Suite au défilé de la plage, je suis revenu à l'hôtel. Je suis plutôt épuisé, les événements insolites du casino et de la plage ont eu raison de mon énergie et de mon cerveau qui fume toujours, totalement dépassé. La situation avec Amber n'est toujours pas résolue. J'ai donc ouvert la porte du bâtiment avec la ferme intention de m'expliquer et de m'excuser. J'ai frappé à la porte de sa chambre deux fois. En l'absence de réponse, j'ai appuyé sur la poignée, mais rien ne s'est produit. Je tente de l'appeler par son nom, sans réponse. Je finis par renoncer et quitter les lieux pour la chercher.
Même si elle pourrait s'y trouver, je préfère restreindre les recherches loin de la plage. Je ne m'y risquerai pas une nouvelle fois de peur que le mauvais sort me frappe encore. La mer au loin est calme, les vagues sont peu nombreuses. L'ambiance dans les rues est apaisante. Je croise des habitants en tenue estivale, munis de lanternes qui rient en évoquant un festival. J'arque un sourcil et leur lance un regard interrogateur qui n'aura pas de réponse. J'ai sûrement du rater les préparatifs car mon esprit était ailleurs. Je retourne vers le quartier commerçant au pas de course, qui au loin, semble très lumineux.
Lorsque j'arrive dans la grande rue, je finis par apercevoir dans les airs de milliers de rangées de lampions alignés. L'éclairage est tel que seul le ciel me permet encore de m'apercevoir que nous sommes bien en pleine soirée. Je souris. La coutume m'est totalement étrangère mais le spectacle est beau et digne d'un certain intérêt. Des boutiques sont disposés ici et là de tous les côtés. L'un vend ces fameuses lanternes que les passants ont à la main.
- Waouh, papa regarde les lumières !
Mon sourire s'élargit en apercevant cet enfant qui rit sur les épaules de son père avec des étoiles plein les yeux, s'extasiant sur le spectacle que lui offre la décoration atypique de ce monde. Une odeur me chatouille les narines et m'entraîne vers un commerce plus loin. Un homme est attelé à confectionner des sortes de boulettes de riz. Mon estomac gronde. La journée a été longue. Me laissant enivrer par la gourmandise, je me dirige vers le vendeur et observe avec intérêt l'homme qui prépare les boulettes. Au moment de passer commande et sortir la monnaie, mon visage se renfrogne au souvenir du casino.
Les pertes ne m'ont laissé assez que pour un trajet de la Shin'ra.
Même si elle pourrait s'y trouver, je préfère restreindre les recherches loin de la plage. Je ne m'y risquerai pas une nouvelle fois de peur que le mauvais sort me frappe encore. La mer au loin est calme, les vagues sont peu nombreuses. L'ambiance dans les rues est apaisante. Je croise des habitants en tenue estivale, munis de lanternes qui rient en évoquant un festival. J'arque un sourcil et leur lance un regard interrogateur qui n'aura pas de réponse. J'ai sûrement du rater les préparatifs car mon esprit était ailleurs. Je retourne vers le quartier commerçant au pas de course, qui au loin, semble très lumineux.
Lorsque j'arrive dans la grande rue, je finis par apercevoir dans les airs de milliers de rangées de lampions alignés. L'éclairage est tel que seul le ciel me permet encore de m'apercevoir que nous sommes bien en pleine soirée. Je souris. La coutume m'est totalement étrangère mais le spectacle est beau et digne d'un certain intérêt. Des boutiques sont disposés ici et là de tous les côtés. L'un vend ces fameuses lanternes que les passants ont à la main.
- Waouh, papa regarde les lumières !
Mon sourire s'élargit en apercevant cet enfant qui rit sur les épaules de son père avec des étoiles plein les yeux, s'extasiant sur le spectacle que lui offre la décoration atypique de ce monde. Une odeur me chatouille les narines et m'entraîne vers un commerce plus loin. Un homme est attelé à confectionner des sortes de boulettes de riz. Mon estomac gronde. La journée a été longue. Me laissant enivrer par la gourmandise, je me dirige vers le vendeur et observe avec intérêt l'homme qui prépare les boulettes. Au moment de passer commande et sortir la monnaie, mon visage se renfrogne au souvenir du casino.
Les pertes ne m'ont laissé assez que pour un trajet de la Shin'ra.
Dernière édition par Kuro le Jeu 5 Mar 2020 - 21:33, édité 2 fois