Voici Song Huayan, pour vous noter bande de petits voyous !
Je ne vais pas y aller par quatre chemins pour cette introduction, ça ne mène nulle part et ça ne fait que retarder votre augmentation de portefeuilles huhu ! Allez, débutons cette petite notation sympathique.
Déjà, je vais taper sur les doigts de certains ! Dès le premier post, il y a de petites fautes de grammaire ! Soyez donc vigilants messieurs dames, nous en faisons tous mais c’est toujours bien de rappeler qu’une relecture même rapide peut éviter ce genre de situations.
Pour poursuivre sur Irelia, j’ai rigolé lorsqu’elle a l’air de plus se soucier du buffet que de ce qui se passe dans l’arène. On dirait moi à un mariage -les fins limiers feront le lien- huhu ! Après, je peux comprendre qu’il fallait installer un peu la situation et au final, c’est sympa. Mon seul regret, c’est que le buffet aurait pu être un peu plus « grec » ou à défaut, plus « Hadèsque » parce que « la pâte italienne recouverte d’un fruit brésilien, […] » ça donne envie, mais j’aurai préféré quelque chose qui tourne plus autour du monde où nous nous trouvions pour cette charmante Coupe Noire. Sinon, la suite est relativement similaire, Irelia se concentre beaucoup sur les invités des tribunes et pas spécialement sur l’activité en contrebas. Ça montre certaines choses vis-à-vis de son caractère et c’est intéressant dans la mesure où tu te sers d’un sujet lié à un événement annexe pour nous dire des choses sur le personnage montrant également l’intérêt de lire ce qui se passe aussi autour des combats. J’ai beaucoup aimé, du début à la fin.
Comme d’habitude, c’est un plaisir de voir le petit Erik Woods dans ce genre de situations. Ce qui est intéressant ici avec lui, c’est qu’il y a dans le texte un certain parfum d’horreur. C’est-à-dire qu’Erik vit sa vie, mais on ressent chez lui une inquiétude qui est disséminée un peu partout et qu’on retrouve dans des détails ou le choix de certains mots. Ce qui est d’autant plus intéressant, c’est le côté résigné du monsieur qui se retrouve littéralement aux Enfers et qui se dit « Enfin » en mode « encore un truc incroyable que je vis, je suis blasé au secours ». C’est formidable. Ce qui est d’autant plus délicieux, c’est lorsqu’il voit Fabrizio sur le sol de l’arène. C’était beau, un grand moment. L’escroc usurpateur d’identité qui au final, se retrouve face à un homme de son passé, d’une page qu’il avait tourné et pourtant… Il a tissé beaucoup de liens de Sanctum et les vit encore aujourd’hui. C’est très intéressant. Le début de l’arrêt cardiaque se fait sentir.
« Le jeune homme posa un bref regard sur le terrain. Un adolescent aux cheveux argent, le fameux « héros, » se dotait de son… arme ? C’est une arme, ça ? Une aile de chauve-souris mutée au gothique et surplombée d’une minuscule aile de colombe ? Ça n’avait pas l’air tranchant, juste étrange ! Qu’espérait-il en faire ? » No Tea No Shaaaaaade ! Là je te reconnais cher Erik, huhu ! J’ai rigolé franchement. J’ai hésité à te donner un bonus pour ça, en vrai. Après ça, je trouve toujours super d’avoir des personnages qui ne sont pas habitués au sang et aux meurtres. A peine un peu de rouge qui gicle et Erik détourne le regard. Ça dit beaucoup de choses sur le personnage et je trouve ça cool. J’aime le développement de personnages. Puis enfin vînt l’arrivée de Roxas dans l’arène qui finit de l’achever. Il a manqué de mourir d’un arrêt du cœur, c’est certain. Un petit PTSD des familles, ça fait toujours mal, surtout que là, on est pas dans le léger. La panique vient et finalement, la fuite. Cependant, c’est tout à fait compréhensible pour Erik.
« Un empoisonnement alimentaire ne l'aurait pas non plus déranger plus que cela » En même temps, Lenore est décédée, cliniquement parlant. Tu m’étonnes qu’elle s’en bat les steaks, huhu. Ça m’a fait sourire en tout cas ! Lenore fait son entrée. Je dois dire que je ne suis pas déçue. La place de Lenore ici est intéressante dans la mesure où ce n’est pas tant le spectacle qui l’intéresse, elle est plus dans l’introspection, du moins au début. Le seul regret que j’ai, c’est qu’à mon sens, devenir mort-vivant impacte beaucoup la psyché d’un être vivant : on le ressent dans le texte, mais pas suffisamment de mon point de vue. Sinon, Lenore reste globalement contemplative – à part lors de son intervention pendant le combat entre l’Innommable et Kurt-, elle réfléchit beaucoup tout en suivant les combats. On notera d’ailleurs une certaine présence d’esprit vis-à-vis d’Irelia : « Il était étonnant que sa mère lui interdise les jeux d’argent mais pas les cabrioles ni les visites seule dans des mondes sinistres étrangers. Elle ne semblait pas vêtue de toges à la grecque. ». C’est pas faux. Un élément à travailler selon moi serait justement cette rancune tenace vis-à-vis des coalisés ayant empêché son évasion et entraîné sa mort. Eux sont là, toujours en vie alors que ce sont des monstres et moi je suis morte et maudite/transformée/momifiée. Malgré la mort, c’est aussi intéressant de voir Lenore se dire « Ah ouais… Palais des Rêves, tout ça. Ça peut être stressant. ». Se voir aussi en double doit être également… Piquant. J’ai bien aimé les réactions de Lenore vis-à-vis de cela pour le coup. Et au final, ça monte crescendo avec le combat entre Kurt et Roxas.
Pour conclure sur Lenore, je dirais que ce que je préfère dans ses interventions c’est un calme blasé d’apparence au début qui au final devient des inquiétudes, des questionnements, des doutes. Ce qui est d’autant plus intéressant c’est qu’elle ait plus de mémoires négatives en lien avec le « Maréchal de la Lumière » que des meurtriers de la Coa ( Bisous à Jack et Kuro au passage, vous avez bien combattu messieurs ^^). Et ça c’est beau : la faction d’appartenance ne fait pas tout (quoique dans le cas de Roxas, ce soit plus compliqué que ça niveau allégeance mais vous avez saisi l’idée je pense ).
Roxas, je l’ai dit au début, mais je le redis encore ici : vigilance sur les fautes d’orthographe. Une relecture ne prend pas tant de temps que ça et peut éviter certains désagréments. Je vais pas écrire plus que cela, vu que par la suite… Hé bien Roxas passe dans l’arène donc son intervention reste assez courte.
En conclusion, c’est un bon rp annexe d’un événement majeur du forum. Vos interventions étaient bonnes, très différentes des unes des autres et c’est ce qui a fait la richesse du texte. Bravo à vous messieurs dames !
Je vous fais des bisous et vous dis à bientôt.
Notes :
Roxas : Très facile : 5 xp, 50 munnies, 1 PS en DEX
Irelia : Facile : 10 xp, 100 munnies, 2 PS en DEX + Oh ! Incroyable ! En partant de la Coupe Noire, tu as trouvé sur le sol un éventail spécial Coupe Noire ! ( Ces fichus produits dérivés d’Hadès ! )
Lenore : Facile : 10 xp, 100 munnies, 1 PS en PSY et 1 PS en DEX + En quittant les lieux, tu trouves dans les allées de l’arène… Un fémur humain. Hadès est vraiment négligent niveau propreté et rangement !
Erik Woods : Facile : 10 xp, 100 munnies, 2 PS en DEX + En déguerpissant en urgence, tu ramasses quelque chose avec Jimbo : un collier d’ossements humains ! Idéal pour briller en soirée Halloween à Illusiopolis !