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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Le fauve redresse la tête vers le sommet, si loin, et si près à la fois. De son souffle né une brume vaporeuse, s’éloignant et disparaissant dans le lointain.

Son ascension dure depuis bientôt plusieurs heures, et le froid mordant réussi l’exploit de traverser sa fourrure. Comme dans ses souvenirs, atteindre le sommet est une épreuve d’endurance, de force, et de volonté. Il ne peut que se renfermer dans sa foi, creuser au plus profond de son désir spirituel, pour trouver la force de continuer.

Ses pas lui font gagner quelques mètres, difficilement. Le vent hurlant n’est aucunement son allié, soufflant sur lui comme un obstacle de plus à son périple. Une brise plus violente que d’accoutumé manque de le faire chuter, il se rattrape de justesse à une corniche proche.

L’écho de l’impact vient retentir dans la vallée, avant que le silence ne redevienne roi. Il a eu chaud.

Retenant des grognements, le fauve s’extirpe de son mauvais pas, retrouvant le sentier de pierre et de neiges. Faire du bruit est inenvisageable, la neige est ici éternelle, et vierge de toute civilisation. Le moindre changement peut provoquer la chute, et terminer en avalanche.

Bryke ne peut que s’envisager le pire. Le sentier jusqu’au sommet est réputé pour sa tranquillité, mais il n’est pas rare d’y trouver des sans-cœur. Attiré par le temple et plus important, le trésor qu’il renferme.

S'il venait à en rencontrer, son devoir de prêtre-guerrier exigerait qu’il les repousse. Mais l’état de la montagne rendrait la tâche des plus ardue, comme un éléphant dans un magasin de vase chinois.

Le fauve secoue la tête négativement, essayant de chasser ses mauvaises pensées au loin. Sa main vient se renfermer sur un nouveau promontoire rocheux, tandis qu’il se hisse par-dessus.

Sa vision commence à lentement se troubler, une immense brume à perte de vue venant s’installer autours de lui. Qu’importe, il serait suicidaire de s’arrêter ici. L’altitude est telle que sa respiration devient difficile, il a l’impression à chaque inspiration que ses poumons vont exploser.

Et pourtant, il est un ronso, un autochtone. Une race conçue pour la montagne, et vaillant défenseur des lieux. Il n’ose imaginer dans quel état serait un humain à sa place. Une pensée qui le chagrine quelque peu.

Il essaye de focaliser ses pensées sur le sujet, lorsque l’on a mal, il convient de se concentrer sur autre chose. Ici, il ne peut s’empêcher de penser au Sanctum, et à sa montagne bien aimé. Personne ne semblait connaître le Mont Gagazet lorsqu’il était au Domaine Enchantée. Ces collègues sont pourtant tous prêtres d’Etro, prêtres de la dame de la montagne. Ne devrait-il pas eux aussi, être à même d’effectuer ce pèlerinage ?

Évidemment, ce serais vu comme une hérésie de par son clan. Seul les ronsos sont autorisé à gravir le sommet, à contempler du regard le grand temple, le domicile de la dame. Et il y a quelques années, Bryke aurait été le premier à lever son arme contre le moindre intrus.

Pour autant, il ne peut s’empêcher de ressentir une certaine injustice. Lorsqu’il avait visité le domaine, les églises lui avait ouvert ses portes. Les temples à Etro l’avaient accueilli, le voyant comme le fidèle d’Etro qu’il est. Ces prêtres occupent pourtant des rôles similaires, gardien d’une église, gardien d’un temple, mais jamais, ô jamais, ne lui avait-on refusé sa spiritualité.

Remettre en question les principes même de son clan. Il devait être fou...

Un rayon de lumière le sort vite de ses pensées. A force de grimper, il a dépassé la brume.

La vue qui s’élance devant lui est sans pareil. C’est un véritable océan, d’où dépasse quelques îles de roches et de neiges. Les vagues sont d’un blanc cotonneux, tandis qu’elles virevoltent au grès des courants d’air. Une véritable mer de nuages.

Bryke reprend la route, relevant le museau vers le ciel. Il n’a plus l’impression d’être sur une route difficile, aux nuages ténébreux et à l’air lourd. Il est dans un lieu baigné par la lumière du jour, dans le bleu le plus pur qu’il soit.

Devant lui, la neige immaculée à recouvert le sentir, se laissant froisser sous ses pas dans un léger bruissement. L’ambiance aidant, le ronso ne peut que s’imaginer d’autres fauves devant lui.

Des ronsos de tous les âges et de toutes les époques, suivant le sentir comme à l’unisson. Bien d’autres ont fait ce pèlerinage, et c’est comme si la montagne s’en souvenait. Le père se souvient, le père se souvient de leurs visages, de leurs cornes, des empreintes qu’ils ont laissées et où.

Bryke ne peut retenir une pensée vagabonde. Le père se souviendra-t-il de lui aussi ? Quand il ne sera plus, de jeunes ronsos sentiront-il eux aussi sa trace ? Il ne saurait dire, mais une part au fond de lui le souhaite aussi sévèrement que sa poigne sur la façade rocheuse.

Comme pour le récompenser, le vent c’est adouci. Si la température est toujours aussi glaciale, elle en demeure plus supportable. De loin, il doit être impossible de repérer le ronso, sa fourrure se mélangeant aux couleurs de la glace tout autours.

Devant le fauve, c’est un virage abrupt qui l’attend, une très légère bande de terre à flanc de montagne faisant office de route. Bryke s’en approche avec prudence, tâtant de sa main griffue la falaise pour en chercher les meilleures prises.

Son chemin désormais optimisé, il vient escalader avec le peu d’agilité qu’il lui reste. Le poids de son armure n’aide en rien, mais c’est avant tout sa main qui le tire de toute part. Les yeux du fauve en deviennent presque humides sous la douleur.

Cela lui rappelle la douleur qu’il avait ressenti lorsque cette idiote de mongole avait visé sa main. Cela lui semble daté d’une éternité...Combien de temps désormais ?

Le trajet entre la Mongolie jusqu’au Mont Gagazet n’avait pas été de tout repos. Surtout à pieds. Deux mois ? Peut-être plus ? Il a arrêté de compter.

Bryke lâche sa prise, ayant enfin réussi à rejoindre l’autre côté. Reprenant son souffle, le fauve redresse le regard. Enfin...Le voilà...

Le fardeau du père.

Le temple de la dame de la montagne. Gargantuesque, comme s'il avait été autrefois l’agora d’un peuple cyclopéen. Le temple s’élance vers le ciel, sa façade couverte de longues colonnades sculptés de pierres noires. Un grand escalier reliant son immense entrée à une grande place. Les deux immenses portes de pierre en renfermant les milles et un secret, des centaines de gravures en décorant le devant.

Le fauve s’avance sur la place, ses pattes griffues buttant contre la pierre glacée. Il ne peut se retenir une légère pause, le temps d’observer la gravure sous ses pas.

Sur toute la surface de la grande place, est gravé une immense scène. Un cristal y est pleinement visible en son centre, plusieurs icônes représentant des cœurs tournoyant autours. Formant en cercle tout autour du Cristal, sont gravés des silhouettes félines munis d’une unique corne. En dehors du cercle de ronso, plusieurs créatures noirâtres sont dessinées, leurs yeux ressortent particulièrement, de petites perles jaunâtres ayant été insérer pour chacune d’elles.

Les ronso protégeant le temple des ténèbres. Ce n’est pas pour rien que ce lieu porte le sobriquet du “Fardeau du père”. Tel est le devoir du peuple ronso, tel est le fardeau qu’ils doivent porter jusqu’à la fin des temps.

Bryke s’avance en direction des escaliers, toisant la gargantuesque double porte qui le toise depuis le sommet. Mais son mouvement s’arrête aussi vite qu’il a commencé, un léger frisson lui parcourt l’échine. Tandis qu’un bruit très particulier, comme un sifflement, se laisse entendre derrière lui.

Le fauve se retourne immédiatement, observant la créature prenant forme au centre de la place. Il ne devrait pas être surpris, les sans-cœur convoitent ce qui se cache au centre du temple. Il est presque rituel que l’un d’eux essaye de saisir l’opportunité lorsqu’un ronso daigne en ouvrir les portes.

La créature est une sorte de parodie d’un homme. Un homme faisant preuve d’un colossale surpoids, et ayant passé beaucoup trop de temps dans le froid. De nombreuses couches de glaces accrochent la forme du sans-cœur bedonnant, lui donnant un air d’homme des glaces. Seul ses deux billes jaunâtres faisant office de globes oculaires, et son symbole emblématique sur le torse ne laisse aucun doute quant à sa nature.

D’une certaine manière, Bryke en est presque rassuré. Il préfère mille fois que la créature ait attendu qu’il rejoigne une surface solide. Plutôt qu’un combat sur le flanc de montagne, où chaque coup aurait pu provoquer une avalanche.

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Le fauve n’a même pas le temps de dégainer son katana que le sans-cœur s’élance dans une charge vers lui. Si le ronso réussi à esquiver d’un pas sur le côté, quelle n’est pas sa surprise de voir la créature virer avec aise dans sa vitesse pour foncer à nouveau vers lui.

Une fois mais pas deux, le ronso est propulsé sur le côté, roulant contre la pierre givrée. Il se redresse dans un grognement, ses os ayant brièvement craqué sous le coup.

Ce n’est pas un vulgaire sans-cœur qui aura raison d’un prêtre-guerrier de Raï, essaye-t-il de se convaincre.

Le sans-cœur semble se préparer à effectuer une nouvelle charge, mais le fauve n’est pas dupe. Il s’élance d’un super saut par-dessus le bedonnant, profitant de son altitude pour le regarder vriller sans but sur toute la place.

Bryke vient profiter de l’instant d’apesanteur pour dégainer son katana, avant de se laisser retomber de tout son poids sur la créature. La vitesse est bien présente, l’air se faufilant entre ses poils bleus dans un intense sifflement.

La scène semble se dérouler au ralentit pour le fauve, il se voit approcher de plus en plus du sans-cœur. Il vient resserrer sa prise sur la garde de son sabre, avant d’entamer le mouvement circulaire.

La lame vient se fracasser contre la bedaine, tandis que le ronso redresse les pieds pour rediriger un maximum de son poids sur la lame....

...Et c’est le drame. Malgré toute la maîtrise de son mouvement, Bryke a cruellement sous-estimé la résistance du ventre du sans-cœur. La lame se refuse à la traverser, bloquant dans un choc sonore contre.

Le sans-cœur a presque un instant une sorte de ricanement ubuesque, tandis que le fauve vient écarquiller les yeux. La lame de son katana commence à grincer tandis qu’une fissure ne tarde pas à apparaitre.

Comme dans une animation d’un cartoon de la cité du crépuscule, le ventre du sans-cœur vient se contracter et réduire en taille, avant de surgir de plus belle plus gros encore qu’avant. L’effet est sans appel, le ronso se fait violemment projeter au loin.

Un des piliers de la colonnade du temple accueille sa chute, dans un craquement de glace et de pierre. Le ronso en a le souffle coupé, tandis qu’il toussote une fine projection de liquide rouge et chaud. Le katana vient chuter au sol, la main griffue le relâchant sous l’impact.

La gravité ne tarde pas à faire effet, et voilà que le fauve se fracasse au sol. Toussant à intervalle régulier, essayant de reprendre son souffle malgré le liquide qui envahis sa bouche.

Ce qu’il aimerait avoir une keyblade bon sang.

Le sans-cœur n’est pas bien décidé à lui laisser une chance de respirer, voilà que le gros balourd commence à sauter pour prendre de la hauteur, avant de se laisser retomber partout sur la place. A chacun de ses impacts, une nouvelle onde de choc vient frapper le ronso.

C’est comme s'il était à terre, et qu’un individu venait volontairement le rouer de coup de pieds.

Dans un moment de lucidité, sa vision se troublant sous la douleur, il vient redresser ses mains.

Son premier signe consiste en les mains écartés, l'index, pouce et majeur de chaque main joint par le bout des doigts et écarté. Petit doigt et annulaire de chaque main liée. « Rin »

S'en suit un nouveau signe, Paume de la main droite retourner, paume de la main gauche au-dessus. Doigt joint entre eux. Pouce de la main droite croisé avec le petit doigt de la main gauche. Il le reproduit deux fois. "Kai+Kai"

Il vient conclure avec la dernière mudrâ, repliant sa main droite en un poing, avant de tendre l’index, comme s’il demandait le silence.

Ce sont de petites lianes qui viennent s’échapper de l’index griffu du ronso, rampant dans les airs, comme retenu par une main invisible. La liane vient doucement tourner autour du ventre du ronso, avant de s’immobiliser, laissant une fleur blanche naitre et grandir.

La fleur a à peine eu le temps de fleurir, qu’elle explose, avec la liane, en une poudre fine et étincelante. Un sort de Soin.

Le sortilège n’a rien de puissant, mais au moins a-t-il le mérite de soulager légèrement les blessures du fauve. Il n’est pas tiré d’affaire, mais au moins, il parvient à se relever. Le contrecoup du sortilège ne se fait pas attendre, il se sent soudainement vidé, incapable de la moindre magie. Il n’a jamais su pourquoi, mais la magie de guérison a toujours eu ce talent à lui dévorer la moindre goutte de magie dans son corps.

Son œil s’écarquille en voyant le bedonnant rebondir partout. S'il remercie la couche de glace de protéger la place et sa gravure des dégâts. Il ne peut s’empêcher de s’inquiéter de l’influence qu’aura ce bouquant et les ondes de chocs sur la neige avoisinante.

Il faut qu’il l’arrête, et très vite. Ou il retrouvera le Poing du Père sous la neige en redescendant.

Le sang toujours aux babines, le fauve vient ruer vers son katana, le saisissant d’un geste sec, avant de continuer sa course vers le sans-cœur.

Voilà que ce dernier s’apprête à toucher le sol une nouvelle fois, le ronso saute dans un grognement de douleur, évitant de justesse l’onde de choc. Par les éternelles, s'il survit à cette rencontre, il ira apprendre des sorts de soin plus puissant. Il s’en fait la promesse.

Ruant vers son adversaire, Bryke garde le sans-cœur dans sa ligne de mire. Ce dernier ayant touché le sol, le voilà qui s’élève à nouveau en altitude.

Et c’est le déclic.

Bryke voit bien la bedaine de son adversaire, couverte de glace, et si remplie qu’elle ressemble à un ballon prêt à exposé. Mais ainsi sous son adversaire, il peut également remarquer le dos du sans-cœur, qui semble étrangement mou et presque...effrité.

Un point faible ?

Laissant une gerbe de sang se dégager de sa gueule, le fauve vient ignorer la douleur un temps pour prendre une impulsion. Pliant ses grandes jambes de fauve pour camper sa position, avant de s’élancer dans les airs en direction de son adversaire.

Le sans-cœur ne semble pas capable de se tourner, son ventre dirigé vers le sol pour mieux rebondir, le ronso le dépasse. Son dos, son dos est pleinement visible.

Si l’envie de rugir le prend un instant, Bryke n’en oublie pas la neige, et se retient. Préférant saisir sa lame à deux mains en priant Raï qu’elle tienne le coup.

La gravité vient à son tour faire office, tandis que le ronso retombe en plein vers le dos de la créature. Redressant haut les bras pour armer son coup, Bryke en vient compter les mètres. Il va le transpercer en plein dans le dos...

Trois mètres avant impact...Deux mètres…Un mètre...

S'il s’approche dangereusement de son adversaire, ce dernier s’approche tout aussi dangereusement du sol.

Si Bryke était capable de suer, ce serait à très chaudes gouttes qu’il finirait cet instant.

La lame vient s’enfoncer dans le dos du sans-cœur, tandis que ce dernier vient heurter le sol. Rebondissant sur son ventre, son inertie vient le propulser en arrière, enfonçant de quelques centimètres en plus, la lame.

La scène fait effet de tremplin, propulsant à nouveau le ronso dans les airs. Ce dernier vient serrer les dents, lâchant son arme pour la laisser dans le dos de son adversaire.

Il essaye de se retourner, d’anticiper sa chute pour mieux se rattraper, mais cela va beaucoup trop vite.

Il ne peut qu’entendre le craquement de ses os, et le bruit de sa chute contre la glace. Des gigantesques fissures viennent se dessiner sur la place, témoins de l’affrontement.

Bryke n’arrive plus à bouger, l’espace d’un instant, c’est la panique qui l’envahit. Il s’est surement cassé quelque chose. Il n’arrive plus à bouger son bras droit, tandis que ses jambes et son dos l’insultent comme jamais.

Il redresse néanmoins la tête, cherchant le sans-cœur de son œil valide. Toute la scène autours de lui semble flou, tangente.

Il aperçoit néanmoins au loin, une forme volumineuse comme prise de boursouflement. Avant de sobrement éclater en une pluie de poussières noirâtres. Le bruit distinct d’une lame de métal vient retentir à ses oreilles tandis qu’elle touche le sol.

Respirant avec difficulté, Bryke sent sa tête tournée, son œil lutte pour rester ouvert.

Et c’est le noir.

Cet endroit...Porte bien son nom...Quel fardeau...
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C’est ainsi que j’ai rigolé en reparlant d’un point de la série KH que j’ai toujours trouvé stupide ! Bon, d’accord, c’est un point de gameplay qui augmente la difficulté, mais bon !

Imagine, sur FF9, au moindre sort de soin de Dagga ou Ecko ? Ce serait la loose.

Toutefois ! Moi, j’aime quand les gens se donnent des contraintes et s’y attachent pour l’attrait du texte. Néanmoins, c’est vraiment la loose de ce balancer un sort différent de sa propre harmonie. Vilain système de compétence ! Il nous vol notre travail.

Donc, le rp ?

J’aime pas mal les deux parties du texte, le côté ascension et le combat qui s’ensuit. En fait, j’apprécie ce parallèle (comme les deux parties sont quasiment pareil) que l’un ou l’autre tâche ce retrouve terriblement difficile pour Bryke.

Mais ce qui est bien, c’est que la difficulté se retrouve différente dans l’un ou l’autre cas.

Enfin, j’ai pas tant que ça à dire. J’aime pas mal le rp et c’est pas ici que j’ai le plus de truc à critiquer. T’inquiètes, ça viendra ! Sinon, j’avais zappé que Bryke avait un katana.


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