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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Posant un pied dans le sable, le traître refermait le cockpit de son vaisseau avant de s’arrêter pour observer le décor qui s’offrait à lui. Il avait du mal à croire que c’était dans cet endroit qu’il avait atterri, ou plutôt, dans lequel il s’était écrasé il y a un an.

Les congères et l’ère glaciaire en moins, l’endroit pouvait être confondu avec le paradis.

Les mains sur les hanches, Kurt remontait les manches de sa chemise ainsi que de son gilet avant d’avancer de quelques pas. Un retour aux sources. Il était déjà venu ici en tant qu’espion, il revenait ici afin de justifier son absence pour la journée. Un sourire naissait sur son visage alors que ses pieds s’enfonçaient dans le sable et qu’il avançait en direction du quai, se remémorant l’attitude de Lenore tout au long de l’attaque jusqu’à ce qu’il comprenne qui elle était sur le pont du navire.

- Quand je pense que c’était il y a un an… Par réflexe, le Turk avait sorti une cigarette de son paquet. Celui-ci le faisait tourner entre ses doigts quelques instants avant de la remettre à sa place, arborant le même sourire. Il manquerait plus que la neige tombe et que les vikings soient de retour.
- Tiens, les filles. Une voix venant de la mer, étrangement familière pour Kurt. Regarder qui revient nous voir, qu’est-ce qu’il se passe mon chéri ? Tu ne parviens pas à nous oublier, ou la ballade à poil dans le port te manque. Des rires s’élevèrent alors qu’il se retournait pour découvrir la capitaine Dathura.

Il levait les yeux, distinguant la capitaine ainsi que quelques membres de son équipage au sommet du pont d’un bateau étrangement familier. Le même navire qu’il avait abordé avec l’aide de Lenore. Il semblait ne pas avoir changé, outre le drapeau à l’effigie des pirates et une nouvelle série de canons qui dépassaient des sabords. Néanmoins, il conservait le même aspect lugubre que dans ses souvenirs et l’équipage sur sa rambarde n’aidait pas à adoucir l’image.

Une seule envie traversait l’esprit du Turk, celle d’attraper son pistolet et d’abattre Dathura d’une balle dans le crâne. Il se contentait simplement de sourire et de passer sa main dans ses cheveux.

- Est-ce que je dois être honoré ? Commençait-il. Pour que ce soit avec cela que vous vous souveniez de moi.
- Ce n’est pas ta mèche qui nous laisse un souvenir impérissable. Un nouvel éclat de rire alors que deux membres d’équipage se claquaient les mains. C’est plutôt ton cul qui passe par-dessus la rambarde.
- Maintenant qu’il est de retour, nous pourrions faire cap sur le port et recommencer ?
- Pas encore, Icy. Répondait le capitaine, dégainant son pistolet qu’elle pointait sur Kurt. D’abord, il va calmement nous expliquer la raison de la présence d’un gars de la Shinra sur mon île. Le message n’est pas bien passé la première fois ?

Les cliquetis et les chiens se faisant armer se multipliaient à la même cadence que le Turk levait ses bras. Par ailleurs, il reconnaissait son arme de service dans les bras d’une pirate. À la différence que des plumes de perroquet ainsi qu’une chaine de coquillage ornant maintenant la sangle. D’une injonction silencieuse, une rambarde glissait depuis le pont pour s’enfoncer dans le sable dans un nuage de poussière alors que trois femmes s’avançaient vers lui.

Dans d’autres cas, il aurait apprécié l’image et sa main droite l’aurait démangé pour d’autre actions que celle qu’il envisageait.

- Dathura, c’est du passé maintenant. Commençait alors le Turk, les trois pirates étant assez proches pour lui attraper les poignets. Depuis combien de temps tu n’es plus venue à port royal ? Six mois ?
- Qu’est-ce que ça peut te foutre. Une paire de menottes s’enfermait dans le dos de Kurt, pour qu’ensuite, l’escorte invite ce dernier à grimper sur le navire. N’oubliez pas ses armes.
- Il ne doit avoir rien d’autre qu’un petit calibre sur lui. Répondait l’une des filles à ses côtés, dégainant son pistolet. Rien de plus.
- Est-ce que tu vois la même tenue que la dernière fois ? Reprenait-il, suivant le chemin de son arme de poing. Voilà plus de six mois que j’ai démissionnés et que Lenore m’a recueilli comme mercenaire.
- Une histoire touchante. Grimaçait la capitaine, rangeant son pistolet à silex à sa ceinture. Les hommes pensent toujours nous avons avec de beaux discours, les filles. Ils n’apprennent jamais.
- Et les femmes n'écoutent jamais. Reprenait Kurt, grimpant la planche pour finalement se retrouver sur le pont et face au capitaine. Si tu es aussi maligne, explique ma présence sur ton île de merde autrement que pour travailler avec le Centurio. Ton caillou n’a aucune valeur pour moi ou la Shinra.

Elle restait silencieuse un instant, l’équipage du navire formait alors un cercle naturel jusqu’à ce qu’elle s’approche en arborant son sourire le plus dérangeant. Dévoilant ses dents, observant le Turk avec appétit avant de prononcer un nouvel ordre.

- Dans ma cabine, nous allons mettre le cap sur port royal dans l’heure pour demander confirmation à nos amis mercenaires. Clamait-elle avant de s’approcher un peu plus. Je comprends pourquoi Lenore ne voulait pas te faire de mal, ce serait dommage de t’abimer.
- Vous avez entendu, les filles ! Hurlait le timonier. Il y aura de la viande fraîche ce soir !
- Nous pourrions peut-être avoir un avant-goût. Répondait le pirate à la gauche du Turk. Port royal est si loin.
- Tu as entendu le capitaine ? Répondait le second. Attends ton tour, ça ne te fera pas de mal.
- Nous allons vite nous retrouver, le SOLDAT.

Dathura fixait le Turk un dernier instant avant que le cercle ne se brise et que celui-ci soit emporté jusqu’à la cabine du navire, à l’arrière de celui-ci. En finalité, l’endroit avait bien changé. Plus de cadavres prisonniers dans la glace ou de tonneau éventré. Il n’y avait que la coque qui ressemblait à une carcasse. Les râteliers étaient remplis d’armes de qualité, de mousquet et de butin. Tonneau de poudre et boulet de canon pour accompagner l’artillerie. L’endroit était devenu un bastion mobile depuis sa dernière visite. Pour l’heure, il n’avait visité rien d’autre que le pont. Il n’imaginait pas un instant ce à quoi devant ressembler les cales.

Une main se posait alors sur son épaule, le poussant en avant alors que les portes de la cabine s’ouvraient devant lui. Il y avait toujours le trône au fond de l’endroit, sauf qu’il n’y avait rien sur la pierre qui permettait à ce navire de naviguer.

- Prends tes aises, le capitaine ne va pas te faire attendre trop longtemps.
- Dix mois de pillages et rien à ce mettre sous la dent, j’aimerai pas être à ta place. Ricanait le second garde.
- Trop aimable, les filles. Il se retournait alors, avant que les portes ne se ferment. Les bracelets, c’est toujours nécessaire ? Un autre éclat de rire, ensuite le claquement du bois, effaçant le sourire sur le visage du Turk. Connasse.

À la lueur d’une lanterne sur un bureau, le traître pouvait observer sa nouvelle prison et regretter d’avoir choisi ce contrat pour justifier son absence. Dathura avait eu le bon gout de conserver le trône de crâne ainsi que la hache du Jarl à sa droite. Pour le reste ? Il n’y avait plus cette atmosphère glaciale ou la carte de navigation qui traînait sur un bureau. Il ne fallait pas être un génie pour comprendre où le capitaine était allé depuis l’attaque.

D’un pas lent, soulevant les rares piles de papiers, il n’y avait rien à se mettre sous la dent. Un lit, plutôt grand pour l’endroit et couvert de soie, un coffre verrouillé et des dizaines d’instruments de navigation maritime dont le Turk ignorait tout. Il allait à l’encontre d’un problème. Frottant ses mains les unes contre les autres, il réunissait assez de magie dans ses paumes avant de les imposer sur ses menottes afin que la rouille recouvre le métal. Toutefois, il ne tentait pas de briser les maillons tout de suite. Il attendrait le bout moment. Il se permettait alors de rejoindre le lit afin de s’asseoir dessus en attendant le capitaine. Lui qui était prêt à reconstruire les huttes, il venait de gagner un trajet en mer.

- Tu ne perds pas de temps. Chantait une voix alors que la porte venait de s’ouvrir. Dégage de là, ce lit n’est pas pour toi. Elle changeait du tout au tout avant de partir s’asseoir dans son trône et pointer une chaise du regard, face à elle. Qu’est-ce que tu attends ?
- Depuis notre dernière rencontre ? Répondait Kurt, mimant de réfléchir. De la reconnaissance. Pour ce navire, la mort du Jarl ou encore tout ce que j’ai fait pour vous.
- Tu es encore en vie. Répondait-elle dans un rire. Tu ne devrais pas être trop gourmand.

D’un pas lent, le Turk allait s’asseoir alors que le navire commençait à se mettre en branle.

- Tu as raison, j’ai toujours mon pantalon. Il allait s’asseoir, fixant la capitaine qui croisait ses jambes. Vraiment, j’apprécie la balade en navire, sauf que les menottes sont de trop.
- Car tu es mercenaire, c’est ça. Elle hochait la tête. La vérité, mon petit gars, c’est que ça ne m'interresse pas.
- Trop aimable.
- Tu pourrais être marié à Lenore et l’avoir mise enceinte que ce serait pareil pour moi. Répondait-elle froidement. Des années que je navigue sur les mers et j’ai appris une chose, celle de ne jamais faire confiance aux hommes. Alors. Tu seras mon prisonnier jusqu’à port royal et qu’un type me confirme que t’es bien avec le Centurio avant de te relâcher.
- C’est ton temps que tu es en train de perd. Répondait simplement Kurt, s’enfonçant dans sa chaise.
- En plus, un gars de la Shinra, ça doit en savoir des informations sur son patron. Un sourire narquois se dessinait sur son visage. La dernière fois, la petite rousse m’a interdit de faire quoi que ce soit, dommage qu’elle ne soit pas là aujourd’hui.

Elle se redressait, emmenant sa main à la ceinture et dégainant une dague. Ses lèvres s’étiraient dans un sourire carnassier jusqu’à ce qu’elle passe sa langue sur ses dents tout en s’approchant.

- Ce serait criminel de ne pas profiter d’un peu de chair fraîche. Elle passait son couteau dans l’autre main, bondissant en attrapant la chevelure du Turk et passant sa lame sous son cou. Par quoi est-ce que je pourrais commencer, tu as une idée ?
- Par me lâcher ? Ironisait Kurt, sentant le froid de la lame.
- Pourtant… Elle levait une jambe, passant au-dessus des genoux du Kurt pour finalement s’asseoir dessus. Nous venons seulement de commencer…
- Si ça pouvait déjà s’arrêter. Grognait-il, fixant son regard dans celui du capitaine.

Dathura posait ensuite ses lèvres sur celle du Turk, forçant un baiser qu’il tentait de repousser jusqu’à ce que le fil de la lame se fasse de plus en plus oppressant. Les secondes passaient, dans un silence, jusqu’à ce qu’un filet de sang ne perle depuis la commissure des lèvres du traître. Elle se retirait enfin, tirant sa tête en arrière dans un soupire avant de passer son avant-bras sur sa bouche.

Un rire franchissait ses lèvres, jusqu’à ce qu’elle fixe de nouveau son prisonnier. La haine brulait dans le regard de celui-ci, il serrait ses poings à s’en faire blanchir les phalanges.

- Quoi, tu n’aimes pas ? Elle retirait la dague et se relevait. Ce n’était qu’un aperçu, le reste viendra dans l’hypothèse où personne n’est de ton côté au port. Dathura retournait s’asseoir sur son trône, croisant une nouvelle fois les jambes. J’aimerais tant que ce soit le cas, nous avons tant à apprendre l’un de l’autre. Le Centurio serait surement ravi d’en apprendre un peu plus sur la Shinra et moi… Je te laisse à ton imagination…
- Ce ne sera pas nécessaire. Il masquait un sourire sur son visage, grimaçant presque.
- Voyons, ne soit pas si triste, ça ne fait que commencer.

Un miasme noir grandissait dans le creux de la main du Turk, celui-ci tentait de calmer cette colère grandissante en lui et surtout à atténuer cette magie dont il n’avait pas fait appel. Toutefois, il conservait son même regard sur la capitaine, jurant de lui tirer une balle dans le crâne, il se fichait des conséquences

- Pas la peine de faire cette tête. Disait-elle, se relevant et allant se coucher dans son lit. Tu n’es pas dans la cabine avec mes filles, ce ne serait pas la même chose qu’avec moi.
- C’est ça. Il crachait au sol, une tache de sang apparaissait alors qu’il frottait sa bouche contre son épaule. La suite, c’est quoi ?
- Attends port royal, mon chéri. Ce ne serait pas trop te demander ?

Le Turk soufflait, détournant finalement son regard de la femme-pirate pour fixer le bureau devant lui. Lentement, il parvenait à résorber le sort qu’il venait de faire naître. L’assimilant. Elle était là, à quelques mètres de lui et ce serait si simplement de pouvoir l’abattre. Non. Il devait être patient. Il était ne pouvait pas faire ça, pas maintenant, les preuves remonteraient indubitablement jusqu’à lui et il n’avait encore rien accompli.

Cependant, il présentait que ce moment serait une joie sans bornes que de détruire ce navire et son équipage.

Dernière édition par Cypher le Mer 12 Fév 2020 - 15:13, édité 1 fois
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Me voilà, me voici.

Alors déjà, le premier point… c'est tout le côté intrigue et connexion du truc qui est franchement pas mal, en ce sens que la rencontre avec Dathura remonte à loin. Que beaucoup de choses se sont passés depuis et que… c'est vraiment cool de voir cette continuité entre chacune de tes missions. C'est un point assez commun aux mercenaires mais au final, j'aime la façon dont nos contrats… même s'ils ont l'air d'avoir aucun rapport s'entrecroisent. Et tu fais partie de ce nœud mercenariale ! Bref, on est vraiment dans cette idée que ton perso n'est pas juste un bot qui enchaine mission après mission, on sent qu'il y a du vécu et une vie en trame de fond. La continuité des rps, c'est cool.


A part ça ? Toujours la même appréciation sur ton style : simple, clair et éfficace. Je vais pas m'attarder sur le style d'écriture relativement impec. L'orthographe me choque pas, quelques fautes d'inattentions… genre… "Elle était là, à quelques mètres de lui et ce serait si simplement de pouvoir l’abattre." Si simple, plutôt ? Bref, rien à redire à ce niveau-là.

J'aime assez Kurt au final et mine de rien, je lui trouve un petit côté haineux bien sympa. En même temps, vu les gens qu'ils croisent ces derniers temps, ça se comprend. Ce qui nous amène… à un point du rp qui me plait et qui est très intéréssant mais me fait quand même tiquer… le miasme noir. Donc ! Notre beau gosse mal rasé, comme j'aime à l'appeller, est en train de sombrer dans les ténèbres… et soit, ça s'explique. Surtout que selon moi, quand on a blinde de magie, ca va plus vite que chez un quidam pour s'obscurcir/s'éclaircir le coeur. En soit, j'aime le concept et le projet… jusqu'ici, c'est d'ailleurs la première fois -ou alors j'ai oublié- que je lis Kurt devenir plus sombre.
Là où ça me gène un peu… si tu veux, c'est pas un problème. Le rendu est bon mais un peu… expédié… ?

Hormis à certains moments -genre concernant Lenore-, Kurt reste quelqu'un de très froid. Certes haineux -et encore, c'est quand même plus ou moins légitime de sa part- par moment selon son interlocuteur, on parle quand même d'un médecin de guerre qui, je suis pas sûr, à perdu ses potes de son escouade… et on parle d'un TURK, genre, les mecs le plus émotifs de l'univers (ironie). Là où ça pèche un peu selon moi -je ne sais pas si tu es familier avec l'univers Kingdom Hearts- c'est que le coeur, les ténèbres, la lumière et ces trucs… ça parle quand même d'émotions. Ce sont les émotions qui changent l'essence d'un coeur. Ici, on comprend assez bien ce qui fait que Kurt puisse s'assombrir. Plus que la haine, il est surtout frustré de devoir faire comme s'il était en position de faiblesse alors que bon, le mec a le niveau pour calmer touts les connards/connasses de Port Royal qui l'emmerdent mais couverture oblige, il se plie au rôle de victime.

Je trouve qu'il y aurait… tellement à dire, putain ^^ Au niveau de ce que ressent Kurt, j'entends. Alors oui, tu pourrais me répondre que tu le fais mais… je trouve ça un peu vite expédié. C'est pas si grave au final mais je reste déçu que ça ne soit pas un peu dévelloper que ça. Peut-être pour une prochaine fois ?

A part ça, c'est relativement très bon. J'aime beaucoup Dathura et son équipage… autant, je t'ai déjà trouvé les gangs d'Illusiopolis à chier, pas crédible et plutôt ridicule (même si j'ai pas encore fini de toute lire et finirait probablement jamais :roll:). Ici, c'est pas le cas. Autant les membres d'équipages ont des moments qui font un peu pnj option greluche sanguinaire… autant quand tu lis le rp, ça passe super bien. Je trouve d'ailleurs à Dathura un certain charisme, ici comme pendant l'event et… si c'est simple est pas trop appuyé, j'avoue que bon sang, le petit passage hot était bien fait. Autre détail sympa… j'ai l'impression de voir plus ou moins ce que veut faire Kurt… mais en même temps, c'est suffisement flou pour me hypé sur la suite.

Bon, qu'il veuille mettre une balle à Dathura, ça, j'ai compris mais… je sais pas, ça sent grave le coup foireux cette histoire ^^ En même temps, à Port Royal, des coups foireux y a que ça.

Clairement on tape dans de la bonne mission là. Peut-être même très bonne. Il y a simplement le passage sur les ténèbres qui naissent en Kurt que je trouve bof… les histoires de coeurs, de ténèbres et de lumières, avec toutes les émotions qui en sont la source même, c'est censé être plus intense que ça selon moi. Je vais noter ça facile. Au final, Kurt n'est pas en danger pour un sous et… la seule chose compliquée qu'il a à faire, c'est se retenir de tirer donc bon.

Facile : 10 points d'expérience + 100 munnies + 1 PS en magie pour le(s) sort et 1 PS en psychisme pour l'avoir assimilé.

Ah… Dathura t'a laissé… un petit os non-identifié dans la poche. Probablement un os de poulet vaudou ou le doigt du dernier type qu'elle a embrassée. L'os étant plutôt pointu, un mec aussi habile que toi devrait potentiellement pouvoir crever un oeil avec. 
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