Montrer l’exemple
Voila une nouvelle mission pour moi où je devais bien l’avouer, je n’étais pas vraiment un adorateur de ce genre de mission que Death me demandais. Même si j’avais déjà eu à faire des « sales boulots », récupérer de l’argent auprès des habitants… Ça me faisait un peu mal au cœur.
J’étais donc parti en direction du Château de la Bête et commençais à avancer dans ce monde pour trouver les hommes de la Garde Noire qui devaient m’accompagner ainsi que le « sans-cœur coffre » qui, lui devait récupérer l’argent pour pouvoir ensuite le donner à Death.
Les trois gardes qui m’accompagnèrent restèrent silencieux et me firent d’avancer en direction des premières maisons où je devais percevoir les impôts.
Je frappai à la première porte, un instant de silence. Je tournai la tête vers les gardes et je vis bien leur regard. Je frappai une nouvelle fois à la porte avec un peu plus de conviction.
La porte finit par s’ouvrir, un homme. Une trentaine d’années, les cheveux noirs, le teint blafard, les yeux marron.
Je me retournai une nouvelle fois vers les gardes et lui fit un signe de tête. Il était inutile de parler, ils avaient tout de suite compris ce que je voulais faire.
Ils l’attrapèrent et le tenaient fermement et avancèrent dans la rue où je voyais quelques curieux hors de leur maison et d’autres moins courageux, regarder ce qui se passait derrière leurs rideaux.
J’avais légèrement haussé la voix pour que l’on puisse m’entendre. Je fis craquer chacune de mes phalanges et donnait un violent coup dans le visage de cet homme.
Ce pauvre homme toujours à genoux au sol, ouvrit sa bouche, ressentant une douleur dans la mâchoire… Et moi aussi, j’avais mal, pas physiquement, mais j’avais mal…
Les quelques habitants qui étaient sortis commencèrent à murmurer entre eux, je n’arrivais pas à entendre ce qu’ils disaient… Mais ça ne devait pas être quelque chose de très joyeux… Sûrement quelques protestations.
Je me penchais à nouveau vers celui qui avait servi d’exemple, attrapai sa mâchoire entre mes doigts et je lui chuchotai quelques mots.
Je le relâchai tout en le repoussant. Je fis signe au garde le lâcher aussi. Il retourna vers sa maison en compagnie des hommes de la Garde Noire et du sans-cœur dans lequel il balança la somme que je lui avais imposé.
Je restai silencieux, toujours à la même place, regardant tour à tour les habitants autour de moi qui retournèrent à leur retour, les uns après les autres dans leurs habitations attendant sagement que je vienne leur demander l’argent.
Lorsque je me retrouvai à nouveau seul dehors, je retournai près des gardes qui s’étaient dirigés vers une autre maison. Je levai le poing pour frapper à la porte, mais je n’eu pas le temps de manifester notre présence car la porte s’ouvrit immédiatement. C’était une femme, les cheveux noirs aux reflets rouge, les yeux bleus.
Je jetai les 120 munnies dans le « coffre » mais je n’avais même pas eu la possibilité de dire quoi que ce soit que la jeune femme avait déjà fermé la porte.
Je n’avais pas pris le temps de le regarder pour lui répondre, je m’étais déjà dirigé vers une autre maison et frappais une nouvelle fois à la porte pour réitérer ma « demande ».
Au bout de plusieurs heures, nous avions enfin récupéré les 120 munnies -avec un petit surplus de 30 munnies- auprès de tous les habitants. Je n’avais plus dis un mot aux gardes. La seule chose que je finis par leur dire était la façon dont Death allait récupérer le sans-cœur.
Je quittai cet endroit le plus rapidement possible et retournai vers le Quartier Général de la Coalition Noire.
J’étais donc parti en direction du Château de la Bête et commençais à avancer dans ce monde pour trouver les hommes de la Garde Noire qui devaient m’accompagner ainsi que le « sans-cœur coffre » qui, lui devait récupérer l’argent pour pouvoir ensuite le donner à Death.
- Pardonnez-moi. Je suis un peu en retard…
- Ce n’est pas un problème.
- Si vous le souhaitez… Nous pouvons commencer.
- Ce n’est pas un problème.
- Si vous le souhaitez… Nous pouvons commencer.
Les trois gardes qui m’accompagnèrent restèrent silencieux et me firent d’avancer en direction des premières maisons où je devais percevoir les impôts.
Je frappai à la première porte, un instant de silence. Je tournai la tête vers les gardes et je vis bien leur regard. Je frappai une nouvelle fois à la porte avec un peu plus de conviction.
La porte finit par s’ouvrir, un homme. Une trentaine d’années, les cheveux noirs, le teint blafard, les yeux marron.
- C’est pourquoi ?
- Nous venons de la part de Death.
- Un problème ?
- Comme vous le savez sûrement, dernièrement il y a eu… Un bal...
- Oui… Et ?
- Si vous me laissiez terminer pour voir ?
- Pardon…
- Je disais donc que ce bal, la préparation de cet événement a… Comment dire ? Ça a coûté très cher et… Nos caisses ont besoin de se remplir à nouveau…
- Attendez… Vous êtes en train de dire que vous aller nous faire raquer pour vos conneries !?
- « Raquer » et « conneries » ne seraient pas les mots que j’aurai employé… Mais oui.
- C’est absolument hors de question !
- [color=#CC99FFVous ne savez même pas encore le montant que je viens demander...[/color]
- Peu importe !
- Nous venons de la part de Death.
- Un problème ?
- Comme vous le savez sûrement, dernièrement il y a eu… Un bal...
- Oui… Et ?
- Si vous me laissiez terminer pour voir ?
- Pardon…
- Je disais donc que ce bal, la préparation de cet événement a… Comment dire ? Ça a coûté très cher et… Nos caisses ont besoin de se remplir à nouveau…
- Attendez… Vous êtes en train de dire que vous aller nous faire raquer pour vos conneries !?
- « Raquer » et « conneries » ne seraient pas les mots que j’aurai employé… Mais oui.
- C’est absolument hors de question !
- [color=#CC99FFVous ne savez même pas encore le montant que je viens demander...[/color]
- Peu importe !
Je me retournai une nouvelle fois vers les gardes et lui fit un signe de tête. Il était inutile de parler, ils avaient tout de suite compris ce que je voulais faire.
Ils l’attrapèrent et le tenaient fermement et avancèrent dans la rue où je voyais quelques curieux hors de leur maison et d’autres moins courageux, regarder ce qui se passait derrière leurs rideaux.
- Je ne suis pas venu ici pour tailler le bout de gras avec les habitants et encore moins taper le carton avec eux alors…
J’avais légèrement haussé la voix pour que l’on puisse m’entendre. Je fis craquer chacune de mes phalanges et donnait un violent coup dans le visage de cet homme.
Ça ne me plaisait absolument pas de devoir faire ça… Mais il fallait que je ramène cet argent.
Ce pauvre homme toujours à genoux au sol, ouvrit sa bouche, ressentant une douleur dans la mâchoire… Et moi aussi, j’avais mal, pas physiquement, mais j’avais mal…
- Il est inutile de vous précisez que je n’ai pas envie de passer la journée à vous coller des torgnoles. Alors sachez qu’il vaut mieux que vous oyez tous coopératif en nous versant les 120 munnies que nous sommes venus percevoir…
Les quelques habitants qui étaient sortis commencèrent à murmurer entre eux, je n’arrivais pas à entendre ce qu’ils disaient… Mais ça ne devait pas être quelque chose de très joyeux… Sûrement quelques protestations.
Je me penchais à nouveau vers celui qui avait servi d’exemple, attrapai sa mâchoire entre mes doigts et je lui chuchotai quelques mots.
- Et pour toi mon ami, ce sera 150 munnies. Tu n’aurais pas dû ouvrir ta gueule…
Je le relâchai tout en le repoussant. Je fis signe au garde le lâcher aussi. Il retourna vers sa maison en compagnie des hommes de la Garde Noire et du sans-cœur dans lequel il balança la somme que je lui avais imposé.
Je restai silencieux, toujours à la même place, regardant tour à tour les habitants autour de moi qui retournèrent à leur retour, les uns après les autres dans leurs habitations attendant sagement que je vienne leur demander l’argent.
Lorsque je me retrouvai à nouveau seul dehors, je retournai près des gardes qui s’étaient dirigés vers une autre maison. Je levai le poing pour frapper à la porte, mais je n’eu pas le temps de manifester notre présence car la porte s’ouvrit immédiatement. C’était une femme, les cheveux noirs aux reflets rouge, les yeux bleus.
- Ce que vous faites madame… Prenez votre argent et partez !
Je jetai les 120 munnies dans le « coffre » mais je n’avais même pas eu la possibilité de dire quoi que ce soit que la jeune femme avait déjà fermé la porte.
- Ne vous en faites pas. Peu importe le moment… Ils font toujours la gueule quand ils doivent payer.
- Sauf qu’en temps normal, on ne vient pas demander autant…
- Sauf qu’en temps normal, on ne vient pas demander autant…
Je n’avais pas pris le temps de le regarder pour lui répondre, je m’étais déjà dirigé vers une autre maison et frappais une nouvelle fois à la porte pour réitérer ma « demande ».
Au bout de plusieurs heures, nous avions enfin récupéré les 120 munnies -avec un petit surplus de 30 munnies- auprès de tous les habitants. Je n’avais plus dis un mot aux gardes. La seule chose que je finis par leur dire était la façon dont Death allait récupérer le sans-cœur.
Je quittai cet endroit le plus rapidement possible et retournai vers le Quartier Général de la Coalition Noire.