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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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“Eeeeeh oooooooh”

Les pensées du ronso sont ailleurs, brouillonnes, éphémères. Tout autour de lui n’est que ténèbres et obscurité, pas une once de lumière, pas une once de décors. Seulement le vide et la couleur noir.  

Il ne saurait dire le temps qui a passé, pas même n’est-il capable de réellement réfléchir à sa situation.  

“Eeeeeeh !”  

Il a la sensation de flotter, loin, très loin. Il ne sent pas le vent dans sa fourrure, il ne sent pas son souffle, il ne sent rien. Seul deux bruits lui arrivent aux oreilles, le battement de son propre cœur, et...

“Alleeeeezzz !”  

Une voix criarde, mais atténué, comme un écho. Puis...

“Allez...On ouvre grand la bouche, on accueille l’avion. Aaaaaah”  

...Une sensation venant forcer contre ses lèvres. Un matériel glacé et à la solidité du verre.  

“...Raaah mais c’est immonde quand je dis ça comme ça ! Euh...Changement de phrase ! Rattrapaaaaage ! Avaaale laaaa potion de sooiinnn.”  


La force vient dépasser ses lèvres, avant de déverser son contenu. Il sent le liquide coulé jusqu’à sa gorge, un liquide au goût aussi sucré qu’amer. Une sensation paradoxale mais pourtant bien réelle.  

“Tadah ! Cul-sec ! Cul-sec ! Ouuui !”  

Le ronso ne ressent plus la force de lutter, le liquide s’accumule dans sa gorge, et bien vite, il ne peut que déglutir. L’étouffement serait une bien misérable mort, et il ne compte pas y céder.  

Le liquide lui brûle l’estomac, dans une sensation à lui en faire grogner de douleur. Pour autant, à chaque spasme qui le secoue, il ressent à nouveau. Il ressent à nouveau le vent froid, il sent à nouveau l’odeur de la montagne, il entend la voix nasillarde de plus en plus près de ses oreilles.

“Il est vivant !”   beugle la voix, tel une parodie surjoué de scientifique fou.  

L’œil unique du fauve s’entrouvre brièvement, avant de cligner lentement. Le réveil est difficile après la rouste qu’il a vécue. Et si le liquide a le mérite de l’avoir sortie de ses songes, ce n’est pas encore ça.  

“Il est vivant ! Il est vi-va-nt ! V-I-V-A-N-T !”  

Redressant lourdement la tête, le ronso tourne la tête autours de lui. Il cherche bien naturellement la source de la voix, qui commence cruellement à sonner dans ses oreilles. Il a l’impression d’être ivre, une sensation qu’il n’a pourtant pas comme habitude.  

La potion continue doucement son effet, cette chaleur dans son estomac, se répandant dans son sang, et coulant dans ses veines. Sa vue se stabilise un poil.  

Et là, il apparaît devant lui.  

Un animal ? Un chat même ? Non, quelque chose ne tourne pas rond. Premièrement, pourquoi se chat se tient sur ses deux pattes arrière. Deuxièmement, pourquoi sa fourrure noire semble aussi...synthétique ? Presque comme celle d’une peluche. Et surtout, il y a l’accoutrement...

Bryke en est particulièrement perplexe, se demandant un instant si l’hébétude du combat ne lui joue pas encore de mesquins tours.  

Les minutes passent, l’étrange chat continue de sautiller partout, tandis que la vision du fauve revient doucement à un état plus normal. Non, rien à faire, l’individu devant lui n’a pas changé d’un poil.  

Toujours ce chat noir à la fourrure étrange, avec sa cape rouge flottant à chacun de ses bonds. Avec ces gants blancs et sa petite couronne sur la tête, comme signe de son intelligence. Ses yeux continuellement fermés dans un trait fin et rieur, tandis que le motif blanc sur son visage dessine une forme de visage presque amical sur le poil noirâtre.  

Si la potion l’a sauvé de la mort, l’énergie refuse de revenir au ronso. Il le sait bien, il va rester affaiblis pour un bon moment. Suffisamment longtemps pour l’empêcher de courir après cet “intru” s'il lui venait l’idée de jouer des gros bras.  

Et pourtant, ce n’est pas l’envie qui manque. Saisir cette...peluche par le col ? Lui grogner dessus, essayer de découvrir ce qu’il fait là, s'il est envoyé par le nuage des ténèbres, et d’autres questions.  

“Teuh teuh teuh ! Un instant m’sieur Ronso !” commente le chat.  

Le regard du fauve trahit toutes les émotions néfastes qui lui traverse l’esprit en ce moment même.

“Ah mais si si, si. Je le vois dans ton graaaand, et vicieux, et méchaaaant regard. Je ne suis pas ton ennemi ! Bah oui, hein. Sinon, je ne t’aurais pas soigné d’abord. Et puis, tu sais combien ça coûte une potion + ? Cher, BEAUCOUP TROP CHER”  se met-il à beugler.  

Naturellement, son ton a le mérite...Pas bien difficile...d’agacer prodigieusement le fauve. Qui se contente de le fixer de son œil unique, avec son air froid habituel.  

“Oui, je sais, je sais. Que ferais-tu sans moi. Je suis génial. MAIS ! Je ne suis pas là pour ça, eh oui !”  

Son tour de parlotte ne semble pas particulièrement impressionné le ronso. Sautillant une dernière fois sur place, la petite chose vient se précipiter en direction d’une des colonnes, dont elle tire de derrière, un grand sac de jute.  

“Je suis là pour remettre quelque chose à sa place figure-toi ! ADMIRE-UUUH ! ”  

Grommelle le chat, tandis qu’il vient tirer de son conteneur de tissus, une très jolie statuette de pierre.  

Le grognement de Bryke s’interrompt sur le champ. Son œil valide venant prendre la forme d’un rond quasi parfait.  

“Aaaaah, j’ai ton intérêt maintenant !”  

Ce n’était effectivement pas n’importe quelle statue. Celle-ci vient du temple à l’intérieur, dédié à la dame de la montagne.  

La statuette représente une femme, mains jointes, aux traits fins. Avec à ses côtés, deux ronso accroupit. La dame de la montagne, Raï et Fü. La triade de la religion ronso, très cher au clan de Bryke.  

Une statue ayant disparu il y a bien longtemps, lorsqu’un ronso renégat, avait vu sa corne brisée. Ce dernier, du nom de Tsaharim, avait par vengeance contre l’exil imposé par son peuple, emporté la statue.  

Bryke et bien d’autres prêtres-guerriers avaient depuis essayé de la retrouver, mais refusant de s’éloigner trop loin du Mont Gagazet, la tâche était depuis tombé dans l’oubli.  

“J’aimerai bien la remettre à sa place tu vois. Je n’ai pas envie d’essayer de la vendre, et de me prendre une malédiction de divinité, tout ça, tout ça. Mais le petit truc, mon grooos ronso d’amour, c’est que les portes sont trop lourdes pour quelqu’un comme moi.”  

La confusion s’installe doucement dans la tête du fauve. Est-ce réellement la déesse qui a renvoyé ce petit être vers lui, pour restaurer son dut ? Où est-ce là un stratagème du nuage des ténèbres pour pénétrer le temple ?  

Cette simple pensée laisse dans la gorge du fauve un bruit peu ragoûtant.  

Il a besoin de le questionner, de tout savoir. Où l’a-t-il trouvé, comment ? Qui ? Quoi ? Pourquoi ?  

Essayant d’ignorer la douleur toujours légion dans ses muscles atrophiés, Bryke vient redresser ses mains griffues, se préparant à signer.  

Si ce petit être a pu savoir l'appartenance de la statuette à son peuple, peut-être en sais-t-il suffisamment sur eux pour comprendre sa langue ?

Les griffes du fauve s’agitent lentement pour épeler la première phrase.  

“ < Quoi > < Toi > < Nom > “

“Moi ? C’est Sidhe.”  

...Peut-être qu’une coïncidence ?  

“ < Question > < Toi > < Comprendre > < Moi > ”  

“Bah évidemment gros bêta cornu !”  

L’évidence en question échappe au Ronso, il se contente de cligner brièvement de l’œil. Tellement de questions se bousculent dans sa tête, mais une, demeure plus qu’une autre.  

Et si c’était un envoyé du nuage ? La coïncidence est beaucoup trop belle. Un individu apparaissant, sachant parler sa langue, alors qu’il en cherchait un. Ou alors... Un miracle d’Etro ?  

“Pas la peine de loucher sur moi comme ça ! Oui, je sais, je suis Meeeerveilleux.”  

Se contente de commenter le petit être, sautillant et bondissant sur place, tel une puce.  

Le fauve plisse à nouveau son œil unique, le fixant comme jamais.  

“ < Question > < Toi > < Venir > < Où > “

“Moi ? MOi? MOI ?” Répéta-t-il plusieurs fois, chaque mot plus aigu que l’autre.

Dans un geste aussi dramatique que ridicule, Sidhe vient se jeter dans les airs d’un saut, avant de retomber sur le dos, dans un bruit similaire à un jouet couinant pour chien.  

“Aaaaah, mais quelle tragédie ! Quelle histoire terrribleeeeuuh !”  

Rajoutant bien plus que nécessaire, le chat vient poser le dos de sa main droite contre son front.  

“J’ai été créé par un mage, un mage d’une tristesse et d’une solitude absolue ! O pauvre âme, ô pauvre monsieur ! “  

D’une certaine manière, Bryke découvre immédiatement le regret. Le regret d’avoir demandé.  

“Dans sa solitude, et besoin d’un compagnon, il me créa, moi ! Il me fit beau, et social, et bavard, et charmant, et attachant, et...”  

Et agaçant, commenta mentalement le ronso.  

“...Et doux ! Et il avait bien besoin de moi ! Tout seul qu’il était, ce pauvre ronso...”  

...Ronso ?

“...Faut dire que le pauvre, vous l’avez exilé. Il souffrait tellement...ô.…Mon pauuuuuvre maître...”  

...Un exil ? Cela commence à déplaire de plus en plus au prêtre-guerrier.  

“Vous êtes si cruels ! Avez-vous seulement idée de combien il tenait à vous ? Était-ce de sa faute si par mégarde, il a brisé sa corne en défendant le mont ? Ce pauvre, glorieux, vaillant défenseur !”  

Le “clic” du katana de Bryke contre le fourreau se fit entendre.  

“Il a broyé du noir, encore et...WAAAH MAIS ATTEND ATTEND !”  

Le sifflement de la lame se fait entendre, le chat évitant au dernier moment la taillade du fauve. Reculant et tombant sur les fesses, Sidhe ne peux qu’écarquiller les yeux devant la masse de poils bleu se redressant devant lui. Le regard noir d’un œil unique se fixe sur lui, le regard d’un bourreau.  

Fidèle à lui-même et à ses doctrines, Bryke ne supporte pas la simple mention d’un sans-corne, et si ce dernier est le créateur de cette...peluche ? Elle doit disparaître aussi.  

“ATTEEEEEENNND !”  

Beugle le chat comme il peut, mais voilà que le ronso arme à nouveau son coup.  

Et au moment où il reprend son inspiration, se préparant à en finir avec Sidhe. Une décharge lui parcourt les muscles, si forte qu’il en lâche son arme dans un beuglement, retombant à genou.  

“...Uh ?” s’étonne le chat.  

Du côté du fauve, surgissent une série de grognements et feulements qui n’ont rien à envié à ceux d’une bête sauvage. Si la potion + lui a permis de tenir debout, ce n’est clairement pas suffisant pour qu’il puisse reprendre le combat. Les blessures se sont peut-être cicatrisées magiquement, mais hélas, seul du vrai repos pourra le remettre sur pied.  

Cela n’arrête néanmoins rien à la noirceur de son regard.  

“Mais vous avez vraiment aucun cœur ma parole ! Pas croyable ça ! Je te raconte à quel point ça a été dur pour lui, et toi, tu veux juste me tuer ? Méchant ! Méchant ronso !”  

Ça n’a pas l’air d’émouvoir grandement Bryke.  

“C’est tellement triste. Je crois bien que je vais pleurer...Ah...Si...Je pleure déjà.”  

Sidhe vient prendre son visage entre ses mains, sanglotant et pleurnichant le plus bruyamment possible.  

Mais cela ne semble pas attendrir le ronso le moins du monde.  

Ce dernier se redresse, ramassant sa lame et la rengainant, avant de se diriger d’un pas nonchalant vers les portes du temple.  

Entendant les bruits de pattes s’éloignant, le chat vient redresser le regard, les oreilles baissés.  

“Mais t’es un vrai sans-cœur ce n’est pas possible ! Personne ne résiste quand je pleure !”  

Il faut un début à tout, de toute évidence.

Le fauve est en proie à ses pensées. Hors de question d’ouvrir le temple avec cette création de sans-corne dans les parages, mais il ne va pas attendre qu’elle s’en aille. Que faire...Vu son état de faiblesse, il ne pourra pas la chasser correctement...

“EH !”  

Bryke baisse la tête pour mieux fixer le chat noir à ses pieds.  

“T’es vraiment gonflé quand même ! Je te sauve la vie, je gaspille une potion pour toi, je te raconte mon histoire. Et toi...Tu ne me laisse même pas finir et t’essaye de me tuer ! C’est même plus impoli à ce niveau, alors...Ecoute-moi et laisse-moi finir !”  

Un grondement remonte la gorge du fauve, tandis que son regard se dirige à nouveau vers la porte.  

“Je disais donc ! Quand mon maître a senti ses dernières forces le quitter, il m’a chargé, MOI, de revenir ici. Il voulait rendre cette statuette, et que je prie pour lui que la dame le pardonne. Il a volé cette statuette dans sa rage, et il le regrette !”  

Bryke n’écoute que d’une oreille, plus intéressé par la porte. Il réfléchit encore et encore, comment se débarrasser de la petite chose horripilante.  

“Eh oh ? Tu m’écoutes là ?”  demande le chat, sautillant sur place à côté du fauve.  

Le regard froid du ronso vient se poser sur lui, répondant à la question.  

“Ah bah tout de même ! Donc, il faudrait ramener cette statuette et prier pour mon maître.”  

Le museau du ronso s’élève brièvement, il prend une grande inspiration.  

“T’es un prêtre non ? Tu te comportes comme un en tout cas ! Tu ne peux pas le faire ? Quelque chose me dit que la dame de la montagne écouterait plus quelqu’un comme toi que moi.”  


Bryke roule brièvement des yeux, cela lui semble d’une évidence absolue. Mais...Prier pour un sans-corne ? Il est vrai que ramener la statuette à sa place lui semble normal, mais prier pour le salut de celui qui l’a dérobé ? Non pire, de celui qui a brisé sa corne ? Et finalement...Que reste-t-il à prier ? Il est déjà mort, et sa corne est brisée, quoi qu’il fasse, c’est fini, il ne retournera jamais à la dame.  

Le ronso tourne la tête vers le Sidhe, relevant ses mains griffues brièvement.  

“ < Toi > < Négation > < Entrer > < Temple > “

“Oui, oui, je sais, je sais ! Promis, je ne rentre pas, j’attendrais touuuuut sage et tout devant la porte...En pleurnichant...Tout seul...Dans le froid...Et la neige...Et les sans-cœurs...”  

De toutes les préoccupations de Bryke, le chat n’en fait strictement pas parti. Cela l’arrange presque s'il devait revenir de sa visite et trouver son cadavre. Cela ferait une création de sans-corne en moins. En temps normal, il se serait surement senti redevable. Il lui a sauvé la vie après tout. Mais dans le cas présent...Sa nature même d’hérétique lui empêche toute sympathie.  

Le fauve s’approche de la statuette qu’il vient saisir, avant de se diriger vers les deux grandes portes du temple.  

Elles sont toujours aussi massives, toujours aussi sculpté. Dans un matériau semblable au granite. Si lisse, que même la neige semble refuser de s’y accrocher.  

“Alors...Tu vas le faire ? WAHOUUUU, c’est génial !”  


Reposer la statuette à sa place ? Oui. Prier pour le sans-corne ? Non.  

“MERCI ! MERCI ! MERCI ! IL SERAIT TELLEMENT CONTENT !”  beugle le chat.

Le ronso l’ignore, se concentrant sur la porte. Il vient tendre sa main griffue vers la porte, paume parallèle à la surface. Il vient doucement fermer son seul œil unique, tandis qu’une légère lueur se laisse entrevoir dans le creux de sa main.  

Un fin sifflement cristallin résonne tout autour d’eux, tandis que la lourde porte de pierre vient lentement s’ouvrir.  

Devant le fauve, un long corridor de pierre, cruellement épuré et sobre. Quelques ouvertures dans le plafond laissent rentrer la lumière naturelle.  

Bryke s’avance de quelques pas, avant de se retourner. Il fixe Sidhe, toisant l’indésirable, à mesure que les lourdes portes de pierres viennent se refermer devant lui.  

Dans un silence presque surnaturel, les deux portes sont closes à nouveau. Le chat vient doucement s’assoir contre, poussant un long soupire.

“Bon bah...Plus qu’à attendre j’imagine !”  

Au loin, le vent se lève doucement.  

“Ou...Finir en bonhomme de neige...”  
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Il y a un truc que j’trouve drôle, et qui d’ailleurs et contraire à l’un des sujets par rapport à la mise en page (un très vieux sujet). Toi ? Tu balances les dialogues en italique et les pensées en regular alors que la totalité du forum fait l’invers.

C’est marrant, hien ?!

Alors, justement, j’ai une critique à faire ici.

Pour moi, il y a une grosse erreur que l’on fait souvent quand nous n’avons pas le nez dedans. Ici, c’est pas encore le pire, mais ça se présente plus dans les textes suivants.

C’est simplement de savoir à qui tu donnes ta narration.

Et le « problème » que tu as, c’est que ton narrateur saute d’un personnage à l’autre dès que tu te retrouves avec un PNJ. Pour l’exemple rapide ? Tu fixes la narration sur Bryke (donc, sur ce qu’il ressent, comment il voit les choses et qu’il appréhende ce qu’il ressent) et que ça passe progressivement jusqu’à l’autre acteur de la scène. Ici ? C’est très peu visible et ce sont des petits détails, ça ce vois plus loin.

Mais ce qui énonce mon propos, c’est que logiquement ? Dans ta position, caméra qui fixe et suis Bryke. Alors, dès l’instant où tu fermes les portes ? Ça devient illogique d’avoir les dernières paroles de Sidhe. Est-ce que c’est grave, ici ? Pas du tout ! Mais comme tu poses un narrateur « qui est le personnage », le degré « omniscient » détonne et pose problème. Car nous voyons un « jet » restreint qui s’élagie soudain.

Autrement, j’rigole bien à voir Cait Sith qui s’ballade sur le Mont Gagazet. Tant que tu ne te retrouve pas à te faire aspirer par Ozma, ça m’va.


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