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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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« Bon, l'étape numéro trois du plan a changé. »

« Nan mais si y a pas de plan, y a pas de plan. »

« Honnêtement, plan ou pas plan… »

« Je crois que ca serait encore pire s'y avait vraiment un plan, en fait. »

Jack s'apprête à hurler de toutes ses forces et le tableau de bord n'y survira pas. Aucune chance qu'un vaisseau millitaire low-cost -prêté en plus- comme celui-là soit assez résistant pour que ses ordinateurs de bords encaisse une onde de choc pareil.

« CHUT ! » Crocs déployés, l'index devant son sourire de requin pour ordonner le silence et l'air de retenir la morsure, la main disponible armée qui lève une matraque menaçante face à la dizaine de gardes noirs ! Y en a trois qui s'amusent systématiquement de leurs petits commentaires mais c'est toute la bande de bleusaille qui prend. Jack fronce les sourcils, déjà froncés mais qu'importe, son visage marque une expression difficilement lisible à un étranger ; soit un "fait gaffe à ton cul" très parfaitement audible à un garde noir. Face à cela, bien que ne masquant pas un sourire pas peu fier de lui, Lamont se râcle la gorge et explique alors posément aux larbins le problème de leurs raisonnements. « Rassurez-vous mes chers petits collègues et frères d'armes, il y a bien un plan ! Et il est brillant. »

Jack n'en revient pas. Déjà que d'avoir une seule bleusaille qui puisse croire à un semblant de plan lui apparaitra comme un inexplicable exploit bien plus glorieux que l'objectif final de la mission à laquelle est censée amener le plan. Alors d'avoir réussi convaincre Lamont qui est loin d'être le plus con… ? Au point celui-ci se met à convaincre le reste de la troupe, jusqu'ici tous incrédule ? Enfin ! Se dit le Chien Noir dans les méandres de son esprit ; enfin il commence à maitriser l'art de la psychologie. Sa posture se redresse, droite et digne au point que Vald en lâche un hochement de tête approbateur… quoiqu'un peu paternaliste sur les bords. Ca tilte Jack sur les bords quand même mais… sinon un bref détour de ses pupilles, l'intendant se remet à fixer la scène aussi sérieux que calme, plus digne que la statue d'un empereur.
Là, il a de la gueule comme chef. Le petit sourire serait de trop, ca casserait tout l'effet se dit Jack… et dans un éclair de génie théâtrale, l'intendant refait face aux vitres du cockpit comme si toute la petite scène n'était à ses yeux… que futilités.

« Ceci, mes petits loups… est un plan modulable. Certaines étapes sont fixes et rivés, gravés dans le marbre parce que la force vient d'un esprit structuré, rigoureux et discipliné. D'autres sont remplaçables et inter-changeables et changeables, tout simplement ! Être fort ne suffit pas, il faut être souple et flexible aussi pour parer à toutes éventualités, pour s'adapter et l'emporter ! De corps comme d'esprit, l'on doit toujours allier la forces à la souplesse.»

« C'est… plus réfléchi que ça en l'air, en fait. »

« Etrangement, ca parait cohérent. »

« Ce concept de plan est pas con, j'avoue. »

Jack n'ose y croire véritablement, c'est… c'est brillant… comme plan. Drôle de morale pour un Coalisé mais le Chien Noir n'aurait jamais dû perdre espoir en sa capacitée à mener la garde noire. Sa garde noire, bon sang ! Et ça continue alors que Lamont, sous les yeux d'un Jack qui croit voir un autre candidat potentiel que Skinner à sa succession, continue d'expliquer avec une assurance sereine touts les rouages d'un plan… disons-le honnêtement… sans faille aucune.
Pour rien au monde… pas même les dieux, pas même Death… l'intendant ne casserait son stoïcisme puant d'orgueil pour rien au monde ; là, on a vraiment l'impression que c'est un chef craint et respecté !

Les Coalisés ont tendance à penser que crainte et respect son synonyme, Jack le premier mais… là, il commence à en douter.

« Et débiles comme vous êtes, vous croyez vraiment qu'il y a un plan parce que je vous le dis ?! » Conclut-il avec un rire cruel s'adressant au Chien Noir alors que ses yeux fous inspecte les bleusailles en quête d'un geste de travers, jonglant de sa matraque comme si ça le démangeait. « Haha… ! Jack nous baratine avec son plan parce que ça le rassure, visiblement… et parce qu'il espère nous rass-... »

L'intendant est déjà là, furieux ! Profondément vexé alors qu'il fait s'effondrer d'un coup de paume en biais, sec et violent, dans la gorge. Tellement tendu qu'il en tremble, se retenant de hurler face à ce pauvre blagueur à deux sous -c'était lui le poisson rouge, en fait ?! Ca serait bien son genre !- bien trop moqueur à son goût. Pourtant, dérrière la colère, il y a le regard vibrant du doute et de l'inquiétude, un sourcil -un seul- sursaute alors. Les bleusailles, à défaut d'avoir sursauté, ont toutes reculés en silence et sans même penser à dégainer leurs armes.
Les yeux rivés sur… Lamont… tout mou au sol et… ne dégageant plus rien, plus un seul mouvement perceptible sur la grande tige.

« Heu… » L'air de peser ses mots, Vald finit très par vite poser la question. « Tu l'as tué ou pas ? »

« Je sais pas trop. » Répond Jack, toujours figé dans la même position qu'au moment où sa paume à frapper. Plus ca va, moins il parait furieux et plus il reste là, pas franchement rassuré vu son air médusé. Ca a fait… incroyablement mal au coeur de l'intendant, cette petite plaisanterie de Lamont. Et peu importe que ce ne fut pas une plaisanterie, Jack a juste incroyablement mal pris d'avoir espérer avoir un leadership qui dépasse le bon vieux "Fais ce que je te dis ou je te botte le cul". Nan, vraiment… le pauvre homme ne bouge plus, a carrément l'impression de sentir son coeur se brisé. « S'il est mort… » Son regard se lève et se détourne du brave Lamont pour regarder la bande de bleusaille. Triste, peiné, déçu… honteux de lui comme des tanches qui composent majoritairement l'équipage et soupirant d'indulgence mais de beaucoup de mépris aussi. Puis il se met à regarder Lamont comme un père admirerait le corps de son fils à ses pieds. « …ça m'arrange pas. Bref, on verra bien s'il se reveille. »

Et comme si de rien n'était, après un petit regard angoissé à l'attention de son récent petit protégé, Jack reprend comme si de rien n'était.

« Pourtant, il avait raison sur la nature de mon plan. » Un plan formidable, maintenant que Jack le voit comme ça. « L'étape une et l'étape finale sont des étapes fixes auxquels je ne dérogerais pas. Tout le reste, c'est des étapes qu'on peut modifier. »

« L'étape finale, ca se joue entre réussir la mission ou tous mourir. »

« Du coup, c'est une étape plutôt fixe mais relativement modifiable… »

« C'est quoi la première étape déjà ? »

« De la fermez ! » Râle l'intendant, toujours vexé d'avoir cru en lui à cause des bêtises de Lamont. Il s'est fait avoir comme un bleu, c'est normal d'être aussi naïf avec un job comme le sien ? Le problème de l'espoir, c'est qu'il n'apporte tôt ou tard que la déception en reprenant impitoyablement tout ce qu'il pu donné avant. « On n'avancera pas si vous bloquez déjà à la première étape du plan. Et ca n'a pas de sens alors qu'on a déjà accomplis la deuxième alors… là, j'explique la troisième étape. »

Jack se calme vaguement, peut-être, à l'idée que Lamont l'ait tout simplement retenu sciemment de crier. Ou alors ça l'énerve encore plus mais… il est temps d'enchainer. Faire trainer cette mission ? C'est tentant mais à un moment ou à un autre, il faut arrêter de retarder l'échéance… à un moment ou à un autre, cet équipage va devoir se confronter à Apollon et arrêter de désespérément l'esquiver.

« On a conclu avec Vald et… » Un regard interloqué sur Lamont que Jack pique du bout de pied et… il a pas l'air mort ou au moins pas encore. Bref, il est aussi bien par terre à se taire, maintenant que Jack y pense, espérant quand même qu'il se relève. Dire que l'intendant lui reprochait de ne pas savoir se retenir, d'être trop violent avec les larbins qu'il frappait, blessait, mutilait et estropiait pour rien au point de faire saturer l'infirmerie ! Le Chien Noir n'est finalement pas mieux mais… allez bon sang, faut reprendre ! « …l'autre con, là… que le meilleur moment pour tenter notre chance, c'est quand Apollon se trouve encore dans le monde du Colisée de l'Olympe. Soit un peu après le levé du soleil, soit un peu avant qu'il se couche. »

« On a bien pensé à voler un éclat du soleil en douce mais… le soleil n'est accessible que le temps qu'Apollon conduit son char. Avant de décoller ou après avoir atterrit, le soleil s'éteint et disparait, tout simplement. »

« Sans oublier que lorsque le soleil ne poursuit pas sa course, la nuit donc, il se repose tranquillement au Mont Olympe et bon, déjà qu'on est pas chaud pour se frotter à un seul dieu… on va éviter de se faire remarquer par tout le reste de la clique olympienne. » Jack croise alors les bras parce que… il a un morceau de plan, plus ou moins, pour l'instant. Est-ce que ca sert vraiment à quelque chose, par contre ? Difficile de se rendre compte de ce que ça implique d'allez s'en prendre au soleil en personne, comment peut-on prétendre anticiper quelque chose comme ça ? « On va commencer par regarder Apollon et… voir à quoi il ressemble avec son char et son soleil… même si j'ai cru comprendre que le soleil, c'était plus ou moins lui-même. Bref, faut regarder ce qui nous attends en face, les yeux dans les yeux et… sans que nos yeux en brûlent, si possible. »

Jack se tord quasiment le cou pour regarder au travers du cockpit…

« Le soleil se lève dans peu de temps… Vald, on est en position ? »

« Affirmatif. » Répond-il en enfilant ses lunettes de soudures, suivis de Jack et du reste de la garde noire. Tous attendent, alors, d'admirer le soleil qui se lève… plus humble que jamais au court de leurs si courtes de vie, grains de sables face à celui qu'ils ambitionnent de voler.

La nuit noire saigne alors un point lumineux et l'hémorragie se répand, lentement, d'un jaune fusion parfait et éthérée, progressivement orangé ; la couleur qu'à la lumière. D'un instant, l'étendue noire visible depuis les hauteurs du vaisseau… passe au bleu, s'il y avait quelques nuages gris ou noirs, les voilà plus blancs que les visages soudain livides des insolents gardes noirs. C'est rapide, visiblement, bien qu'à leurs yeux horrifiés, le spectacle se déroule affreusement lentement. Apollon démarre son char, il apporte la chaleur en un instant alors que son puissant éclat irradie au travers des taules ou des vites ; de la lumière qui vous change tout un monde ; d'un je-ne-sais-quoi qui vous force à faire profil bas.
Cela remémore à l'intendant ce sinistre jour où Xehanort a coloré le soleil de noir comme pour planter un étendard sur son monde.

Ici, quand le soleil se lève, le monde tout entier se réveille ; les créatures maritimes plongent et bondissent de la surface ; des oiseaux finissent de migrer sur des îles ou viennent de s'y envoler ; les différents bateaux apparaissent ; sur les quelques îlots ou morceaux de terres, des brasiers s'éclairent. Quand Apollon se lève, le Colisée de l'Olympe dit bonjour et baisse son chapeau, l'on entend des voix lointaines pleurer de l'Olympe son départ même si ce n'est que pour une journée.
Trop loin… pour qu'on distingue quoique ce soit sinon toute la puissance solaire du dieu-astre.

Sa course va, progressivement, les chevaux supposés de son char probablement aux trots avant de glisser crescendo au galop. A un moment, le vaisseau en vol stationnaire sera à la même hauteur d'Apollon, à quelques kilomètres seulement. Ca n'est que dans plus d'une dizaine de minutes mais… déjà, tout le monde transpire dans le vaisseau ; de sueurs froides et chaudes à la fois.

« C'est… » Ca parait évident, et pourtant, s'ils se savaient tous depuis le départ… ils vont finalement s'en rendre compte. « …un dieu… c'est… »

Des bips bips, des lumières qui brillent suffisement forts pour menacer d'exploser, une sirène criarde de voix synthétique sans âme qui se voudrait femme, des systèmes anti-incendie qui se déclenche sans fumée mais seulement grâce à la chaleur. Jack renifle ; il commence bien y a avoir une odeur de fumée qui se dessine grise aux yeux de l'équipage. Tous sentent leurs chaussures ramollirent et leurs brûler les pieds, la peau cuite dans cette prison volante qui devient four. Très vite, à plusieurs kilomètres de là, Apollon n'est même pas encore au même niveau qu'eux ; il le sera bientôt mais les gardes sont éblouis, ne voit plus qu'un monde inondé de lumière et de feux blancs depuis un moment.
Malgré les lunettes de soudures, les pauvres mortels sont déjà éblouis et… lorsque la vue leur revient, Apollon est déjà partit au loin chevauché à travers les routes stellaires.

« …le soleil… »

L'alarme continue, la voix du danger aussi ; ses lumières vifs et rouges particulièrement criardes ne les interpellent même plus après le passage du dieu-soleil. Trop choqué pour entendre quoique ce soit, ou pour sentir l'eau bouillante qui s'évapore à même leurs peaux. Se pensant dans un silence complet, Jack doit se retourner et voir ses gardes hurler pour comprendre d'où viennent les bourdonnements sourds de ses oreilles, pareil à de quasi-muettes acouphènes. Lui-même sent ses brûlures comme marqués au fer rouge, le reste de son corps comme retrouvant l'étreinte des flammes de Roxas.

« Surchauffe système ! Surchauffe système ! Surchauffe système ! Surchau- »

Et c'est le blackout, tout s'éteint. Icare connait ça.

Quelqu'un bouge encore, par contre ; Lamont. Celui-là bien forcé de se réveiller alors qu'il a pu se sentir en train de cramer, encore doté de suffisement d'instinct survie. Le voilà qui s'active connait peu, armée d'une grande vitesse mais de connaissances bien maigres en ingénierie. Le vaisseau dégringole lentement, penche d'un côté de plus en plus rapidement pour amorcer un tonneau aérien et bien décidé à accélérer. Celui qui n'a pas eu l'audace -malgré lui- d'oser poser ses yeux de trop près sur Apollon n'a ni la vue dévastée, ni l'esprit détruit et ramené à sa pauvre condition de mortal face au divin.
Par on ne sait quel miracle, cependant, le vaisseau se remet droit et file.

« Pilote automatique d'urgence activé ; protocole de retour au vaisseau-mère engagé ; code X7896-C3KT-LOL400 accepté. La Shinra remercie votre effort éco-responsable et vous souhaite une bonne journée. » Personne n'en revient tandis que l'équipage retrouve vaguement ses esprits… c'est… un miracle… ? Essoufflé, au bout de sa vie, Lamont est le seul debout et choqué, ne comprenant rien à ce qu'il se passe. La Garde Noire se relève peu à peu, admirant les différents circuits carbonisés toussant leurs étincelles sans discontinuer dans des flaques d'eaux aux formes mouvantes ; ca fume par endroit et la voix synthétique déraille, buguant monstrueuse, le tableau de bords très visiblement frappé à grands coups de battes.

« C'est hors de question qu'on se laisse embarquer jusqu'au vaisseau-mère ! C'est un coup à ne plus jamais en ressortir… faut qu'on saute à l'eau, c'est plus sûr. »

« Tu te rends bien compte à quel hauteur on est ?! »

« Je fais pas tellement confiance à la gravité ; encore moins à ces fumiers en costards dont on ne prononce pas le nom ! »

« Attends ! Faut qu'on essaye de reprendre le contrôle du vaisseau avant de se jeter à une mort certaine ! »

« Plus on attends, plus on va vers l'espace, non ?! Donc plus on attends, plus la mort est certaine ! »

BAM ! Lamont remet un coup de batte dans le tableau de bords, l'air un peu gêné d'interrompre la discussion et un sourcil levé, curieux du résultat. Tout le monde inspecte très méticuleusement les différentes lumières qui brillent, s'éteignent et s'allument, clignotent un peu partout.

« Pilote automatique d'urgence désactivé ; protocole de retour au vaisseau-mère annulé ; reconnaissance rétinienne accepté. La Shinra tient à vous rappelez que touts dégâts sur "votre" vaisseau ou sa perte engendreront des facturations compensatives particulièrement lourdes. Tout refus de paiement sera considéré comme une activité criminelle que la Shinra se permettra de réprimer selon son règlement intérieur. Bonne journée et merci de votre confiance. »

« Elle peut pas fermer sa gueule l'autre connasse  !? »

« Ce n'est pas très gentil de dire ça. »

« Bon… malgré ça, le pilotage manuel fonctionne encore mais je vais nous posez tant qu'on a plus ou moins le contrôle du vaisseau, c'est plus prudent. »

« La Shinra vous rapelle que le règlement intérieur interdit formellement toutes insultes et plus particulièrement les propos discriminatoires à teneurs racistes, homophobes ou sexistes. »

« Si t'as "plus ou moins" le contrôle du vaisseau, pourquoi il me rapelle à l'ordre ?! Et comment Lamont arrive à le piloter à coups de mattraque ?! »

« La Shinra vous rapelle que le règlement intérieur stipule que le port et l'usage de "bâton de discipline répréhensive" au sein des infrastructures de la Shinra ne sont autorisés que pour les SOLDATS agrémentés troisième classe, deuxième classe, première classe ainsi les cadres disposant d'une autorisation spéci-... »

« LAMONT FAIT LA TAIRE ! »

Coup de batte ! La voix ne répond pas mais tout se remet en alerte rouge et Vald a beau piloter de sa vie, suffit de le voir pour comprendre qu'on ait passé de "plus ou moins" le contrôle du vaisseau à "pas du tout". Heureusement, l'ancien a eu le temps de se mettre en direction d'un îlot de terre perdu dans les eaux enlaçant la Grèce. Quitte à se crasher au milieu de nulle part, encore se crasher quelque part.
Blackout dans le vaisseau.
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Trop de plan, tue le plan. Dans l’doute, tu fonces dans l’tas et tu casses des trucs. Ça fonctionne, une fois sur quinze. Alors, ici ? Même chose que dans le commentaire précédent, tu suis la même veine. Donc ? Pas grand-chose à dire.

Si ! J’viens de me souvenir que tu avais été avec Arthur pour t’arranger avec la journuit, le destin est quelque chose de compliqué.

Donc, qu’est-ce que j’dois dire d’ici. Une fois de plus, j’ai pas vraiment de remarque négative à souligner. Seulement des moments « meh » plutôt quie des vrais trucs. Ici ? C’est le moment où le protocole du vaisseau c’est activé. Autant, j’ai rigolé à la première partie, sauf que j’suis resté de marbre au réponse des coups de batte.

Bon, j’aime l’idée de « Big Brother » avec les détails liés au fait que la Shin’ra vous enregistre ! Mais, j’sais pas, j’me retrouve pas dans H2G2 avec un vaisseau possédant une conscience.

Sinon, le gros point positif, ce sont les descriptions.

En fait, avec toi, j’ai la sensation qu’il n’y a pas de « juste milieu ». Nous sommes, soit à la rue ou c’est l’avalanche de détail. Mais souvent, quand tu t’y met, c’est bon. Là, j’ai adoré le décollage et j’me suis vraiment senti dans le cockpit sous la chaleur du soleil.

Et j’me suis aussi dis que la zone de décollage d’Apollon est vitrifié, mais c’est un détail.

Donc, voilà ! Vivement le débarquement de Normandie sur l’île de l’Olympe, est-ce que ce sera comme « Code Geass » ? La suite, bientôt… ?



Facile : 12 points d'expérience + 100 munnies + 2 PS en Défense ! Ton pantalon est mouillé, sûrement la transpiration… Je crois ?
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