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Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.


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[Mini-série]

-Ah !

-Yiha !

-Aïe !

Henry sourit au jeune homme qu’il venait de frapper aux jambes, le faisant tomber lourdement au sol. Il tendit la main, et l’aide à se relever. Ses deux nouveaux collègues continuèrent à échanger des coups, ne se faisant aucun cadeau. Le maire avait rapidement accepté de lui fournir des bras supplémentaires, surtout lorsqu’il avait précisé qu’une bagarre menaçait d’éclater prochainement. Le fils aîné du boulanger – qui s’époussetait le derrière actuellement – ainsi que ses amis, des jumeaux, souhaitaient intégrer l’armée royale. Défendre la forêt de leur village semblait être un parfait début à leur carrière – ainsi qu’un bon point à mettre sur leur CV.

Le forestier avait passé les trois jours qui avaient suivi à les entraîner du mieux qu’il pouvait. S’il avait fait des progrès dans le combat au corps à corps, il n’en restait pas moins un archer. Ses conseils étaient donc très limités, et peut-être même seraient-ils condamnés par de réels instructeurs militaires. Cependant, il ne s’en faisait pas trop pour ça. Tant que ses nouveaux collègue n’affrontaient pas de véritables combattants, leur nouvelle occupation ne représenterait pas de danger. Normalement.


-Bill !

Tous les combattants tournèrent la tête pour voir le petit Ethan claudiqué vers son grand frère. Il portait un petit baluchon contenant le repas de la petite troupe – une façon pour leur père M. Lee de le remercier pour tout ce qu’il avait fait. À l’intérieur reposait quatre sandwichs, un pour chacun. Bien que le colosse appréciait la nourriture de sa femme, lorsqu’il partait en vadrouille, ça n’avait rien de grandiose. Ces petits bouts de pain fourrés de divers condiments l’étaient.

-Tu ne devrais pas être dehors ! Rappelle toi ce que le médecin t’a dit. Rentre à la maison avant que maman ne s’en rende compte !

Le petit garçon grimaça et tourna les talons, sous les rires des deux jumeaux, neveux du maire et habitués aux ennuis. Son patron l’avait prévenu qu’il aurait peut-être un peu de mal avec ces deux-là mais le chasseur savait qu’ils sauraient se comporter en professionnel. L’opportunité qu’il leur offrait était une chance inespérée. Une personne leur faisait confiance pour accomplir du bon travail, et soutenir les autres.

-James, Barry, vous vous occuperez des rondes ce matin. Nous vous relèverons à midi, et vous prendrez ensuite le début de soirée. Nous finirons la nuit.

-Bien patron, dirent uniformément les deux farceurs.

-Nous continuons l’entraînement ?

Sans répondre, le jeune homme asséna son épée de bois sur son partenaire, qui bloqua le coup in extrémiste. Il essaya de peser de tout son poids pour faire fléchir la défense de son collègue, mais rien n’y faisait. Avoir travailler aux côtés de son père, porter des sacs de farine et les divers produits aux habitants du village lui avait fourni un sacré physique. Tout ce qui lui manquait, c’était de l’expérience maintenant.

Le duo continua d’enchaîner les coups, les feintes, les parades et les estocs jusqu’à ce que le soleil soit pratiquement à son zenith. Ils étaient tout deux couverts de sueur et affamés. Ils s’assirent un moment sur l’herbe, et ne firent qu’une bouchée de leur repas. Puis, à regret, ils se relevèrent et se dirigèrent vers la forêt. Les jumeaux ne rapportèrent aucun incident, et partir chez eux.

Morgana n’avait pas été ravie lorsqu’il lui avait annoncé que pour les jours à venir, il devait travailler la nuit – et même pratiquement toute la journée. Elle comprenait l’importance d’empêcher les parasites voisins de détruire leur forêt, ainsi que tout ce que son métier représentait à ses yeux. Une chance de se racheter, de bien faire. D’apporter une chose positive dans ce monde. Néanmoins, elle regrettait de ne plus le voir aussi souvent, de ne plus l’avoir à ses côtés pour passer la nuit. Et il ressentait la même chose.

Leur patrouille se passa sans incident notable. Ils durent se reposer plus souvent qu’Henry ne l’aurait souhaité, mais il savait qu’être en forme serait crucial si une rixe éclatait. Et il ressentait également le besoin de récupérer de leur entraînement du matin. Lorsqu’il rentra chez lui pour faire une sieste, le silence l’accueillit. Elle devait probablement être chez madame Nahërin, la vieille couturière. Ou alors elle était partie s’occuper des courses. Ou encore du potager qu’elle tentait de faire, à l’arrière de leur demeure.

Des coups à la porte le réveillèrent. Le soleil se couchait à l’horizon. La relève n’allait pas tarder mais il n’était pas encore temps. Y avait-il des ennuis ? Le brun se leva difficilement de son lit, posa un pied, puis l’autre, et avança lentement. Lorsqu’il ouvrit la porte, les jumeaux le fixaient, anxieux. Ça ne présageait rien de bon.


-On faisait notre ronde lorsqu’on est arrivé à l’extrémité est de la forêt. Trois arbres venaient d’être coupé. Ils ont pénétré dans la forêt, et ont tranquillement coupé ce qui les intéressaient. Ils savaient que nous ne pénétrions plus dans le bois comme nous nous attentions à ce qu’ils viennent de l’extérieur.

-Et ils savent que nous n’avons pas assez d’hommes pour patrouiller et protéger toute la zone, dit-il entre ses dents, les jointures blanches alors qu’il serait la poignée de la porte. Nous allons procéder autrement. Rentrez chez vous, et reposez vous bien. Prévenez Bill que nous ne patrouillerons pas cette nuit. Nous nous retrouverons demain à l’aube, à l’orée de la forêt.

Henry avait besoin de réfléchir. Il avait besoin de trouver comment stopper ces bûcherons de malheur. S’il échouait, le maire n’aurait plus le choix, et devrait contacter le roi. S’il en avait le courage. Sinon, ils n’auraient plus qu’à se soumettre au village voisin. Et ça, il en était hors de question.
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En lisant ce rp, j’me suis posé une simple question. Dans les conflits de village ? Ce ne sont pas les bretteur ou des gardes qui règlent les soucis. C’est bien souvent les villageois eux-mêmes. Donc, j’ai l’image en tête de Michelle et Michel, fourche et rouleau à pâtisserie dans la main pour régler le problème. Donc, est-ce que c’est pas un poil excessif de faire des deux gamins… Des soldats ?!

Ouais, c’est la vraie question qui m’est passé par la tête. En lisant ce rp, j’avais vraiment l’impression de l’apparition d’une milice dans le village dont Henry en était le mentor.

En soit, c’est vrai que ça va régler les conflits. Sauf que, ce n’est pas légèrement exagéré pour un petit village ? C’est une vraie question. Même si, comme tu l’dis, Henry n’est pas un expert et que ce n’est pas grand chose… Il resterons plus performant que Michelle et Michel et ça va mal finir.

Bon, après, j’écris ça sans avoir lu la suite.

Enfin, tout ça pour dire que j’me questionne sur ça. Henry qui éduque les gosses ? J’ai l’impression qu’il en fait beaucoup trop. C’est un garde forestier, pas des gardes du château ! De plus, la dernière reflexion, j’ai l’impression que cette solution est la mauvaise. Même si j’devine que c’est à cause du fait qu’Henry soit un fugitif.

Bref, tout ça pour dire que, j’me pose plein de question avec ça.



Très Facile : 5 points d'expérience + 50 munnies + 1 PS en Défense pour Henry !
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