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Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Le doux soupir qu’un réveil aux aurores, remous d’une combinaison qu’un corps libre de tension orchestré en canon avec la luminosité. Une histoire courte, il ne fallait que quelques secondes pour qu’une note ne s’échappe des draps d’Irelia et que son regard s’interroge sur la pièce d’emprunt à sa chambre. Une cadence de plus pour que l’adolescente se relève et pose ses yeux vairons à la fenêtre de ce monde toujours inconnue.

Une délicate esquisse se dessinait aux traits, figé l’instant, accompagnant la Danseuse le temps qu’elle découvre ses nouveaux vêtements et s’en accapare la promesse.

Dorénavant loin de cette chambre frôlant la bise du plancher, Irelia s’invitait aux respects de cette culture, affinant sa révérence au gré des rencontres aux couloirs du palais. Gardes, hommes-de-loi, visiteurs ou dignitaires. Tant de personnalités se confrontant à leur présence tout en offrant le désintérêt à cette visiteuse du Consulat. Une joie pour Irelia, offrant l’abondance d’une banalité retrouvée en l’attente de sa rencontre avec le mécène du théâtre local. Malheureusement, l’Intendant de la résidence se dessinait au bout d’un couloir, forçant la Danseuse à l’esquive et l’emprunt d’une autre sortie au cœur du dédale de l’endroit.

Aujourd’hui, elle attendrait pour parler au sujet du fief de l’Empereur, elle n’avait que peu de questions et celles-ci s’adresseraient uniquement au dénommé Shisan.

Concluant de détours, s’assurant la solitude des personnalités, elle parvenait à s’extraire de cet endroit et rejoignait le tableau de cette ville en construction. La cacophonie des outils s’animait mollement, assurant le spectacle quotidien dont la Danseuse ne pouvait s’extraire. L’image lui susurrant d’assurer la cadence, réprimant ses désirs de découverte et accentuant sa mémoire et ses pas afin de rejoindre les abords de la Cour Mingyue. Un détour, un second et l’appel d’un intervenant jusqu’à la découverte du bâtiment.

Chengdu, au loin de ses allures de cité, s’agençait autrement que les blocs de sa mégalopole et consumait les derniers repères de l’adolescente. Toutefois, gardant intact la satisfaction de cette dernière, parvenue sans escorte au lieu d’un autre récit à ce monde.

L’esprit léger, elle s’en allait d’une énième grimace ainsi que d’un soupir. Ajustant alors sa tenue au-devant de l’entrée de cette curiosité architecturale. Deux portes, abandonnant leur rôle de garde, ouvraient une large gueule jusqu’au bâtiment détonnant d’un éclat terne en ce début de matinée. Irelia en distinguait les lanternes, les accroches ou tout autres supports impatients d’illuminer le bois de cet endroit. Seulement, il n’y avait qu’un soleil fatigué et ayant d’autres désirs que de faire briller ce bois emprunt de douce capucine. Malgré elle, au milieu du brouhaha du quartier des arts de Chengdu, la Danseuse s’attardait à capter l’un de ses moments dont son regard en avait l’avidité.

Il y avait l’odeur ou le fumet des soirées terminées, une tension à l’abandon n’ayant d’autres promesses que les joies de la veille, l’ivresse et l’euphorie s’échappant des fenêtres labyrinthiques.

Maintenant que son imagination s’intéressait au passé du lieu, elle se permettait d’avancer avant de réajuster la taille à son bustier. L’incarnat de cette ceinture bien trop longue s’en allait et tranchait l’albâtre de sa tunique, l’entierté du tissu inondant ses bras et ses mains agissaient tel une tubulure dont ses doigts feignant le risque d’une fuite. Pour que, finalement, le pareo déguisant ses jambes d’une chevelure aubrun.

Loin de ses habitudes, Irelia songeait à remercier la Dame de cette offrande et à ce nouveau failli que son corps apprenait. Elle en venait seulement à regretter de n’avoir de quoi contenir l’ardeur de sa chevelure.

Pour autant, loin de cette gêne, Irelia se glissait finalement au travers de cette gueule ouverte et rejoignait les marches menant à l’intérieur de cette cours qui n’en possédait que le nom. L’un des hommes sur la montée, trop occupé, ne lui offrait qu’un regard avant de retourner à ses affaires. Un autre, trapu et aux verres posés à son nez, s’avançait en sa direction et venait interrompre sa menée.

- Veuillez m’excuser, madame ?
- Mh ?
- Le théâtre est fermé, merci de revenir ce soir.

L’homme, ou l’ancêtre, se décalait alors et orientait son regard jusqu’à la porte emprunté par la Danseuse. Alors qu’Irelia, elle, orchestrait son étonnement d’un haussement de sourcils avant de suivre le chemin qu’indiquait l’inconnu.

- Mais…
Elle se retournait, fixant alors l’entrée à ses côtés avant de se rappeler de sa présence.

- J’ai rendez-vous avec monsieur Shisan, il me semble. On m’a dit de venir.
- On a dû se moquer de vous, désolé. Vous n’êtes pas la première et il y en aura encore bien d’autres.
- Elle ne se serait pas moqué de moi, non.

Irelia souriait naïvement, hochant la tête, cachant la crainte s’avançant.

- Vous êtes vraiment sûre ?
Dorénavant, il roulait des yeux avant de s’agacer d’un jeu de pieds.

- Il n’y a aucun doute, est-ce que je dois vous guider jusqu’à la sortie ? J’ai encore beaucoup de travail et…
- Non, ce n’est pas possible. Je suis attendue.

Au creux de ses reins, une encre s’animait et se glissait au couvert de l’amas de tissu. Sur le visage de la Danseuse, elle s’impatientait et rougissait à la crainte mais aussi à l’agacement d’être déjà écartée.

- Ça suffit, arrêtez de faire l’enfant.
- Je…

Interrompue par l’agacement grandissant de son vis-à-vis, mais pas seulement, Irelia captait la seconde intervention en se posant toujours plus de question. Le croassement se répétait en interrompant l’échange, guidant la Danseuse à capter l’oiseau à l’une des lanternes de la façade. L’animal au ramage de charbon levait son bec et s’invitait à cette scène de sa propre voix, bientôt rejoint par un second interprète et jusqu’à ce qu’une nuée s’invite.

La sérénade s’intensifiait au point d’accaparer l’attention de l’homme aux lunettes, faisant oublier à celui-ci l’invitée qui ne semblait pas l’être.

Un moment opportun pour un entracte à cette scène, une brève pensée franchissait l’esprit de l’adolescente et guidait ses pas à accomplir une nouvelle rythmique. Une batterie s’enchaînait jusqu’à ce que la silhouette colorée d’Irelia ne s’engouffre dans le battement de la porte et ne s’efface dans l’obscurité des couloirs.

Un faible éclairage, faisant miroiter les rares reflets des décorations aux murs ainsi que sur les meubles. Un portrait, ou une fresque ? Elle ignorait le nom, elle se suffisait à capter la main de l’artiste ayant eu le temps de se poser sur un support. Un vase aux éclats de cristal, au sommet d’une sculpture de bois, admirait le passage de la Danseuse à la démarche feutrée. Il y avait cette couche à l’éclat rubis et avec ses coutures d’ors, invitant quiconque à se joindre à son confort.

Au-devant de cette visite fautive, l’éclat d’un regard ébahi se confrontait à la curiosité d’un tel rassemblement d’œuvres et de merveilles.

Hier, avant qu’elle ne quitte le Jardin Radieux, œuvre et travaux se confrontaient à chaque coin de rue. En ses lieux, Irelia vagabondait d’extravagance en déchéance. Pour que, finalement, elle découvre une nouvelle entrée au bâtiment et la salle qui devait accueillir les attentes de la Danseuse. Elle se retrouvait à l’entrée d’une salle imposante, une scène en son fond et une disposition de chaise et de table de taille et de présence différente. Le pas lent, son regard fixant les moulures et les sculptures, elle s’avançait sans s’attarder au chemin qu’elle empruntait.

Encore un croassement, plus doux que ceux entendu précédemment, écartait la rêveuse de ses observations pour que l’animal se découvre devant-elle. Ainsi qu’un homme, bien moins belliqueux que le trapu à lunettes, un papier entre ses doigts et un faciès jonglant entre le charme et le curieux.


- Nu lang Alishina, je présume ?
- Ehm… Oui ?

Il arrangeait son visage dans un sourire, accompagnant un geste et cachant son mémo dans son dos avant d’offrir une brève révérence, rappelant les mœurs du pays que la Danseuse s’évertuait à répéter. D’un regard, elle cherchait un autre point d’attache et s’en allait à fixer le regard du nouvel acteur.

- Bienvenue à la Cour Minguye.
Il s’avançait, le pas léger, guidant ses yeux du haut vers le bas et s’arrêtant à moins d’une enjambée.

- La Dame vient justement de me prévenir de votre arrivée, à l’instant. Il semble que vous soyez plus que ponctuel. Shisan, c’est un plaisir de rencontrer une personne telle que vous.
- Telle que… Ah ! Il y a quelqu’un à l’entrée qui…
- Pas la peine de vous soucier de tout cela, venez plutôt à mes côtés. Il semble que nous ayons du temps à passer ensemble, vous prendrez du thé ?
- Oui, volontiers !

La crainte s’en était évaporée, maintenant que le dénommé Shisan s’écartait et glissait une main discrète en direction de l’un des sièges de la salle. Semblable à la Dame, il restait tout en retenue, gardant ses gestes discret mais distinct pour finalement prendre place et ensuite invitée la rêveuse à ses côtés. Il laissait un regard se perdre au loin, vers l’entrée, distinguant une ombre qu’il commandait d’un geste simple avant de revenir à l’attention d’Irelia.

Un regard perçant, toujours aux creux de l’iris et n’en déviant jamais à la prononciation de ses propres mots.

- Veuillez excuser l’état de mon théâtre, j’aurais pris soin de le rendre présentable pour la fille de Terpsychore si j’en avais eu le temps. Êtes-vous confortablement installée ?
- C’est parfait.
- Bien, ceci me rassure déjà.

Silencieuse, la Danseuse assurant son assise sur un banc sans dossier mais rembourré d’un coussin généreux. Devant elle, le représentant de l’endroit dont seule une table basse parvenait à séparer les personnalités. Malhabituée de cette tenue, Irelia s’en retrouvait les genoux joints et renversés, permettant à ses mains de se poser dessus et de tenir cette stature droite.

- J’imagine que Songzi Huayan vous a parlé de l’endroit ?
- Pas beaucoup, si vous voulez tous savoir. La Dame m’a juste mentionné vos danseuses ainsi que la beauté de votre bâtiment, elle a l’air de tenir à vous.
- C’est un honneur qu’elle m’accorde, en effet.
- Mais elle a oublié de parler de tous… Ceci.

Levant les bras, tournant sur elle-même en élévant celle-ci, l’adolescente affichant les mille détails et les contes muets que les murs de bois cachaient.

- C’est magnifique et… Tellement différent de ce que j’ai vu...
Elle s’avançait, croisait ses bras et posant ses coudes sur ses propres genoux.

- Vous me toucher en plein coeur, Nu Lang. Nous avons eu de la chance avec cette attaque, nous étions suffisamment loin des conflits et n’avons eu aucune perte à déplorer.
- Ça aurait été triste que votre ville se retrouve à perdre un endroit comme celui-ci, je suis sincère.

Tous deux affichaient un sourire de circonstance, quoique légèrement crispé par le dénommé Shisan dont le rouge montait aux joues.

- Il me tarde de grimper sur votre scène.
Le pas hâtif d’un nouvel acteur captait le regard de la rêveuse, celle-ci remarquant seulement une personne arrivant avec un plateau qu’elle déposait sur la table. Le service à thé se présentait aux deux personnalités et un silence venait de s’imposer

Un service en bambou, c’est ce qu’elle imaginait, dont quelques lattes laissant percevoir un bac en dessous de celui-ci. Deux théières reposaient sur ce service, ainsi que quatre tasses, une moitié semblable à ce qu’elle connaissait et la seconde à des verres allongés. C’est alors que toute une méthode s’enclenchait devant la Danseuse. La servante remplissait une première théière, la vidant ensuite dans la seconde et terminant son geste en remplissant les verres disposés devant le service.

L’eau chaude s’échappait en fins filaments, pour que finalement, la première théière se voie remplie d’herbes séchées et remplire de nouveau d’eau chaud jusqu’à en déborder.

Une minute passait, la seconde théière et chacune des tasses se voyaient vidées de leur contenu et reposé au fond au travers des lattes du service. Enfin, la première théière se vidait de son contenue dans la seconde en gardant le marc de thé en son centre. Enfin, la théière encore pleine venait remplir les tasses et la dégustation pouvait débuter.

- Merci, Hua. Tu peux disposer.
Irelia restait silencieuse, observant cette artiste repartir avec ses instruments pendant qu’un lent processus s’activait en son esprit. La rêveuse tentait de retenir chacun des gestes qu’elle venait d’observer, tentant de se les approprier, conservant cette rythmique propre à la servante avant d’observer le maître des lieux sentir une première tasse et boire dans la seconde.

Ce souvenant de son dernier thé, la Danseuse répétait les gestes de la Dame en ajoutant sa main face à sa bouche quand elle se retrouvait à déguster à son tour.

- Songzi Huayan a déjà laissé sa trace sur vous.
Il précisait ceci d’un léger sourire aux lèvres, déposant sa tasse sur la table et reprenant l’assurance de sa position.

- La Dame m’a demandé de vous enseigner le raffinement de nos danses traditionnelles, malgré que vous veniez d’ailleurs.
- C’est un problème ?
- Pour vous ? Certainement pas. J’aurais été plus récalcitrant s’il s’agissait de quelqu’un d’autre, ou j’aurai demandé à un ami du quartier.
- C’est… Rassurant… ?
- … Oui.

Il souriait à sa dernière affirmation, poliment, reprenant un peu de thé avant de laisser un regard traîner sur la scène.

- Il me tarde de découvrir cette « soirée théâtrale », celle dont parle la Dame de Chengdu dans son courrier, mais il vous reste encore beaucoup à apprendre.
- Vous pensez que je ne suis pas à la hauteur ?
- Ce serait insulter les Muses que de dire cela à l’une de ses filles.

Shisan redonnait finalement de l’attention à la Danseuse, celle-ci ne cachant que difficilement une pointe d’agacement en son regard, tout ceci n’était pas inaperçu par l’hôte du théâtre.

- Il faut que ce soit parfait, que nos ancêtres soient satisfaits de ce que nous aurons à leur offrir. Surtout, d’une personne qui ne connaît rien de nos habitudes.
-
- Je parlerais sans détour, Nu Lang Alishina, j’attends beaucoup de vous et de ce que nous aurons à offrir à Chengdu. Au Consulat, aussi. J’ose croire que ce que nous allons faire ici n’est pas un jeu capricieux.
- J’ai du mal à voir où vous voulez en venir.

Irelia se redressait lentement, quittant le confort de sa position et s’accaparant le brin de hauteur qui lui faisait défaut. Contrairement à son interlocuteur.

- Aujourd’hui, vous devenez Qingyi à la Cour Mingyue et j’espère que vous serez à la hauteur de ce titre. Il en va de mon honneur.
- C’est ici que je dois dire « Merci » ?
- Oui.
- Merci.

La satisfaction se lisait sur ses traits, affichant le visage d’un marchand ayant conclu son accord. Irelia, elle, se contentait d’afficher le masque qu’elle réservait à la scène. Heureuse de découvrir les secrets de la Terre des Dragons, ravie de découvrir une autre personnalité aussi agaçante que pouvait l’être les autres personnalités qu’elle avait côtoyées dans sa propre ville.

- Quand est-ce que je commence ?
- Ce soir, vous avez la journée pour vous préparer. Il y aura toutes nos filles qui seront là pour vous offrir un spectacle et ainsi vous faire comprendre ce qui vous attend. Ensuite ? Notre instructeur vous attendra aux rayons de l’aurore afin de vous préparer pour votre première représentation qui aura lieu… Dans une semaine, ici-même.
- Déjà ?
- Il n’y a pas de temps à perdre, Songzi Huayan n’attendra pas des mois pour son spectacle.

Il se relevait alors, posant ses mains à ses genoux avant de dominer la Danseuse de sa hauteur et sourire tendrement.

- Ne vous inquiétez pas, vous êtes entre de bonnes mains et je fais la promesse que vous serez parfaite en temps voulu.
Il tendait alors sa main, en guise de promesse, hochant légèrement son visage dans une tentative de tendresse. La rêveuse, lentement, empoignait cette politesse et la serait en retour avant d’ajouter un seul et unique mot.

- Merci.




Dernière édition par Irelia Alishina le Mar 22 Oct 2019 - 21:26, édité 1 fois
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Bien le bonjour mon petit canard des îles !

Oui, j'essaye de sans cesse me renouveler pour les notations.

Alors, je n'ai pas grand chose à dire de négatif sur ce rp, si ce n'est qu'il y a une erreur dans le titre (vu que dans le RP, Shisan te nomme Qingyi et non Quingyi). Erreur qui m'a légèrement inquiété et j'ai deux réactions : J'ai eu un syndrome post-traumatique d'Oda Nobunaga dans la Cité Interdite et j'étais étonné que tu fasses une erreur sur un simple mot chinois.

Heureusement, plus de peur que de mal.

Ici, je vais dire ce que j'attends par rapport à ce que tu as crée avec ce rp : Qingyi c'est un type de rôle féminin de l'opéra chinois. L'opéra chinois est très codifié -comme le reste de la société chinoise tu me diras- et je prends plaisir à voir que tu vas t'engager pleinement dedans : j'ai donc notamment l'attente que tu "joues" -dans le sens théâtral du terme- bien ce fameux type de rôle féminin de Qingyi. Cependant, là où j'exerce un certain avertissement c'est ur la partie "chant" de l'opéra : pas sûr qu'Irelia puisse apprendre à chanter de l'opéra chinois en quelques semaines. Demande à Huayan, elle n'est pas experte et pourtant elle a déjà dû étudier longtemps.

J'aurai cependant une petite remarque : le grand théâtre de Chengdu où se joue ton rp... N'est pas la Cour Mingyue ! *Tonnerre* La Cour Mingyue est un "petit" établissement dans le quartier de divertissement de la ville. Donc bon, c'est pas catastrophique mais il fallait que je le précise^^. De même "nu lang" n'est pas très... Respectueux pour une femme. Ça fait un peu "Irelia, mon petit" si tu vois ce que je veux dire : pour la prochaine fois, je recommande plutôt l'équivalent de "mademoiselle" : Alishina guniang (姑娘).

La dernière chose concerne les corbeaux. Alors, oui, Huayan en a partout et en grand nombre. Cependant, ils n'interviennent pas aussi directement avec leurs croassements tout simplement car... Ce n'est pas leur travail. Ils sont là pour espionner, surveiller, transmettre des messages. La simple présence de plusieurs corbeaux qui le fixent auraient dû lui suffire - en plus du message-. Là, c'est un petit peu grillé. Mais bon, j'ai vu pire et c'est pas une faute horrible.

Maintenant, le positif !

Un Monsieur Shisan respecté dans les grandes lignes. On est clairement pas en free style sur son interprétation et j'apprécie cela. Il est dans son élément et fait son taff comme il devrait. Second élément positif, tu as bien repris le théâtre qui avait été utilisé pour le mariage de Wen Lihua (les amateurs de mariage réussis souriront ici) et c'est très bien.

Ensuite, Irelia, tout simplement.

C'est fluide, c'est agréable à lire, on ne se perd pas. Irelia c'est un personnage intéressant que nous avons envie de suivre et voir grandir car beaucoup de chemins s'offrent à elle. Je vais pas en discuter pendant des heures ici, mais je recommande à chacun de la suivre un minimum car ses évolutions peuvent être importantes (autant pour le Consulat que pour les autres).

Continue ainsi ! J'attends la suite avec impatience Smile

Notation :

Facile : 10 points d'expérience + 100 munnies + 1 PS en Vitesse et 1 PS en Dextérité.
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