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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Distraite, enchaînant les pas sous une mélodie monotone et continue d’une journée sur son déclin, Irelia arpentait cet endroit encore en réserve de superbe. Arborant le gilet à la couleur du Consulat, la rêveuse cachait l’une de ses dernières surprises au creux de sa main et au fond de l’une de ses poches.

Chanceuse, selon le point de vue, elle avait la joie d’un coup de tête quand on lui assurait que son gain était toujours valide aux yeux de la Shin’ra. Un ticket reçut d’un sceau dont elle ignorait trop, résultat d’une farce peu appréciée. Elle apparentait ce sort à une aubaine. C’est la révélation qu’elle acceptait en découvrant les rues de la Costa Del Sol.

Aujourd’hui, elle s’imaginait semblable à l’une des héroïnes des séries de son monde.

Partout où le regard vairon se posait, il n’y avait que superbe. La poussant à s’imaginer dans un endroit vierge de saleté, appelé à rester éclatant à toute heure de la journée comme de nuit. Cela étant sans compter le chemin éclairer que la station semblait lui offrir.

Des lampions, lui rappelant les décorations de nouvelle année de son monde, ornaient coins et recoins que sa vision lui concédait. Il y en avait une dizaine, ordonnée, longeait l’écorce d’une branche. Un plus imposant, offrant sa flamme à la gouttière d’un magasin encore ouvert. Irelia s’étonnait à sa suite, deux enfants déambulant et courant au milieu des rues, des bâtons enflammés et crépitant au bout de leurs doigts.

Il semblait que chaque instant était une fête.

À en oublier les rares gardes postés à quelques entrées, lui rappelant les sorteurs de grandes enseignes quand elle se limitait à observer les vitrines.

Un regret, à cette découverte, passait à son visage.

S’inquiétant de ses économies, la rêveuse quittait la monotonie de sa marche et s’arrêtait au-devant d’une enseigne. Un nom synonyme de créateur, une déduction simple en vue du nombre restreint d’articles en vitrine ainsi qu’à un prix absent de sa curiosité.

Capricieuse, il y avait pourtant cet accessoire qui lui semblait dorénavant indispensable.

Râlant, pestant, s’énervant seules.

D’une œillade sur la droite, s’ensuivait l’autre direction, elle réfléchissait quelques instants encore avant de se décider de rentrer et ruiner ce qu’elle n’avait jamais réussi à accumuler.


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Il y a des endroits plus désagréables que d'autres pour profiter de ses jours de repos, même pour quelqu'un comme moi il n'est pas compliqué de distinguer une chambre sommaire où il n'y a rien à faire et personne à malmener face à une ruche  comme cette station balnéaire où l'on rencontre à peu près tout ce qui se fait de mieux et de pire dans l'humain. J'ai ainsi pu enfin finir par me servir de ce bon pour un séjour gratuit avant qu'il expire. Quand mes collègues ont entendu que je m'y rendais, nombreux étaient ceux qui m'ont enviée.

J'ai déjà déposé à l'hôtel mes bagages, ai enfilé un deux-pièces rouge sur lequel j'ai enfilé une tunique de plage diaphane dont l'échancrure avant laisse entrevoir la pièce maîtresse de toute vacance qui se respecte, le camouflage parfait. Une tenue qui serait fortement réprouvée dans n'importe quel autre monde mais qui est toute à fait commune ici.

Je quitte enfin l'hôtel alors que l'après-midi est déjà bien entamée et que le heures dorées commencent. En chemin de la plage je croise de nombreuses affiches annonçant une soirée de lampions, une nocturne sans doute. Cela veut dire qu'il y aura beaucoup de monde ce soir dehors. Une perspective réjouissante.

Je me promène dans un premier temps sur la promenade  non loin de la plage, un lieu que j'avais déjà dû arpenter un jour pour faire de la publicité à la Shin-ra. Je regarde les contenus des boutiques, m'imagine dans une certaine tenue à travers la glace. A bien y réfléchir, tout m'irait sans exception mais c'est en m'imaginant dans certaines circonstances bien particulières, en réfléchissant à ce qui pourrait plaire à « ce genre de personnes » que je me projette le mieux.

Je m'arrête devant une boutique en particulier pour observer un sautoir puis je remarque une certaine agitation intérieure, juste à côté de moi.

Une jeune femme semble attendre là, ou hésiter, je ne sais pas vraiment. Toujours est-il qu'elle semble contrariée à la vue de cette vitrine. Je tente une approche diplomatique pour ne pas la froisser.

-Votre copain n'a pas voulu vous offrir ce sac,c'est ça ?

Après tout, tout le monde ne peut pas... Quoi ?!  Mille cinq cents munnies ?
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Arquant l’un de ses sourcils à la remarque, l’œil bleu de la Danseuse invitait un mouvement de tête à associer un visage avec cette voix. Elle était stupéfaite, rendue aphone à ce que la station l’amenait à découvrir.

Oubliant la remarque, elle entamait une course entre ce qu’elle avait à y découvrir et ce qu’elle pouvait comparer

La tenue, que celle-ci soit vestimentaire ou encore physique. Le regard dans lequel la rêveuse attendrait de s’y perdre et abandonner d’en réchapper. Les formes dont-elle avait tout à envier. Une comparaison puérile, une découverte d’autant plus idiote à la mention qu’elle venait de faire à l’encontre de son Poète.

- Le vôtre n’avait pas les moyens de compléter votre tenue ?
Probablement qu’Irelia n’avait pas maîtrisé le timbre de sa voix comme elle l’aurait aimé. Sec, en réponse à ce qu’elle avait entendu. Néanmoins, elle affichait grimace à son reflet dans la glace.

Une façon, loin des subtilités, pour masquer sa remarque sous un trait d’esprit.

- Où est-ce que vous avez trouvé votre maillot ? Il serait probablement plus abordable que ce sac.
Opérant une vrille sur elle-même, elle s’affranchissait plus longtemps de la vue qu’offrait cette femme. À la différence de Pamela, dont elle n’avait pas eu l’audace à fréquenter, celle-ci avait l’air moins enviable.

Cela, même si la Danseuse jalousait la moindre parcelle que son regard reflétait.

Sachant cela, une moue involontaire se dessinait aux traits de l’adolescente. Incontrôlable. Elle venait à dessiner tant de question à son esprit qu’aucune ne trouvait de réponse satisfaisante, il n’y avait personne afin d’y répondre. Au travers de cet amas d’interrogation, il y en avait bien une qui transperçait son esprit et se répétait en boucle

Semblable à une musique de radio, assommante et envoutante en même temps.


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Ah. La petite garce répond avec une insolence inquiétante pour l'âge qu'elle doit avoir. Je la laisse m'observer plusieurs instants, sans la moindre discrétion. Elle peut chercher des défauts si ça lui plaît mais ce n'est pas dans ses yeux que je cherche à créer le désir.

-Excusez-moi. Je ne savais pas que la tenue de nonne était de rigueur ici.

Je lui dis cela en visant du regard le gilet qu'elle arbore fièrement comme un étendard, petite personne arrogante qu'elle est.

-Le fait est que ceci se suffit à soi-même et que je n'ai pas besoin d'un vêtement à 500 munnies pour le rendre plus attrayant.

J'indique de ce fait toute ma personne et l'intégralité de mon physique. Dans d'autres circonstances je me serais montrée plus réservée et moins directe mais puisqu'elle m'a agressée, je ne vois pas de raison de m'arrêter là.

Elle semble se dandiner continuellement, ce qui a déjà le don de m'exaspérer. Sans doute est-ce étrange de s'en prendre à une adolescente, quand bien même elle a lancé les hostilités.  Mais à bien y réfléchir s'il y a bien une partie de la population à laquelle je n'ai jamais su trouver d'utilité, c'est bien aux adolescents.

Je décide d'entrer dans la boutique malgré tout, curieuse de savoir si la petite pimbêche va m'y suivre et prolonger cette entrevue qui s'annonce houleuse.
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Mesquine, singulièrement heureuse d’avoir insinué un tel désintérêt, c’était l’expression qu’elle invitait volontairement à prendre à son visage. À en croire la réponse, il était facile à s’imaginer que la susceptibilité était une affaire de mode.

Ainsi que sa fuite, une autre nécessité à humilier la rêveuse qui ne s’attardait qu’à l’idée de s’offrir un sac.

- Si tu penses que c’est fini…
Murmurant les quelques paroles à elle-même, elle se donnait le droit d’entrée dans la boutique à son tour. Offrant l’insouciance à sa pose, elle daignait un bref regard à son attention avant de s’attarder sur l’une des pièces hors de prix du magasin.

- Mesdames, vous êtes ensemble ?
- Oh, non. J’ignore tout de cette personne.

Ponctuant d’un sourire amusé, la rêveuse s’accaparait à une tenue chiffrant la somme que la grande énonçait. Une robe, un dos échancré et ne semblant finir qu’à la limite des reins. Irelia s’y arrêtait un instant, l’imaginant à ses épaules en craignait une question de volume. D’un hochement de tête entendu, elle rangeait cette élégance de gala et continuait à tourner dans la boutique.

D’un œil distrait, la rêveuse accordait un instant à la rencontre impromptue de cette journée.

Affichant son sourire moqueur, elle assurait le degré de ses ambitions à une nouvelle tenue. À l’unique différence de la première, la vue qu’offrait le décolleté en devenait absurde. Au fond d’elle, l’adolescente venait à se poser la question à savoir s’il existait réellement des femmes pour porter ce genre d’excentricité.

Dans le doute que celle-ci soit de leur propre initiative.

- Pardon de vous déranger, une fois encore.
Elle venait de franchir la distance les séparant, argumentant cette provocation une fois encore dans l’unique but de continuer ce petit jeu.

- Elle vaut un peu plus de cinq cents munnies, mais elle devrait convenir à une personne telle que vous. N’hésitez pas à demander à votre copain de la payer, il serait ravi de vous découvrir avec.


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Il ne faut pas plus de quelques secondes pour que j'entende ses pas me suivre dans la boutique. Sa réponse à la vendeuse destinée à me provoquer a bien l'effet escompté puisque j'entre totalement dans le jeu. M'abaissant au même niveau que la jeune femme, je répète ce qu'elle dit en marmonnant.

-Non non non, je ne connais rien de cette petite personne.

J'entends ensuite ses pas se rapprocher de moi tandis que j'essaie des lunettes de soleil fumées. Je me retourne vers elle l'air indifférent. Elle me présente une robe avec un décolleté vertigineux.. Sans doute pense-t-elle que je me sens dégradée par cette proposition. C'est totalement ignorer l'adversaire qu'elle vient de se faire.

J'attrape la robe et après avoir reçu les compliments de la vendeuse, j’entreprends de l'enfiler, ôtant ma tunique et le bandeau que je portais au dessus. Avec assurance, je sors ensuite de la cabine d'essayage et sans chercher le regard de la jeune femme au nom inconnu, j'admire mon portrait dans la glace.

Le décolleté est effectivement vertigineux dans le sens où il dévoile une partie de l'abdomen. Pour autant son étroitesse laisse apparaître juste ce qu'il faut de la rondeur des seins dans une ombre délicate. Bien entendu il ne faudrait pas s'amuser à faire des pirouettes et une tenue pareille laisse peu de place au doute.

Je souligne mes courbes avec mes mains et secoue la tête pour faire virevolter mes cheveux sombres autour de ma silhouette.

-Si cela vous fait plaisir de me l'offrir, je vous en prie.

Elle lança respectivement des regards à la vendeuse puis à l'adolescente qui la narguait depuis toute à l'heure avec des questions financières alors qu'elle ne semblait pas elle-même capable de s'acheter des chaussures décentes.

-Cela ne me dérange pas d'accepter les beaux cadeaux.
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Irelia retint difficilement un rire nerveux, la vendeuse devant malgré elle, spectateur de cette mascarade.

- Vous demandez à une adolescente de payer vos vêtements, ce n’est pas…
- C’est bon, ça suffit.

Surprise, la Danseuse oscillait son regard de quelques degrés et découvrait l’agacement qu’elle ne cachait plus. Ne disant un mot, elle levait la tête et appelait l’homme à l’entrée du magasin afin qu’il se rejoigne les festivités.

- Madame, mademoiselle, j’exige à ce que vous quittiez le magasin. Nous n’avons pas de temps à perdre avec vos discussions puériles. Madame ? Enlevée cette robe.
- Veuillez me suivre.

Le gorille, faisant preuve d’une délicatesse surprenante, déposait sa main à l’épaule de la rêveuse et la poussait à suivre le chemin de la sortie.

De l’autre côté de la vitrine, elle ne trouvait rien d’autre qu’une voix pour se plaindre. Celle-ci bien rapidement éteinte au moment où le garde lui adressait un seul et unique regard à son attention, parvenant sans mal à tempérer ses ardeurs.

Nonchalante, elle perdait une main et puis la seconde au fond des poches de son gilet. Accompagnant de quelques enjambées le chemin pour finalement trouver place et s’enfoncer à même l’un des sièges de la station. Cherchant à oublier, elle prenait son téléphone en main ainsi que sa paire d’écouteurs dans l’unique but de s’enfouir.

Il n’y avait plus de sourire ou de moquerie, rien qu’un regard vide fixant le remous des plages au loin.


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La vendeuse finit par s’impatienter devant notre jeu puéril. Nous sommes rapidement reconduites à l’extérieur par un gardien.  On me laisse malgré tout le temps de me rhabiller décemment. Je ne peux pas vraiment dire que cela me surprenne : je me suis laissée entraîner dans un jeu risible par une gamine arrogante qui avait dû prendre un peu trop au sérieux ma remarque sur son compagnon. Tout ça parce que je n’avais rien de mieux à faire. C’était à prévoir.

Je me libère de l’emprise de l’homme et regarde le magasin avec mépris. J’aperçois au loin la jeune fille qui semble avoir pris la fuite, râlant vraisemblablement  dans son coin, abatttue. Je ne la comprends pas vraiment. Pourquoi montrer autant d’agressivité et de confiance en elle pour au final se replier au moindre échec ? Est-ce la désapprobation qui lui a tant coûté, le fait d’être traitée comme une malpropre. J’ai longtemps été habituée à ce genre de traitement, rabaissée au niveau d’un bout de viande, et je ne m’en vexe pas. Evidemment l’opinion du commun des mortels n’a pas réellement d’impact sur moi, à quelques exceptions près.


Mais après tout, je n’ai aucun intérêt à m’enquérir de son état émotionnel, c’est évidemment du temps perdu qu’essayer de comprendre une jeune femme en pleine crise existentielle, alors je passe mon chemin et poursuis ma soirée sur la promenade illuminée de la Costa Del Sol.

La nuit risque d’être belle et chaude, pleine de promesses et de coeurs à taire pour de bon.
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Au crépuscule, la Danseuse n’avait pas encore bougé, ayant joint ses jambes à son torse et caché celle-ci sous son gilet.

Essoufflée de toutes émotions.

- Come on, come on, turne the radio on. It’s Saturday and I won’t be long…
Crachant quelques paroles, offrant un récital sans prétention à personne. L’heure approchait, sauf qu’un regard lui laissait croire que son hôtel était inatteignable et qu’elle n’avait plus rien à y faire.

Crachant un soupir, elle extirpait les écouteurs et enfouissait ceux-ci au fond de l’une de ses proches. Rythmant sa marche à la monotonie alors qu’elle chorégraphiait l’inverse du chemin qu’elle avait emprunté à son arrivée. Évidemment, elle repassait devant le magasin et l’un de ses iris exigeait à ce qu’elle s’arrête à la vitrine.

Il y avait ce sac à main, sur un pied et attendant un acquéreur.

Dans le flot de ses pensées, l’idée de se l’approprier n’était plus qu’un vague souvenir déjà submergée. À la base de son cou, une tâche naissait et se rependait. Négligemment, elle amenait la capuche de son gilet sur sa tête alors que la pluie commençait à tomber.

Calmement, elle retournerait chez elle.


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Coucou !

Ceci sera la dernière notation du Marathon pour ma part et première fois que je note Vesper / Le Cygne par la même occasion. J'ai déjà lu une première fois tout le rp, même avant de le noter et j'ai déjà un avis construit à son sujet mais je vais le relire pour le plaisir.

J'avais commencé à écrire un commentaire par post, mais je me suis vite rendu compte que je devenais un peu barbant, même pour moi. Certains de mes points se répétaient, du coup je vais juste reprendre les points clés que j'ai relevé. Je vous préviens d'avance, là, c'est le passage où je vais être chiant. Ça va être un petit peu l'hôpital qui se fout de la charité ici puisque j'ai dû faire la même chose que vous, puisque nous étions en plein Marathon mais... La relecture était insuffisante. J'ai relevé un bon nombre de fautes dans ce rp, c'est en particulier gênant dans le premier post d'Irelia et il y en a d'autres éparpillées un peu partout. Parfois, ça a été un peu bloquant pour moi. Beaucoup auraient pu être évitées, j'en suis certain. Je vais surtout relever ce qui m'a vraiment sorti et celles qui se répètent.

Dès le deuxième paragraphe d'Irelia, je m'arrête net sur cette phrase :
"Un ticket reçut d’un sceau dont elle ignorait trop, résultat d’une farce peu appréciée."

La phrase me semble maladroitement tournée, je n'arrive pas à saisir le sens de ce que tu essaies d'exprimer avant la virgule. Je ne comprends pas pourquoi tu as employé le verbe recevoir au passé simple et pas en tant que participe passé, ni ce que ce sceau désigne exactement. L'idée est vague. J'aimerais bien savoir ce que tu essayais d'expliquer dans cette phrase, par curiosité. Je vois quand même à quel ticket et quelle farce tu fais référence, mais comme j'ai pas trop compris, ça m'a un peu stoppé dans ma lecture..

Côté Irelia, j'ai vu aussi quelques confusions du é/er/ez. Un petit exemple :
"Cela étant sans compter le chemin éclairer que la station semblait lui offrir."

Déjà, je pense qu'il manque un sur après le mot compter, mais ce que j'ai relevé surtout ici, c'est le "éclairer" à l'infinitif. Pour les explications, je suis plutôt fainéant et mauvais alors je vais faire un copier/coller des enfers de quelques phrases d'Agon qui expliquent très bien comment faire la distinction entre infinitif et participe passé.

Une astuce assez simple est de prendre un verbe du troisième groupe et de l'intégrer dans ta phrase. Si le verbe peut être remplacé, par exemple, par "pris", alors tu devrais mettre "é" — s'il peut être remplacé par "prendre", "er".

L'infinitif s'utilise en général après une préposition comme "de, à, pour, par..." ("Il ne cessait de le rudoyer") ; après un autre verbe ("Il s'est fait mater") ; après un "ne pas".
Le participe passé s'utilise après les auxiliaires être ou avoir ("J'ai mangé tes frites").

Quant au "ez", il faut regarder si le verbe doit être conjugué à la deuxième personne du pluriel.

En appliquant cette règle, ce sera donc ici "le chemin éclairé"

Pour Le Cygne, j'ai surtout relevé des fautes de frappes / oublis de mots ainsi que des fautes d'accord sur le mot "toute".

Bon, j'espère ne pas vous avoir trop embêté, j'ai essayé de rester plutôt concis sur mon point. On passe à la partie plus intéressante, le contenu. Donc, vous jouiez sur le même thème que moi et Erik, fête des lampions à Costa del Sol. C'est respecté, le décor est présent en toile de fond et ne contredit rien de ce qui a été installé dans l'autre rp. Tout va bien.

Votre rp m'a beaucoup plu parce que je l'ai trouvé très humain. Il m'a énormément rappelé un autre que j'ai lu entre Général Primus et Ulthane dans la façon dont se construit la dispute. Les deux personnages font preuve de caractère et aucun n'accepte de la fermer face à l'autre. Ici, il n'y aura pas de moment où on revient à un climat plus calme, mais ce n'est pas un mal. Toutes les relations ne peuvent pas être amicales et ça m'a fait plutôt plaisir de voir toute cette tension entre Irelia et Le Cygne. Les deux montrent leurs défauts, il y a vraiment eu ce moment dans le texte où je me disais que c'était tellement puéril mais que ça avait beaucoup de réalisme. C'était juste typiquement humain.

Un dernier détail que j'ai envie de relever : les employés du magasin ne sont pas que des PNJ de toile de fond, ils ne les laissent pas se crêper le chignon et nuire à l'image de leur boutique. Ils se font respecter et les font partir avec tout le respect qui leur est dû.

Pour toutes les deux, ce sera :

Facile : 11 points d'expérience, 110 munnies, 2 PS en Psychisme.
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