Dans quelle merde je me suis foutue moi encore.
« Mais vient Francis, tu vas voir, la chasse aux bisons c’est trop cool ! », mon cul oui !
On tourne en rond dans la pampa depuis plusieurs en suivant ces putains de bestiots on arrive pas à trouver des ouvertures pour en buter un ou deux ! En plus, je commence à avoir la dalle avec toutes ces conneries !
On a presque plus de réserves de bouffe donc : soit on bute un animal et on ripaille dessus, soit on rentre et en vitesse à Chengdu où y a le divin garde-manger de Xupeng avec de la nourriture H24 dedans.
Putain, j’ai faim maintenant.
« José ! Si on bute pas un bison dans l’heure, on se taille en vitesse. J’en ai marre de traîner des pieds comme un vieux connard de touriste !
- Fait pas chier Francis, on a l’temps encore !
- IL EST OÙ LE GIBIER BORDEL ?! OÙ QU'IL EST ?! »
José me pointe une direction et y a effectivement un troupeau de bisons en pleine migration.
« Ouais et alors ?! On les bute comment petit génie ?!
- On attend qu’ils s’arrêtent et on attaque la nuit pendant qu’ils dorment…
- Non mais non ! J’attends pas la nuit pour bouffer ! J’AI FAIM ! »
J’aurais mieux fait d’écouter Huayan comme d’habitude, elle m’avait dit que ça sentait le plan foireux ce safari à la con. J’n ai fait qu’à ma tête et au lieu de rester avec la plus belle meuf de la Terre des Dragons, bah je me retrouve à ramper dans de la poussière et de la terre avec José le Moustachu.
Paye ton week-end de merde, wesh.
On est sur une sorte de petit surplomb. Les chevaux en arrière, prêts à repartir. Les bêtes nous mènent en bateau depuis le début, j’en suis sûr. Si je tire sur l’une d’elle, déjà de un ça suffira pas à la tuer et de deux on va se prendre une charge de bisons énervés en pleine gueule.
Et j’ai pas envie de me faire encorner moi.
« Bon aller José, on arrête les conneries : c’est foutu, c’est foutu. On rentre au bercail et on verra pour la prochaine chasse, on est pas prêts pour ces bêtes-là ! On sait pas comment les chasser, le plus que t’ait traqué toi, c’est une truite sur la jetée de la Costa del Sol !
- Tu parles de ma femme là ?
- Bah ouais, c’est une belle bête n’empêche !
- Tu fais chier, connard… Vas-y on rentre !
- Ah voilà, j’aime quand t’es raisonnable !
- Ta gueule Francis ! C’était ton idée à la base, merde !
- Ah ouais peut-être... Et depuis quand toutes mes idées sont bonnes ? Mon génie n’est pas tout le temps présent, hein… »
Et sur ces bonnes paroles, on se taille de ce monde de merde et moi je vais vite retourner à Chengdu pour me faire une orgie de bouffe dans les réserves de Xupeng ! Ha ! Ha ! Ha ! En plus, je sais qu’il attendait une livraison de viandes séchées de grande qualité… Ça va être pour moi !
« Mais vient Francis, tu vas voir, la chasse aux bisons c’est trop cool ! », mon cul oui !
On tourne en rond dans la pampa depuis plusieurs en suivant ces putains de bestiots on arrive pas à trouver des ouvertures pour en buter un ou deux ! En plus, je commence à avoir la dalle avec toutes ces conneries !
On a presque plus de réserves de bouffe donc : soit on bute un animal et on ripaille dessus, soit on rentre et en vitesse à Chengdu où y a le divin garde-manger de Xupeng avec de la nourriture H24 dedans.
Putain, j’ai faim maintenant.
« José ! Si on bute pas un bison dans l’heure, on se taille en vitesse. J’en ai marre de traîner des pieds comme un vieux connard de touriste !
- Fait pas chier Francis, on a l’temps encore !
- IL EST OÙ LE GIBIER BORDEL ?! OÙ QU'IL EST ?! »
José me pointe une direction et y a effectivement un troupeau de bisons en pleine migration.
« Ouais et alors ?! On les bute comment petit génie ?!
- On attend qu’ils s’arrêtent et on attaque la nuit pendant qu’ils dorment…
- Non mais non ! J’attends pas la nuit pour bouffer ! J’AI FAIM ! »
J’aurais mieux fait d’écouter Huayan comme d’habitude, elle m’avait dit que ça sentait le plan foireux ce safari à la con. J’n ai fait qu’à ma tête et au lieu de rester avec la plus belle meuf de la Terre des Dragons, bah je me retrouve à ramper dans de la poussière et de la terre avec José le Moustachu.
Paye ton week-end de merde, wesh.
On est sur une sorte de petit surplomb. Les chevaux en arrière, prêts à repartir. Les bêtes nous mènent en bateau depuis le début, j’en suis sûr. Si je tire sur l’une d’elle, déjà de un ça suffira pas à la tuer et de deux on va se prendre une charge de bisons énervés en pleine gueule.
Et j’ai pas envie de me faire encorner moi.
« Bon aller José, on arrête les conneries : c’est foutu, c’est foutu. On rentre au bercail et on verra pour la prochaine chasse, on est pas prêts pour ces bêtes-là ! On sait pas comment les chasser, le plus que t’ait traqué toi, c’est une truite sur la jetée de la Costa del Sol !
- Tu parles de ma femme là ?
- Bah ouais, c’est une belle bête n’empêche !
- Tu fais chier, connard… Vas-y on rentre !
- Ah voilà, j’aime quand t’es raisonnable !
- Ta gueule Francis ! C’était ton idée à la base, merde !
- Ah ouais peut-être... Et depuis quand toutes mes idées sont bonnes ? Mon génie n’est pas tout le temps présent, hein… »
Et sur ces bonnes paroles, on se taille de ce monde de merde et moi je vais vite retourner à Chengdu pour me faire une orgie de bouffe dans les réserves de Xupeng ! Ha ! Ha ! Ha ! En plus, je sais qu’il attendait une livraison de viandes séchées de grande qualité… Ça va être pour moi !