S'ouvrent les portes des geôles, lourdes et sonores, pour que s'y déploient deux paires de gardes à la lueur des néons : la première va immédiatement stationner devant la prison de Lenore et la deuxième devant celle de Narantuyaa. Les ordres sont simples, les consignes sont clairs. Ils ont à surveiller les mercenaires, en restant à bonne distance, pour s'assurer que rien d'inconsidéré ne soit tenté. Loin des barreaux pour qu'on ne puisse pas les attraper mais aussi, loin les uns des autres autant que faire se peut. Les captives ont prouvés maitriser quelques pouvoirs surnaturels… ce sera beaucoup plus difficile de toucher en même temps d'un sort, ou d'une quelconque attaque, deux personnes qui se tiennent un minimum éloigné. Plus difficile mais pas impossible, hélas. Parmis les consignes, il y a aussi celle de ne pas interagir avec les prisonniers tant que ceux-ci ne sortent pas des cellules. Un incident a déjà eu lieu mais il est hors de question que ça se reproduise sous les ordres Jack ; qu'une mercenaire s'amuse à jeter des trucs à travers ses barreaux n'est pas une raison pour lui donner une occasion de s'échapper. Et qu'elles jouent de provocations non plus.
Le chef veut ses gardes noirs silencieux comme des ombres, plus impassibles que des gargouilles.
Jack Inèrsse s'engouffre dans les cachots à son tour comme s'enfonce le surin d'un assassin entre deux côtes, simplement vêtu : un treillis noirs, des rangers aux pieds et d'une chemise blanche froissée. Lui-même est décoiffé, les yeux cernés de violets, le teint pâle d'un insomniaque mais les yeux pourtant vivaces, nerveux. Son pas est préssé, un peu anxieux, tandis que sans ralentir ni s'arrêter, il inspecte d'un oeil inquisiteur les cellules sur sa route. Les portes sont toujours grandes ouvertes, le transfert doit se faire de manière aussi fluide que possible dans l'intérêt de tout à chacun.
Les Princesses de Coeurs… belles comme au premier jour, même au fin fond du cachot… et jusqu'ici, très tranquille. Ont-elles abandonnés l'idée d'un jour s'évader ? Pourtant, on attendrait de ses femmes au coeurs de pur lumière qu'elles ne perdent jamais espoir. Sur sa route, Jack sent un malaise l'envahir à passer près d'elles… comparable à la chaleur d'une maladie, une sorte de fièvre le fait se sentir mal dans ses baskets. Lui qui a le coeur si sombre peine à supporter la lumière qui s'en échappe. Qu'est-ce qui garantit qu'elles ne peuvent pas faire s'évanouir les coalisés, si sombres de coeurs, d'un flash ou d'une autre saloperie magique ? Au moins les secouer.
Il y a aussi Lenore… et pour que Death veuille la garder… dans le meilleur des cas, il a encore des informations à en tirer. Or, pour tenir à ce point à vouloir les lui extorquer personellement… elle doit être incroyablement dangereuse.
Finalement, Jack arrive devant la cellule de Narantuyaa qu'il s'empresse de détailler de la tête aux pieds ; qu'il scrute jusque dans le moindre détail. De longues secondes silencieuses, presque jusqu'à la minute, sans une fois cligner des yeux. La pauvre, vraiment. Couvertes de blessures de la tête aux pieds, pas tout à fait fraiches mais pas refermés non plus. On devine pourtant encore l'athlétisme de sa carcasse dérrière toutes ses blessures. Le Chien Noir avait mal rien qu'à la regarder. Et à cette vision, s'il ressent un peu de pitié, c'est surtout la déprime qui l'envahit. Le voilà qui se frotte plus que les yeux, le visage tout entier… y passe ses mains lents et insistants, à s'en tirer la peau, de haut en bas comme pour en laver la fatigue. Crevé d'avance, Jack eut été prévenu que la détenue serait en mauvais état… mais à ce point-là... ?
Désespéré, Jack soupire résigné de voir qu'il a bien plus de travail que prévu.
Tout ce qu'elle a pu souffrir… tout ce qu'on a du lui faire subir… tout ça ne peine pas Jack, ne lui arrache pas la moindre compassion. Tout ça ne fait que le désespérer, fatigué d'avance face à la tâche qui l'attend. Son dur labeur semble saisir chaque opportunité pour s'alourdir ; ce qui n'empêche pas l'aiguille de tourner.
« Bonsoir Narantuyaa… » Le regard du jeune homme se plisse soudain. Ces stigmates, cicatrices et hématomes sont certes horribles mais… ne surjoue-t-elle pas un peu ? Après tout, plus vulnérable parait-elle, moins vigilants seront ses geôliers. Raison pour laquelle Jack se tient à bonne distance des barreaux. « Pour que tu le saches, à condition que tu coopères sans faire d'histoires, ta situation ne peut que s'améliorer. J'en connais une autre… » Et très rapidement, Jack jette un vague regard dans la direction où se trouve Lenore, sans s'arrêter de parler. « …qui ne peut pas en dire autant. C'est le moment où tu réalises la mansuétude de la Coalition Noire envers ceux qui savent quand s'arrêter. »
Est-ce bien vrai ? A vrai dire, Death n'est pas le genre de personne à qui l'on se permet de poser des questions. Jack craint pourtant qu'il ne veuille bien plus que des simples informations venant de Lenore. Se pourrait-il qu'elle le manipule, d'une quelconque façon ? Ou même qu'il veuille carrément la recruter ? Après tout, le Chien Noir dirigeait la Garde Noire en ayant tuer son prédécesseur… et un certain "Kuro" venait de rejoindre la Coalition Noire, justement en tuant un garde noir.
Dans un autre soupir, entre lassitude et agacement, Jack reporte son regard sur la mercenaire, l'air toujours aussi soucieux.
D'ordinaire, il tâche de ne louper aucun détail de son environnement, d'être à cent pour cent attentif… mais a tellement d'autres choses à penser que ca en devint impossible. Quid du dirigeable rose à Agrabah ? Quid du remplacement du garde noire mort des mains du nouvel arrivant ? Et de celui que Death a foutu en cellule ? Comme s'il suffisait de secouer un arbre pour qu'en tombe des gardes noirs ! Sans parler de sa prochaine mission au Domaine Enchantée, honnêtement, il n'aura jamais le temps de tout faire ! L'idée de ne pas pouvoir être complètement, à cent pour cent, concentré sur la situation présente le terrifiait au plus haut point. Son visage s'en fait agacé comme si un mouche venait l'ennuyer ; comme si une migraine le hantait ; comme si une rage de dent l'habitait. Ce transfert va prendre du temps, peu importe l'énèrgie avec laquelle on s'y attèle.
Et même… si ses yeux restent rivés sur Narantuyaa, la présence de sa collègue, il ne peut pas l'ignorer à partir du moment où les deux coopèrent. Difficile de dire à quel point les autres prisonniers sont découragés mais… lequel, honnêtement, ne sautera pas sur une occasion de s'enfuir ? Ou juste de nuire ? Plus particulièrement les rebelles et autres opposants, de toute façon destinés à finir en cobaye pour Salazar, ils n'ont plus grand-chose à perdre. Quand aux deux mercenaires, elles ont prouvés ne craindre aucune répercussion, allant jusqu'à se rebiffer face au grand patron lui-même. A partir de là, on sait d'avance qu'elles saisiront la première opportunité de s'échapper et… pour réussir sa mission, Jack n'aura pas le choix que d'en fournir, des opportunités.
« Ta coopération sera plus qu'apprécié. » Dit-il, neutre… un peu morne, sans vie ni énèrgie. Surtout saoulé d'avance par la journée qui l'attend. Préssé d'en finir, désireux d'allez droit au but. « Tes mains bien en évidence plaqués sur le mur au fond de ta cellule, je te prie. »
Dès que ce sera fait, Jack ouvrira la cellule… et les deux gardes noirs qui la surveillent y entreront pour menotter la prisonnière -poignets et chevilles- puis l'escorter jusqu'à la sortie du manoir. Le Chien Noir restera en retrait, c'est bien la meilleure position pour intervenir en cas de problème. Il pourra voir la prisonnière mais elle ne pourra pas le voir.
« Si tu ne coopères pas, on utilisera bien évidement la force. » Et c'est bien la dernière chose que veut Jack : rendre cette mission plus compliqué qu'elle ne l'est déjà. Un somnifère venant de Salazar aurait été apprécier mais trop pris par ses expériences, celui-ci n'est pas disponible pour le moment, hélas. « Je suis même disposé à te dire ce qui est prévu pour toi mais uniquement en-dehors du manoir et seulement si tu coopères. »
C'est un appât comme un autre que d'essayer de la rendre curieuse. D'après le fichier de la Shinra sur les mercenaires, Narantuyaa serait une arbalétrière originaire de la Terre des Dragons mais… rien de plus. Rien de bien intéréssant Et concernant Lenore, pas tellement d'infos non plus… la Coalition Noire elle-même étant plus informé, c'est dire. Par contre, il est précisé dans le fichier que ni l'une, ni l'autre, ne maitrise la magie, le psychisme ou la symbiose. Ca veut bien dire que ce fichier n'a rien de fiable et qu'il faut rester incroyablement vigilent.
« Puisque je ne peux pas te forcer à coopérer de ton plein gré… à toi de voir si tu veux la jouer cool ou non. »
Les six gardes habituellement en postes dans les sous-terrains qui n'ont pas bougés… les quatres qu'a ramené Jack depuis la Cité du Couchant… et Jack lui-même, ca fait onze. Un total de onze gardes noirs pour gérer une prisonnière au bout de sa vie… qu'elle coopère ou non, en théorie, ça devrait passer. Pourtant, le Chien Noir reste… tendu, les nerfs à vifs. S'attend au pire… s'attend à tout et à n'importe quoi… jusqu'à fixer Narantuyaa, refusant jusqu'à cligner des yeux pour être sûr de ne louper aucun détail.
Elle… plus Jack la regarde, plus il se dit que quelqu'un d'ordinaire ne peut pas survivre avec de telles blessures… lui-même ne pourrait pas. Se méfier… toujours se méfier… même d'une mercenaire à moitié-morte en cage ? Surtout d'une mercenaire à moitié-morte en cage.
Mer 12 Sep 2018 - 21:57Le chef veut ses gardes noirs silencieux comme des ombres, plus impassibles que des gargouilles.
Jack Inèrsse s'engouffre dans les cachots à son tour comme s'enfonce le surin d'un assassin entre deux côtes, simplement vêtu : un treillis noirs, des rangers aux pieds et d'une chemise blanche froissée. Lui-même est décoiffé, les yeux cernés de violets, le teint pâle d'un insomniaque mais les yeux pourtant vivaces, nerveux. Son pas est préssé, un peu anxieux, tandis que sans ralentir ni s'arrêter, il inspecte d'un oeil inquisiteur les cellules sur sa route. Les portes sont toujours grandes ouvertes, le transfert doit se faire de manière aussi fluide que possible dans l'intérêt de tout à chacun.
Les Princesses de Coeurs… belles comme au premier jour, même au fin fond du cachot… et jusqu'ici, très tranquille. Ont-elles abandonnés l'idée d'un jour s'évader ? Pourtant, on attendrait de ses femmes au coeurs de pur lumière qu'elles ne perdent jamais espoir. Sur sa route, Jack sent un malaise l'envahir à passer près d'elles… comparable à la chaleur d'une maladie, une sorte de fièvre le fait se sentir mal dans ses baskets. Lui qui a le coeur si sombre peine à supporter la lumière qui s'en échappe. Qu'est-ce qui garantit qu'elles ne peuvent pas faire s'évanouir les coalisés, si sombres de coeurs, d'un flash ou d'une autre saloperie magique ? Au moins les secouer.
Il y a aussi Lenore… et pour que Death veuille la garder… dans le meilleur des cas, il a encore des informations à en tirer. Or, pour tenir à ce point à vouloir les lui extorquer personellement… elle doit être incroyablement dangereuse.
Finalement, Jack arrive devant la cellule de Narantuyaa qu'il s'empresse de détailler de la tête aux pieds ; qu'il scrute jusque dans le moindre détail. De longues secondes silencieuses, presque jusqu'à la minute, sans une fois cligner des yeux. La pauvre, vraiment. Couvertes de blessures de la tête aux pieds, pas tout à fait fraiches mais pas refermés non plus. On devine pourtant encore l'athlétisme de sa carcasse dérrière toutes ses blessures. Le Chien Noir avait mal rien qu'à la regarder. Et à cette vision, s'il ressent un peu de pitié, c'est surtout la déprime qui l'envahit. Le voilà qui se frotte plus que les yeux, le visage tout entier… y passe ses mains lents et insistants, à s'en tirer la peau, de haut en bas comme pour en laver la fatigue. Crevé d'avance, Jack eut été prévenu que la détenue serait en mauvais état… mais à ce point-là... ?
Désespéré, Jack soupire résigné de voir qu'il a bien plus de travail que prévu.
Tout ce qu'elle a pu souffrir… tout ce qu'on a du lui faire subir… tout ça ne peine pas Jack, ne lui arrache pas la moindre compassion. Tout ça ne fait que le désespérer, fatigué d'avance face à la tâche qui l'attend. Son dur labeur semble saisir chaque opportunité pour s'alourdir ; ce qui n'empêche pas l'aiguille de tourner.
« Bonsoir Narantuyaa… » Le regard du jeune homme se plisse soudain. Ces stigmates, cicatrices et hématomes sont certes horribles mais… ne surjoue-t-elle pas un peu ? Après tout, plus vulnérable parait-elle, moins vigilants seront ses geôliers. Raison pour laquelle Jack se tient à bonne distance des barreaux. « Pour que tu le saches, à condition que tu coopères sans faire d'histoires, ta situation ne peut que s'améliorer. J'en connais une autre… » Et très rapidement, Jack jette un vague regard dans la direction où se trouve Lenore, sans s'arrêter de parler. « …qui ne peut pas en dire autant. C'est le moment où tu réalises la mansuétude de la Coalition Noire envers ceux qui savent quand s'arrêter. »
Est-ce bien vrai ? A vrai dire, Death n'est pas le genre de personne à qui l'on se permet de poser des questions. Jack craint pourtant qu'il ne veuille bien plus que des simples informations venant de Lenore. Se pourrait-il qu'elle le manipule, d'une quelconque façon ? Ou même qu'il veuille carrément la recruter ? Après tout, le Chien Noir dirigeait la Garde Noire en ayant tuer son prédécesseur… et un certain "Kuro" venait de rejoindre la Coalition Noire, justement en tuant un garde noir.
Dans un autre soupir, entre lassitude et agacement, Jack reporte son regard sur la mercenaire, l'air toujours aussi soucieux.
D'ordinaire, il tâche de ne louper aucun détail de son environnement, d'être à cent pour cent attentif… mais a tellement d'autres choses à penser que ca en devint impossible. Quid du dirigeable rose à Agrabah ? Quid du remplacement du garde noire mort des mains du nouvel arrivant ? Et de celui que Death a foutu en cellule ? Comme s'il suffisait de secouer un arbre pour qu'en tombe des gardes noirs ! Sans parler de sa prochaine mission au Domaine Enchantée, honnêtement, il n'aura jamais le temps de tout faire ! L'idée de ne pas pouvoir être complètement, à cent pour cent, concentré sur la situation présente le terrifiait au plus haut point. Son visage s'en fait agacé comme si un mouche venait l'ennuyer ; comme si une migraine le hantait ; comme si une rage de dent l'habitait. Ce transfert va prendre du temps, peu importe l'énèrgie avec laquelle on s'y attèle.
Et même… si ses yeux restent rivés sur Narantuyaa, la présence de sa collègue, il ne peut pas l'ignorer à partir du moment où les deux coopèrent. Difficile de dire à quel point les autres prisonniers sont découragés mais… lequel, honnêtement, ne sautera pas sur une occasion de s'enfuir ? Ou juste de nuire ? Plus particulièrement les rebelles et autres opposants, de toute façon destinés à finir en cobaye pour Salazar, ils n'ont plus grand-chose à perdre. Quand aux deux mercenaires, elles ont prouvés ne craindre aucune répercussion, allant jusqu'à se rebiffer face au grand patron lui-même. A partir de là, on sait d'avance qu'elles saisiront la première opportunité de s'échapper et… pour réussir sa mission, Jack n'aura pas le choix que d'en fournir, des opportunités.
« Ta coopération sera plus qu'apprécié. » Dit-il, neutre… un peu morne, sans vie ni énèrgie. Surtout saoulé d'avance par la journée qui l'attend. Préssé d'en finir, désireux d'allez droit au but. « Tes mains bien en évidence plaqués sur le mur au fond de ta cellule, je te prie. »
Dès que ce sera fait, Jack ouvrira la cellule… et les deux gardes noirs qui la surveillent y entreront pour menotter la prisonnière -poignets et chevilles- puis l'escorter jusqu'à la sortie du manoir. Le Chien Noir restera en retrait, c'est bien la meilleure position pour intervenir en cas de problème. Il pourra voir la prisonnière mais elle ne pourra pas le voir.
« Si tu ne coopères pas, on utilisera bien évidement la force. » Et c'est bien la dernière chose que veut Jack : rendre cette mission plus compliqué qu'elle ne l'est déjà. Un somnifère venant de Salazar aurait été apprécier mais trop pris par ses expériences, celui-ci n'est pas disponible pour le moment, hélas. « Je suis même disposé à te dire ce qui est prévu pour toi mais uniquement en-dehors du manoir et seulement si tu coopères. »
C'est un appât comme un autre que d'essayer de la rendre curieuse. D'après le fichier de la Shinra sur les mercenaires, Narantuyaa serait une arbalétrière originaire de la Terre des Dragons mais… rien de plus. Rien de bien intéréssant Et concernant Lenore, pas tellement d'infos non plus… la Coalition Noire elle-même étant plus informé, c'est dire. Par contre, il est précisé dans le fichier que ni l'une, ni l'autre, ne maitrise la magie, le psychisme ou la symbiose. Ca veut bien dire que ce fichier n'a rien de fiable et qu'il faut rester incroyablement vigilent.
« Puisque je ne peux pas te forcer à coopérer de ton plein gré… à toi de voir si tu veux la jouer cool ou non. »
Les six gardes habituellement en postes dans les sous-terrains qui n'ont pas bougés… les quatres qu'a ramené Jack depuis la Cité du Couchant… et Jack lui-même, ca fait onze. Un total de onze gardes noirs pour gérer une prisonnière au bout de sa vie… qu'elle coopère ou non, en théorie, ça devrait passer. Pourtant, le Chien Noir reste… tendu, les nerfs à vifs. S'attend au pire… s'attend à tout et à n'importe quoi… jusqu'à fixer Narantuyaa, refusant jusqu'à cligner des yeux pour être sûr de ne louper aucun détail.
Elle… plus Jack la regarde, plus il se dit que quelqu'un d'ordinaire ne peut pas survivre avec de telles blessures… lui-même ne pourrait pas. Se méfier… toujours se méfier… même d'une mercenaire à moitié-morte en cage ? Surtout d'une mercenaire à moitié-morte en cage.