Donc, voici la mission de D.Va : capturer un certain Nikoleis vivant, dans un sac à poubelles ou autre et le déposer au concessionnaire Shin-Ra du Jardin Radieux en précisant à l’hôtesse que c’est un paquet "MG8-5-18-8". J’ai écrit dans une petite feuille "MG8-5-18-8" car c’est pas facile à retenir.
Et il faut se renseigner sur ce certain Nikoleis, mise à part les informations que la diva a parlé. On sait donc que c’est un ancien membre de la Lumière devenant un membre du Consulat, c’est l’inventeur d’Internet, donc Wave peut parfaitement l’aimer, et que la Shin-Ra veut lui poser quelques questions.
Donc, voilà le moment où je peux me faire chier : les renseignements ! Heureusement que c’est nécessaire ! Et pour ce faire on va à… la bibliothèque ! Non mais vous êtes sérieux !?
« Vous n’allez pas lire des bouquins, quand même !
Non, je vais aller sur Internet pour me renseigner sur ce certain Nikoleis. Je suis sûre qu’il existe certaines sources qui en parlent, et je filtrerai ce qui est marqué.
En attendant, on va jouer un peu pendant que Wave fait son boulot.
Amusez-vous bien ! »
Allez, je commence les petites recherches pour Nikoleis. Je prends en compte certains sites parlant de lui et je les traite. Je sais que certaines choses par rapport à lui sont vraies, d’autres sont complètements inventés, et encore d’autres ne sont que des fruits des téléphones d’Agrabah.
Pendant ce temps, moi et Storm on s’occupe, pendant qu’on attend Wave, avec quelques petits pickpockets de temps en temps et des vols de nourritures assez discrets. On bouffe donc devant la bibliothèque et on est fiers de nos vols. Les gens ne nous connaissent même pas et ils n’ont pas pu voir tous les vols qu’on a fait. Ha ha ha !
C’est pas des combats, mais on s’est amusés quand même ! Limite tous nos vols c’est des jeux d’enfants. On n’a pas fait de vol à l’arraché, ce qui serait encore plus amusant, mais les pickpockets discrets, ça m’allait. Certains doivent porter plainte, mais ils n’auront aucune preuve contre nous malgré le plumage assez original pour eux.[/b]
Une fois tout cela fait, je vais dans le logiciel de traitement de texte pour marquer ce qui a à marquer d’après Internet. Car tant qu’à faire, autant utiliser son arme contre lui. Je vérifierai si tout ce que j’ai marqué est vrai. Et donc, après avoir imprimé ce que j’ai écrit, j’éteins l’ordinateur et je vais voir Jet et Storm.
« Alors, vous vous êtes bien amusés ?
Ouais ! Ça pourrait être encore plus amusant, mais j’adore ces v…
Pas devant tout le monde ! Alors, qu’est-ce que tu as trouvé ?
D’après Internet, il passe beaucoup de son temps chez lui, qui est ultra-surveillé, mais parfois il part faire des missions pour le Consulat. J’ai même son adresse.
Allons vérifier si tout ce qui est dit est vrai. »
On va donc aller près de chez lui, caché dans les arbres pour qu’il ne puisse pas nous voir. Quand il entre dans sa maison, il pose un doigt sur un cercle, ce qui ouvre pour laisser place à un clavier, il tape un code et la porte s’ouvre automatiquement. Il faut qu’on connaisse le code pour pouvoir y entrer. Une fois qu’il entre dans sa maison, il semble taper un code pour que la porte se referme, mais aussi le clavier.
D’ailleurs, Storm dit « une porte », mais il s’agit plutôt de cinq portes, genre quand l’une sera forcée, un autre prendra le relais, et ce plusieurs fois. Rusé. Il savait que des voleurs peuvent très bien aller chez lui. Du coup, il met le paquet au niveau de la sécurité. Il est limite parano, même. Il faudrait quelque chose pour hacker ce truc.
Je me rends compte qu’il faut que je connaisse le programme de ce truc pour mener à bien notre capture. Ce doit être un capteur d’empreinte digitale, un truc comme ça. En tout cas, ça fait longtemps que j’ai pas vu un truc pareil. Il faut vraiment qu’on retourne à San Fransokyo une fois pour réaliser notre capture.
On attendant, on reste sur l’arbre jusqu’à ce qu’on soit sûr qu’il sorte de sa maison. Mais bon, ça a quand même duré jusqu’au lendemain pour qu’il puisse enfin sortir, on a pu dormir, pendant ce temps. Une fois qu’il sort, on vérifie qu’il n’y ait pas trop de monde qui peut nous dénoncer et on descend de l’arbre.
Alors, c’est là que mon collier sera utile, puisqu’il permet de connaître le programme qui régit le capteur. Je sauvegarde le programme dans mon collier pour voir à quoi correspond cette empreinte. Discrètement, je dis à mes collègues :
« L’investigation est loin d’être terminée. On a besoin non seulement des codes, mais aussi de l’empreinte digitale nécessaire. Il faut qu’on retourne à San Fransokyo après. Cette fois, on va payer pour ça.
Pas les paiements !
Je te rappelle qu’on fait une mission pour la Shin-Ra, Storm. Il ne faut pas qu’elle nous suspecte encore une fois. Si on veut capturer Nikoleis vivant, il faut continuer avant de passer à l’acte, même si ça nous fait chier. »
Personne ne nous a entendu. On continue donc notre investigation. Avec mes jumelles, on connaît désormais les codes à l’entrée, Wave a fabriqué un brouilleur, il ne reste plus qu’à savoir si les codes sont les mêmes à l’entrée et à la sortie. Donc regarder à travers les fenêtres ne sont pas une mauvaise idée, et il s’avère que c’est les mêmes. Pas malin.
Au moins, il y a moins de code à se rappeler, ce qui est pratique. Après plusieurs jours d’enquête et de petits vols simples pour pouvoir bouffer, on va à San Fransokyo pour Wave, pour avoir un truc qui permet de reproduire l’emprunte trucmuche de Nikoleis pour qu’on puisse tendre un piège à ce gus. Et le plan c’est que Wave me donne un torchon avec un gaz endormant dessus, Wave utilise le machin pour qu’elle puisse ouvrir les portes, elle pose ensuite son brouilleur, au cas où il y a des caméras de surveillance, j’entre le code pour fermer la porte et on attend que Nikoleis entre dans la maison pour que je fonce vers lui et que je mets le torchon dans la gueule avant de sortir pour éviter l’alarme, me cacher et le mettre dans le sac poubelle.
On a bien pris soin de prendre un sac poubelle avec un trou dessus pour qu’on soit sûr qu’il puisse respirer dedans. Et on va près de chez lui au bon moment : pas trop tôt pour que le gaz endormant ne s’évapore pas, mais pas trop tard pour que Nikoleis ne se rende pas compte de notre présence.
À l’heure assez précise évoquée par le Boss, Wave répand son gaz sur le torchon avant de me le donner. Elle utilise son truc pour le capteur et l’utilise même pour entrer le code, au cas où. Avant que j’entre, Wave pose un brouilleur sur le sol à l’intérieur de la baraque, l’active et j’entre dans cette maison pour entrer le code.
« Bonne chance, Storm. »
Les portes sur ferment et en vérifiant que personne ne nous regarde, on se cache dans un arbre. Je sais que Storm fera ce qu’on lui demande, j’ai confiance. On le surprendra et donc il n’aura pas le temps de fuir. On attend que Nikoleis arrive à la maison. Il n’a pas prévu qu’on peut contourner sa sécurité avant tout.
Je me rends compte que Wave a raison de poser son brouilleur. Il y a des caméras presque partout rien que dans cette pièce ! C’est de la paranoïa, c’est pas possible ! D’un coup, j’entends les bruits pour les codes et je me dis qu’une fois qu’il est à ma hauteur, c’est le moment ! Du coup, je fonce vers le gus qui vient d’entrer dans la baraque, je lui mets directement le torchon dans la gueule, il commence à lutter avant qu’il s’endort. Je sors de la baraque, je me cache avant que l’alarme se déclenche, et je le mets dans le sac.
Comme prévu, l’alarme se déclenche. Heureusement que j’ai vu que le programme peut sonner l’alarme. Sinon on se serait fait griller. Et en plus, les portes se referment, ce qui fait que Storm peut très bien finir enfermé dans la baraque. Du coup, Storm se ramène avec le sac poubelle dans la main. On sort de l’arbre.
« Mission accomplie, comme d’hab’ !
Wave, tu as le nom de code à dire à l’hôtesse ?
Ouais. (Wave sort son papier et le lit) C’est le paquet MG8-5-18-8.
Parfait, allons au concessionnaire. »
On va au concessionnaire et on va voir l’hôtesse… enfin après une queue assez longue. Bref, après une queue assez longue, Wave commence à s’adresser à Wave.
« Bonjour, il s’agit du paquet… (Wave sort son papier et le lit) MG8-5-18-8.
Très bien. Donnez-moi le paquet, s’il vous plaît. »
Je donne le sac poubelle et l’hôtesse écrit le code du paquet. On dit au revoir à l'hôtesse et on va à l'aérogare pour demander trois billets pour San Fransokyo et on va dans l'avion.
Dim 29 Avr 2018 - 10:01Et il faut se renseigner sur ce certain Nikoleis, mise à part les informations que la diva a parlé. On sait donc que c’est un ancien membre de la Lumière devenant un membre du Consulat, c’est l’inventeur d’Internet, donc Wave peut parfaitement l’aimer, et que la Shin-Ra veut lui poser quelques questions.
Donc, voilà le moment où je peux me faire chier : les renseignements ! Heureusement que c’est nécessaire ! Et pour ce faire on va à… la bibliothèque ! Non mais vous êtes sérieux !?
« Vous n’allez pas lire des bouquins, quand même !
Non, je vais aller sur Internet pour me renseigner sur ce certain Nikoleis. Je suis sûre qu’il existe certaines sources qui en parlent, et je filtrerai ce qui est marqué.
En attendant, on va jouer un peu pendant que Wave fait son boulot.
Amusez-vous bien ! »
Allez, je commence les petites recherches pour Nikoleis. Je prends en compte certains sites parlant de lui et je les traite. Je sais que certaines choses par rapport à lui sont vraies, d’autres sont complètements inventés, et encore d’autres ne sont que des fruits des téléphones d’Agrabah.
HRP :
Vous avez compris la blague : Téléphone Arabe, Agrabah est le pays se rapprochant le plus de l’Arabie…
Pendant ce temps, moi et Storm on s’occupe, pendant qu’on attend Wave, avec quelques petits pickpockets de temps en temps et des vols de nourritures assez discrets. On bouffe donc devant la bibliothèque et on est fiers de nos vols. Les gens ne nous connaissent même pas et ils n’ont pas pu voir tous les vols qu’on a fait. Ha ha ha !
C’est pas des combats, mais on s’est amusés quand même ! Limite tous nos vols c’est des jeux d’enfants. On n’a pas fait de vol à l’arraché, ce qui serait encore plus amusant, mais les pickpockets discrets, ça m’allait. Certains doivent porter plainte, mais ils n’auront aucune preuve contre nous malgré le plumage assez original pour eux.[/b]
Une fois tout cela fait, je vais dans le logiciel de traitement de texte pour marquer ce qui a à marquer d’après Internet. Car tant qu’à faire, autant utiliser son arme contre lui. Je vérifierai si tout ce que j’ai marqué est vrai. Et donc, après avoir imprimé ce que j’ai écrit, j’éteins l’ordinateur et je vais voir Jet et Storm.
« Alors, vous vous êtes bien amusés ?
Ouais ! Ça pourrait être encore plus amusant, mais j’adore ces v…
Pas devant tout le monde ! Alors, qu’est-ce que tu as trouvé ?
D’après Internet, il passe beaucoup de son temps chez lui, qui est ultra-surveillé, mais parfois il part faire des missions pour le Consulat. J’ai même son adresse.
Allons vérifier si tout ce qui est dit est vrai. »
On va donc aller près de chez lui, caché dans les arbres pour qu’il ne puisse pas nous voir. Quand il entre dans sa maison, il pose un doigt sur un cercle, ce qui ouvre pour laisser place à un clavier, il tape un code et la porte s’ouvre automatiquement. Il faut qu’on connaisse le code pour pouvoir y entrer. Une fois qu’il entre dans sa maison, il semble taper un code pour que la porte se referme, mais aussi le clavier.
D’ailleurs, Storm dit « une porte », mais il s’agit plutôt de cinq portes, genre quand l’une sera forcée, un autre prendra le relais, et ce plusieurs fois. Rusé. Il savait que des voleurs peuvent très bien aller chez lui. Du coup, il met le paquet au niveau de la sécurité. Il est limite parano, même. Il faudrait quelque chose pour hacker ce truc.
Je me rends compte qu’il faut que je connaisse le programme de ce truc pour mener à bien notre capture. Ce doit être un capteur d’empreinte digitale, un truc comme ça. En tout cas, ça fait longtemps que j’ai pas vu un truc pareil. Il faut vraiment qu’on retourne à San Fransokyo une fois pour réaliser notre capture.
On attendant, on reste sur l’arbre jusqu’à ce qu’on soit sûr qu’il sorte de sa maison. Mais bon, ça a quand même duré jusqu’au lendemain pour qu’il puisse enfin sortir, on a pu dormir, pendant ce temps. Une fois qu’il sort, on vérifie qu’il n’y ait pas trop de monde qui peut nous dénoncer et on descend de l’arbre.
Alors, c’est là que mon collier sera utile, puisqu’il permet de connaître le programme qui régit le capteur. Je sauvegarde le programme dans mon collier pour voir à quoi correspond cette empreinte. Discrètement, je dis à mes collègues :
« L’investigation est loin d’être terminée. On a besoin non seulement des codes, mais aussi de l’empreinte digitale nécessaire. Il faut qu’on retourne à San Fransokyo après. Cette fois, on va payer pour ça.
Pas les paiements !
Je te rappelle qu’on fait une mission pour la Shin-Ra, Storm. Il ne faut pas qu’elle nous suspecte encore une fois. Si on veut capturer Nikoleis vivant, il faut continuer avant de passer à l’acte, même si ça nous fait chier. »
Personne ne nous a entendu. On continue donc notre investigation. Avec mes jumelles, on connaît désormais les codes à l’entrée, Wave a fabriqué un brouilleur, il ne reste plus qu’à savoir si les codes sont les mêmes à l’entrée et à la sortie. Donc regarder à travers les fenêtres ne sont pas une mauvaise idée, et il s’avère que c’est les mêmes. Pas malin.
Au moins, il y a moins de code à se rappeler, ce qui est pratique. Après plusieurs jours d’enquête et de petits vols simples pour pouvoir bouffer, on va à San Fransokyo pour Wave, pour avoir un truc qui permet de reproduire l’emprunte trucmuche de Nikoleis pour qu’on puisse tendre un piège à ce gus. Et le plan c’est que Wave me donne un torchon avec un gaz endormant dessus, Wave utilise le machin pour qu’elle puisse ouvrir les portes, elle pose ensuite son brouilleur, au cas où il y a des caméras de surveillance, j’entre le code pour fermer la porte et on attend que Nikoleis entre dans la maison pour que je fonce vers lui et que je mets le torchon dans la gueule avant de sortir pour éviter l’alarme, me cacher et le mettre dans le sac poubelle.
On a bien pris soin de prendre un sac poubelle avec un trou dessus pour qu’on soit sûr qu’il puisse respirer dedans. Et on va près de chez lui au bon moment : pas trop tôt pour que le gaz endormant ne s’évapore pas, mais pas trop tard pour que Nikoleis ne se rende pas compte de notre présence.
À l’heure assez précise évoquée par le Boss, Wave répand son gaz sur le torchon avant de me le donner. Elle utilise son truc pour le capteur et l’utilise même pour entrer le code, au cas où. Avant que j’entre, Wave pose un brouilleur sur le sol à l’intérieur de la baraque, l’active et j’entre dans cette maison pour entrer le code.
« Bonne chance, Storm. »
Les portes sur ferment et en vérifiant que personne ne nous regarde, on se cache dans un arbre. Je sais que Storm fera ce qu’on lui demande, j’ai confiance. On le surprendra et donc il n’aura pas le temps de fuir. On attend que Nikoleis arrive à la maison. Il n’a pas prévu qu’on peut contourner sa sécurité avant tout.
Je me rends compte que Wave a raison de poser son brouilleur. Il y a des caméras presque partout rien que dans cette pièce ! C’est de la paranoïa, c’est pas possible ! D’un coup, j’entends les bruits pour les codes et je me dis qu’une fois qu’il est à ma hauteur, c’est le moment ! Du coup, je fonce vers le gus qui vient d’entrer dans la baraque, je lui mets directement le torchon dans la gueule, il commence à lutter avant qu’il s’endort. Je sors de la baraque, je me cache avant que l’alarme se déclenche, et je le mets dans le sac.
Comme prévu, l’alarme se déclenche. Heureusement que j’ai vu que le programme peut sonner l’alarme. Sinon on se serait fait griller. Et en plus, les portes se referment, ce qui fait que Storm peut très bien finir enfermé dans la baraque. Du coup, Storm se ramène avec le sac poubelle dans la main. On sort de l’arbre.
« Mission accomplie, comme d’hab’ !
Wave, tu as le nom de code à dire à l’hôtesse ?
Ouais. (Wave sort son papier et le lit) C’est le paquet MG8-5-18-8.
Parfait, allons au concessionnaire. »
On va au concessionnaire et on va voir l’hôtesse… enfin après une queue assez longue. Bref, après une queue assez longue, Wave commence à s’adresser à Wave.
« Bonjour, il s’agit du paquet… (Wave sort son papier et le lit) MG8-5-18-8.
Très bien. Donnez-moi le paquet, s’il vous plaît. »
Je donne le sac poubelle et l’hôtesse écrit le code du paquet. On dit au revoir à l'hôtesse et on va à l'aérogare pour demander trois billets pour San Fransokyo et on va dans l'avion.