« ROAAAAAAAARH ! »
Un garde noir décolle pour s'écraser contre un mur qui en restera fissuré ; il est bien chanceux comparé aux deux autres qui sont passés par la fenêtre. Et ce fut… parfaitement involontaire, vraiment… simplement, au moment de boire son café, l'intendant a attrapé sa tasse… pour qu'un poisson rouge s'en échappe en bondissant ! Rouge de colère, les yeux rendus sombres par un regard furieux et les dents qui grincent presque aussi sonore que le bruit des rails qui crissent sous le poids d'un train.
Quelqu'un a mis un putain de poisson rouge dans son café ?!
Nerveux. Jack tourne la tête. Ses yeux se posent sur un calendrier au mur de son bureau ; premier avril.
Qui s'est permis de faire… littéralement… un poisson d'avril à l'intendant… ? Au moment d'entendre un ricanement… Jack soupire un bon coup, l'air soudain calme et détendu, un sourire presque amusé de la situation ; l'expression vire bien vite au rictus haineux. Lentement, calmement alors que ce rire résonne toujours en écho dans la caserne, l'intendant attrape sa radio et très sereinement, la porte à sa bouche.
« ROAAAAAAAARH ! »
La radio a explosé et le bureau de Jack ne ressemble plus à rien sinon à une ruine fissurée aux mobiliers fracassés ; de la paperasse tombe encore comme flocon de neige. A travers toute la citée du crépuscule, avant que la radio de Jack ne cède, l'on a pu entendre son cri à travers chaque talkie-walkie de chaque garde.
Et là est le véritable poisson d'avril ; la garde noire panique. Sans que Jack puisse l'entendre -ça lui apprendra à casser ses radios toutes les cinq minutes-, les communications radios parlent déjà d'un monstre déchainé dans la ville dont le hurlement, si violent, a résonné dans toute la ville !
Les gardes noirs paniquent, s'agitent et se jettent sur l'occasion de briller comme des chiens sur un morceau de viande… ca n'échappe pas aux rebelles non plus ; je ne vous parle même pas des civils. Le poisson rouge, lui, s'échappe déjà par une flaque de café au plancher… tandis que Jack, ni une ni deux, décolle au travers de la même fenêtre par laquelle sont passés deux de sous-fifres. Après un atterrissage lourd et brutal, Jack va pour ramasser la radio d'un des sbires inconscients et… hey ho… il est passé où le ricanement ?!
« ALERTE ROUGE ECARLATE SANGUINOLENT ! ON VIENT D'ESSAYER DE ME TUER ! QUELQU'UN A MIS UN POISSON ROUGE DANS MON CAFE DANS LE BUT QUE JE M'ETOUFFE AVEC ! »
Elle est là. Je ne sais pas si vous la connaissez mais… elle est cette garde noire qui a toujours le mot de trop.
« Ca ne serait pas plutôt… un poisson d'avril… ? »
Jack en reste pâle et livide… plus de honte que de peur, sinon la peur du ridicule. Maintenant qu'elle le dit, ca parait… logique mais… quand même !
« Je sais pas qui a osé me faire une poisson d'avril et faillit m'étouffer au passage mais… trouvez-le moi que je le crucifie !!! »
Et c'est bien de triste de savoir que personne n'est responsable sinon le poisson lui-même. Pourtant, soucieuse d'apaiser le patron pour ne pas injustement essuyer sa rancœur, la garde noire trouvera de toute façon quelqu'un que Jack pourra injustement crucifier avec rancœur. De quoi a l'air un intendant à qui l'on se permet de faire des farces à la con… ? Et… ouais nan, pour Jack, ca ne peut être qu'une tentative d'assassinat ! Le poisson rouge… mais oui, c'est tellement évidement ; le crime parfait.
Qui irait accuser un poisson rouge d'être un tueur psychotique ?! Pire que ça ! Peut-être que depuis le début, l'assassin a pour plan de faire accuser le poisson rouge à sa place !
Bordel, qui est assez monstrueux pour manipuler ainsi un pauvre poisson rouge et innocent, hein ?! Même Death n'oserait pas tellement c'est une méthode de félon !
« Poisson d'avril mon cul, ouais ! Oh mais… putain… »
Mais oui ! C'est grave ; l'heure est sinistre. Cet assassin est tellement malin qu'il frappe le premier avril… comme ça, si sa tentative rate comme c'est le cas aujourd'hui… oh, ce n'était qu'une farce mon bon Jack ! Rien de bien méchant, juste histoire de rigoler et se détendre mais… non ! Non, non et non ! Re-non ! Une dernière fois non ; Jack n'est pas si con !!! Et pourtant, certains ont l'air de le penser !
« ROAAAAAAAARH ! »
Sam 6 Avr 2019 - 16:50Un garde noir décolle pour s'écraser contre un mur qui en restera fissuré ; il est bien chanceux comparé aux deux autres qui sont passés par la fenêtre. Et ce fut… parfaitement involontaire, vraiment… simplement, au moment de boire son café, l'intendant a attrapé sa tasse… pour qu'un poisson rouge s'en échappe en bondissant ! Rouge de colère, les yeux rendus sombres par un regard furieux et les dents qui grincent presque aussi sonore que le bruit des rails qui crissent sous le poids d'un train.
Quelqu'un a mis un putain de poisson rouge dans son café ?!
Nerveux. Jack tourne la tête. Ses yeux se posent sur un calendrier au mur de son bureau ; premier avril.
Qui s'est permis de faire… littéralement… un poisson d'avril à l'intendant… ? Au moment d'entendre un ricanement… Jack soupire un bon coup, l'air soudain calme et détendu, un sourire presque amusé de la situation ; l'expression vire bien vite au rictus haineux. Lentement, calmement alors que ce rire résonne toujours en écho dans la caserne, l'intendant attrape sa radio et très sereinement, la porte à sa bouche.
« ROAAAAAAAARH ! »
La radio a explosé et le bureau de Jack ne ressemble plus à rien sinon à une ruine fissurée aux mobiliers fracassés ; de la paperasse tombe encore comme flocon de neige. A travers toute la citée du crépuscule, avant que la radio de Jack ne cède, l'on a pu entendre son cri à travers chaque talkie-walkie de chaque garde.
Et là est le véritable poisson d'avril ; la garde noire panique. Sans que Jack puisse l'entendre -ça lui apprendra à casser ses radios toutes les cinq minutes-, les communications radios parlent déjà d'un monstre déchainé dans la ville dont le hurlement, si violent, a résonné dans toute la ville !
Les gardes noirs paniquent, s'agitent et se jettent sur l'occasion de briller comme des chiens sur un morceau de viande… ca n'échappe pas aux rebelles non plus ; je ne vous parle même pas des civils. Le poisson rouge, lui, s'échappe déjà par une flaque de café au plancher… tandis que Jack, ni une ni deux, décolle au travers de la même fenêtre par laquelle sont passés deux de sous-fifres. Après un atterrissage lourd et brutal, Jack va pour ramasser la radio d'un des sbires inconscients et… hey ho… il est passé où le ricanement ?!
« ALERTE ROUGE ECARLATE SANGUINOLENT ! ON VIENT D'ESSAYER DE ME TUER ! QUELQU'UN A MIS UN POISSON ROUGE DANS MON CAFE DANS LE BUT QUE JE M'ETOUFFE AVEC ! »
Elle est là. Je ne sais pas si vous la connaissez mais… elle est cette garde noire qui a toujours le mot de trop.
« Ca ne serait pas plutôt… un poisson d'avril… ? »
Jack en reste pâle et livide… plus de honte que de peur, sinon la peur du ridicule. Maintenant qu'elle le dit, ca parait… logique mais… quand même !
« Je sais pas qui a osé me faire une poisson d'avril et faillit m'étouffer au passage mais… trouvez-le moi que je le crucifie !!! »
Et c'est bien de triste de savoir que personne n'est responsable sinon le poisson lui-même. Pourtant, soucieuse d'apaiser le patron pour ne pas injustement essuyer sa rancœur, la garde noire trouvera de toute façon quelqu'un que Jack pourra injustement crucifier avec rancœur. De quoi a l'air un intendant à qui l'on se permet de faire des farces à la con… ? Et… ouais nan, pour Jack, ca ne peut être qu'une tentative d'assassinat ! Le poisson rouge… mais oui, c'est tellement évidement ; le crime parfait.
Qui irait accuser un poisson rouge d'être un tueur psychotique ?! Pire que ça ! Peut-être que depuis le début, l'assassin a pour plan de faire accuser le poisson rouge à sa place !
Bordel, qui est assez monstrueux pour manipuler ainsi un pauvre poisson rouge et innocent, hein ?! Même Death n'oserait pas tellement c'est une méthode de félon !
« Poisson d'avril mon cul, ouais ! Oh mais… putain… »
Mais oui ! C'est grave ; l'heure est sinistre. Cet assassin est tellement malin qu'il frappe le premier avril… comme ça, si sa tentative rate comme c'est le cas aujourd'hui… oh, ce n'était qu'une farce mon bon Jack ! Rien de bien méchant, juste histoire de rigoler et se détendre mais… non ! Non, non et non ! Re-non ! Une dernière fois non ; Jack n'est pas si con !!! Et pourtant, certains ont l'air de le penser !
« ROAAAAAAAARH ! »