Cauchemars d'un Pestiféré Szp8Cauchemars d'un Pestiféré 4kdkCauchemars d'un Pestiféré 4kdk
Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

more_horiz



On m’avait pas prévenu.
Puis j’ai jamais fait, moi, d’entretoise. Et encore moins en métal.
Et Bill il en a de belle. J’chais bien qu’une carrosserie de vaisseau c’est encore plus compliqué. Mais j’suis que compagnon, et c’est pas pour rien ! Sans lui j’suis même pas sûr de retrouver mon racloir, alors les entretoises….
Puis tout c’chantier d’façon, c’t’un fatras pas possible.

Mais les Mercenaires payent. Et grassement avec ça.
Plus que M’dame Nara m’avais donné pour la distillerie. Le double, même. Jacques a dit que ça c’était parce que je savais pas négocier, que j’en aurai eu le triple avec un peu de jugeote.
Il a ptet raison.
J’vais leur demander une augmentation. Ça se fait à la Shin Ra, pourquoi pas ici…

Ah non. Faut pas parler Shin Ra à ces gens-là.
Même que c’est toute la raison pour laquelle ils sont si surexcités.
Ils ont ouvert les coffres. On les savait riche, mais à ce point…
Faut dire, y’a aussi la marine de la Compagnie, avec leurs armateurs, les pirates et leurs charpentiers, et les forgerons, les maréchaux ferrants, les artilleurs, et j’pense même tous les charpentier d’Port Royal.


En attendant, la plupart d’ce beau monde a été réquisitionné pour d’leur projet secret. Du coup, moi je me retrouve à retaper les ponts. Et les murs. Et, pour un peu, la totalité de la forteresse flottante. Bon. J’ai Luc et Al’ qui font le flanc ouest, et tous les marins un tant soit peu bricoleurs pour crapahuter partout. Puis ça fait bien deux semaines qu’on y est, ça avance.
N’empêche. C’est bien beau, de faire un raffiot aussi gros qu’une ville, mais faut qu’ils pensent à entretenir. Du beau bois d’ipé comme ça, c’est d’la qualité, et ça tiens la flotte…. Mais faut penser à traiter, et surtout en-tre-te-nir !

Alors, les forgerons nous ont préparé du métal. De belles plaques, y’a pas à dire.
Mais j’suis charpentier moi, pas mécano !
Qu’est qu’vous voulez que j’leur fasse à leur métal ?
Oui, les vis. Les clous. Les écrous, toussa. Ça m’connait. Puis c’est vrai que j’ai l’habitude de travailler en hauteur, du coup les tours de la forteresses m’font pas peur. Mais on peut en dire la même des matelots.

La vigie du Terrasseur, par exemple.
J’sais pas comment elle s’appelle. J’ose pas lui demander. Elle a cette façon de rire quand elle me voit arriver, j’oublie où s’que j’en était.
C’est ses tresses je pense.
Ou ses fossettes.

Enfin. Quoiqu’elle s’appelle, elle saute à cloche patte sur le mat du donjon, à plus de trent’ mètre du sol. Elle y danse même, y’a pas deux jour je l’ai vu faire un pas de maclote, enlevé comme pas deux. Dingue !
Elle chantait en plus.
Assez faux.
C’était joli quand même.


Ils sont fous ces pirates.

***

Un gémissement.
Horrible.
Ça m’rappelle les cris des blessés après un raid.
J’me retourne dans mon hamac, j’me bouche les oreilles, rien n’y fait.

J’fini par lever la tête.
J’suis en sueur. Il fait froid.
Mais le gémissement continue.
Je sens que c’est quelqu’un. Mais je saurai pas dire si c’est un homme, une femme, un enfant. Je sais juste que ça a mal.

Je pose un pied à terre.
L’ongle de mon gros orteil miroite. Comme un éclat de lune, coincé dans la corne.
Bizarrement ça m’émerveille pas. Au contraire, j’suis pas serein.
Quand je lève la tête, le gémissement a cessé.

C’est lâche, je sais.
Mais je retourne dans mon hamac.
J’m’enroule dans le lin, avant-bras sur les oreilles, et j’essaie de me rendormir.


***

Les premiers arrivages sont arrivés tôt c’matin. On les traine le long des quais et de la forteresse, à la poulie et surtout à la force de nos poignes.
Dire que Luc me trouvait gringalet, après ça on va tous les deux avoir des airs de marins plus épais qu’des pirates.

Faut dire, c’est un vrai travail d’homme. Y’a une trotte, déjà : Fallait le tirer du pont d’un navire, le remonter sur les quais brinqueballant du ponton sud, slalomer entre tous les navires à quais, puis partir à l’assaut des échafaudages qui couvrent la forteresse.
On a sué sang et eaux pour en remonter un, un seul !
…Puis là le contre maitre a eu son sourire de requin, c’lui qui dit tout. Et il nous a montré la cargaison de la Compagnie.
Y’en a des dizaines !!

Et ça crève, de remonter les canons.


Du coup, là on prend notre pause. A deux heures, quand le soleil tape au plus fort, c’est l’heure de la sieste de toute façon. Tout le chantier s’endors.
Moi et Luc, on s’est mis sur une poutre au deuxième niveau. On a calé le troisième canon de la journée entre deux poutres croisées, encore solidement attaché aux poulies. Puis les p’tites mains sont venues nous apporter notre gamelle, un gruau avec un peu d’poisson. C’est pas mauvais.

Y’a les poissons volants qui sortent. Ils scintillent au-dessus de la mer. Et même les mouettes sont trop abruties par la chaleur pour les chasser.
Avec un morceau de sardine de mon repas, j’essaie d’amadouer un des piafs. Question d’avoir un peu d’compagnie, ou juste un truc à faire.


Ça fait rire les pirates qui s’étaient calé pas trop loin d’nous.
Je sais jamais trop si ils rient de moi, ou avec moi. Faut les voir, aussi : Ils ont des visages de dur, des tatouages de partout, des barbes et des tresses franchement peu ragoutantes… Un peu comme des mercenaires quoi, mais en plus sale encore.
Luc rigole aussi. Je pense que ça veut dire que je suis juste drôle.

…Ou que le piaf vient de se barrer avec le reste de mon déjeuner.

Merde. Dire que j’adore la sardine.
Ça m’apprendra à faire le con.

***

Le gémissement a repris.
Je me suis fourré du coton dans les oreilles, mais maintenant le bruit me transperce le crâne.
Je me relève.
Toujours ce frisson quand mon pied touche le sol froid.

Les hamacs sont silencieux.
On dirait qu’ils sont vides. Ils pendent sans poids à l’intérieur : Pas un ronflement, pas un soupir, rien si ce n’est ce satané grincement de douleur.
Mais, quand je glisse un coup d’œil, je peux voir une boule d’étoffe, un bras, un pied qui dépasse. Parfois, un œil qui s’ouvre sur moi. Je n’ose pas soutenir son regard.
Je serre mes mains moites, et je sors.

La mer est comme une flaque d’huile. Noire et gluante.
Elle vient lécher mes découpes.
Les marins n’aiment pas une mer calme. Ils disent que c’est un malheur en soit, le signe que l’équipage va tomber dans un piège.
L’eau laisse une bave verdâtre sur le bois encore rêche.

Le gémissement reprend.
Plus puissant encore, et j’aurai dû penser qu’au dehors il serait plus fort !
Le son jailli de la mer noire, se réverbère sur les colonnes de métal, et viens me marteler la tête.
J’en peu plus. Je crois que je hurle aussi.
Tout se mélange.


***

J’me sens mal aujourd’hui.
Du coup, le contremaître m’a placé sur les hauteurs, pour visser les verrons et organiser la pose des poutres métalliques.
Il a l’œil, le contre maître. Tu peux te tordre par terre, si t’as rien il le sait tout de suite. Mais il m’a vu ce matin, traits tirés, qu’il a même dit : « toi, tu touches pas aux canons ».

Du coup je profite du grand air sur l’échafaudage.
Cette fois ci, c’est les artilleurs de la Compagnie qui sont avec moi. Ils sont plus propres, c’est clair. Faut dire aussi que la Compagnie leur a négocié de quoi se loger sur leur propre navire. Tous les autres doivent se coltiner les hamacs des entrepôts, avec vue ouverte sur la baie… Et, vu l’nom – baie des naufragés, pour rappel –, ça donne jamais trop envie.
D’autant que, les naufragés, ils sont pas que dans l’nom.

Bon, le plus souvent, y’a rien qu’du vieux bois flotté qui vient éclabousser les pontons. Puis c’est tellement vermoulu tu reconnaitrait même pas le navire d’origine, alors on jette au loin, ou on en sculpte des bricoles. Donc, là, l’pire qui peut arriver c’est une écharde, et après dix ans de menuiserie j’suis pas à ça prêt.
Mais…
Mais parfois c’est pas qu’du bois.

Hier, ils ont tiré deux corps boursouflées, juste après notre baignade. Luc s’est foutu d’mon air paniqué, mais il faisait pas l’fier non plus, blanc comme il était.
Déjà on a du mal à trouver de l’eau fraiche pour se laver, sur c’foutu ilot d’bois. Mais en plus, maintenant faut qu’on dorme au-dessus du bain des cadavres…
Brrr. Autant vous dire que j’ai fait une croix sur mon bain hebdomadaire.


En attendant, tout le monde sauf les uniformes pue la crasse et la vinasse. C’est pas idéal, pour avoir des relations cordiales avec la Compagnie.
Après, ils ont beau être un peu guindé, les uniformes sont pas des mauvais bougres. Les ingénieurs restent entre eux mais ils sont plutôt compétents. Déjà, eux n’ont pas eu trois gars écrasés sous un canon comme l’équipage du Cavalier Noir.
Pour les matelots et ouvriers de la Compagnies, ils sont même franchement sympathiques. Faut dire, ils manquent de rien sur ce chantier, alors on a organisé un petit marché noir de denrées rares. J’ai sculpté deux figurines de triton, plutôt réussies d’ailleurs, et Alfred du Saint Mary m’en a donné une livre de sucre et trois oranges.
Parait que c’est important de manger des oranges.

Du coup, j’en ai gardé une dans ma poche. Ça me rassure un peu. Surtout quand je monte sur les plus hautes tours de la forteresse, trois vis plus larges que ma cuisse à la ceinture.
Parce que c’est pas parce que je peux pas tirer comme les autres qu’on m’a mis au repos. Pensez-vous ! Même moi j’accepterai pas, voir les munnies te filer sous l’nez comme ça…
Sinon, j'ai repris mon ouvrage à la conception d’la charpente mécanique. On dresse les poutres petit à petit, et ça transperce le paysage comme les mâts d’énormes navires.

Les marins ont attaché tout un tas de cordages autour, « pour pouvoir se déplacer plus facilement » qu’ils disent. Ça rend fou les ingénieurs, c’est plutôt amusant.
Enfin, malgré les retards, les engueulades entre Compagnie et Pirate ou entre charpentiers et forgerons, l’ouvrage avance. Les poutres commencent à encercler la citadelle, et les fonderies buchent d’arrache pieds pour créer le métal de cette nouvelle armure.
Les canons prennent place, eux aussi. La plupart sont juste récupéré des navires endommagés par l’Grand Froid, mais les artilleurs préparent des modèles fixes un peu plus puissant. J’en ai vu un prototype, le canon était tellement large un enfant aurait pu s’y glisser.

J’ai quand même un doute que ça puisse rivaliser avec les canons de la Shin Ra…

***

Le bruit est insupportable.
Titanesque.
Je le comprends, maintenant.
Il n’a pas mal.
Il hurle de rage.

Je me révulse dans mon hamac.
Mes muscles se tordent, et j’ai mal, je crie, je pleure.

Mes yeux s’ouvrent sur les poutres noircies, et j’entends les vagues.
L’eau de l’entrepôt monte.
Je la vois se ruer vers moi en un raz-de-marée noir.

La colère enfle et gronde.
L’eau atteint mon hamac, s’engouffre dans l’étoffe, me suffoque.
Elle recouvre mes pupilles.
Je ne vois rien, je ne sens rien, je ne respire plus… et j’étouffe.


***

Ça y est.
On a fini la charpente interne. Renforcée, comme disaient le contre maître. Pour prendre des chocs, et j’ose pas imaginer lesquels mais son air augurait rien d’bon.
J’aurai du dire à ma pauvre maman de partir voir mon cousin au Jardin Enchanté. Parce que les Mercenaires ont l’air de plus en plus sombre. C’est plus qu’une escarmouche qui se prévoit. J’espère qu’elle ne se retrouvera pas dans l’chemin.
En plus, je lui avais promis de refaire l’abris des poules. Puis j’aimerai pas qu’il arrive quelque chose à la maison, moi et Luc on a passé un mois après l’attaque sur le port à refaire sa cuisine. Avec une charpente en embrèvement, couverte en ardoise tout spécialement importée de la Citée des Rêves.
C’était du beau boulot.

Ça me rassure, d’y penser comme ça.
Je sais comment réagir face à une maison effondrée. Je sais quoi faire quand la charpente a brûlé, quand les termites ou la poudre à canon a eu raison d’une grange.
Si…
Si je revenais pour trouver ma mère en sang…

Luc me claque l’épaule.
Il a son sourire fier de lui.
Mais je vois bien, dans ses yeux, qu’il s’inquiète aussi. Il a jamais eu d’famille, lui, mais il s’est trouvé une fille au port. Et bientôt un gosse, si j’ai bien compris…
Qu’est ce qu’il en pense, lui, derrière sa fierté de façade ?
Est-ce qu’on peut vraiment rivaliser avec la Shin Ra ?
Jusqu’où les Mercenaires nous mèneront dans leur folie ?

J’suis peut-être le seul à angoisser. Les ingénieurs ont l’air ravi du challenge. Les marins chantent sur les cimes métalliques. Les mouettes se donnent à cœur joie, les artères de la forteresse s’ouvrent à une foule de nouveau habitants…
Et pourtant, quand je descends de l’échafaudage…. Quand je perds de vue le ciel bleu à perte de vue, que je m’enfonce dans les milles et une ruelles noires et sale de huttes et d’embarcations diverse, mi- embarcation mi- habitations vermoulues, je sens un frisson se nicher contre mon dos.

Un soupir insistant, sinueux.
Y’a quelque chose, dans cette forteresse, qui n’augure rien de bon.
Et cette charpente de métal, toute trouée de rivets et d’vérins. On dirait le squelette d’une baleine qui se serait effondrée en plein sur la forteresse.
C’est inquiétant.
Ça grince avec le vent. Et pas comme le son du bois qui se fait, nan. Un son lugubre.

Mais on a pas l’temps d’s’inquiéter.
Je distribue les pots de peinture aux matelots, et on s’en va couvrir tout c’tas de ferraille de quoi empêcher la rouille.
En enjambant une poutre, je-

Je tombe.

Pas de haut.
Deux mètres plus bas, je m’écrase sur une planche.
Un instant infime. Je me réveille, hébété.
Qu’est ce qu-

« Bah alors, tu fais la sieste ? »
Luc me tend la main.
Il a l’air plus surpris qu’inquiet.
Je remarque que ses joues aussi se sont creusées. Il a les mêmes traits tirés que moi, malgré son embonpoint. Lui aussi a été relégué aux corvées de cordage, hier, ou peut-être avant-hier.

Je prends sa main.

***

L’eau me dévore.
Elle mord ma chair, dissout ma peau, brûle mes muscles.
Mais c’est ce cri enragé qui me terrifie.
Emprisonné dans mon hamac, tiraillé de tout côté par le liquide noir acide, le chant rageur n’a pas cessé.

Quelque chose fulmine dans la Baie des Naufragés.
Mon hamac est arraché à l’entrepôt.
L’eau m’emporte.
Les vagues m’entrainent dans les profondeurs
L’eau est chaude, brûlante, dévorante
Mes doigts se désintègrent
Mes précieux doigts
Ma-

more_horiz


Corporal Herbert Danters
2e Régiment de la Compagnie des Indes
Administrateur général des Travaux de la Baie des Naufragés

Elizabeth Swan
Gouverneure de Port Royal


6e Rapport sur les Travaux

Votre Excellence,

Les travaux se poursuivent comme prévu, et la Forteresse sera opérationnelle dans moins d’une semaine. Les tests de cannons commenceront le prochain lundi sur le flanc ouest.

Toutefois, les conditions de vie sur le chantier se sont dégradées. Malgré les moyens, il semblerai qu’une épidémie commence à ravager les rangs des travailleurs .
Les docteurs disponibles n’ont pas réussi à identifier de maladie connue :  Des médecins sont requis de toute urgence pour analyser ce mal. Les symptômes incluent le palissement de la peau, des hallucination, angoisses, vomissement de biles noires, puis une peur hystérique. Les sujets les plus atteints hurlent, visiblement en hallucination constante. Ils semblent craindre la mer, mais pas l’eau douce.

Bien qu’étouffé pour l’instant, la nouvelle d’une épidémie pourrait ravager le moral des travailleurs. Je recommande un secret strict sur les cas déclarés. Le sujet zéro, un charpentier de Port Royal, reste en observation sur l’île, et nous avons placé le reste en quarantaine sur le Terrasseur.

Yours Aye,

Col. Herbert Danters




Votre Excellence,

Je me permets de recommander l’envoi d’un prêtre ou d’un spiritualiste. Le mal qui nous menace est bien différent des crises de choléra qui ravagent habituellement nos îles.
Navré de vous troubler en ces temps déjà difficile,

Yours, Always,

Leo
more_horiz
Ouais, c’était pas mal ! Quoi ? Tu viens d’avoir un commentaire super long, j’vais pas en faire un deuxième.

Quo… Il faut ? Mince… Bon ! Monter, démonter…C’est toujours travailler !

Ici, la seule critique que j’ai à faire, c’est aussi une question de temporalité. Par rapport à ce que tu racontes, la construction d’une armature ainsi qu’un armement de gros canon ? En deux semaines ?! C’est quand même pas trop longtemps. Même s’il y a des milliers d’ouvrier, ça reste un travail titanesque. Un exemple ?! Demande à Cissnei le temps qu’il a fallut pour construire le Titanic.

Pourquoi le Titanic ? Simplement que… Elle risque d’adorer t’en parler !

Sinon, pour le rp en lui même, j’adore suivre l’aventure de ce compagnon. Là, comme j’enchaine la notation de tes mini-séries, je ne peux que remarquer une chose et c’est la différence de style à chaque fois. Et justement ? C’est le but des mini-séries, pouvoir faire autre chose qu’à son habitude. D’ailleurs ? C’est pour ça que je ne parviens pas à en écrire. Dès que j’en fait une ? Je retombe sur le style du personnage associés. Donc, ici ? De voir ça, je ne peux que tu féliciter.

Et taper le splendide petit cul d’ce compagnon.

Bref, c’est vraiment très intéressant d’avoir le point de vue des gars qui travaillent d’arrache pied. La dimensions à laquelle nous avons l’habitude, celle d’être les maîtres qui observons le travail, nous fait pas penser à l’histoire des gars. Et ici ? D’avoir celle du narrateur et de son pote ? C’était franchement cool.



Très Facile : 7 points d'expérience + 50 munnies + 1 PS en Dextérité !
more_horiz
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum