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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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« Et je vous remercie encore de votre précédente lettre, cher Consul. J’espère vous voir bientôt à Chengdu.

Cordialement,


Songzi Huayan, Consule de l’Étiquette, Ambassadrice des Cités Dorées du Consulat en Terre des Dragons, Gouverneur et Dame de Chengdu. »


Un courrier de prêt. Je le mets sur la pile à droite de mon bureau et je prends un journal de l’Éclaireur pour voir les dernières nouvelles. Je profite du calme de la pièce pour souffler un instant.

Le bureau a des fenêtres pensées pour faire ombrage. Seule une partie de la lumière passe, ce qui fait que la pièce est un peu plus sombre que les autres, mais il y fait plus frais. C’est donc plus facile de lire, de travailler et de faire un peu de calligraphie.

On tape à la porte.


« Tsssss… Pile au moment où je pouvais souffler. » murmuré-je.

Je lève le regard de mon journal vers l’entrée.


« Entrez. » lancé-je.

Wuhan, chef de ma garde rapprochée, se présente à moi avec toutes les formalités d’usage. Je lui fais signe de se redresser pour qu’il parle.


« Xupeng souhaiterait vous parler, ma Dame. » annonce-t-il.

Je sais que nous avons un protocole très strict, mais pour la famille, les amis on peut accélérer la chose. Xupeng me connaît depuis ma naissance, il m’a éduqué et élevé. Nous pouvons nous permettre un petit écart quant aux règles et aux ordres que je donne.


« Faites-le entrer.
- Très bien ma Dame.
- Parcontre, Wuhan…
- Oui ?
- Quand il s’agit de Xupeng, d’Harch, de Francis, toi ou Noah, vous pouvez vous permettre de les laisser passer et de me les amener directement. Ce sont des proches, il n’y a pas besoin d’autant de formalités.
- Comme vous le souhaiterez ma Dame. »

Il s’incline très poliment et repart d’où il est venu. Xupeng passe la porte et me salue modestement à son tour.

« Comment vas-tu Huayan ?
- Je viens de finir plusieurs courriers pour des consuls de la Terre des Dragons.
- Encore des invitations ?
- Oui, j’aimerais en voir le plus possible. Il faut bien qu’ils soient au courant que je suis un peu leur référente sur ce monde maintenant. C’est nouveau, il faut que le temps que l’information se diffuse.
- Vous avez pensé à contacter l’Éclaireur pour qu’ils fassent le relais de votre nomination consulaire ?
- Oui… Mais je préfère attendre encore un peu. Je prends mon temps sur point-là. »

Oui. Je préfère que ma nomination arrive peu à peu à l’oreille des gens. Quand les gens qui sont importants seront tous au courant, là je ferai une annonce officielle dans l’Eclaireur. Et si ça ne les intéresse pas ? Hé bien je me rendrais au Jardin Radieux pour directement aller leur parler en face à face. N’est pas né le crieur public qui refuse de communiquer sur Dame Song.

« Les travaux de rénovation des jardins avancent bien. Ce sont les plus rapides que nous ayons à faire à vrai dire. J’ai déjà demandé à des ouvriers de rénover les trois bâtiments que vous vouliez dédier à nos amis les oiseaux. Ils ont commencé à réparer la toiture et les charpentes ce matin.
- Parfait. Allons donc voir ces rénovations dans les jardins, je veux voir si le paysagiste a bien travaillé ou pas.
- Hum… Vous êtes sûre ? Vous ne voulez pas plutôt voir lorsque ce sera fini ?
- Comment ça est-ce que je suis sûre ? Il y a un problème ? »

Oh. Je reconnais cette tête Xupeng, il y a un problème. Qu’est-ce qu’ils ont fait aux jardins cette bande d’incapables ? Déjà que ce n’était pas très beau à la base, je ne vois pas ce qu’ils ont pu imaginer de plus moche.

« Nous y allons immédiatement. Prend les courriers avec toi, nous allons les déposer en passant. » lancé-je, légèrement inquiète.

Nous quittons le bureau. Je m’arrête un instant au niveau de Wuhan.


« Gardez le bureau. Personne ne rentre. Je reviens bientôt.
- Oui, ma Dame. »

Je pars avec Xupeng, après un court détour pour déposer le courrier à envoyer, nous nous dirigeons vers les jardins du palais. Nos pas sont pressés. Effectivement, c’est un énorme chantier. Ils ont retourné la terre, asséchés les étangs, certains arbres ont été arrachés et gisent sur le sol.

En soi, qu’ils nettoient un peu, ce n’est pas vraiment un problème. Il faut faire de la place, réarrangez la structure des jardins. D’accord, c’est nécessaire. Le souci devient potentiellement plus agaçant lorsque cette bande de sans-goûts sont en train de me faire des massifs de fleurs absolument affreux !


« Mais qu’est-ce que c’est que ça ?
- Ce n’est pas encore fini, il faut peut-être attendre la…
- Va me chercher le paysagiste immédiatement. »

Il incline légèrement la tête et se retire au pas de course pour aller chercher l’auteur de ce massacre. Non mais depuis quand faisons-nous en Chine des massifs de roses de toutes les couleurs ? Je n’ai rien contre le rouge, le jaune et l’orange, mais le tout mélangé de façon complètement aléatoire donne un résultat quelque peu dérangeant.

Je vois qu’ils ont aussi commencé à creuser un trou que j’imagine pour un petit étang -et encore, je ne préfère pas trop m’avancer- alors, les étangs c’est très bien, mais on ne les met pas à côté des fondations sinon le bois et la pierre vont être endommagés par l’humidité et l’eau ! Il sort d’où cet artiste encore ?

Xupeng me ramène un homme plutôt jeune, un peu moins de la trentaine. Plutôt costaud aussi. Il a l’air intimidé par ma présence : bien. Il s’incline très bas pour me saluer et ose à peine parler.


« Vous… Vous m’avez appelé, ma… Ma Dame ?
- Oui en effet. Qu’est-ce que c’est que ce travail ? C’est quoi cet assortiment de fleurs ?
- Hé bien… J’ai pensé que vu que vous aviez vécu sur d’autres mondes avant de revenir à Chengdu, peut-être aimeriez-vous quelque chose de moins traditionnelle ? »

Tssss… Bon. Il a l’air honnête et complètement terrifié. Rétrospectivement, je me dis que j’aurai dû demander à la Consule Pamela de venir s’occuper de ça. Au moins, les fleurs auraient été magnifiques. Mais bon, maintenant qu’ils ont défoncé tous les jardins, je ne vais pas montrer un tel chantier à la dame.

« Alors… Voilà le chantier ! Débrouillez-vous avec ce foutoir ! Merci ! »

Non. Non, non, non. Je ne vais pas mourir de honte devant une potentielle personnalité importante du Consulat à cause de… D’un paysagiste qui a cru bien faire en plus. Bien. Bien. Bien. Qu’est-ce que je vais lui dire à ce pauvre homme ?

« J’apprécie votre… Proposition esthétique. » commencé-je pour éviter de le brusquer tout violemment. Il est responsable des jardins, c’est important.

« Cependant, j’apprécierai que notre culture soit respectée partout… Y compris dans mon palais. Donc je préférerai que vous me fassiez quelque chose de traditionnel… Et de beau de préférence.
- Ah d’accord… Je vais faire de mon mieux !
- Oui ! Ce serait apprécié… »

Il s’incline et s’éloigne, rapidement sans regarder derrière lui. Il va crier sur ses ouvriers pour qu’ils abandonnent ce qu’ils font pour recommencer le travail.

« Et pas d’étangs le long des murs, s’il vous plaît !
- Oui ! Bien sûr ma Dame ! Bien sûr ! »

Xupeng se met à côté de moi. Il attend ma prochaine réaction.

« Xupeng.
- Oui ?
- Qui paye pour les ouvriers ?
- Officiellement, vous avez passé ça sur les notes du projet du Temple des Arts, ma Dame.
- Bon… Et bien, cela aurait pu être pire. Veille à surveiller le chantier. Quand quelque chose est moche, demande-leur de recommencer. Je n’ai pas envie de revenir tous les quatre matins pour voir s’ils ont fait une nouvelle horreur.
- Nous surveillerons ce chantier avec attention, oui. »

Bien, maintenant que la catastrophe a été… Prévenue disons, il faudrait que je retourne à mon bureau. Il faudrait en effet. Mais un corbeau vient se poser à côté de moi. Un message à recevoir apparemment. Et il a l’air bien pressé.

« Wen Jing a quitté sa maison. Il part en direction de la porte nord. Il a deux hommes qui l’escortent pour l’instant, ils sont tous les trois à cheval. Quels sont les ordres ?
- Continuez de les suivre. Demande à un corbeau d’attendre à la sortie nord du palais.
- Compris ! »

L’oiseau repart dans les cieux. Il va falloir faire vite. J’invite Xupeng à continuer son travail ici et je repars rapidement en direction de mon bureau. Je traverse les longs couloirs, je salue les serviteurs et mes gens lorsque je les croise, tâchant de donner une image autoritaire mais bienveillante. Question de réputation.

Qu’est-ce que va bien faire Wen Jing dans le nord ? Quelque chose n’est pas normale. Il va falloir frapper maintenant. Je ne peux pas prendre le risque qu’il continue les intrigues à Chengdu, encore plus si c’est contre ma famille. Tous ces gens ne sont pas morts pour rien.

Une fois revenue à mon office, j’interpelle immédiatement Wuhan.


« Dans mon bureau, tout de suite. »

Il obéit en vitesse. Gare à celui qui discuterait le moindre ordre, d'autant plus lorsqu'il est aussi simple. Il referme la porte derrière lui, je me mets derrière mon bureau. Je ne m’assois pas. J’essaye de jouer sur mon environnement pour paraître plus impressionnante, ou pour rappeler mon statut.

« J’ai une mission à vous confier.
- Nous sommes heureux de vous servir ma Dame. »

Je sors de derrière le bureau pour m’approcher de lui, de très près. Contrairement à d’habitude, je ne cherche pas à me mettre sur la gauche ou la droite, je me mets devant lui. Et je rentre dans sa zone de confort, il ne recule pas. Il ne peut pas.

« Vous allez mener une mission de « neutralisation ». Un homme voyage avec une faible escorte en direction du nord.
- D’accord. »

Je me détourne un instant de lui pour lui tourner autour. Je laisse ma main lui toucher le dos de son armure, avant de remonter vers son épaule lentement. Est-ce que je cherche à le séduire ? Oui. J’ai bien vu comment il me regardait, je sais bien qu’il me trouve attirante. Autant en profiter pour renforcer sa loyauté.

« Il s’agit de Wen Jing. Nous soupçonnons qu’il veuille se retourner contre moi et ma famille. Nous ne pouvons tolérer un tel risque.
- Je comprends, ma Dame. »

Il avale sa salive et je me remets devant lui. Je fais mine de remettre le col de son vêtement. Il garde le regard droit, mais je sens la tension qui règne dans son corps. Il a un certain contrôle pour ne pas bouger d’un poil.

« Vous allez l’attaquer et faire passer ça pour une attaque de fanatiques.
- Comment, si je puis me permettre ?
- Excellente question Wuhan. »

Je m’éloigne de lui pour aller à mon bureau dont je sors le médaillon que j’avais récupéré sur les restes d’Yijun. Comme quoi, cette petite tortue argentée va nous servir plus tôt que prévu. Je le donne à Wuhan qui le prend dans ses mains en s’inclinant.

« Attendez qu’ils soient assez loin de Chengdu. Lorsque ce sera cas, suivez les corbeaux et neutralisez-les, lui et ses hommes. Aucun témoin. Aucun. J’insiste là-dessus. Vous ne porterez pas les couleurs de ma famille pour cette mission secrète.
- Que faisons-nous avec le médaillon ?
- Lorsque les cibles ne seront plus, cassez la chaîne et lâchez-le par terre… Avec un peu de sang dessus. Nous supposerons qu’un des agresseurs l’a laissé tomber après avoir été blessé.
- Ce sera fait, ma Dame. »

Je continue de marcher autour de lui, lui faisant ainsi comprendre que je n’avais pas complètement fini encore. Je répugne à faire cela, mais c’est malheureusement nécessaire : conquérir le pouvoir est une chose. Le garder, le préserver pour les générations futures, c’en est une autre.

« Vous connaissez les règles si la mission ne se passe pas comme prévue… Tâchez de revenir tous entiers.
- Oui, ma Dame.
- Jurez-le. »

Je me place devant lui, attendant sa réponse. Il bombe le torse, fier et dévoué à sa cause. Notre cause.

« Nous ne vivons que pour servir la noble Dame de Chengdu. Nous reviendrons en entier pour continuer notre service !
- Parfait. Allez-y, maintenant. Cachez vos visages, tout signe d’appartenance aux Song et partez discrètement par la porte nord. Les cibles sont déjà parties. »

Il s’incline et part de la salle, rangeant le médaillon dans l’un des plis de sa tenue. Les autres gardes le suivent prestement. C’est leur première grande mission où il n’y a pas quelqu’un avec eux, ils n’ont pas vraiment intérêt à se louper.

Je pense qu’avec la bataille de Chengdu, ils ont suffisamment appris pour être capable de se débrouiller tout seuls. Ils ont affronté une armée, ce n’est pas un mafieux et quelques hommes de mains qui vont pouvoir les arrêter.

Alors que les pas des gardes se font de plus en plus lointain, je m’assois à mon bureau. Pensive. Wen Jing est un homme faible, avare et ambitieux. Il a perdu sa fille aînée et son complot pour devenir gouverneur et le voici de nouveau à cheval en train de nous faire des cachoteries.

Son initiative naturelle a pris un coup récemment avec la victoire des Song, cela a dû l’énerver, probablement. Mais il n’aurait pas bougé aussi rapidement s’il n’avait pas été démarché par quelqu’un ou quelque chose.

Plusieurs choix possibles : soit il fomente encore un coup avec d’autres nobles… Soit c’est une histoire en lien avec ses activités illégales… Soit la secte l’a démarché aussi, mais est-ce qu’ils auraient eu le temps de retrouver des forces après le massacre de cette vieille bique de Jiawei ?

Beaucoup de possibilités… Mais peu de réponses. Dans le doute, il vaut mieux prévenir que guérir. Neutraliser ce délinquant et criminel ne devrait pas faire trop de mal à la société. Sa fille aînée étant morte et incinérée, le reste de sa fortune ira à sa veuve et à terme à son dernier enfant vivant en vie : Mingming, la femme de mon frère.

Un bref sourire narquois apparaît un instant sur mon visage.

Dire que c’est grâce à lui que je suis là aujourd’hui. Il a voulu utiliser la famille Song, il a perdu. Il aurait pu s’arrêter là mais manifestement, son ambition dévorante est intacte. Malgré mon recours extrême, je suis soulagée de pouvoir enfin bientôt clore le chapitre concernant les temps troublés que nous venons de traverser.

Allez, on se remet au travail. Je prends un parchemin et commence à rédiger une nouvelle lettre en direction d’un consul de la Terre des Dragons. Je commence à avoir mal aux mains, à force d’écrire des courriers toute la journée. Il va falloir que je me trouve un secrétaire personnel. Je n’ai même pas eu le temps de pratiquer mes petites passions dernièrement avec toutes ces affaires…

Enfin bref, au travail Huayan. De grands titres appellent à de grandes responsabilités.
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Ouais, j’avoue, j’ai réccement une une grosse flemme pour le forum et j’ai bien pris mon temps pour noter ça.

Malheureusement, il faut bien l’faire un moment ou l’autre !

Donc, la notation. Ici, j’avoue ne pas avoir du négatif à dire. Tu restes dans ta zone, tu développes les idées à gauche et à droite, le tout se suit et j’ai pas de remarque distincte à faire. J’aime bien l’idée de parler d’inviter Pamela pour les jardins, ça fait toujours des trucs à « promouvoir » pour le groupe et j’avoue que cette épisode (au biais d’une mission) serait cool pour le groupe.

Enfin, il faut d’abord que cet avant-gardiste corrige ses erreurs !

Sinon, ouais. Le tout est sympa et j’admets que j’vais rien en redire. Plutôt, j’ai envie de glisser quelques pistes. Des idées que j’ai eu en lisant le texte et dans lequel j’me suis posé la question de savoir « Pourquoi ne pas emprunter ce chemin ? »

Donc…

- La scène commence avec Huayan envoyant des lettres aux Consuls présent en Terre des Dragons. Très bien, c’est logique, elle est l’ambassadrice et donc la personne de référence dans le monde. Cependant, il y a eu à un ce moment, la réflexion de ce dire :

« Tiens, pourquoi ne pas nommer les Consuls ? »

Le Consulat est, comme ont l’dit souvent, composé de plus de mille Consuls. Nos PJs et les rares PNJs que nous développons, il y a moins (très clairement) d’une centaine qui sont nommés et encore moins qui sont présenté (le calcul ne prends pas en compte les Danseuses du Moulin Rouge).

Et où j’veux en venir ?! En gros, j’me dis que ce serait pas mal d’en nommer simplement et de donner leur fonction. Genre ? Shan Ping, Consul de la musique et maître du Erhu. Même si nous ne faisons que les nommer une fois, c’est déjà dire qu’ils sont là et « offrir » une trace de leur présence. Mine de rien, c’est une porte qui s’ouvre et que d’autres peuvent utiliser. Pour moi, c’est un truc que l’on ne peut pas oublier et qui offrira toujours une bonne suprise.

Pour l’exemple ? L’un des PNJs dans la trame de Irelia (surtout dans sa fiche et à San Fransokyo) se nomme Yukiiro. En réalité ? Lui et son projet d’étude ne viennent pas de moi. C’est lors d’un rp mission de D.Va qu’il a été créer et j’ai décidé de l’utiliser pour mon personnage afin de lui offrir une meilleur « attache » dans sur le forum. Et mine de rien, ça a fait plaisir à D.Va de l’apprendre. Comme si, un jour, un gars se pointe en Terre des Dragons et parle d’un connard jouant un instrument chelou et répondant au nom de Shan Ping, ça te fera plaisir.

Pour dire grossièrement, il ne faut pas hésiter à ajouter du lore. Ce n’est jamais de l’information perdu.

- J’allais dire un truc sur le paysagiste, mais ça rejoint l’idée ci-dessus. Ça aurait pimp de faire venir un paysagiste des Jardins Radieux !

- P’tet que c’est moi qui, acutellement est fatigué et que j’suis moins « enclin » à lire des trucs. Mais j’ai ressenti dans la lecture plus de « fierté » ou que Huayan soit plus « hautaine » dans ce texte. Il y a moins de note d’humour, de « look at me » et vraiment plus de « Shit must be done ». En soit, c’est pas un mal. Mais ici, ça fait partie des textes avec un rien qui me dise « Oh la connasse ».

Est-ce que c’est un mal ? Non. J’aime bien. Là, Huayan à eu tout ce qu’elle voulait et elle doit le maintenant. Comme elle le dit dans le texte. Donc, j’ai vraiment eu le sentiment de changement et j’me suis fait la réflexion que si le ton changeait avec le style ? Que c’était bien.

- Ah ! Le mot de la fin. Oublie pas que ton mari est dans la bague ! Chaud. Il était là pour voir les avances à ton garde… Imagine ce qu’il pourrait faire !


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