et, là où le lecteur moyen se dirait que ton perso est une connasse, bah quand tu connais sa condition en fait c'est tout à fait normal. Et bien présenté de surcroit.

Et la fin...

J'me rappelle d'une remarque que j'avais faite une fois. C'était à ce regretté Killian Jones, qui m'avait utilisé Scarlett dans un de ses RP pour en faire une grosse gourdasse. Evidemment, ça m'amusait pas des masses qu'on chie sur mon PNJ, et donc j'avais dit que si c'était pour en faire de la merde, les gens pouvaient s'abstenir de l'utiliser lorsque ce n'était pas nécessaire.
Bon bah là c'est l'inverse. C'est bien, ET intéressant. J'avais omis d'en parler dans Jimmy Choo mais...

Tu apportes un côté de Scarlett que, normalement, je ne peux pas voir moi, de mon côté du RP. Ou alors très rarement dans un contexte précis. C'est pas forcément un trait de caractère que j'y avais donné à la base. Maiiiis, ça dénature pas ce que j'ai fait. Mieux, ça peut le justifier. Et c'est plutôt cool en fait !

Bref, bon RP. Continue comme ça !

Facile : 13 xp, 130 munnies, 2+1 PS. Tous en magie.
J'lance un dé. .. ...

Tu gagnes,
une magnifique...
Broche en forme de dragon moche en toc !
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