« Fait attention avec les poudres mon chéri ! Ne va pas te blesser en fabriquant des munitions ! » me lance mon adorable compagne Sorbet.
Je la comprends, elle veut me protéger, mais c’est mon métier ! Je n’ai jamais eu d’accidents, et je n’ai pas commencé ma carrière hier ! Une journée de plus à travailler ! Une belle journée donc !
Nos routes se séparent un instant, Sorbet va vers un coin de l’atelier, je vais dans l’autre. Je ne me mélange pas trop aux plus agités des Mogs, je prépare confectionner mes créations dans un certain calme même si je ne suis pas contre un peu de compagnie pendant mon travail !
Il fait chaud dans l’atelier. Entre les forges, les plateformes d’assemblages, les va-et-vient des travailleurs humains qui transportent nos créations d’un bout à l’autre, c’est une sacrée foire ! Mais j’aime bien ! C’est agréable de travailler avec plusieurs mogs dans un même endroit !
Je me soulève du sol en battant des ailes, je sens ma cape noire flotter dans les airs tandis que j’arrive au sommet d’une pile de caisses. J’ouvre celle tout en haut pour récupérer de la poudre. Je renverse le contenant sur le côté, elle déboule le tas pour arriver en bas et se déverse dans une petite rigole qui arrive jusqu’à mon plan de travail.
« Tu aurais dû me demander mon chéri ! Je t’aurais aidé voyons ! »
Ah, ma femme. Elle est gentille, je l’aime beaucoup mais parfois j’ai l’impression que pour elle je suis une petite poupée de chiffons, toute fragile ! Mais non ! Je suis un Mog comme elle, je peux faire beaucoup de choses ! Mais bon, avec le temps je n’y prête juste plus attention, elle est comme ça après tout ! Je ne la changerai pas !
Bon alors, c’est pas tout ça mais il faut bosser !
Je n’aime pas faire les grosses munitions comme les obus de Kouignamann. Je préfère les choses plus fines, plus délicates… Les munitions pour armes à feu. Les balles de fusil, de pistolet, des mousquets, des mitrailleurs… C’est moi ! Et j’en suis fier ! Je suis un expert !
J’apprécie d’autant plus de travailler ici que je peux travailler avec mes frères et sœurs Mogs, aux côtés de ma femme et que le Consulat nous considère comme des personnes importantes ! C’est incroyable la sensation d’être une personnalité un peu V-I-P !
« Allez ! On lance la machine ! » dis-je à moi-même.
Les premières balles de pistolet sortent une à une… Puis de plus en plus vite ! Un peu de magie, de la poudre et du métal… Quelques mesures pour avoir le bon calibre et mes cartouches sortent !
Ah lala ! Ça n’arrête pas en ce moment ! On a pas le temps de s’ennuyer !
Heureusement que ce soir, moi et ma femme avons organisé un grand dîner mogesque ! Nous avons invité tous les mogs de l’Atelier après la journée de travail pour manger et boire ensemble dans un esprit bon enfant et plein de convivialité !
Ça promet !
Je la comprends, elle veut me protéger, mais c’est mon métier ! Je n’ai jamais eu d’accidents, et je n’ai pas commencé ma carrière hier ! Une journée de plus à travailler ! Une belle journée donc !
Nos routes se séparent un instant, Sorbet va vers un coin de l’atelier, je vais dans l’autre. Je ne me mélange pas trop aux plus agités des Mogs, je prépare confectionner mes créations dans un certain calme même si je ne suis pas contre un peu de compagnie pendant mon travail !
Il fait chaud dans l’atelier. Entre les forges, les plateformes d’assemblages, les va-et-vient des travailleurs humains qui transportent nos créations d’un bout à l’autre, c’est une sacrée foire ! Mais j’aime bien ! C’est agréable de travailler avec plusieurs mogs dans un même endroit !
Je me soulève du sol en battant des ailes, je sens ma cape noire flotter dans les airs tandis que j’arrive au sommet d’une pile de caisses. J’ouvre celle tout en haut pour récupérer de la poudre. Je renverse le contenant sur le côté, elle déboule le tas pour arriver en bas et se déverse dans une petite rigole qui arrive jusqu’à mon plan de travail.
« Tu aurais dû me demander mon chéri ! Je t’aurais aidé voyons ! »
Ah, ma femme. Elle est gentille, je l’aime beaucoup mais parfois j’ai l’impression que pour elle je suis une petite poupée de chiffons, toute fragile ! Mais non ! Je suis un Mog comme elle, je peux faire beaucoup de choses ! Mais bon, avec le temps je n’y prête juste plus attention, elle est comme ça après tout ! Je ne la changerai pas !
Bon alors, c’est pas tout ça mais il faut bosser !
Je n’aime pas faire les grosses munitions comme les obus de Kouignamann. Je préfère les choses plus fines, plus délicates… Les munitions pour armes à feu. Les balles de fusil, de pistolet, des mousquets, des mitrailleurs… C’est moi ! Et j’en suis fier ! Je suis un expert !
J’apprécie d’autant plus de travailler ici que je peux travailler avec mes frères et sœurs Mogs, aux côtés de ma femme et que le Consulat nous considère comme des personnes importantes ! C’est incroyable la sensation d’être une personnalité un peu V-I-P !
« Allez ! On lance la machine ! » dis-je à moi-même.
Les premières balles de pistolet sortent une à une… Puis de plus en plus vite ! Un peu de magie, de la poudre et du métal… Quelques mesures pour avoir le bon calibre et mes cartouches sortent !
Ah lala ! Ça n’arrête pas en ce moment ! On a pas le temps de s’ennuyer !
Heureusement que ce soir, moi et ma femme avons organisé un grand dîner mogesque ! Nous avons invité tous les mogs de l’Atelier après la journée de travail pour manger et boire ensemble dans un esprit bon enfant et plein de convivialité !
Ça promet !