La pitié meurtrière  Szp8La pitié meurtrière  4kdkLa pitié meurtrière  4kdk
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Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Le Traducteur, part 2
La pitié meurtrière


Musique d'ambiance :


La douceur du matin, la brise soulevant les feuilles dans un souffle silencieux, les insectes lointains jouant de leurs ailes dans une harmonique unique.  Pour le ronso, ce voyage avais quelque chose de presque apaisant.

Autour de lui, un paysage de toute beauté, éternelle mélange de vertes collines, de forêts dense et nombreuses, de chemins de terre solitaire n’ayant vu de voyageurs depuis bien longtemps. La province de Gansu est aussi surprenante qu’il l’aurait espéré.

Ses pattes s’appuie un peu plus dans le sable, laissant derrière elles, une traînée d’empreinte qu’on pourrait confondre avec celles d’un tigre. Lui, est d’un calme stoïque, le chemin est encore long, et plus important, il est dans un territoire qu’il ne connait en rien.

Aussi loin dans les terres du nord, le mont Gagazet et ses sommets immaculés lui semble bien lointain.

Il s’arrête un bref instant, redressant la tête en silence. Inspirant à plein poumons l’air frais et chargé de senteurs diverses, des odeurs qu’il n’a jamais réellement connu. Les monts enneigés sont dénués d’autant de flagrances, délaissé par les animaux, uniquement emprunté et habité par son peuple, il s’est toujours émerveillé du véritable monde atteint pas ses sens dès lors qu’il rejoint les plaines.

Son œil unique se perd vers le lointain, la douce brise ébouriffant succinctement sa fourrure. Peu importe le calme, peu importe la beauté du lieu, sa si brève conversation avec Faith résonne dans sa tête, encore et encore.

Il était venu pour trouver un traducteur, quelqu’un capable de traduire sa langue des signes en quelque chose de plus commun. Un besoin nécessaire s’il souhaite rejoindre de manière utile les paladins du Sanctum. Il est vrai que si Bryke le souhaitait, il pourrait laisser les mots s’échapper de sa gueule, mais les traditions sont les traditions.

Le fardeau de son peuple, lié à ses croyances les plus intime. La voix est quelque chose de sacrée, capable de transcender l’air, capable de causer des blessures invisibles plus redoutable et cruelle que la plus aiguisé des épées. Lui, comme tant d’autres ronso, ont fait vœux de silence, tant que l’interlocuteur ne s’en est montré digne.  

Il était revenu sur son monde natale pour retrouver celle avec qui il avait tant voyager. Faith, jeune voyageuse venu d’ailleurs. Mais leurs retrouvailles ne c’était pas passé tel qu’il l’avait souhaité. Tous deux n’ont choisi la même voie, et c’est seul que le ronso repris le chemin.

D’une montagne à une autre, une manière simple de résumé le voyage qu’il l’attend. Il ne connait qu’une seule personne désormais, apte à traduire sa langue si silencieuse. Un écrivain, chargé de la mission ardue de communiquer les valeurs des divers peuples de Chine. Ce n’était pas une grande surprise qu’il décide ainsi de rejoindre les peuples mongols du nord, bien qu’aucun chinois sain d’esprit ne lui aurait recommandé.

Les peuples mongols…Le ronso redresse la tête vers l’horizon. Qui peuvent-ils être ? Il connaissait de vieilles légendes transmise par son peuple, une ère ancienne et résolue ou Humain et Ronso vivait ensemble au service de la dame de la montagne. Un conflit mené par les sans-cornes, poussèrent le peuple humain à fuir vers les montagnes du nord.

Le fauve secoue vivement la tête, allons donc, la route est encore longue, le temps n’est pas aux souvenirs et à la contemplation.

Il reprend son chemin, traversant le petit sentier de terre, se laissant mener vers la forêt lointaine.

Il est accueilli par les feuillages dense, le bruit de la nature et des bêtes sauvages. Bryke se fait plus attentif, ses oreilles s’agitent de plusieurs soubresauts tandis qu’il progresse entre les herbes.

L’odeur est différente, il y a quelque chose d’étranger…Le fauve se redresse, et dégaine lentement sa lame.

C’est une effluve étrange, mélange entre de la terre humide, caresser par les pluies des sommets, et l’alcool fort et amère des gourdes gueuse.

- « T’es tombé dans notre piège le….EH ?! »

Devant lui, surgit deux individus, suivit par deux autres dans son dos. Des vêtements déchirés et couvert de boue, des visages dur et sales, suivi d’une corpulence criant à la famine.

Les bandits fixent le fauve avec un air incrédule.

- « Un monstre ! »

S’écrie un des bandits, avant de prendre ses jambes à son cou. Le moral chute dans les rangs ennemis, et c’est l’un après l’autre qu’ils décident de prendre la fuite.

Il suffit de quelques secondes, et seul demeure le ronso au milieu de la route, perplexe. Certes, il n’a jamais tenu les voleurs de grand chemin en haute estime, de même qu’il n’a jamais sous-estimé leur courage, mais la confusion demeure.

La vérité lui apparait comme une évidence, il est terriblement loin de chez lui, et de n’importe quelle ville disposant d’un port Shinra. Etait-ce la première fois que ces bandits entrapercevait un non-humain ? A en juger par leurs réactions horrifiées, de toute évidence.

Bryke reprend son chemin, ses pensées valsant au grès des derniers événements. Si la réaction de ses bandits était si intense…Peut-être serait-il mieux d’éviter tout village ou lieu de vie. Loin de lui l’envie d’être chassé par une horde de soldats et villageois, terrifié par son apparence bestiale.

Le fauve lève la tête vers le ciel, l’ambiance est lourde, pesante. Les animaux et les insectes ont laissé place au silence étrange et mystique. Le soleil a disparu derrière d’épais nuages gris, tandis qu’au loin, c’est un voile d’un noir nuit qui enveloppe l’horizon.

Ses pas se font plus pressant, les arbres défilants sur les côtés, et au loin, la sortie du bois. Il l’atteint dans de grandes foulées, admirant à nouveau le paysage plus dégagé et ouvert devant lui. De nombreuses routes circulent entre les prairies, tandis que se découpe des montagnes ancestrales lointaine. Quelques petits villages semblent peuplés le contrebas, les rues se désertent peu à peu.

Le ronso s’arrête un instant, savourant ce moment, le calme avant la tempête. Il ferme son œil valide, adressant mentalement une prière à Rai, sa grande divinité qu’il sert si loyalement. Il lui promet d’accomplir son rôle, et de mener à bien sa tâche sacrée lorsque sa parole se laissera entendre.

Formé depuis son plus jeune âge, Bryke a toujours eu comme fierté de se revendiquer Prêtre-guerrier de Rai. Gardien des traditions, chasseurs de sans-corne, il a toujours dédié sa vie à cette tâche, et lorsque la foudre et le tonnerre gronde, il doit se montrer présent.

Son regard parcourt les environs, il cherche un abri où il pourrait s’abriter le temps de la tempête, et mener son rituel.

Il jette son dévolu sur une petite ferme et sa grange excentré du village. Il ne met que quelques minutes pour descendre la colline et rejoindre le lieu.

Le vent se lève, apportant avec lui, promesse d’orages et de dessins divins. Il soulève avec lui une odeur des plus dérangeante tandis que le fauve s’approche de la ferme. Une odeur de mort, de fer, et de larmes salées.

La ferme se tient devant lui, simple, humble, et dénué de vie. Plusieurs traces de luttes se laissent entrevoir, la porte a visiblement été enfoncer, et les animaux ne sont plus dans la grange.

Est-ce le désir d’aider, ou une curiosité maladive qui le pousse à pénétrer à l’intérieur du bâtiment, lui-même ne saurais le dire.

Il s’avance d’un pas lent, dégainant son arme. L’odeur est bien plus forte, et est mêlés à de nouvelles effluves. Le sang, bien entendu, mais aussi les feuilles de thé mélangé à du lait, exotique.

L’ambiance est lourde, la tempête approchant, la luminosité se réduit drastiquement, plongeant le lieu dans un crépuscule inquiétant et pesant.

Une porte fermé, le fauve s’approche, les oreilles attentives au moindre bruit. Il entend quelque chose, des gémissements, des pleurs, un survivant ?

Il fait coulisser la cloison, révélant à lui un spectacle d’une tristesse sans nom. Une famille entière massacré, grand-mère, parent, sœurs et cousins. Au sol dans une position de terreurs, des armes improvisées entre leurs mains. Ils se sont battu, jusqu’au bout.

Le ronso s’étonne, pourquoi ne pas avoir mis le feu à la ferme ? Pour éviter d’attirer l’attention de la ville voisine ? Il ne comprend pas, n’est-ce pas la moindre des choses ? Laisser les souvenirs et les biens des morts disparaitre avec la vie qu’ils servaient ? Ses réflexions sont stoppées par un nouveau sanglot…Venant du sol ?

Il se baisse doucement, arrachant de ses propres griffes une des lattes de bois. Il y trouve une très petite cachette, dans laquelle est recroquevillé un enfant de cinq ans, tout au plus.

L’enfant, un jeune garçon avec son visage rond, ses yeux noirs rougis par les pleurs, fixe le fauve avec une frayeur inimaginable. La terreur l’envahit, brisé par les événements, il continue ce cauchemar dont il ne semble pas pouvoir se réveiller.

Le ronso serre les crocs, il n’avait pas prévu ça. Que faire…Que faire….

Son regard glisse vers l’enfant, puis vers les cadavres des membres de sa famille. Il est seul ? Tout seul ?

Il pourrait le ramener au Sanctum, ou à un village proche mais…Est-ce la meilleure chose à faire ? Va-t-il laisser cet enfant vivre avec un tel traumatisme toute sa vie, s’en vouloir de s’être caché, d’avoir été impuissant ? Vivre en se sachant le seul survivant, et en ayant souvenirs de chaque instant ?

N’est-ce pas là tous les ingrédients pour que cet enfant sombre dans les ténèbres une fois en âge ? N’est-ce pas là du sadisme de laisser ce pauvre bout de chou vivre avec une blessures émotionnelles et psychologique inouï ?  

Non, il n’infligera pas ça à un être vivant, non, il ne prendra pas le risque de laisser un être des ténèbres grandir dans le cœur de ce garçon toute sa vie, car il a été trop lâche pour abréger ses souffrances, maintenant et tout de suite.

Le fauve tend une de ses mains griffues vers les yeux de l’enfant, lui cachant la vue. L’enfant est raidi, paralysé par la peur.

Les babines du ronso s’entrouvrent, chantonnant doucement de sa voix grave, avec toute la bienveillance qu’il porte selon lui dans son futur acte, une berceuse de chez lui.

- « Dors jeune homme, les cimes protègent…Les rêves des ténèbres. Dors jeune homme, le tonnerre repousse…nos cauchemars funèbres. Lorsque les paupières enfin, s’ouvrent. Devant le jeune homme, l’aube brillera. »

Cela faisait bien longtemps qu’il n’avait pas dut chanter cette berceuse. Il s’occupait parfois des jeunes ronsos, son devoir de prêtre-guerrier l’obligeant à aider son peuple lorsque nécessaire. Il venait d’user de sa voix, l’enfant est-il digne ? Bryke le pense, tout comme il ne laissera pas cette dignité sombré. Puisse sa voix sacrée le guider vers de meilleures lendemains, puisse Rai et la dame de la montagne avoir pitié de lui.

Le ronso sent les larmes de l’enfant couler le long de sa paume. Toujours aussi frigorifié et paralysé par la terreur.

Le fauve utilise sa main pour lui faire baisser la tête doucement, tandis qu’il serre le poing de l’autre. Il la redresse haut, avant de la laisser retomber de toute sa force sur la nuque.

L’enfant rend la vie sans une seule goutte de sang. Le ronso tient le corps sans vie entre ses mains griffues, il se redresse, et vient le placer au sol, hors de la misérable cachette. Il lui ferme les yeux dans un silence humble.

Le jeune garçon est au sol, poupée endormis au milieu du chaos. Bryke lui, se redresse lentement, avant de quitter le domicile. Dehors, le vent est bien plus fort, mais la pluie n’est pas encore là.

Le ronso se redresse vers la ferme, adressant une prière en l’honneur de Rai, avant de relever doucement les mains.

Il serre en premier ses mains en poing, avant de les accoler l'un contre l'autre. L'index et le majeur de la main gauche, par-dessus le poing serré. "Retsu".

Suivi de la même mudra, deux fois de suite. Main écartés, l'index, pouce et majeur de chaque main joint par le bout des doigts et écarté. Petit doigt et annulaire de chaque main liée. "Rin + Rin"

Les nuages se font plus concentré au-dessus de lui, tandis qu’à chacun des mudra, des étincelles s’échappent de ses paumes. Son visage ne trahis aucune émotion, aucun plaisir.

Il vient conclure son enchaînement par le signe de confirmation. Il vient redresser sa main droite, le coude accole à son torse. Avant de tendre un index, comme s’il demandait le silence.

A peine fini-t-il son signe, qu’un éclair s’abat sur la ferme dans un bruit fracassant, incendiant quelques morceaux de bois.

Bryke prend une grande inspiration, avant de recommencer, encore, et encore, jusqu’à ce que la ferme brûle d’un feu sacré.

On dit que la foudre ne tombe jamais au même endroit, et pourtant, les villageois de la ville voisine virent ce soir-là, plusieurs éclairs foudroyer une pauvre demeure excentrée.

La masure enflammée se tient devant lui, un incendie d’une grande violence, nul doute que les villageois ne braveront pas la tempête pour satisfaire la curiosité qui est leurs.

Le ronso se tient devant, fixant son acte. Le ciel revêt un manteau de noir, tandis que les premières gouttes de pluie commencent à tomber sur le lieu.

Rai arrive…

Le ronso s’abrite sous la grange, refusant de rentrer à l’intérieur, préférant garder un œil sur le bucher funèbre qu’il a lui-même allumé.

Il décroche de son dos son tambour de prêtre-guerrier, qu’il pose au sol. La pluie se fait de plus en plus intense, le ronso doit mener le rituel.

Rai, grande divinité du tonnerre et de la foudre, adulé par le peuple ronso. Rai, saint patron de la caste de Bryke, dont il en est le prêtre. Lorsque le tonnerre surgit, la voix du dieu lui-même se laisse entendre, et le fauve, en représentant qu’il est, se doit de mener à bien le rituel de la foudre.

Il ouvre sa sacoche, et vient saisir un petit grelot au son exotique et ancien, attaché à une lanière de cuir. Il l’attache à son pied droit, avant de prendre une grande inspiration.

Il dédie se rituel à Rai, bien évidemment, mais aussi à l’enfant.

Il s’élance, frappant du sol en un rythme régulier, accentuant le tempo en fonction de la densité de la pluie. Il laisse ses mains griffues valser doucement tout en prenant diverses positions. Des positions secs, brutales, qui pourraient ressembler pour chacune à une posture de combat. Il les enchaîne, ne manquant pas de frapper du pied contre le sol, laissant le grelot retentir.

Sa dance est récompensée, un premier éclair illumine le ciel, dessinant des formes complexes dans le ciel noirâtre.

Son du tambour :


Bryke se laisse tombé au sol, saisissant son tambour. Il ferme les yeux, essayant de laisser son instinct parler, de ressentir son lien avec Rai. Il vient jouer un rythme d’abord régulier, puis graduellement de plus en plus intense.

Le but du rituel est simple, il doit annoncer la foudre avec son tambour, il doit démarrer avec un battement léger et lent, et adopter un rythme tribal, guerrier, et maitrisé à mesure que la foudre arrive. Avant de recommencer dès que l’éclair est apparu.

Le rythme est là, tous ses sens sont en alerte, il se synchronise avec la fréquence de la foudre, jouant de son tambour dans une transe.

Devant lui, la demeure brûle toujours, projetant sa lumière rougeoyante sur le joueur de tambour.

Bam…Bam…Bam…Bam

Le son frénétique durera jusqu’à la fin de la tempête….
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Jour de congé, jour de notation ! Dommage que ça ne rime pas. Bref, tu l’comprends, c’est le moment où j’viens donner mon avis.

Aujourd’hui, j’ai pas grand chose à dire de négatif. Néanmoins, aujourd’hui, quelque chose m’a sauté aux yeux durant la lecture. Ici, ce sera une remarque totalement liée à l’orthographe et à la conjugaison. Plutôt, ce sera lié à une logique à conserver dans le récit. Simplement, pendant la lecture, tu allais du passé au présent entre deux phrases. C’est, étrange, à la lecture. Pour faire simple, c’est comme quand un type te conte une histoire et qu’il passe entre l’un et l’autre sans arrêt.

Toi, quand tu écoutes ça, tu te poses vraiment la question de savoir si ça s'est déroulé il y a deux jours ou deux heures. Tu vois ce que j’veux dire ? En soit, il suffit simplement de se donner un temps pour tout le rp et de s’y tenir. Pour la suite, je t’invite réellement à essayer ça, garder le même temps tout le long du texte ainsi que le point de vue du narrateur. Deal ?

Sinon, pour le positif !

En soit, j’aime bien la question morale que tu poses dans le rp. En finalité, comme le montre ton texte, c’est une question de conviction. Durant la lecture, j’me suis posé la question de savoir la réponse de mes personnages. Tu vois ce que j’veux dire ? Et pour moi, ça c’est une bonne chose. Tu poses une question en y répondant, cependant, le lecteur ce pose lui-même la question parce que tu l’y invites subtilement à ce qu’il se la pose.

Il y a eu la phrase, et dans ma tête, il y a eu le « no-way ! Une vie est une vie ». Donc, c’est que c’est bien !

Deuxième point positif dans le rp, et c’est un truc que j’adore avec le Sanctum. C’est de voir la création d’un rite, d’un élément que l’on peut reprendre pour la suite. Nous avions déjà un enterrement selon Etro ? Boom. Nous avons celui de Rai avec nous en plus d’un rituel lors des tempêtes. Bon, j’vais pas en dire plus pour attiser la curiosité, mais j’dis un gros bravo pour l’effort de nous proposer cela.

Donc… J’ai rien d’autre à ajouter ! C b1.


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